Vous êtes tous réunis dans la même cellule de la prison, à droite au bout d'un couloir sombre. Deux gardes surveillent le couloir près de la porte de celui-ci et sont armés de gandes faux blanches ornées de décorations dorées. Raesha, l'elfe grise est assise dans un coin de la cellule la tête entre les mains. Le capitaine Robasc est debout les mains accrochées aux bareaux de la cellule.

Les gardes, par insouciance, vous ont laissé tout votre équipement, mais la porte est trop solide pour céder à coup d'épée...

(j'attends que tout le monde ai posté au moins une fois pour faire avancer l'histoire...où au plus tard dimanche matin... mais vous pouvez parler aux deux PNJ qui sont avec vous en cellule...^^)

Le garde nous accompagna , moi et Arkan jusqu'à une cellule où tout nos compagnons étaient réunis .

( Mais qu'est-ce qu'ils font tous ici ? Je ne comprend plus rien moi . )

Le garde nous enferma et alla au bout du couloir pour surveiller .

( Je croyais qu'il devait nous interroger , et ils nous font attendre dans ce trou à rat ? C'est pas très commode comme salle d'attente ! )

Ne cherchant pas trop à comprendre le pourquoi du comment , je me tourna vers tout les autres .

C'est étrange que l'on soit tous réuni ici , j'espère que nous n'avons pas été découvert .

Ma compagne enragée m'avais questionné:

« Oh .. Et, comment comptes-tu t'y prendre, pour embarquer dans la mission de Naral Shaam la soeur de l'homme qu'il vient d'assassiner! »

et j'avais juste eu le temps de lui répondre, avant qu'on nous ait enfermés:

"La mission ne m'intéresse pas vraiment, si une aventure s'offre à moi, soit, mais je ne fais plus partie d'aucune mission tant que cette histoire n'est pas tirée au clair. Ce Naral se moque de vous tous, et ça n'est sans doute qu'a la peur qu'il a eu de vos soupçons que dois d'être encore en vie."

Je la regarde dans les yeux quelque secondes, essayant d'y lire son âme, puis les détourne.

"désolé. je ne fais que ce que mon coeur me dicte."

Maintenant nous sommes entassés dans une cellule avec deux membres de l'équipe. Rien n'est plus possible, mais aussitôt que...

Complètement désemparé, je reste assis, silencieux et immobile, à réfléchir, sans même pretter attention à ce que nous dit l'humaine.

(Je ne dois rien à Naral, je suivrais mes sentiments, ma justice, je n'ai pas à partager les péchés d'un homme juste parce que je me suis trouvé au mauvais endroit au mauvais moment.)

(Mais je sentais au fond de moi, que même si c'était vrai, je ne pourrais tolérer que l'on fasse du mal à Selena, et que donc j'aurais à faire face d'une mannière ou d'une autre à cette histoire de fous.)

Je contemple ma paume entaillée, puis l'elfe grise d'un regard plein de détermination.

Pour finallement poser mon front contre mes genoux, fermer les yeux et laisser les choses aller d'elles même jusqu'a ce que la situation se débloque.

Il ne reste plus que le silence, et ma queue qui brasse les ténèbres d'un air rageur.

Je vois mes compagnons d'aventure arriver deux par deux, plus deux autres personnes, un homme un peu étrange et une elfe grise plutôt mignone... C'est vraiment étrange que nous nous retrouvions tous ainsi et les discussion commencent. Dès que le nom de naral Shaam est cité je me plaque une main sur le front par signe de dépit... Si les gardes découvrent que nous sommes tous liés à leur proie, s'en est fini. Je déclare alors à voix basse :

"Evitons de parler de la raison pour laquelle nous sommes ici, les murs ont des oreilles et Shaam a plutôt mauvaise réputation ici... Et ignorons-nous, sinon, il suffira qu'une personne dévoile la vérité et nous y passons tous... Quelqu'un aurait-il, une pièce métallique comme une épingle à cheveux ?"

Notre arrestation coupa court au débat. Sans que personne ne nous eusse rien expliqué, et sans d'ailleurs qu'on ait pu demander nulles explications, nous fûmes jetés au cachot, où nous retrouvâmes toute la troupe. Hormis, bien entendu, Naral Shaam et son pilote. Il semblait que tout un escadron d'espions ait été là à notre atterrissage, et que Naral Shaam eut été depuis longtemps attendu à Kers.
Je regardai curieusement mes compagnons, en attente de réactions sur ma nouvelle tenue.
Kafziel, adossé au mur opposé, balaçait la queue rageusement.
Un homme dont j'ignorais l'identité était prisonnier avec nous.

(Nous voilà dans un joli pétrin! Ah quelle superbe trésor avons-nous là!)

« Evitons de parler de la raison pour laquelle nous sommes ici, les murs ont des oreilles et Shaam a plutôt mauvaise réputation ici... Et ignorons-nous, sinon, il suffira qu'une personne dévoile la vérité et nous y passons tous... Quelqu'un aurait-il, une pièce métallique comme une épingle à cheveux »
« Ah non .. Désolée .. Si la lame de mon poignard peut aller .. »

Je lui montrai la petite arme, et réalisai soudain que nous étions armés.

(Eh bien .. Il semblerait que rien ne soit perdu..)

J’ouvre les yeux, la tête douloureuse après le coup reçu. Mon regard se porte immédiatement sur les barreaux de la cellule.

(Une prison… Comment suis-je arrivé ici ? )

Je m’assoie et fais regarde autour de moi. Tous mes compagnons sont la, ainsi que la capitaine. A la vue de ce dernier je me rappelle des évènements qui m’avaient amenés dans cette cellule avec un mal de crâne en bonus.

" Capitaine Robasc, vous auriez tenu votre langue on n’en serait pas la. Si je n’avais pas aussi mal, je … Ouille ! "

Je me recouche sous la douleur qui me rappelle à l’ordre.

(Il m’a frappé fort le bougre.)

Sans même lever la tête, je dis d'une voix sourde:

"Il y a des gardes au bout du couloir, je peux les entendre respirer, si quoi que ce soit d'anormal se passe, ils appelleront la cavalerie, évitons de nous enfoncer d'avantage."

C'était agassant d'ailleurs, de savoir que même en arrivant à sortir, ça ne suffirait pas.

"Merci mademoiselle... Hey mais !?! Je me disais que vous étiez étrange... Je ne suis pas sûr que cela suffira mais je vais essayer tout de même."

J'observe le poignard, la lame est très large, de plus n'étant pas face au trou de la serrure, un crochetage semble impossible avec un tel outil, mais qui ne tente rien, n'a rien ! J'accepte donc de prendre le poignard si personne d'autre n'a rien.

"Il nous faut un plan d'évasion. Si j'arrive à..."

Mais le chaton me coupe la parole séchement, pronant l'innaction. Je retends alors le poignard à la jeune 'William' et m'approche de l'humoran.

"Vous les entendez respirer ? Quel est l'utilité d'un tel don dans cette situation ? Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais..."

Je baisse d'un ton pour que seuls les éléments interessés puissent entendre.

"... un trésor nous attend, et si nous ne sortons pas vite d'ici, il va nous passer sous le nez, ou sous le museau sous vous préférez !"

Je ris faiblement.

"Cette histoire est louche, je ne crois plus en votre chef. Mais si vous voulez, j'ai peut-être un moyen d'ouvir la porte, mais après ça, notre groupe sera démasqué. Voulez vous en prendre le risque?"

Je regarde l'interessé dans les yeux, avant d'ajouter d'une note de défi:

"Mais pour ça il faut être capable de se défaire des gardes par la force, réflechissez-y, nous ne sommes "qu'invités" pour le moment."

L'humoran semble décidé à jouer au plus malin, cela m'ammuse au fond de moi, un tel caractère serait bien venu dans la maison Dimir, mais ce n'est pas le moment de parler de ça...

"Notre chef ? Je ne le considère pas comme tel, plutôt comme un simple guide... Pour ce qui est de notre invitation, je ne la trouve guère à mon goût et la force n'est pas à exclure d'une évasion... nous sommes suffisament armés pour les neutralisé, de plus nous avons la surprise de notre côté... Enfin ! Si je suis seul à vouloir mettre la main sur le trésor, alors je m'évaderais avec ma partenaire."

J’écoute la discussion entre mes compagnons, les yeux rivés vers le plafond. La douleur s’étant un peu calmée je donne mon avis.

" Je ne vois pas en quoi nous sommes invités commes vous dites. Vu comment ils nous ont traités on n’est pas les bienvenue. Et je ne veux pas les attendre ici pour voir ce qu’ils nous feront. "

"Très bien."

Je balaye la cellule du regard, puis lance à mi-voix:

"Les autres vous en pensez quoi?"

Mais mon regard se braque surtout sur Selena.

Un débat légèrement tendu s'était ouvert. Sandro n'avait qu'une idée en tête, le trésor. Les autres semblaient partager des avis différents, et non fixés. En tout cas, ils m'avaient l'air, et fort heureusement, d'accord sur un point: nous n'étions pas les bienvenus à Kers!

« Les autres vous en pensez quoi? »

Je pris le temps de réfléchir, car je trouvais réellement que nous allions sur les chapeaux de roues. Si nous tentions de nous échapper, aurions-nous ne serait-ce qu'une chance sur cent face aux gardes? Mais il était clair que ne nous ne pouvions pas rester à croupir là, laissant notre destin aux mains de ces Kersiens peu aimables, ou de Naral Shaam. Et maintenant que nous étions à Naora, le trésor me tentait bien.

« Il faut, certes, que nous agissions .. »

Je parlais avec peu d'assurance, peu sûre d'affirmer ma vraie voix, et me sentant légèrement coupable d'avoir menti aux autres.

« Mais sans précipitation .. Peut-être avons-nous le temps de réfléchir, d'élaborer un quelconque plan? Car il est naturellement impossible que nous tâchions de battre les gardes ! Mais nous avons plusieurs voleurs parmi nous, et sans doute mettront-ils leur art à notre disposition .. Ensuite il ne faudra pas se faire remarquer .. Enfin, j'expose là ce que vous pensez sans doute tous! Le tout étant de le mettre en oeuvre! »

Je m'étais assise dans un coin de la cellule.
Tous mes camarades y étaient désormais réunis, aussi étrange que cela pouvait paraître. Je les écoutais débattre sur Naral Shaam, et élaborer des plans d'évasion, sans prendre part à la discussion. Seule dans mon coin, je maudissais Naral, je maudissais les gardes, et je me maudissais moi-même d'être venu fourrer mon nez dans cette aventure minable!

Bref, je finis par aller rejoindre Sandro, sans rien dire. Je tournai simplement en rond à proximité de lui. Après tout, les gardes guettaient au bout du couloir; n'étions-nous pas censés être fiancés? Sous le coup d'une impulsion de crainte, je tentai de m'apaiser et prenai la main du musicien.

« Joue-nous un morceau. »

Une main fraiche, fine et douce vient saisir la mienne. Je la reconais je l'ai déjà saisié plusieurs fois mais cette fois-ci, c'était l'elfe blanche qui était venue me la prendre. Une impression étrange, agréablement étrange venait de me parcourir en entier et d'appaiser mon aggacement face à la situation. Je souris doucement, sans un mot et atrappe le manche de Sidereus. Prenant place sur mon coussin je commence à jouer, après tout, nous pourrons bien nous échapper plus tard !

"Il paraît que la musique adoucit les moeurs... adoucissons les notres."