OWI !!!!

Ca me dirait bien aussi. Mais non seulement il faut du talent, mais en plus il faut correspondre à certains critères qu'en tant que simple écrivain on a peut être pas envie de suivre (comme le choix d'un genre qui a le vent en poupe, ça aide toujours), et derrière c'est la loterie en prime. C'est pas forcément la carrière la plus accessible.

Laisse faire les pros.

En fait je crois que cette partie est la moins utile pour percer.

Une analyse très optimiste du monde de l'édition.

Clairement. Plus que du talent, faut de l'abnégation et des connaissances. Et aimer jouer la pute sociale. Et lécher des culs. Que ce soit avec le tien, si tu l'as bon, ou avec des biffetons bien placés, si tu les as aussi.

Aaaah, le beau monde de l'édition.

Oh. Je pense que j'ai une vision de ce monde pire que la tienne.

Hélas...

Tu connais ?

Ceci dit il doit y avoir des maisons d'éditions indépendantes plutôt pas mal si tu as du talent et des bonnes idées. Enfin, simple supposition, parce que je n'en connais pas, mais ça me paraît censé.

D'assez loin, mais un peu. Des connaissances qui ont tenté d'y percer. Et de la famille qui a des potes qui y bossent.

Y'en a, minoritaires et de moindre ampleur de publication. Mais oui, ça existe. Mais comme dans beaucoup de domaine, ce qui est petit se fait manger par ce qui est grand.

Moi, c'est l'obstacle. Je n'y connais absolument rien. Je n'ai aucune idée de ce qu'il faut faire pour éditer quelque chose.

Vivre de l'écriture, si tu aimes l'écriture, c'est aussi dur que de vivre de la prog si tu aimes la prog : de temps en temps tu tombes sur un contrat qui te correspond, le reste du temps faut te forcer.

Certaines maisons d'éditions profitent de leurs best-sellers pour se permettre d'éditer des trucs qui vendent pas trop mais qu'ils trouvent intéressants, mais ouais, c'est rare.