Ton corps s'adapte à ce que tu lui donnes. C'est d'ailleurs le problème avec les drogues. Beaucoup de monde sait ça. Ce qui est moins su, c'est que le temps de réponse du corps dépend de l'âge du sujet. Plus le corps est vieux, moins il est réactif (je ne parle pas de vulnérabilité, mais bien de réactivité. C'est important.) et donc moins il s'adapte facilement, ce qui fait que ce que tu lui donnes aura l'effet maximum plus longtemps.

Du fait que le café booste l'activité cardiaque, si tu en prends pendant 40 ans, à la fin, ce sera plus l'effet psychologique qui jouera le rôle de la caféine que la caféine elle-même. Or, il vaut mieux (du fait de l'efficacité que ce soit l'inverse) : que l'effet léger soit au début, et l'effet fort à la fin. Mais c'est dur à mettre en oeuvre, c'est comme si on demandait à un jeune de faire semblant de fumer d'abord en en ressentant les effets, puis, 30 à 40 ans plus tard, de se mettre à fumer.

Là ce serait double bénéfice (psycho + chimique) au lieu d'être double peine.

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Ceci dit Platon n'a jamais dit que les femmes étaient en tout point égales aux hommes. C'est la finalité qui les rend égaux. Le nombre d'atouts en faveur des hommes contre le nombre d'atouts en faveur des femmes rendent complémentaires l'homme et la femme, et c'est de cette manière qu'ils sont égaux. C'est d'ailleurs pour moi la preuve que c'était là une réflexion philosophique.

D'accord ! Je savais pas tout ça !
Mais bon tu sais, j'ai déjà beaucoup diminué le café. Même la clope, malgré que je sois en train de remonter un peu.

Je suis d'accord avec toi (presque, sinon c'est pas drôle, hein...). Mais pour moi, la réflexion que tu définis comme philosophique découle d'abord de la réflexion. Voilà, pour répondre à ta question, ce qui me permet de lier l'action de Platon et sa réflexion, plutôt que le caractère "philosophique platonicien" de celle-ci.

C'est une bonne philosophie.
Je suis relativement contre les mouvements féministes qui tentent de rendre la femme égale à l'homme en tout point, ce qui est ridicule puisque la nature même ne le permet pas.

Ce schéma cependant, est bien plus viable.

Bonne solution, mais solution de flemmardise ;D

Les arguments féministes de la troisième vague tendent à dire que toutes les différences psychologiques entre les hommes et les femmes sont sociétales et non pas naturelles.

Pas bien.

Ah, au secours. Je vais arrêter de lire l'adjectif "philosophique", ou je vais devenir fou !

Enfin les arguments féministes de la troisième vague dont j'ai eu affaire.

Ceci a été développé déjà. On appelle pas ça l'égalité, qui est selon moi un concept presque ridicule, mais l'équité.

De récentes découvertes scientifiques prouvent que la femme et l'homme sont différents au niveau cellulaire.

Mais euh... Pourquoi!?

J'ai lu ton paragraphe précédent également, et en fait je comprends toujours pas en quoi tu exclues sa réflexion sur les femmes de sa philosophie. Tu dis juste que toute réflexion n'est pas philosophique, mais à ce moment là même la caverne de Platon et tout le reste de son oeuvre n'est pas forcément philosophique.