En regardant l'anneau, tu ne remarque rien de bien particulier...Il t'apparaît comme un simple anneau de cuivre finement décoré de gravures torsadées...Seulement ton esprit de déduction te dis que si il était accroché à ce grimoire ancien, c'est qu'il cache encore bien des secrets...

((( Jet d'analyse raté pour celui là )))

En prenant le pendentif bi-face, tu ressens une puissance assez forte dans celui-ci, une force magique qui t'es inconnue... En le prenant, tu sens l'anneau mauve autour de ton doigts chauffer un petit peu, mais tu ne peut en déduire quelle est cette force, si elle est bénéfique, ou si ele sert le mal...

((( Jet d'analyse: 34, pas terrible non plus)))

Hormis ce qui saute aux yeux, c'est-à-dire les écritures torsadées gravées sur le cuivre, l’anneau ne me révèle aucun secret, contrairement au pendentif qui semble être un puissant artefact. La force qui l’anime m’est totalement inconnue, ce qui est assez excitant, et elle semble être antagoniste à la magie qui coule dans l’anneau mauve qui orne mon doigt. Que faire ? Que faire ? La réponse est déjà claire dans mon esprit. Aurais-je des tendances suicidaires ? Peut-être bien et cela me fait sourire.

J’enlève donc, avec beaucoup de regret, la bague de ma défunte Anya pour glisser le petit anneau de cuivre à sa place, puis décroche ensuite la chaînette que j’ai autour du cou pour mettre le pendentif, rangeant les deux autres bijoux dans mon sac.

(((Hrp: j'ai besoin de savoir si tu poses définitivement ton crane de croco ou si tu le reprendra après...Suicidaire... )))

Quand tu passe le pendentif autours de ton coup, tu sens un bien être envahir tout ton corps. Tu te sens bien, et tu ne parviens pas à te l'expliquer. L'anneau mauve que tu as au doigt est chaud, même si c'est tout à fait supportable...

mais quand tu passes l'anneau de cuivre, même si le bien-être ne te quitte pas, il s'enserre autours de ton doigt. Tu ne parviens plus à l'enlever... Tu viens d'enfiler un anneau de folie...Tu ne le sais pas, mais tu vas petit à petit sombrer dans une folie progressive qui te détruira progressivement, ainsi que tes proches. Ses effets seront des hallucinations de plus en plus fréquentes...

((HRP: c'est moi qui, dans la quête, te donnerai le contenu de ces hallucinations et le moment de tes crises...))

La sensation qui m’envahit lorsque le pendentif repose enfin sur ma poitrine est proche de l’ébahissement. Je me sens bien à un point tel que plus rien ne pourrait entamer mon enthousiasme et mon optimisme.
Même lorsque l’anneau de cuivre finit par enserrer mon doigt jusqu'à ce que je ne puisse plus le retirer, je reste serein bien que le fait que le bijou ne veuille plus me lâcher cache sûrement quelque chose.

N’ayant plus rien à faire ici, je retourne dans la pièce qui fait office de hall, prêt à explorer une nouvelle salle.

C'est certainement la pièce la mieux conservée du temple. Elle est petite et étroite, et aucune décoration n'orne ses murs aux pierres fissurées. Le seul objet qu'elle contient est une imposante malle fermée par un cadena à moitié rouillé mais impressionnant par sa taille...

Quand je pénètre dans la pièce, le contraste avec celle que j’ai visité précédemment est saisissant. Contrairement à la première salle elle est bien plus petite et en bien meilleur état. Ce temple me semble étrangement encore plus mystérieux. Il à sûrement beaucoup de secrets qui ne demande à être découvert. On devrais peut être y accordé beaucoup d’importance. Après tout le but de notre venue sur cette île n’est pas une chasse au trésor ?
Je ne veux rien manquer, rien laisser au hasard je dois être vigilant. Je m’approche du seul objet que contient la pièce. Une malle cadenassée. J’observe le dit cadenas quelques instants et conclus bien vite que vu sa taille je n’arriverais pas à le casser comme cela. Il me faudrait la clé et en dernier recours j’utiliserais peut être la force.

Je fais le tour de la pièce passant mes mains sur les murs, observant chaque fissure de mes doigts.

Tu remarques en effet que malgré la rouille qui le ronge, le cadenas est bien attaché. En fouillant dans les fissures du mur, tu ne trouve rien de bien spécial...De la poussière, des toiles d'araignée. Au fond d'une fissure un peu plus profonde, tu aperçois en regardant bien un petit lézard qui semble avoir quelque chose autour du cou. Effrayé par ta présence, il se terre au fond de la crevasse, tremblottant. Tu ne peux pas voir ce qu'est l'objet attaché autour de son cou. Il fait trop sombre dans la fissure...

Mes doigts s'aventure dans chaque recoin du mur à la recherche de quoi peut être ouvrir le cadenas. Malheureusement, mes recherches son infructueuse et je me retrouve bien vite les mains salies à cause de la poussières et des toiles d’araignées développées ici toutes ces longues années.

Je regarde mes mains une mine de dégoût sur le visage quand j’aperçois un lézard avec un drôle d’objet autour du coup. L’animal trop vif ne met pas longtemps à aller se terrer plus profond dans sa crevasse me cachant la vue de l’objet. L’agissement du petit reptile m’agace au plus haut point et décidé à ne pas perdre de temps je tire mon épée de son foureau.

« Désolé, mais tu es un adversaire coriace. »

J’enfonce ma lame dans la fissure en donnant de petit coup dans tous les sens possibles avec l’espoir de sortir l’animal de sa cachette.

Nerveux, le lézard ne voit pas ta lame cruelle venir vers lui et le transpercer de part en part. Il meurt dans un petit cri d'agonie que tu ne peux entendre. Il est littéralement embroché sur ton épée, et tu n'as aucun mal à le sortir de la fissure. Autours de son coup, comme tu t'y attendais certainement, c'est une clé en fer tout aussi rouillé que le cadenas qui est pendu par une petite ficelle...Tu as tué ce lézard pour pouvoir ouvrir la malle inconnue...

Sortant ma lame de la fissure, je remarque avec satisfaction le lézard embroché dans une expression douloureuse. Je lève l’épée au dessus de ma tête en signe de victoire mais me rendant bien vite compte de l’image pitoyable que je dois offrir je rabaisse immédiatement mon bras.

Je prends avec délicatesse le cadavre du reptile entre deux doigts et prend bien soin de récupérer l’objet avant toute chose. C’est une clé. Sûrement celle qui me manquait pour découvrir le contenu de la malle. Me préoccupant plus du lézard, je le jette par dessus mon épaule laissant son corps tombé sans aucun bruit sur le sol poussiéreux.

Ceci fait, je me rapproche de la malle et insère la clé dans le verrou du cadenas en espérant que ce soit la bonne.

La clé rentre avec un peu de difficulté dans la serrure, à cause de la rouille, mais c'est bien la bonne. Hélas, quand tu commences à tourner, ne prenant pas plus de précautions que ça, elle cède et tu te retrouve avec la moitié de la clé en main, l'autre moitié restant complètement bloquée dans le cadenas... Manque de chance...Et en plus de ça maintenant, tu as les doigts pleins de rouille...

Pendant ce temps, tu entends un petit "pouf" derrière toi. Quand tu te retournes, tu peux voir le lézard à nouveau vivant te regarder d'un air de défi. Mais dès que tu bougeras, il s'enfuira à nouveau dans sa crevasse, sans la clé cette fois...

Avec hâte j’insère la clé dans la serrure. C’est la bonne, elle rentre sans difficulté ce qui à le don de me faire sourire si près du but. Je prends une grande inspiration savourant ma victoire sur ce coffre pas très bien protégé avant de tourner la clé sèchement.

La, c’est le drame. La clé cède sous mes doigts rendant maintenant l’ouverture du coffre impossible. Enervé par mon manque de délicatesse je frappe de mes poings plein de rouilles la malle en maudissant ma bêtise.

« Quel idiot ! Quel idiot ! J’aurais du faire plus attention. »

Un bruit retentit derrière moi me faisant sursauter. Je me retourne et ouvre la bouche,effaré par le spectacle devant moi. Le lézard est encore vivant ou plutôt est revenu par un moyen qui me dépasse encore à la vie. Nous nous fixons quelques instants, puis quand j’entame un mouvement de rapprochement, il retourne se terrer tel un lâche dans sa crevasse. Décidant de rejeter la faute sur le reptile je sors à nouveau mon épée furieux.

« Un lézard invincible hein ? Je me demande combien je pourrais tiré de toi sur le marché. »

Je me rapproche tel un prédateur puis insère ma lame dans le but de le faire sortir, un sourire sadique sur le visage.

Quand tu engouffres ton épée dans la fissure, le lézard en profite, tirant leçon de son expérience mortelle passée, pour grimper le long de ta lame, courant vers ta main, dans laquelle il plante ses griffes, en sifflant dans ta direction. Ca te fait mal, mais ne te blesse pas sérieusement (-0pdv). Le lézard semble cependant ne pas vouloir lâcher prise et s'accroche fermement à ta main, la tete tournée vers toi dans un sifflement aigu...

Alors que ma lame s’enfonce dans la crevasse le lézard semble vouloir joué au plus malin et file sur l’acier de ma lame en direction de ma main. Surpris par son changement soudain de réaction je n’ai pas le temps de réagir et le lézard vient planter ses griffes dans ma main. Une douleur vive naît à l’endroit ou le reptile ma attaqué.

Je serre les dents mais garde tant bien que ma mon calme alors que mon regard haineux se baisse sur le lézard.

(Toi t’es mort ! Je vais te faire passer l’envie de m’attaquer. )

Ma main se dirige rapidement vers le reptile essayant de l’attraper.

« Tu vas me lâcher oui ? »

Tu arrives à l'attrapper, il ne fait même pas attention à ton autre main. Tu parviens à t'en saisir sans problème, mais il s'agite alors tellement dans ta main que tu ne parviens pas à le garder longtemps entre tes doigts. En retombant sur le sol assez violemment, il semble se casser une patte, mais te rearde toujours en sifflant toujours aussi agressivement. On dirait bien qu'il t'en veut...