Vedd a écrit:
Vedd :
La table voisine est celle des étrangers. Ils sont deux et mangent un bon bout de viande avec des pommes de terre. D’où tu es, tu peux entendre toute leur conversation fort intéressante:
«Tu as vu l’accident ce matin ? Il est vraiment désastreux. Du moins, heureusement que ce ne sont pas des hommes à nous… Enfin j’espère… »
Après un silence de plomb, il reprend :
« Ben on dirait que personne est au courant pour les ruines… C’est pas mal, car le bruit aurait pu se répandre… »
L’homme ricane.Le premier homme est vêtu d’un habit élégant, de couleur bleu roi. Il est de grande taille, avec une moustache et un chapeau sur la tête. Le second, lui, est habillé d’une tunique noire avec un béret comme couvre-chef.
« Oui… C’est très bien ça… Enfin, il faut quand même surveiller dans la milice car l’on sait jamais… Et puis, qui sait, peu être qu’ils s’en doutent là-bas..»
« Allez, buvons à notre santé hein . »
Les deux hommes trinquent et boivent leur verre de bière naine. L’aubergiste, quant à lui, semble ne pas avoir bien vu vers où ton doigt pointait et s’affaire à remplir une grosse assiette d’une sorte de ragoût de bouloum. Tu le vois également te sortir une bouteille de vin de sous le comptoir et t’en remplir un petit pichet.
Sirendor :
Ton chef te regarde avec de grand yeux avant de te répondre…
« Je ne vous demande pas de diriger un groupe de personnes, mais j’aimerais juste que vous nous trouviez une dizaine de volontaires pour partir sur Mertar. Là-bas, vous aurez des collègues pour vous épauler. »
Il s’arrête, te regarde dans les yeux puis te dit :
« Il y a plein d'aventuriers et malandrins peu recommandables dans cette cité, vous pourrez en profiter pour faire un peu de nettoyage. L'apparat du gain est toujours très fort chez ce genre de personnes. Je sais que tu n’as pas trop réussit, ces derniers temps… Mais, je pense que tu es capable de faire ça… »
Artiel :
Jet attaque à mains nues->réussite
Ton coup est encore une fois peu puissant mais vient tout de même atteindre le mercenaire en pleine poitrine, ce qui le fait reculer vers le fond de la charrette. Celle–ci accélère sur un chemin cahoteux, ce qui rend difficile de se tenir debout.
Jets esquive->échec, échec
L’homme, accroché au rebord gauche de la carriole, ne semble toujours pas incommodé le moins du monde par la douleur. D’un bond spectaculaire, il vient écarter ta dague et te bouscule en arrière (PV-1). Tu réceptionne alors le rebord en bois dans le dos, ton buste au dessus du vide, qui défile à grande vitesse. C’est alors que tu sens la carriole prendre un virage en épingle, te propulsant à nouveau vers l’intérieur.
« Cap sur Kendrâ Kar m’sieur ! »
Un coup de poing dans ta mâchoire ponctue la phrase du montagnard. Tu te retrouves alors encore une fois acculé au bord, le mercenaire se dressant devant toi.