Taverne de l'Enclume Étincelante

Salle commune de la Taverne

La taverne est une grande halle toute en longueur avec deux longues tables de chaque côté d'une travée centrale. D'un côté se trouve le comptoir servant tous les breuvages et mets pouvant être imaginés dans une cité naine. Le centre est une grande fosse à feu sur laquelle suspendent de longues broches grésillantes et des chaudrons. Le vis-à-vis du comptoir est une scène taillée dans la pierre sur laquelle se trouvent de temps à autre trois nains: l'un tient une imposante trompe en bronze, l'autre un tambour et le troisième raconte une épopée qui semble passionner la foule qui boit en l'écoutant et entonne les chansons avec lui. Les greniers ont été réaménagés en chambres chaudes et confortables, on y accède par un petit escalier branlant situé derrière le comptoir.

Cette taverne témoigne de l'hospitalité et du sens de la fête des nains. Ici vous pourrez dormir, manger pour trois fois rien et passer un bonne soirée avec les clients toujours de bonne humeur ainsi qu'avec la serveuse Karmina, toujours prête à vous servir les meilleures des bières naines.

Les yus déboursés ici ne seront pas enlevés de votre bourse

Voyager, découvrir le monde, j'ai toujours rêvé de quitter les galeries sombres de Mertar pour les forêts verdoyantes et les plages ensoleillées du continent. Le soleil... qu'est ce que j'y connais...? Si l'on fait abstraction des récits mystérieux des aventuriers qui s'égarent jusque sous la montagne, je n'ai aucune idée de ce que c'est que de vivre au grand air.

Accoudé à ma table habituelle dans un des recoins sombres de l'auberge, je scrute la lourde porte en chêne, priant le grand Karak pour qu'un de ces rôdeurs de l'ouest foule le seuil avec le pas caractéristique des grands hommes. Ils ne sont pas nombreux à s'aventurer dans la citée Naine, mais on les reconnaît facilement de par leur peau brune, leur pilosité risible et leur taille gigantesque. Une fois sur deux, leur entrée s'accompagne d'un BOOOOONG sonore avertissant que l'individu a oublié de se baisser. Puis ils balayent la salle de leur regard peu habitué à l'obscurité avant de noyer leur fatigue dans la bière locale.

Qu'est c’qui boit le Krooooooom? beugle Karmina,la serveuse, me sortant de ma torpeur.

Je souris du mieux que je peux à la belle naine qui fait tourner les têtes de tous les guerriers du quartier. Je donnerai tout pour plonger mes doigts dans sa barbe blonde qui descend en cascade sur sa plantureuse poitrine.

"Une pinte, ma belle "

(Par le Marteau de Fahìn, quelle beauté!)

Encore en train d'rêver à tes voyages chez les Imberbes et les z'Oreilles Pointues? ajoute-t-elle en apportant ma commande.

Je me jette comme un assoiffé sur ma pinte sans prêter attention à la remarque pleine de dédain de Karmina. Je n'ai jamais apprécié la fermeture d'esprit caractéristique de ma race... Suis-je donc le seul Nain tenté par les richesses et les merveilles de Nirtim? La réponse m'est donnée par un rot bruyant à l'autre bout de l'auberge. C'est Korum, le forgeron, qui est monté sur sa table et qui commence à haranguer les clients.

Moi j’ai jamais quitté les grottes (hic !), et je m’en porte pas plus mal.

Après un ultime relent, le maître de la Guilde des Forgerons bascule en arrière et s’effondre sur le sol poussiéreux de la taverne dans un éclat de rire général. Ils rient, et pourtant ils partagent la pensée du vieux maître. A l’écart des hommes et des elfes, les nains ont préférés creuser la montagne plutôt que de faire face aux autres races qui peuplent Nirtim.
S’en est trop pour moi, je termine mon verre d’un trait et le repose bruyamment sur la table. Je ramasse mon marteau en étain, jette mon sac de cuir sur mon épaule et me lève en lançant un regard de défi à travers la salle.
D’un coup de pied, j’ouvre la porte en chêne qui se plie en deux sous le choc.

J’espère que tu comptes la réparer ! lance le barman dans mon dos.

Je jette un dernier coup d’œil derrière moi, puis franchit le seuil. A moi l’aventure

<Les rues de Mertar>

La taverne, mon endroit préféré, parfait pour réfléchir à ce que je vais faire. Voilà une table vide, je ne serai pas dérangé par tout le monde.

(Comment ces orques ont-ils pu s'en prendre à ma famille...je les déteste, ce ne sont que des animaux bâtards et stupides!)

Le monde passe leur temps à me fixer depuis tantôt. J'imagine que la nouvelle s’est déjà rependue comme la peste. Je n'ai pas le choix, je me dois de sortir de Mertar pour trouver ces assassins. Ils ont osé me prendre ce que j'avais de plus précieux dans ce monde, alors à leur tour, j'irais leur prendre la seule chose précieuse dont ils disposent, leur vie!

(Tien, quelqu'un approche, c’est la serveuse)
''Bonsoir mon lapin, que puis-je te servir?''
(Cette naine fait trois fois, voir quatre fois son poids)

''Rien du tout j'ai besoin de toute ma tête ce soir''

''D'accore, si tu as besoin de moi je suis au comptoir ''
(Dommage j'aurai du prendre une grosse chopine)

Bon…alors je vais aller donner tout mon argent à ma vieille mère et garder cinquante Yus pour moi-même. Avec toutes les économies que j'ai faites en travaillant à la mine, elle devrait bien vivre. Cela fait bientôt cinquante ans que je ne me bats plus, j'espère n'avoir rien perdu de mes talents de combattant. Cette ville va me manquer, le porc salé, l'hydromel, la chaleur et noirceur des mines, tout cela va horriblement me manquer. Il y a belle lurette que je ne suis pas sorti de mes mines, je risque fort probable de tombé sur ces mangeurs de plante verte à oreille pointue, je ne comprendrai jamais les elfes.

Bien, il est temps d'aller donner mes économies à ma mère. En me dirigeant vers la porte de sortie, je remarque quelque chose

(Pourquoi ce vétéran de guerre qui a longtemps côtoyer mon père me regarde t'il ainsi)?

Il se lève et pose sa main sur mon épaule

''Je te souhaite bonne chance dans ta quête mon ami. Que ton vieux père veille sur toi de là-haut ''

(Suis-je si prévisible?)

''Je te remercie, j'apprécie tes encouragements ''

Je regarde une dernière fois cette si belle taverne et sort.

<Les rues de Mertar>

< Les rues de Mertar >

La taverne est bondée, comme pour un soir de semaine classique. Forgerons, mineurs, sages et guerriers trinquent en cœur. La bière et l’hydromel coulent à flot. Assis dans un coin de la pièce, le chef de la garnison est en grande discussion avec la serveuse qui vient de lui amener sa énième pinte de la soirée.

Je m’approche, suivi de Kalar, jusqu’à sa table, non sans difficultés. Les chants des mineurs retentissent à l’autre bout de la taverne, tandis que le tenancier annonce à grand cri une tournée générale payée par un quelconque notable de la cité.

« Un petit rafraîchissement avant de passer aux choses sérieuses ? » dis-je d’un air distrait à Kalar.

Celui-ci me regarde avec des yeux noirs. « Tu l’as dit toi-même, cette affaire est importante, essayons de rester lucides. »

A contrecoeur, je me ravise et arrive devant Gorin. Je pose le parchemin sur la table. Le chef de la garnison me regarde d’un air mauvais… Je n’aurais pas interrompre sa conversation avec la serveuse.

« Qu’est-z-voulez ? » vocifère-t-il en se levant.

Je sens son haleine de bière et de porc salé. Sa barbe noire ruisselle de microgouttes de boisson. Ses yeux, petits et porcins, louchent grossièrement.

« Nous étions dans la montagne, moi et mon camarade Kalar » A l’annonce de son nom, Kalar fait un petit signe de la main. « Nous avons croisé une troupe d’humains en provenance de Kendra Kâr, semble-t-il. La troupe a été attaquée par des gobelins. Malgré notre intervention héroïque, nous n’avons pas pu empêcher le massacre de ces hommes. Néanmoins, nous avons récupéré le message qui était l’objet de leur mission. »
Le chef de la garnison me regarde d’un air abruti. Il m’empoigne par le col de la tunique et me plaque contre une des poutres en bois qui soutient la charpente. Quelle poigne ! Je ne peux plus bouger.

« Qui es tu pour t’interposer entre moi et cette beauté » hurle-t-il en désignant Kalar. Kalar me jette un regard étonné et hausse les épaules. « Pas toi ! » beugle Gorin « Ludmilla la serveuse ! »

Je balbutie avec peine de vagues excuses puis reexplique le pourquoi de ma venue.

Dans un excès de rage, Gorin a sorti sa grande hache et l’approche de ma gorge. Je ne peux toujours pas me défaire de son étreinte. Kalar intervient pour calmer le guerrier. Il pose sa main sur son épaule et argumente lentement l’urgence de notre affaire.

Gorin finit par abbaisser sa hache et me relâche. Je tombe sur le sol gras et collant de la taverne comme une feuille morte. Le temps de me relever, Kalar et Gorin se sont rassis à la table et mon compagnon a sorti le parchemin.

Encore assommé par l’alcool, le chef de la garnison regarde le manuscrit avec un air énervé, puis le repousse. « Je ne puis déchiffrer un tel écrit » grogne-t-il. « Traduit moi ça, toi le binoclard ! » lance-t-il à Kalar.

« Hélas, Monseigneur, j’en suis bien incapable. » S’excuse platement Kalar.

Gorin s’agace, grogne et vocifère quelques insultes dans sa barbe. « L’autre vieux fou de magicien pourra traduire ce torchon. Allez le voir. » dit-il.

Kalar me fait signe de reculer et j’obtempère. Gorin a lancé le parchemin par terre et s’est effondré sur la table. Je ramasse le parchemin, qui par chance n’est pas tombé dans une des flaques de vomi qui peuple le sol.

« Un vieux fou de magicien ? Quel vieux fou de magicien ? » Demandais-je à mon compagnon.

« Je n’en ai aucune idée » répond-t-il « mais si tu veux mon avis, nous ferions mieux de retourner voir mon oncle au Bazar Magique. »

N’ayant aucune autre idée pour poursuivre notre quête, je décide d’accepter. Je suis Kalar qui se fraye un chemin à travers la foule pour sortir de la taverne.

< Les rues de Mertar >

J'entre dans la taverne de l'Enclume Étincelante après une journée assez tranquille. Il est vrai que j'aspire parfois à prendre un peu de repos à une table vide afin de savourer quelque boisson et penser à ma situation actuelle. Je trouve donc une place dans un coin de la salle près d'un feu de cheminée assez réconfortant.

(Il fait bien bon ici, bon bon bon... Quand viendront-ils me servir à boire, ces choses sur pattes ?)

Les secondes passent et la serveuse de l'établissement m'aperçoit et se rend compte que je n'ai pas encore été servi. Elle s'approche d'un air naïvement benêt et il me semble même qu'elle avait faillit rire en me regardant.

"Monsieur désire-t-il quelque chose ?"
(Si je suis ici c'est bien parce que je veux quelque chose... Ces automates de comptoir deviennent de plus en plus méprisables. Quel ennui.)
"Hum, et bien oui je désirerais une petite chope de bière naine si possible."
"Tout de suite monsieur !"

Bien, ma commande était passée. Ce soir je n'avais pas spécialement envie de boire mais bon, c'est une histoire d'habitude si je puis dire. La serveuse revint quelques minutes plus tard et me servit. Je la paye. Enfin la paix.
Je sors donc de ma poche ma dague, la pose sur la table et je l'examine.


(Ainsi donc c'est tout ce qu'il me reste de mon défunt ami. Bon, j'avoue, c'est mieux une dague qu'un meuble car au niveau du transport cela serait assez problématique.)

Le feu commence à mourir, j'espère que quelqu'un va venir le raviver. Cela n'est pas de mon ressort et je n'en ai aucunement l'envie. Qui va venir ? Bonne question. En attendant une réponse à ces questions qui pourraient tourmenter un rat, je continuais à examiner ma dague en songeant à mon passé et en regardant en parallèle les diverses entrées et sorties des habitués de la taverne.

Dirigé pour Morion

Lorsque tu entres dans la taverne, tu peux voir beaucoup de nains, la plupart ayant bus plus que leur part. Dans un coin plus sombre, tu peux apercevoir la petite Anoua qui est assise sur un petit godet renversé disposé sur la table, en face de Razin. Ces derniers discutent calmement, une bière à la main.

Le message était clair, la cape était cachée à l'endroit indiqué par la carte, malheureusement cette carte était déchiré et indéchiffrable. Je devais absolument retrouver ce nain puant et cette dryade.

Résolus je partis en direction de la taverne. Quand j'arrivais à quelques pas de celle-ci, je m'arrêtais et revêtis ma capuche noire, couvrant mes dreads blanches. Je rentrais dans la taverne en poussant la porte. C'était une belle taverne par rapport au schéma d'esthétisme nain. Quand je fût entrer et fait quelques pas, j'eûs une impression de mal à l'aise. Une taverne remplie de petits homme ne pouvait que faire tourner les regards vers moi. Je devais vite repartir. Très vite je repérais le groupe bizarre que formait une dryade et un nain.

J'avançais a pas décidés vers eux. Quand je fût arrivé à sa hauteur, le nain ne parut pas me reconnaître. Je pris donc une chaise et m'assis au coté de la dryade et commença mon oeuvre...:

« Cher nain, je suis à la recherche d'une cape, une cape maléfique à-tu idée d’où je pourrais la chercher ? »

Dirigé pour Morion

Le nain ne t’avait effectivement pas reconnu jusqu’à ce que tu amorces la conversation. Il t’a laissé t’asseoir, mais il est évident par l’expression de son visage que tu n’es pas le bienvenu.

Lorsque tu lui parles de la cape, il se renfrogne davantage, te regarde soupçonneux, puis prend le temps de prendre une grosse gorgée de bière avant de te répondre, un peu plus détendu.

« Je me nomme Razin et je n’ai aucune idée de l’endroit où tu pourrais trouver cette cape. C’est d’ailleurs la première fois que j’entends son nom. Mais puisque tu t’es invité à notre table, tu pourrais boire un coup avec nous et même nous payer un verre, ce ne serait pas de refus. Et puis ça pardonnerait un peu les affronts que tu as pu faire depuis notre rencontre. »

Ces dernières paroles furent prononcées sans hargne, mais avec fermeté.

Assis, je pouvais voir à l'expression du nain que je n'étais pas le bienvenue. Patient, j'attendais sa réponse qui ne tarda pas, il me disait qu'il ne savait pas ou trouver ma cape et qu'il n'en avait jamais entendu parler. Un mensonge bien sûr. Il continua de parler et me demandais si je pouvais lui payer une bière.

« Bien sûr ce serait un plaisir » lui répondit-je.

J'eus un petit rictus passager :

« Excellente idée » pensais-je. « Il pourra surement me donner plus de renseignement s'il n'est pas dans son état normal »

Sans enlever ma capuche, je relevais la tête pour voir qui aurait pu nous servir ses bières. Une serveuse nain était en train de servir d'autres clients, je suivi donc la serveuse du regard pour pouvoir lui demandé trois bières quand elle passerai près de moi.
Attendant patiemment, j'observais le nain et la dryade. Le nain était comme à l'accoutumée méfiant même si je lui proposais une bière. A coté du nain, la créature semblait ne pas s'occuper de la conversation et regardait tout autour de ses grand yeux rond et globuleux.

Dirigé pour Morion

La naine rouquine et bien en chair, finit par t’apercevoir et s’approcha de votre table.
Voyant que le verre de Razin était encore à moitié plein, elle tourna son regard vers toi.
« Et qu’est-ce que je vous sers jeune homme ? » te demanda-elle avec un beau sourire.

Quand elle me vit, la serveuse s'approcha de nous. C'était une naine à n'en pas douter, rousse, un mètre trente au maximum et bien en chair. En arrivant près de la table elle vérifia le verre du nain pour s'assurer qu'il n'avait besoin de rien. Voyant que sa choppe était à moitié pleine, elle me regarda et me fit un large sourire en me demandant ce que je voulais comme consommation. Sans attendre je lui répondis :

« Deux bières s'il vous plait »

Pris d'un doute je me retournais vers la dryade pour m'assurer qu'elle aussi n'en avait pas envie.

Dirigé pour Morion

L'aldryde te fit un beau sourire et te fit signe qu'elle n'avait besoin de rien...
D'un voix enjoleuse, elle rajouta:

"Je suis en bonne compagnie, cela me suffit !"
Razin rit de bon coeur à cette remarque, puis calla ce qui lui restait de bière.
La naine repartit avec le verre vide vous signifiant qu'elle sera de retour dans un petit moment.
Elle partit vers le bar et revint presqu'aussitôt avec deux belles chopes de bières aussi rousses que sa chevelure. Sans attendre, Razin en ramassa une et en prit une bonne gorgée.

La petite aldryde t'observait depuis un bon moment et se décida à te poser la question qui lui trottait dans la tête depuis un bon moment:

"Qu'est-ce qui t'amène dans ce village de nains ? Avais-tu des amis à rencontrer ?"

L'aldryde me fit savoir qu'elle n'avait besoin de rien. La compagnie du nain et de moi-même lui suffisait, bien que ma compagnie n'était surement pas une bonne chose.
Razin se mit à rire et finit sa chope de bière d'une traite. La serveuse repartir alors vers le bar et revînt bientôt avec deux belles et grande choppes glacée. Le nain en avala la moitié sans se démonter ce qui me plaisait beaucoup.
Plus il en boirait, plus il pourrait me livrer l'information que je désirais. Tout d'un coup, la petite voix de l'aldryde se fît entendre pour me demander ce que je faisait en ville ou si j'avais des amis à aller voir. Cela me fît beaucoup rire intérieurement. Des amies ! Quelle idée...
Je lui répondis d'un sourire glacial :

« Et bien non demoiselle, je suis à la recherche de quelque chose, un habit plus précisément. Le parchemin que tu m'a donner tout à l'heure, manque cruellement d'information à son sujet. J'espère que tu pourra m'aider, toi ou le nain. »

Cette manœuvre était toute calculée, soit j'y perdais gros, soit l'information serait révélée beaucoup plus vite.

Lorsque tu révélas à Razin que Anoua t’avais donné le plan, celle-ci n’était pas contente, elle sembla même être en furie contre toi. Elle ne te dit rien, mais sa colère était très évidente rien qu’aux gros yeux et à la moue qu’elle te faisait.
Razin pour sa part fit comme si de rien n’était et termina sa chope de bière. Ensuite il se leva, mais avant de se diriger vers le bar, il vous informa de ces intentions, tout souriant :

« Recommandez- en deux autres, je m’en vais me vider pour mieux me remplir … je reviens immédiatement ! »

Il termina par un gros rire gras !

Lorsque Razin s’éloigne Anoua en profita pour te parler d’un ton aigri :

« Tu es stupide. Il ne fallait rien dire. Et bien, maintenant débrouilles-toi tout seul. Tu ne l’auras jamais cette cape ! »

Si ces yeux avaient été des épées, tu serais déjà mort assassiné.