Anastasie Terreblanc a écrit:
Caabon a écrit:
Est-ce que les détails introduits dans le texte pourraient apporter une impression de déferlement, de submersion du personnage sous des éléments, peut-être contradictoires, qui justifierait qu'il soit un peu perdu ?
Non au contraire, parce que cette scène survient au moment où il prend la résolution de se venger, son attitude est plus ferme et assurée que jamais. Et elle vient un peu le troubler, momentanément, avant qu'il ne redevienne ferme.
Et pour le coup de la main sur l'épaule sur dans le creux du cou : bah, quand tu poses ta main sur l'épaule de quelqu'un, à moins d'être au bord, certains de tes doigts peuvent facilement toucher le creux du cou, je vois pas le problème.
Euh... Je ne sais pas quelle est la taille des épaules d'Adelphe, ni la taille des paluches d'Annabelle, mais à moins d'ouvrir grand la main - ce qui peut donner un effet curieux sur une épaule qui est un élément assez en relief quand même - même en posant franchement au milieu, me semble-t-il, il n'y a guère qu'un doigt, genre le pouce, ou l'auriculaire, qui peut venir frôler le creux du cou.
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C'est par la sagesse qu'on bâtit une maison, par l'intelligence qu'on l'affermit ;
par le savoir, on emplit ses greniers de tous les biens précieux et désirables.
Proverbes, 24, 3-4