J'ai du mal à courir... J'ai du mal à courir... J'ai du mal à courir bon sang ! Alors que la grenouille géante elle, me rejoint en deux pas pour se jeter sur moi, les deux pattes en avant. Je vois tout : ses grosses pattes, ses griffes immenses et sales; ma chaire, si tendre et si ferme se faire déchiqueter par la bête; le sang, qui coule à flot... C'est horrible...

Je ne peux que m'écraser sur le sol, les entrailles à l'air, comme un poisson que l'on vide de ses tripes. J'ai mal, terriblement mal... Je n'ai même pas la force de bouger, ni de parler. Au fond de ma bouche il y a le goût du sang, je vais mourir d'un moment à l'autre. Je regarde mon bourreau, il semble fier, je l'imagine hilare, se moquant de ma carcasse.

(C'est trop bête... mourir comme ça... tué par une bestiole sortie de nulle part...)

Je suis pris d'un fou rire qui accentue ma douleur vu l'état des mes abdominaux. Je n'ose pas imaginer mes boyaux. Sidereus est toujours dans mon dos, intacte, comme d'habitude. Elle me fait mal, me compresse et m'entaille le bas du dos. Je puise dans mes dernières forces pour la prendre sur mon ventre et pincer ses cordes, une dernière fois.

Ma tête tourne, ma vision se trouble et mes oreilles sifflent et pourtant, la douleur m'indique que je suis toujours bien vivant.

La bête n'attend pas longtemps avant de riposter à nouveau. Elle mord violemment la gorge de Sandro tout en tenant un de ses bras avec ses pattes griffues. Le lézard se retire aussitôt, sans te craquer le cou, mais la mort approche, ta blessure est profonde, le sang afflue de toute part. Tu meurs, terrassé par l'immonde créature qui se présente à toi. Une fois qu'elle a mordu l'humain, celle-ci se retourne vers Tathar et Amaltia.

L'elfe à la peau blanche et aux yeux de feu regarde le druide avec une haine non dissimulée, mais qui se change vite en une colère froide. Les lèvres pincées, elle ne dit rien, mais son regard mépisant en dit long. Si elle en a l'ccasion, elle n'hésiterait pas à tuer le druide au premier pas de travers. Alors qu'elle toise toujours Tathar, un POUF bruyant retentit juste à côté de vous. Une nuage de fumée blanche se dissipe quand vous portez le regard sur ce qui fut le cadavre de Raesha. Celle-ci remue désormais, sans aucune blessure apparente. Elle se relève aussitôt, et après un regard pour tathar, toujours salement blessé, elle ramasse ses dagues et regarde le lézard. Elle range une de ses armes et enduit l'autre du contenu d'une petite fiole contenant un liquide rouge. Ses muscles félins se bandent. Elle va attaquer encore une fois le monstre qui vient de tuer Sandro.

Quel horrible spectacle, vraiment… devant nos yeux se déroule un carnage inimaginable. Le pauvre, pauvre Sandro se fait littéralement déchiqueter par le monstre écailleux, ses larges plaies coulant comme des fontaines. Malheureusement, d’après la révélation d’Amaltia, ce tant aimé musicien va ressusciter… Une révélation me vient alors à l’esprit ! Raesha aussi va renaître, et cette pensée me fait chaud au cœur, me faisant presque oublier le fait que je sois le seul à pouvoir trépasser ici (presque car on ne peut pas vraiment oublier ce genre de chose).

Une sorte de tension extrêmement froide me ramène sur terre, et un petit regard à l’elfe aux yeux de feu me fait vite comprendre qu’elle ne va pas faire dans la dentelle en ce qui concerne mon cas… Espérons que ce ne soit pas pour maintenant… Un POUF retentissant, accompagné d’un petit nuage de fumée blanche, non loin de mes pieds attire alors mon attention et c’est une Raesha en pleine santé qui se relève et se prépare à retourner à l’assaut de la bête, rangeant l’une de ses dagues et enduisant l’autre du contenu d’une petite fiole de liquide rouge. Ce doit sûrement être une sorte de poison et pour qu’il fasse effet, il faut que ce dernier pénètre dans le sang de la cible, ce qui risque difficile si l’animal ne cesse de bouger…

« Pardonnez moi, ma chère Amaltia, nous continuerons cette discussion fort intéressante un peu plus tard. Raesha ? Besoin d’un petit coup de main, je suppose. »

Bandant ma volonté, je puise une fois encore dans mes réserves de magie pour lancer deux sorts de colère verte consécutifs pour être sur que les lianes ne cèdent pas trop vite sous la force brute du monstre.

Etant dans un état semi-comateux, je ne m'en rends pas vraiment compte, mais l'animal vient me mordre le cou, n'ajoutant qu'une nouvelle douleur à celle des mon abdomen. Je sens le sang affluer hors de mon corps de toutes parts. j'ai l'impression d'être une vraie passoire... Ma tête tourne de plus en plus et bientôt, il n'y a plus que le néant, plus rien du tout...

(Il fait déjà nuit...)

Autour de moi, plus aucun son, plus aucune odeur, plus aucune douleur... Je m'en rends compte un instant...

Après ? Je ne sais pas.

Ramos: Le noir, le silence. Une explosion, la lumière. Tu ouvres les yeux alors qu'une légère brume se dissout autour de toi. Tu es denouveau vivant, et si tu baigne dans ton sang, tu n'a plus aucune blessure apparente par lequel il aurait pu s'écouler. Tu te souviens de tout. Devant toi, le lézard avance à pas lourd vers Tathar, Amaltia et Raesha.

Le premier sort de Tathar échoue, et malgré les légères plantes qui jaillissent du sol, les liens verts ne s'mparent pas du reptile géant, qui s'approche désormais de vous. Par contre le deuxième est une réussite. Des lianes s'enroulent autours de ses jambes et de ses pattes avant, l'immobilisant. Il lève la tête et rugit férocement. C'est à cet instant que Raesha choisit de bondir sur la bête, son arme à la main. Elle s'élance et saute jusqu'à la bouche de l'animal, plantant cruellement sa dague dans le palais du saurien. Elle l'ôte presque aussitôt, en retombant prestement sur le sol, se réceptionant par un cumulet qui l'éloigne du monstre. Celui-ci paraît furieux. Du sang gicle de sa bouche, et il se retourne vers l'elfe grise, toujours prisonnier de ses liens, dont il parvient à se défaire dans un ultime effort. Ultime, car se tournant vers Raesha, il semble tanguer, et finit par s'effondrer lourdement sur le sol.

Raesha, à croupie, relève la tête vers vous.

"Somnifère...Rien de plus efficace..."

Le lézard est donc KO pour un instant, mais il va ne pas falloir traîner trop longtemps dans le coin... Amaltia regarde Tathar toujours aussi méchamment, mais lui demande d'une voix glaciale...

"Vous avez découvert quelque chose dans la salle Est?"

Les lianes se forment aux pieds du lézard géant, mais elles ne parviennent pas à se saisir de la bête, du moins au début, car lorsque le second sort fait effet, les plantes gagnent en vigueur et s’enlacent autour de ses mollets et de ses bras, lui bloquant toute avancée.
Plutôt énervé, en tout cas si j’étais à sa place, ce serait le cas, le dinosaure rugit un bon coup, ouvrant grand les mâchoires pour nous faire savoir son mécontentement et c’est à ce moment précis que Raesha se jette à l’assaut du monstre.

D’un simple saut, elle atteint l’énorme gueule du reptile et lui enfonce sa lame dans le palais, avant de se laisser tomber, retirant sa dague par la même occasion, et de se rattraper d’une magnifique roulade, s’éloignant ainsi de l’animal furieux.
Ce dernier, la bouche dégoulinante de sang, tente au prix de gros efforts de se libérer pour aller dévorer son assaillante, seulement, lorsqu’il y parvient enfin c’est pour s’affaler lamentablement sur le sol, le faisant trembler légèrement sous sa masse imposante. L’elfe grise nous donne alors le nom du liquide de sa fiole rouge : du somnifère. En tout cas, celui-ci doit être très puissant pour assommer la bestiole en quelques secondes.

Fixant les autre d ‘un regard plein de fierté et un peu hautain, je leur dis :

« C’est ma femme, héhé ! »

Amaltia, qui me regarde toujours aussi méchamment, me demande alors d’une voix glaciale, ce que j’ai découvert dans la salle Est du temple.

« Il n’y a absolument rien hormis un coffre renforcé de fer que je ne peux pas ouvrir… Et il va falloir que l’on ait une bonne discussion tous les deux, seul à seul bien entendu. Mais pour le moment, allons voir Ezak, puisqu'il doit toujours être en vie, à moins que vous ne sachiez comment ouvrir le coffre. »

Amaltia regarde l'elfe gris toujours aussi froidement, alors que Raesha semble surprise et quelque peu jalouse des paroles de Tathar sur la conversation privée qu'il est sensé avoir avec la langoureuse elfe aux yeux de feu. Mais elle ne dit mot, et laisse Amaltia répondre...

"Je ne vois pas de quoi nous pourrions parler à l'écart, druide. Allons voir ce coffre plutôt...Je ne saurais vous dire si je sais l'ouvrir si je ne l'ai jamais vu! Réfléchissez parfois à vos paroles..."

Et elle s'engouffre dans la pièce Est...

(je vais m’la faire, je vais m’la faire, je vais m’la faire... mais quelle… !! Grmbl, bon gardons notre calme. Souffle, voila, souffle… aaaah ça va mieux…)

Décidément cette elfe est vraiment on ne peut plus exaspérante. Pourquoi est-ce qu’elle me hait ? Je ne lui ai rien fait de mal pourtant… bon, hormis la fiole qui a malencontreusement raté sa cible…
Et qu’elle réfléchisse un peu aux siennes aussi de paroles… bon, direction la salle Est, histoire de voire si son air hautain viendra à bout du coffre… Surtout n'oublions pas de reprendre notre equipement, qui sait...il pourrait toujours servir...

Je prends une grande bouffée d'air, comme si je venais de passer à côté de la noyade. Mes yeux sont grands ouverts.

"HHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAA ! Quel horrible cauchemar !"

Je me tâte, pour voir si je suis bien vivant... A priori oui. Par contre, je n'ai pas rêvé... La seule présence de Tathar Linwelim me le prouve. D'ailleurs, il s'agite le bougre, il lance des sorts. Un bruit rauque retentit derrière moi, je me retourne pour voir se cher reptile, entravé par des lianes, hurlant de rage. Je déglutis en regardant Raesha bondir pour assener un coup de dague dans la gueule de la bête. Quelques secondes plus tard, l'animal dort à poing fermé. L'elfe grise nous expose fièrement son astuce : du somnifère.

Je me redresse sans peine. Je me sens parfaitement bien, en pleine santé !

"C'est bon de renaître !"

Personne ne m'écoute... Ils sont trop occupés à discuter de la façon de continuer cette épopée. Je soupire... Quel bande d'ingrats ! Je m'approche du lézard et lui donne un coup de pied dans la mâchoire. En fait c'est une mauvaise idée puisque c'est moi qui souffre le plus.

Je prends alors mon katar et glisse la lame entre les paupières du saurien. Je le fais pour les deux yeux. Si on ne peut le tuer, autant l'handicaper ! Il fera moins le malin avec les yeux crevés !

Fier de moi je monte sur la tête de l'animal et lève le poing, héroïquement, mais tout le monde est déjà parti... je descend donc de mon trophée pour les rejoindre dans la pièce de l'Est... J'ai entendu parler d'un coffre !

Tathar:

Quand elle te voit boire à ta gourde, Raesha fronce un peu plus les sourcils, mais finit par hausser les épaules en signe de dénégation.
L'alcool que tu ingère se fait sentir assez rapidement. Il est fort, très fort. Aussitôt ta gourde rangée, ta tête se met à tourner légèrement et ta vision se trouble un petit peu... Premiers effets de l'alcool sur ton organisme...
Quand tu parviens auprès d'elle, l'elfe grise te prend par la main et te tire dans la pièce où dort toujours le saurien aveugle. Elle se poste devant toi, les mains sur les hanches, et un peu de tristesse dans les yeux... Elle te parle avec un air un peu désolé...

« Tathar... Je te trouve changé depuis que tu as fait cette longue escapade dans la forêt... Dis-moi ce qu'il s'y est passé, je t'en conjure... Je ne te reconnais plus, toi qui étais si avenant et amoureux, si fougueux... Tu passes plus de temps à reluquer cette Amaltia de malheur que moi... Tu ne me dis plus les choses qui me faisaient rire, sourire... Et ça me manque... »

Puis elle prend un air plus sévère, moins mélancolique...

« Parlons en d'ailleurs de cette Amaltia! Je n'ai pas du tout confiance en elle! Et ça ne m'étonne pas qu'elle s'acoquine avec Sandro.. Tu sais, il a été très gentil avec moi durant ton absence...Trop peut-être pour être réellement sincère. Il a l'âme d'un traître, on le sent, et seul son intérêt personnel compte pour lui... Il faut se méfier de ce couple maudit comme de la peste! Reste avec moi, plus avec eux, et partons rejoindre Ezak, continuons sans eux... »

Elle reste devant toi, attendant ta réponse...

Dans un coin de la pièce, Kafziel regarde toujours avec étonnement la carcasse endormie du gros lézard, immobile depuis un temps certain... Il n'écoute même pas votre conversation...

Je n’aurais jamais pensé que l’alcool contenu dans la gourde était aussi fort et c’est maintenant facile de comprendre pourquoi Amaltia est dans cet état. La tête me tourne un peu plus qu’avant et ma vue se trouble un peu.
Alors que je rejoins Raesha, je titube, sans doute plus à cause des blessures que de la boisson, bien que ce ne soit pas certain, et fini par arriver juste à côté d’elle. Elle me prends alors la main puis me traîne, c’est exactement le mot, dans la pièce où, sous les yeux ébahi de Kafziel, le gros lézard est encore endormi.

L’elfe grise prend alors la parole, sa voix et ses yeux ne cachant aucunement la tristesse qui semble la prendre. Elle me reproche de ne plus être aussi avenant et fougueux, et ce depuis mon escapade dans la forêt, ce qui en soit est parfaitement vrai. Elle me reproche également de reluquer sans cesse l’autre femme du groupe, seulement, c’est vraiment dur de ne la regarder que dans les yeux et c’est plus fort que moi.
En tout cas, ce n’est pas l’explication à lui donner sinon je risque de me retrouver avec une dose de somnifère dans le sang sous peu. Heureusement pour moi, je n’ai pas à répondre tout de suite puisqu’elle enchaîne sur autre chose, concernant toujours Amaltia mais également Sandro et je suis totalement d’accord avec ce qu’elle dit, a ceci près que Raesha n’a pas rencontré Mongoor, elle ne peut donc savoir la puissance dont il dispose…

« Ecoute, ma Raesha, rien ne me ferai plus plaisir que de quitter les deux autres bestiaux, seulement, je ne suis pas sûr que nous viendront à bout de notre ennemi sans eux. On ne peut pas dire que ce sont des boulets, enfin… presque mais ils sont plutôt puissant et ce n’est pas négligeable, surtout quand on sait ce qui nous attend… Ecoute, je te laisse choisir. A toi de décider de ce que nous faisons. »

M’approchant d’elle, je l’attrape par la taille et la serre dans mes bras tout en l’embrassant d’abord pudiquement puis fougueusement.

Au début, elle ne résiste pas à ton baiser et laisse tes lèvres effleurer les siennes. Mais lorsque celui-ci devient insistant, elle te repousse doucement du plat de la main, arborant un air grave...

"Je ne devrais pas à avoir à te le demander, tu joues un jeu dangereux, Tathar... Et on ne joue pas avec moi, tu peux en être certain! Tu parles de nos ennemis comme si tu les connaissais! Tu me caches quelque chose, je le sens... Alors dis-moi tout, dis moi ce que tu faisais en forêt, et ce que cet anneau mauve fait autour de ton doigt!"

Ca aurait pu être simple, elle aurait pu oublier sa question, mais apparemment, elle est têtue comme une mule et je me retrouve dans une sale situation… Raesha, bien que ce ne soit pas difficile, se doute de quelque chose… Autant lui dire la vérité sinon ça risque de barder pour moi. Je jette donc un coup d’œil à Kafziel et vers les autres portes pour voir si personne n’arrive puis me lance :

« Je connais nos ennemi, du moins, je sais qu’ils sont très puissants. Lorsque je suis parti en forêt, je me suis retrouvé face à une magnifique fleur mauve mais malheureusement, c’était un piège et je me suis vite retrouvé coincé. Un elfe aux cheveux et aux yeux mauve est alors apparu, me posant plein de questions. J’ai dû alors accepter de le suivre, sinon il me tuait et je me suis retrouvé dans un tunnel. Suivant ce dit tunnel, il m’a fallu monter dans un chariot tiré par un zombie et me prendre un mur pour me réveiller dans une salle totalement vide et noire. C’est alors qu’il est apparu, Mongoor Vlash, le chef des disciples du Dragon Mauve et là encore je n’ai eu d’autre choix que de devenir un disciple moi-même… Il veut que j’amène Naral à lui, et c’est bien parti puisque l’autre ahuri est passé ici avant nous. Pour la bague, c’est le signe de mon appartenance à leur ordre, et ça ne me fait pas si plaisir que ça de la porter… »

Comment va-t-elle réagir… Je me prépare à recevoir une bonne claque voir même pire et bien que j'ai envie d'petre franc, je ne peux lui raconter exactement la conversation que j'ai eu avec Mongoor...

« En tout cas, ne révèle rien aux autres, surtout Sandro et Amaltia, et fait comme si tu ne savais rien sinon nos vie seraient encore plus en danger qu’elle ne le sont en ce moment… »

Elle te regarde d'un air perplexe...

"Cet alcool semble bien plus fort qu'il n'y paraît... Où l'as-tu trouvé? Ce que tu me dis est abracadabrant, mais je veux bien te laisser le bénéfice du doute, soit, tu as peut-être raison, nous ferions mieux de les attendre et de les faire passer devant comme boucliers... Ne t'avise cependant pas à me mentir! Il est temps de te repentir si tel a été le cas... On les attend... On rejoint Ezak ou tu as autre chose à me dire?"

elle te regarde sans bouger, une lueur brillante dans l'oeil...

C'est bizarre mais je m'en doutais. Comment voulez-vous qu'elle croit à une histoire pareille, enfin, il vaut mieux ça, au moins elle ne risque pas de le crier sur tout les toits, surtout lorsque nous seront de nouveau dans le rayon d'action des espion de Mongoor. Elle décide alors d'attendre les autres plutôt que de partir sans eux, afin qu'ils servent de bouclier, idée qui n'est pas pour me déplaire, et enfin, elle me demande si j'ai autre chose a dire, auquel cas nous rejoingons Ezak.

"Non, je n'ai rien à ajouter hormis ça. Je t'aime..."