Alors que j'allais savourer un instant d'intimité bien mérité avec Amaltia, voilà qu'un éclair de perspicacité vient rompre notre élan. Ma belle elfe croit avoir compris quelque chose et retourne à ses fouilles. Je croise les bras, frustré.

Tathar arrive, baragouine quelques banalités, comme à son habitude. Nous l'ignorons. Il décide alors de partir et de nous balancer une fiole à la figure. Le petit objet passe au dessus de ma tête et va s'écraser tout près d'Amaltia, répandant le liquide visqueux qu'il contenait sur le mur et sur cet elfe aux courbes parfaites. Elle est furieuse et hurle des menaces à ce druide à la con.

Je me lève et m'approche d'elle, sortant un mouchoir propre -à quelques tâches de sang près- en soie de Yarthis pour l'aider à se débarbouiller. L'aspect du liquide est dérangeant, on jurerait du sperme...

"Cet être est définitivement abject... Je m'arrangerais pour qu'il reste à jamais sur cette île."

Je soupire et souris à Amaltia pour essayer de la consoler.

"Passons. Alors ? Qu'avez-vous découvert très chère ?"

La belle te rend ton sourire en essuyant tant bien que mal le liquide blanchâtre qui lui colle à la peau (((hrp: uniquement au premier degré évidemment ))) S'étant débarassée du maximum, mais regardant avec une moue écoeurée sa robe tachée, elle répond finalement à ta question en passant ses bras autour de ton coup.

"C'est gentil de votre part de vouloir me servir d'ange gardien, mais je suis une grande fille..."

Elle te sourit et au moment où ses lèvres s'ouvrent à nouveau pour te répondre, un rugissement rauque et grave retentit dans la pièce ouest, juste à côté de vous. Vous appercevez dans l'entrebasure de la porte un saurien géant et plutôt agressif envers votre compagnon... Il vous tourne le dos pour le moment...

Presque simultanément, Raesha fait son apparition dans la pièce, le regard inquièt, suivie de Kafziel, qui ne semble pas vraiment intéressé par la grosse bestiole...

Et dire que je pensais être le seul capable de me mettre dans des situations pas possibles… Décidemment, je l’aime bien ce petit humain, enfin il faudrait aller l’aider tout de suite ou je me retrouverai seul avec ma Raesha, entouré par des êtres hostiles à ma personne. Et en parlant des loups, ils montrent le bout de leurs queues, enfin c’est plutôt moi qui les rejoins…

« Dites, on prend le Thé maintenant ou on va l’aider ? J’apprécie pas mal la première solution mais lui, je ne pense pas… »

Vous voyez la scène d'Ezak se jouant du lézard, de votre point de vue évidemment... Vous ne voyez donc rien du passage secret de là où vous êtes...

Raesha crie:

"Ezak, reviens ici!"

Hélas, Ezak ne répond pas à la demande de Raesha et tente une vaine ruse pour battre le reptile géant. Celle-ci rate et il se retrouve dans un sale état, tandis que la créature écailleuse arrive à toute vitesse dans votre pièce. Il s'arrête un moment pour rugir de toutes ses forces, regardant ses nouveaus ennemis avec ses cruels yeux jaunes...

Vous êtes mal barre...

(postez vos actions en fonction de vos point d'agilité respectif )

Personne ne semble réagir à ma question et nous restons donc là, regardant Ezak se dépatouiller avec son dinosaure. Pendant un instant, le derrière écailleux du reptile nous bouche la vue mais la bête finit par s’effondrer après qu’un bruit sourd ait retentit, laissant apparaître un Ezak plutôt fier de lui.
Apparemment, il semble bien se débrouiller, seulement, le coup qu’a pris le lézard géant n’a pas l’air de l’avoir bien sonné car ce dernier se relève, assez énervé, après que le guerrier lui ait assené quelques coups.

C’est alors que Raesha crie à Ezak de revenir vers nous, et ce qu’il compte faire mais pas tout seul… En effet, il tente d’attirer le dinosaure avec lui, sûrement pour que celui-ci se coince dans l’arche. Certes, elle est peut-être trop basse pour l’animal, mais elle est largement assez large, mais je n’ai pas le temps de le lui dire qu’il met son plan en œuvre, plan qui foire majestueusement puisque les griffes du monstres s’enfoncent dans la poitrine de l’humain avec une grande facilité, lui lacérant les chairs.
Bien évidemment, la créature se retrouve face à nous, hurlant de plus belle, pendant qu’Ezak, encore conscient (on dirait qu’il est plutôt résistant) disparaît derrière l’arche.

Cette fois-ci, c’est à nous de jouer… espérons qu’on en viendra à bout, ce dont je doute fort car l’ennemi semble assez retors. En même temps, mettre notre guerrier national dans cet état en un simple coup de griffe, je dis chapeau. Ce qu’il ne sait pas, cet olibrius sans cervelle qui nous exhale sa sublime haleine, accompagné de quelques postillons, c’est que moi aussi je peux avoir des dents pointues et des griffes acérées.

« Raesha, Amaltia, reculez ! Je m’en occupe ! »

A peine prétentieux, je bande ma volonté et commence à puiser dans mes réserves de magie verte pour lancer un sort de force de la bête. Espérons que cette saleté me laissera le temps de l’utiliser.

Amaltia me rembarre gentiment quand je lui propose d'éliminer Tathar, elle m'affirme pouvoir s'en occuper elle-même. Ce qui me fait plaisir, c'est que nous sommes à peu près d'accord sur son sort. Au moment où je vais lui répondre, un bruit sinistre est émis dans la pièce que fouillait jusqu'alors Ezak. Tous les regards se tournent vers cet endroit, et il y a de quoi... En effet, un gros, très gros lézard a pris le jeune homme en grippe.

"Mais il sort d'où ce truc ?"

Tathar arrive dans le hall du temple pour nous proposer d'aller aider Ezak. Mouais... Ils ont toujours des idées saugrenues ces druides... Personnellement, le lézard, je m'en fous, tant qu'il essaye de bouffer les petites fesses d'Ezak et pas les miennes.

*Boum*

Le lézard vient de se manger un mur... Raison de plus pour ne pas aller aider le guerrier, il se débrouille parfaitement tout seul...

*Spcrotch*

Pas tant que ça en fait. J'affiche une moue dégoûtée face à la déchirure thoracique du guerrier. J'aimerais pas être à sa place, surtout qu'une blessure comme ça, ce doit être difficile à soigner, elle risque de s'infecter et au final de le tuer parce qu'on ne peut pas amputer cette partie du corps.

"Pauvre homme... Il était bien courageux. Hoho... Il vient par ici."

Le lézard passe sa tête par l'arcade qui fait office d'entrée dans la pièce d'Ezak et à plutôt l'air hostile à notre présence en ce lieu.

Il va falloir recourir à la bonne vieille méthode.

D'un mouvement ample, je sors mon arbalète de sous ma cape pour me placer derrière le druide, m'accroupir et la mettre en joue. Elle a été d'une efficacité exemplaire contre les sauvages, -et aussi contre les homme-chats...- voyons voir ce qu'elle vaut sur les saurien. Je tire alors trois carreaux successif sur l'animal cherchant, dans un premier temps, sa gueule grande ouverte, puis sa narine droite pour terminer par... le dos de Tathar !!!

Je pourrais toujours prétexter un problème d'outillage.

Tathar >>> 57. Ton sort force de la bête réussit.

Sandro >>> 84, 80, 2

Ton premier carreau atteint le palais du monstre alors qu'il rugit. Il hurle de plus belle en ressentant la vive douleur lui parcourir la bouche, le le sang couler sur sa langue.
Le secon atteint lui aussi son but. Il transperce de l'intérieur la narine droite du saurien, ressortant par sa peau écailleuse de l'autre côté. Comme ça, il commence à ressembler à un punk, avec ce piercing original... Hélas, il ne saigne pas beaucoup de cette plaie...
Le troisième carreau quand à lui, et bien il n'atteindra jamais son but. Sans doute pourras-tu, en effet, prétexter un problème d'outillage. Le projectile ne part pas, puisque tu as ton doigt en travers de la corde. La douleur est cinglante et tu es forcé de lâcher ton arbalète. (-3pdv et tu devras utiliser 1PA pour aller la rechercher au tour suivant, si tu le désires...)

Lézard >>> Il accuse le coup des deux carreaux d'arbalète en grognant de plus belle, mais ne semble pas attaquer pour le moment, se contentant de faire des grands gestes avec ses griffes dans votre direction.

Amaltia reste en arrière, conformément à la demande du druide, mais Raesha dégaine ses deux poignards, regardant sévèrement son ennemi. Elle n'attaquera pas non plus ce tour ci...

La bestiole daigne me laisser lancer mon sort, qui fonctionne comme toujours. L’image de l’ours enragé est bien présente dans mon esprit et c’est comme si je me fondais dedans pour ne faire plus qu’un avec la bête, devenant une véritable brute poilue avec des griffes et une dentition plus proches de l’animal sauvage que de l’elfe. Je sens sa force pure couler en moi, frissonnant de plaisir, appréciant cette sensation de puissance presque jouissive.
Entre temps, Sandro parvient à blesser le dino d’un carreau au palais et d’un autre à la narine, cependant je ne sais ce qu’il lui arrive mais alors qu’il s’apprête à tirer un dernier trait, son arme tombe au sol en un claquement retentissant…. Dommage pour lui…

Poussant un hurlement à faire pâlir l’adversaire pourtant assez expérimenté dans ce domaine, je me lance à l’assaut du reptile, ne pensant plus qu’à une chose : exterminer le saurien.
C’est donc l’épée du défunt disciple au clair que je commence par porter un assaut sur les deux jambes de l’adversaire pour le clouer au sol.

"Crève Charogne !!!

Ma chance frise l'insolence ! En effet, mes deux premiers carreaux atteignent leur cible, en plein dans le mille ! Je regarde Amaltia et lui fait un clin d'oeil.

"Et tout ça sans aucune leçon de tir ma chère."

Mais lorsque je change de cible, le câble de l'arbalète me charcute un doigt... Y'a pas de justice. Je n'ai d'autre choix que de laisser choir mon arme. Je me sens ridicule vis-à-vis de ma belle elfe après mon accès de vantardise, mais j'éprouve aussi une grosse frustration, j'aurais donné cher pour lui faire la peau à cette boule de poil...

(Boule de poil ? Ho... Il a remis ça.)

Je revois le druide, dans la prison de Kers, recouvert de ce duvet ignoble, en train de léchouiller Raesha... Beuh...

J'inspecte mon doigt, il est recouvert de sang et j'ai l'impression de sentir mon coeur battre dans ma main, c'est très désagréable. Pendant que Tathar se rue sur le monstre, c'est avec ma main engourdie, que je ramasse mon arme. Cette fois, je prends bien garde de ne pas laisser traîner mes doigts sur le passage de la cordelette avant de tirer... Je vise approximativement en direction des deux animaux, officiellement, c'est pour abattre le lézard mais au fond, je ne serais pas mécontent si un de mes deux carreaux venait se planter derrière la tête du sac à puces qui fait office de druide.

Tathar >>> 25, 22

Tu te plantes devant ton ennemi, et malgré ta force d'ours, ses coups d'épée dans les jambes du lézard ont le même effet que les coups de bâtons d'un hobbit malade sur le flanc d'une montagne naine. Autrement dit, ça fait que dalle.

Ramos >>> 26, 34

Ton premier jet est complètement raté. Passant au dessus de la tête du saurien, le carreau se fracasse sur le mur d'en face. Le second n'atteind pas le lézard, mais bien ta deuxième cible, bien que plutôt involontairement. Le projectile vient se loger dans le bras de tathar/nounours, qui ressent tout au plus quelques petits picotements (-0PdV)

Lézard >>> Enervé par la bête à poil presque à poil (puisqu'uniquement vêtue d'un short) devant lui, il donne un puissant cou de griffe qui déchire les chairs du pauvre Tathar, qui en prend par tous les côtés. Mais cette fois, il sent bien le coup. Il s'envole vu la puissance du coup, la poitrine et une partie de l'épaule ouverte et en sang. Il atterrit deux mètre plus loin alors que la grosse bête rugit de plus belle, pret à en finir avec chacun de vous. ( Etat de Tathar: vachement mal en point, tu as la force de te relever et de brandir ton épée, mais tu ne supporteras pas deux chocs comme celui-là...)

Amaltia ne bouge toujours pas, mais Raesha, voyant son amant ainsi laminé, se jette avec ses deux lames vers le puissant saurien. Celui-ci ne s'encombre pas tellement de ces deux attaques à la dague, qui ne lui cause aucun dégat sur ses écailles résistantes. Par contre, le spectacle qui suit est affreux à voir. Il se saisit de la belle elfe grise entre ses deux pattes, enfonçant ses griffes dans son corps frèle. Un craquement sinistre se fait entendre, celui de la colonne vertébrale de raesha. Satisfait, le gros lézard jette son jouet inanimé avant de se tourner vers Ramos. Il fait un carton! De son côté, Raesha crache le sang. Son regard se révulse. Elle touche, expire, puis meurt doucement, dans la douleur et dans le sang.

Comme on aurait pu le prévoir le druide brille par son inefficacité, malheureusement, j'en fait autant et mon meilleur tir vient se planté seulement dans le bras de Tathar, dans une zone de graisse et de cuir... Une zone quasiment indolore quoi...

Ce qui fait plaisir, c'est que le lézard lui, ne fait pas dans la dentelle et envoie la monstruosité balader, lui déchirant la peau et les muscles. Mine de rien, je suis un peu mal à l'aise de constater la facilité avec laquelle il vient de malmener le druide, qui, je l'admet, est plutôt de nature coriace.

Raesha se jette à son tour entre les griffes du saurien, ses lames en avant dans une rage folle. Je l'ai vu à l'oeuvre, je sais qu'elle peut-être redoutable et pourtant, le reptile s'en débarrasse très vite avant de se tourner vers moi. Je pâlis et prend deux secondes pour constater l'étendue des dégâts. Ezak est éventré dans la petite pièce à l'Ouest, Tathar a connu à peu près le même sort et Raesha est en train de rendre l'âme, alors que le lézard n'a quasiment rien, si ce n'est un carreaux dans la bouche et un autre dans la narine.

"Si seulement Naral était là..."

Je me retourne vers Amaltia qui est restée impassible depuis le début des hostilités. Je lui crie, ainsi qu'aux survivants :

"Il faut fuir, sinon, nous allons tous y passer."

Si tôt dit, si tôt fait, je commence à courir vers la sortie, mais je ne suis pas encore remis de mon sauté de cascade et je peine à chaque pas. Mais l'adrénaline est là et je fais de mon mieux. Pendant ma course, je tire un coup sur le saurien priant pour que mon projectile lui crève un oeil.

Alors que je me jette sur l’adversaire, ce tant aimé Sandro ramasse son arme et tire deux carreaux, un petit picotement de mon bras me signalant son manque de précision. On ne peut pas être doué pour tout et il semblerait que les armes à distance ne soient pas le dada de notre musicien, et je lui dédie un grognement réprobateur, ne pouvant stopper mon assaut pour lui faire entendre ma façon de penser.
Et en parlant d’assaut, je foire littéralement ma tentative puisque mon épée ripe par deux fois sur les écailles du monstre sans lui faire aucun mal… pourquoi suis-je si mal chanceux…

En tout cas, si le coup de l’humain ne me fait ni chaud ni froid, la riposte du reptile, elle, se fait sentir, beaucoup sentir si bien que je me retrouve projeté par le coup, l’épaule et le torse ouverts et saignant à gros bouillons.

« Bobo !! Il tape fort ce c** !!»

Me relevant avec peine, chaque mouvement m’arrachant un rictus de douleur, je récupère mon arme que j’ai lâchée sous le choc et me prépare à une nouvelle attaque. Cependant, je n’ai pas le temps de réagir que l’elfe grise qui me sert, ou plutôt, me servait de compagne se jette sur la bête avec ses deux dagues et se fait méchamment renvoyer à son point de départ, après s’être faite broyer la colonne vertébrale, me hérissant les poils d’effroi.
Ni une, ni deux, je cours ventre à terre vers Raesha pour tenter de la soigner mais hélas j’arrive trop tard et ma belle me meurt entre les bras. Je me retourne alors vers Amaltia et braque sur elle un regard glacial.

« Plutôt que de rester là regarder le carnage, aidez nous !! Vous êtes la sœur de Naral, non ?? Vous devez bien pouvoir nous débarrasser de ce monstre ! »

Fou de rage, je lâche l’épée de Rotob, pose le crâne de croco et attrape mon naginata, prêt à l’utiliser comme un javelot, (assez grand, certes mais un javelot quand même), cependant je me ravise car si je loupe ma cible, il faudra que j’aille le rechercher, ce qui m’expose trop, et vu sous un autre angle, la proposition de Sandro est plutôt attrayante.
Que faire… je reste là, hésitant… je ne mesure pas encore le fait que la jeune elfe grise soit morte, sans doute un effet secondaire de ma force de la bête, mais le contre coup risque d’être terrible, si je m’en sors…

Ramos >>> 58 ratééééé

Sandro s'élance vers la sortie, mais le lézard était déjà bien prêt de lui. Le carreau du larron passe légèrement au dessus de la tête du saurien alors qu'il bondit sur l'homme, s'abattant sur lui avant qu'il n'ait atteint la porte. Le reptible bipède tombe lourdement, les griffes en premier sur lui. Les boûts acérés de ses pattes traversent la chair de l'humain au niveau du ventre. Il les retire aussitôt pour se relever devant sa victime très mal en point. le larron est comme cloué au sol et le sang s'écoule de ses six plaies béantes. Le lézard géant est déjà prêt à frapper, bloquant désormais tout espoir de fuite, puisqu'il se dresse devant la porte.

Pendant ce temps, Amaltia profite de la distraction causée par Sandro et, le regard énervé, flamboyant de plus belle, se dirige d'un pas rapide vers le druide amoché, toujours à côté de la carcasse de Raesha, gisante. Elle gifle Tathar comme si elle était vexée de ce qu'il eut dit.

"Crétin de Sindel! SI il y avait un moyen de tuer cet être de cauchemar, je l'aurais déjà utilisé! Vous ne voyez donc point qu'il ne peut mourir? Et nous non plus ne le pouvons en ces lieux sacrés! Voilà la découverte que j'ai faite sur les murs de ce temple avant d'être interrompue par le gros lézard aux longues dents. Nous sommes condamnés à nous battre ici pour l'éternité, sauf si quelqu'un trouve un moyen... Ne me comparez pas à mon frère...Naral aurait trouvé la mort ici, comme tous les disciples du dragon mauve..."

« Merci de prévenir, espèce de… de… RAAAH !! Vous ne valez même pas la peine que l’on vous donne tous les noms d’oiseaux possibles !! Et merci pour la baffe, espèce d’idiote ! Triple andouille !!»

En fait, par ces mots, j’essaye de cacher mon étonnement, et puis en même temps, elle le mérite… quelle idée de ne pas nous prévenir sur le fait que nous ne pouvons pas mourir en ce lieu, ou plutôt, que mes compagnons ne peuvent pas mourir ici… Ce n’est pas bon du tout pour moi !!

« Pourquoi ça n’arrive qu’à moi… »