en gros, il constatait (et on peut pas lui reprocher) qu'il débarquerait juste après la seule réplique "cul/sexe/drague" qui a marqué la fin d'une discussion intéressante

en gros, il constatait (et on peut pas lui reprocher) qu'il débarquerait juste après la seule réplique "cul/sexe/drague" qui a marqué la fin d'une discussion intéressante

Bah, il y aura très peu d'allusion au sexe, et si (comme tout le monde ?) elle aime le sexe, ca ne sera qu'anecdotique. Sa relation incestueuse au niveau sentimental le sera moins.

Le prolongement, pas la fin. Faut bien qu'elles servent à quelque chose les langues que l'on apprend.

Mouais, il parait qu'inconsciemment, tout ce qu'on fait, au fond, a forcément un rapport de près ou de loin avec la recherche de partenaires sexuels.
L'expression de notre identité au travers de nos centres d'intérêt, c'est principalement afficher ce qui nous rend fier ou différent pour attirer l'attention de partenaires potentiels.
Le cul en lui-même n'est qu'une façon de faire le tri selon des critères sexuels pour savoir si on voudrait de cette personne pour procréer avec ou pas.
La société moderne permet seulement de prendre plus de temps pour faire le tri et de rechercher un(e) partenaire plus adapté(e) que la première opportunité qui passe, d'où le fait que beaucoup ne se sente pas presser d'avoir des enfants.

Finalement, on n'est pas tellement plus que ça hein...

Après oui, on pourra me rétorquer l'existence de l'homosexualité et de l'asexualité, mais je pense que ces sujets sont plus compliqués que ça et je n'aurais pas l'audace de chercher à expliquer.

Le prolongement, pas la fin. Faut bien qu'elles servent à quelque chose les langues que l'on apprend.

Le prolongement, pas la fin. Faut bien qu'elles servent à quelque chose les langues que l'on apprend.

Parfaitement ! Je vois pas en quoi c'est plus noble d'apprendre une langue pour mieux gagner sa vie que pour draguer une fille qui nous plait.

vous savez que la psychologie ne s'est pas arrêté avec Freud ?

Et faudra qu'on explique à partir de là, pourquoi je continue à vivre ma vie, à faire des choses qui me rendent fière,... sachant que tout en étant une personne parfaitement héterosexuée (et donc sortant du cadre de l'"anormalité" du comportement des homosexuels et des asexuels), mon désir de reproduire l'espèce frôle le néant absolu depuis l'âge de mes 7 ou 8 ans ?

Bah parce qu'heureusement, nous ne laissons pas notre inconscient diriger toute notre vie.

Mais ce n'est pas parce que tu as éprouvé ça jusqu'à maintenant que ça ne viendra pas à un moment plus tard dans ta vie.

Après je n'y connais rien en psycho hein, je fais juste des suppositions qui me semblent logiques entre ce que j'ai pu apprendre, l'idée que je me fais de la vie et mes observations de la vie des autres.