Isil An'Naïnelim a écrit:
Pour ma part je te trouve étonnamment véhément malgré ton assurance d'"absence d'attaque personnelle" que je retrouve par ailleurs dans tes mots.
C'est un soucis que j'ai IRL aussi ça en fait.
Je suis comme qui dirait quelqu'un de "passionné" et quand quelque chose me dérange, je le dis avec beaucoup de ferveur et un langage assez imagé, voire vulgaire. (C'est pas pour rien que mon perso principal est Mercurio quoi.)
N'empêche que ça ne change rien.
Je critique rarement les personnes, ça n'envoie qu'à des impasses.
Là, en l’occurrence, je critique deux sets de reliques. Et rien d'autres.
Je ne savais même pas de qui elles étaient à la base et, ç'aurait pu être n'importe qui d'autre, ça n'aurait rien changé, j'aurais dit exactement pareil.
Trop de gens confonde :
"T'as fait une connerie !" avec "T'es un gros con !", deux phrases où la nuance est extrêmement importante !
J'ai fait mes premiers posts de remarques, en m'emballant peut-être trop certes et je m'en excuse, et on me rétorque que c'est à voir comme un easter egg.
Après je vais pas vous apprendre comment fonctionne un débat non plus hein, mais je réponds en expliquant pourquoi pour moi, ce n'est pas possible de considérer ses sets comme tel et je prends le temps de pondre un truc au maximum clair et constructif alors que rien ne m'y oblige.
Que je sache, je prends rarement mal une correction.
Correction qui sert à faire remettre le joueur en question sur ses divers problèmes pour qu'il s'améliore, fondamentalement.
Mes posts sont peut-être un peu plus brut de pomme mais le but était le même.
Je ne cherche ni à insulter, ni à humilier.
Juste à faire comprendre. Et comme je n'ai pas particulièrement de légitimité et que je le sais, je fais quand même l'effort de souligner ce fait qui n'est pas en ma faveur en fin de post en marquant que quoi que je puisse en penser, il n'y a aucun obligation.
Niveau véhémence, on a déjà fait pire.
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Playlist de Mercurio
A propos, j'ai trouvé la morale de la fable que ton grand père racontait,
celle du petit oiseau que la vache avait recouvert de merde pour le tenir au chaud et que le coyote a sorti et croqué...
C'est la morale des temps nouveaux.
Ceux qui te mettent dans la merde, ne le font pas toujours pour ton malheur
et ceux qui t'en sortent ne le font pas toujours pour ton bonheur.
Mais surtout ceci, quand tu es dans la merde, tais-toi !
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Jack Beauregard (Henry Fonda), Mon nom est Personne, écrit par Sergio Leone, Fulvio Morsella et Ernesto Gastaldi