Réponse à Vedd :
Jet vol à la tire -> réussite
Ta lame glisse parfaitement sans le moindre accroc (enfin tout dépend du sens), libérant une petite boursette de cuir noir. Ta victime a toujours le regard perdu dans le vague, vers la fumée, tandis qu’elle discute avec un autre noble, à l’opposé de toi.
« Je te l’ai toujours dit Sariel : ces machins d’elfes gris sont pas fiable, rien ne vaut un bon cheval… »
« Oui enfin, ce n’est pas un cheval qui va t’emmener à Tulorim en quelques heures… »
Personne ne semble t’avoir repéré et le contenu de la bouse se révèle être une poignée de yus (14 au total) ainsi qu’un petit étui de cuir renfermant autre chose.
Réponse à Kamaliss :
Jet vol à la tire->échec
Ton frère ne semble pas apprécier ta manœuvre et te repousse violemment en glapissant quelque chose comme :
« Gnnééé, est pas dans pochhhh boouaark »
*bruit de vomissement*
Le prêtre obscur se dressant devant vous est maintenant à votre portée levant son bâton au dessus de sa tête.
« Des gobelins ici ? Par les ombres de Phaïstos, vous allez regretter votre venue au monde sales vermines ! »
Réponse à Sirendor :
Jet persuasion->réussite
Le garde te maintient le bras et te regarde pensivement quelques secondes.
« Hum oui…Tu est l’une des nouvelles recrues je crois…Bon, vas-y tu peux passer, mais tache d’avoir ton équipement avec toi la prochaine fois… »
Relâchant ton membre, le milicien retourne calmer le reste de la foule. Devant toi s’étend alors un vaste champ de poutrelles de bois fumantes et de toile calcinée. Une dizaine d’hommes d’arme fouillent activement les décombres, tandis que d’autres, empêtrés dans la foule, semblent vouloir les rejoindre.
Réponse à Artiel :
Jet esquive->échec
Les secondes passent, interminables, jusqu’à ce que de nouveaux bruits de pas se font entendre de l’autre coté de la charrette. Tu peux alors voir ton adversaire surgir sur ta gauche, te tirant une flèche à bout portant dans l’épaule gauche (PV-2).
A ce moment, ton ami surgit comme prévu derrière l’agresseur, mais ce dernier arrête la faucille en interposant son arc. L’homme n’hésite alors pas pour contrataquer, toujours sans dire un mot. Saisissant une dague de sa main libre, il taille dans le bras armé du montagnard une large entaille.
