le prêtre ne s'arrêta pas, il les entraîna dans les ruelles étroites, un peu comme celles de Tulorim que Trà avait quitté quelques jours plutôt, cité où il se sentait chez. Un pointe de nostalgie apparu, qu'il réprima avant de se retrouver à incapable d'en finir avec cette affaire. Il se concentra sur les maisons faites d'une superposition de roc et de racine, construction plus archaïque, mais l'important était que cela tienne. De plus grâce aux plantes, toutes étaient illuminées, chose horrible, rendant les cambriolages bien plus risqués. Toutefois vu la construction des bâtisses et l'aspect des citoyens de la ville, il y avait sûrement rien de valeur. Citoyens, qui sortait en nombre pour offrir des cadeaux. Étant tous des alliés potentiels, il essaya d'être le plus courtois possible, acceptant aimablement un peu d'eau et un petit pain, qui n'avait pas très belle allure, ni même bonne odeur. Les autres membre en acceptèrent pour la plupart et le rangèrent dans leur sac, tandis que le demi-elfe, toujours dans l'optique de plaire à ce peuple, se prépara à faire semblant de trouver cela délicieux tout en mordant dedans. Le goût n'était pas exceptionnel, mais pas horrible pour autant, c'était juste un peu pâteux. Il ne demanda toutefois pas d'eau, ne voulant pas se montrer critique. Leur guide répondit aux questions posées. Il expliqua que ceux en danger n'était pas son peuple, mais le groupe d'aventurier, qui se trouvait en territoire totalement inconnu et que l'épreuve de Selen était nécessaire pour les juger. Il continua sur le fait que les insectes étaient là depuis bien longtemps et étaient leur ennemis, mais qu'ils ne s'approchaient pas de la ville. Les seules contact ayant lieu lorsque les citoyens essayaient de ramener de l'eau, ressource qui leur manquait. Le bâtard comprit qu'il avait bien fait de ne pas redemander de l'eau, s'ils en avaient si besoin que cela, ça n'aurait pas était très correct. Le religieux éclata de rire et s'approcha du voleur la main sur la poitrine en signe de respect. Il annonça admirer son courage, mais qu'il était bien naïf car les aider revenait à vaincre la génitrice de ces monstruosités. Il enchaîna sur le fait qu'un des oracles l'aurait vu en songe et qu'il lui laissait le soin de nous le raconter. Serpent demanda tout d'abord s'il n'y avait pas présence d'échoppes pour se préparer à un futur combat, puis il proposa la combinaison de son équipement et du savoir de cette ville pour venir à bout des scolopendres. Il sortit une fiole enroulé dans un chiffon et expliqua qu'il s'agissait d'explosif. Aztai surenchérit voulant foncé directement aller explosé l'ennemi, souhaitant juste la bénédiction de leur maître. Et pour finir Delphine enchaîna, cherchant à en savoir le plus, chose que le demi-elfe pensait être la meilleur chose à faire.
« Je suis d'accord avec toi, il faut mieux attendre d'en savoir plus. Chez les insectes, il existe souvent, selon sa fonction, un type de spécimens spécifiques. Si dans notre cas, il en va de même, il nous faut en savoir le plus sur leur reine ! Il serait dommage d'utiliser notre atout contre un simple mille-pattes adultes ou servant de soldats, juste parce qu'il est plus gros que ceux que nous avons vu. On peut aussi se servir de ce bijou, dès maintenant pour qu'ils aient une source d'eau et aller tuer cette créature par nos propres moyens. Après tout ce qui vit, peut être tué, il suffit juste de ne pas s'y prendre n'importe comment. » Il réfléchit quelques secondes avant de reprendre. « Vous avez dit qu'ils ne s'attaquaient pas à votre cité, il se pourrait que votre maître vous aies offert de quoi les repousser quelque chose qui pourrait nous permettre d'avoir encore un plus grand avantage avant d'aller leur déclarer la guerre et les exterminés. Quand à vous, sachez que l'on peut se débrouiller mieux que vous le pensez, même s'ils ont été capable de foutre le feu à un bateau, je suis sûr qu'il avait une bonne raison. Ayez confiance en nous, votre maître nous a choisi, nous ne sommes donc pas des péquenauds venus en balade sous terre. Mais bon je suppose qu'avant de vous en apportez la preuve il va falloir entrer dans cette tour ! »
Il posa son regard vers l'endroit où se tenait le triste monument, brisés. À son pied, personne ne vint les acclamer comme tout le long du trajet, une atmosphère de peine et de douleur pesait. Ils avaient tous le même airs absents, regardant quelques fois le plafond. Ils semblaient être touché par une maladie de la peau, qui usée, formait d'étrange ride au niveau de leur cou. Leur vieilles mains, d'un blanc étrange, s'agrippaient à des bâtons où étaient suspendus des sculpture. La tour était semblable. Aucune des plantes phosphorescentes ne l'entourait, seule la poussière se tenait prêt de cette étroite infrastructure, montant à une hauteur inimaginable. Elle semblait créer la mort et la tristesse autour d'elle.
« Normal que tout ce qui est prêt de votre construction, semble en train de perdre la vie ? »
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(de Miha)
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