Je te dirais la.même chose que j'ai dis au grand père de ma copine, qui concoit Macdo comme une merde lisse.

"Je trouve que Macdo est une excellente école."

La poufiasse de base. Désolé si c'était la cible de tes attentes.

by Serpent

C'était un beau mois d'avril 2012.

Avec un amis, nous avions rejoint la capitale pour nous inscrire à une formation. Ce matin là, à la gare de l'est, nous cherchion quelle ligne prendre pour rejoindre notre objectif.

Entre cris joyeux des passants pressés et chants envoutants des sirènes appellant à prendre le train pour des destinations paradisiaques (Dijon, Mulhouse...) ponctué ça et là par des "Siiiivoupléééé Papa enceinte, maman pas travail" octroyé par de charmantes personnes (capable de vous sortir la phrase en 3 langues différentes !)et le tout noyé dans L'odeur sublime des croissant trop sucré , de l'eau au café et de l'urine de Gégé, Ivre et endormi vers le photomaton.

Mon ami et moi parlions d'audace, il soutenait qu'il m'était impossible d'aborder une voyageuse (d'après la loi citée plus haut dans les commentaires). Pas trouillard et un peu trop sur de moi, je cherche dans la foule, un visage capable de m'électriser les poils de l'avant bras.

Bingo, devant le kyoske à journaux, une femme (26_27 ans), blonde, yeux clair et habillé assez chic sans pour autant faire snob semble attendre quelque chose.

Ainsi que le dirait notre amis Hearthless, "A l'Abordage ! Tirez la grand'voiles, arquebusez la muserne et sortez l'artillerie !" (où quelque chose s'y approchant). Je fais route vers l'ile aux trésor.

J'arrive calmement avec le sourire mais elle ne me regarde pas, du coup je tente un polis:

- Excusez moi, madame pourais-je...
- NON !
- Mais ..enfin
- NOn !
- Bon... Ok...ok..
- Non !
-J'ai compris.

et là voilà qui s'en va, l'air fière et sans se retourner, dans la foule. Me laissant là comme un brave con avec en fond sonore, mon ami se roulant au sol, pris d'un fou rire irrépressible.

Paris... ville d'amour

Le Rateau #1

by Serpent

C'était un beau mois d'avril 2012.

Avec un amis, nous avions rejoint la capitale pour nous inscrire à une formation. Ce matin là, à la gare de l'est, nous cherchion quelle ligne prendre pour rejoindre notre objectif.

Entre cris joyeux des passants pressés et chants envoutants des sirènes appellant à prendre le train pour des destinations paradisiaques (Dijon, Mulhouse...) ponctué ça et là par des "Siiiivoupléééé Papa enceinte, maman pas travail" octroyé par de charmantes personnes (capable de vous sortir la phrase en 3 langues différentes !)et le tout noyé dans L'odeur sublime des croissant trop sucré , de l'eau au café et de l'urine de Gégé, Ivre et endormi vers le photomaton.

Mon ami et moi parlions d'audace, il soutenait qu'il m'était impossible d'aborder une voyageuse (d'après la loi citée plus haut dans les commentaires). Pas trouillard et un peu trop sur de moi, je cherche dans la foule, un visage capable de m'électriser les poils de l'avant bras.

Bingo, devant le kyoske à journaux, une femme (26_27 ans), blonde, yeux clair et habillé assez chic sans pour autant faire snob semble attendre quelque chose.

Ainsi que le dirait notre amis Hearthless, "A l'Abordage ! Tirez la grand'voiles, arquebusez la muserne et sortez l'artillerie !" (où quelque chose s'y approchant). Je fais route vers l'ile aux trésor.

J'arrive calmement avec le sourire mais elle ne me regarde pas, du coup je tente un polis:

- Excusez moi, madame pourais-je...
- NON !
- Mais ..enfin
- NOn !
- Bon... Ok...ok..
- Non !
-J'ai compris.

et là voilà qui s'en va, l'air fière et sans se retourner, dans la foule. Me laissant là comme un brave con avec en fond sonore, mon ami se roulant au sol, pris d'un fou rire irrépressible.

Paris... ville d'amour

Ecole de quoi, ça reste à déterminer.

Moi j'aime bien MacDo...

Le Rateau #1

by Serpent

C'était un beau mois d'avril 2012.

Avec un amis, nous avions rejoint la capitale pour nous inscrire à une formation. Ce matin là, à la gare de l'est, nous cherchion quelle ligne prendre pour rejoindre notre objectif.

Entre cris joyeux des passants pressés et chants envoutants des sirènes appellant à prendre le train pour des destinations paradisiaques (Dijon, Mulhouse...) ponctué ça et là par des "Siiiivoupléééé Papa enceinte, maman pas travail" octroyé par de charmantes personnes (capable de vous sortir la phrase en 3 langues différentes !)et le tout noyé dans L'odeur sublime des croissant trop sucré , de l'eau au café et de l'urine de Gégé, Ivre et endormi vers le photomaton.

Mon ami et moi parlions d'audace, il soutenait qu'il m'était impossible d'aborder une voyageuse (d'après la loi citée plus haut dans les commentaires). Pas trouillard et un peu trop sur de moi, je cherche dans la foule, un visage capable de m'électriser les poils de l'avant bras.

Bingo, devant le kyoske à journaux, une femme (26_27 ans), blonde, yeux clair et habillé assez chic sans pour autant faire snob semble attendre quelque chose.

Ainsi que le dirait notre amis Hearthless, "A l'Abordage ! Tirez la grand'voiles, arquebusez la muserne et sortez l'artillerie !" (où quelque chose s'y approchant). Je fais route vers l'ile aux trésor.

J'arrive calmement avec le sourire mais elle ne me regarde pas, du coup je tente un polis:

- Excusez moi, madame pourais-je...
- NON !
- Mais ..enfin
- NOn !
- Bon... Ok...ok..
- Non !
-J'ai compris.

et là voilà qui s'en va, l'air fière et sans se retourner, dans la foule. Me laissant là comme un brave con avec en fond sonore, mon ami se roulant au sol, pris d'un fou rire irrépressible.

Paris... ville d'amour

Bah, je ne sais pas du tout ce qu'elles se disaient, au final elle aurait très bien pu trouver ça pitoyable tant que mignon, tant que juste marrant, tant que flatteur, et beaucoup de choses pouvaient justifier ces petits gloussements et sourire échangés.

Cette honte pour un cuisinier putain.

T'avais croisé Sissi sans le savoir.

Mouais. Perso, j'ai rarement vu la chose se passer sous cet angle.