Gamemaster9 a écrit:
What ?
Attends... what ?
Oui, les races désignent les sous-catégories d'une même espèces. Chez les canins, ça se voit facilement, entre un épagneul, un bouvier et un berger allemand. Ce sont des chiens, de races différentes biologiquement et génétiquement proches, mais avec des différences notables.
Hors... entre plusieurs hommes d'ethnies différentes, il n'y a aucune différence génétique (si ce n'est celle qui diffère deux êtres entre eux, peu importe leur ethnie). Dire que l'humanité est une sous-espèce, une race de l'espèce "primate", c'est correct. Dire qu'il y a, au sein des humains, des races biologiquement différentes, c'est aberrant. oO
Si on prend l'exemple des canidés, les différences sont frappantes. Si on prend les vaches, il y en a déjà un peu moins. Si on prend les insectes, ça devient déjà un peu plus chaud, à tel point que des fois seule la place du "balancier" (une partie d'un mm de long) change. Et si on prend les cochons, ou les pigeons...ça foisonne de façon abbherante également. On trouve des preuves de ce que j'avance dans l'ouvrage principal de Darwin, notemment. Et chez les humains aussi, c'est comme ça, même si la décence et la bonne tenue voient ça d'un mauvais oeil. Cela se voit surtout quand on regarde des documents de différents peuples insulaires (il me semble qu'un film a été tourné - le film est con et ce n'est que de l'action, mais ça ici on s'en fout.). Les différences biologiques, comme tu dis, sont partout, elles n'ont aucune importance et se voient notemment au niveau de certains caractères morphologiques tels que le crâne, le cou ou chez certaines ethnies, par la courbure des jambes (eh ouais, ça étonne, patronne ! ) par exemple.
Maintenant, on ne peut pas nier que la tendance est à la diminution de l'écart entre ces races. Bien ou mauvais je m'en tape : c'est de la simple biologie.