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 Sujet du message: Tuia/ Mage (lvl 3)
MessagePosté: Ven 18 Sep 2009 19:18 
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Nom : Tuia
Classe : Mage
Race : Demi-sindel, demi-aniathy
Age : 42 ans d’âge physique. 69 ans d’âge réel

Description physique :

De quoi je peux bien avoir l’air ? Ca, c’est une bonne question, d’autant plus qu’étant donné ce que je suis, je suis en toute logique parti pour garder la même apparence toute ma vie : le sujet envisagé de cette manière, on comprendra que je ne me priverai pas d’entrer parfois dans le détail histoire de bien polir un tel descriptif.
Alors pour commencer par le commencement, allons-y de haut en bas, et débutons par cette exubérante touffe de cheveux qui me recouvre le crâne à la couleur si particulière, une fantaisie d’Aenigal… car oui, ce sont des faux, un assemblage de fils de soie qui donne un résultat plus vrai que nature, si vous voulez bien me passer l’expression. Autant vous prévenir tout de suite, ils sont le plus souvent dans un joyeux bordel ceux-là, pour la simple et bonne raison que je trouve que ça fait plus vivant de les laisser prendre la forme qu’ils veulent que de les plaquer tout bonnement contre mon crâne. Et puis bon, ne me cherchez pas des poux (de toutes façons, vous n’en trouveriez pas, ha ha), ce sont mes cheveux alors j’en fais ce que je veux, merci bien.

Plus bas, on peut trouver ce que je me permettrai d’appeler une bouille d’ange, l’un des avantages de l’enfance éternelle m’étant de pouvoir conserver éternellement ce minois ravissant qui a fait dire à plus d’un que j’ai « le plus beau visage du monde », ou autre phrase qualificative d’aspect plus ou moins banal et convenu.
Sinon, vous connaissez l’expression « Ne plus avoir que ses yeux pour pleurer » ? Je n’irais pas jusqu’à dire que j’en suis à ce stade là, Sithi merci, mais le fait est que du point de vue de l’aspect purement extérieur, ces jolies améthystes sont la seule chose réellement originelle qui me reste d’après ma Première Ironie, et c’est peut-être à cela qu’elles doivent d’être aussi expressives et remarquables ; à moins que ce ne soit un trait d’enfance, allez savoir.
Autrement, c’est petit nez camus mais mignon, typiquement le genre de nez contre lequel on voudrait frotter le sien, et petite bouche aux lèvres faites de gomme tendre étonnamment fines, d’où sort mon agréable voix au timbre aigu de bambin, typiquement le genre de bouche qu’on voudrait voir se poser sur sa joue avec un gentil mot du genre « Je t’aime. ». Réellement adorable, n’est-ce pas ?
De part au d’autre de ce visage, on peut sans doute dire que ça se gâte, car loin des grandes esgourdes magnifiquement effilées et pointues qu’on peut se représenter pour un cliché elfique, vous avez à la place de cela deux belles feuilles de chou qui donnent probablement l’impression que je vais me mettre à planer au moindre saut. Enfin bon, moi, j’ai appris à les aimer très bien comme ça : elles entendent aussi bien, voire mieux, que n’importe quelles autres, et du moment que personne ne vient avoir la désobligeance de les tripoter, je n’ai en rien à m’en plaindre.

Encore plus bas –suivez le guide-, c’est buste, thorax et abdomen en bonne et due forme, avec cette texture lisse qui convient si bien aux petits enfants et qui est en réalité issue pour dire la vérité de la peau artificielle qu’a utilisée Aenigal pour me remettre à neuf, le tout présentant toutefois tétons, nombril et même côtes légèrement apparentes d’une manière tout à fait ressemblante à celle d’un gamin de mon âge physique.
Les bras, je les ai peut-être un chouïa courtauds, mais à part ça rien à dire sur eux ; ce sont de bons et beaux bras qui me servent aussi bien et même mieux que ceux d’origine et qui s’articulent parfaitement. Par contre, au niveau des mains, même si elles se meuvent de la plus habile et de la plus dextre des façons, c’est vrai qu’elles peuvent paraître à y regarder de près un tantinet carrées, mais que voulez vous, la maison ne fait pas les miracles !

Poursuivons encore en descendant, et nous trouverons une aine sur laquelle, à l’image de tout le reste du corps, on ne peut distinguer de manière époustouflante absolument aucune articulation, mais en revanche, contrairement à un aniathy ordinaire (puisque après tout, je ne le suis en quelque sorte qu’à demi), je suis bel et bien sexué, car il faut bien que ce que j’absorbe sorte par quelque part. Pour autant, je vous prierai de ne pas chercher à vérifier mes dires, vous comprendrez que je jugerais ça des plus inconvenant.

Approchant du sol, j’ai des jambes (c’est pas croyable), sur lesquelles, à l’image des bras, il n’y a pas vraiment quoi que ce soit à dire, sinon que contrairement aux membres précédemment cités, elle sont plus longues que la moyenne, de même que mes pieds sont assez conséquents sans carrément me donner l’air d’avoir un palmipède pour parent. Ah oui, je n’y avais pas pensé pour les mains, mais en ce qui concerne les ongles, oui, il y en a (en kératine, bien entendu), mais ils ne poussent pas, à l’image des cheveux.

Pour conclure, on peut ajouter que j’ai un beau grain de peau gris tirant franchement sur l’argenté, comme il convient à un sindel, Aenigal étant parvenu à synthétiser une couleur qui fait parfaitement illusion par rapport à l’épiderme de quelqu’un de ma race.
Pour ce qui est de mon organisme, le tout n’est pas entièrement naturel, mais je ne vais pas vous faire la liste détaillée de ce qui l’est et de ce qui ne l’est pas, sinon, cette description en viendrait vraiment à tourner au sordide.
Ah, et dernier ajout, je suis plus fort qu’un enfant ordinaire (je sais, ce n’est pas à proprement parler physique, mais il fallait bien l’ajouter), même s'il ne faut pas non plus me prendre pour un colosse : contre quelqu’un d’un tant soit peu bien formé et qui sait un tant soit peu se battre, il n’y a pas à chercher, je m’écrase.

P.S : 1m22 ; 24kg.


Description psychologique :

Ah… là, tout de suite, la question devient plus ardue, on le concevra, alors qu’on m’excuse si ce que je vous fournis semblera un peu fouillis, mais là, il ne suffit pas de se regarder dans un miroir pour avoir de quoi donner un compte-rendu précis et fidèle.

Pour commencer, je serai désolé de casser vos illusions tout de go, mais par vile infortune, ma personnalité n’a rien de celle d’une personne de huit ans bien que j’en aie l’apparence : quand, alors que vous aviez quarante-deux ans, vous avez été gravement brûlé sur tout le corps, vous comprendrez qu’on aborde l’existence avec un poil plus de gravité. Toutefois, ça ne signifie par pour autant que je suis aussi capable d’émotions qu’une machine hein : tout comme je mange, bois et vais à la selle, j’éprouve la joie, la peur et la tristesse, et d’ailleurs, si je veux, je peux tout à fait me montrer un garçon tout mignon aussi attendrissant que le plus adorable des aniathys, ce que je ne me prive d’ailleurs pas de faire à l’occasion. Oui, je sais, du point de vue moral, ça peut être répréhensible, mais pour ma défense, vous vous attirez moins d’ennuis quand vous êtes ignorant ou quand vous le paraissez, surtout quand vous avez l’air aussi jeune, et d’ailleurs, à mon humble avis, rien de véritablement bon ne peut arriver si, au lieu du gamin à peine sorti de l’âge de raison, vous vous montrez le puits de science que vous êtes.
Car oui, sans me vanter, je suis un génie : que voulez-vous, j’avais des prédispositions naturelles à un intellect développé et à des capacités de mémorisation supérieures à la moyenne qu’il ne manquait plus qu’un oncle attentionné, astucieux et cultivé pour développer. Cela dit, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : je suis indiscutablement plus intelligent que la très grande partie des enfants et peut-être même des adultes, mais ce n’est pas non plus comme si j’avais la science de quelqu’un à l’âge dix fois supérieur au mien ; je vais à mon rythme qui est déjà pas si mal que ça, pour ne pas dire tout à fait impressionnant !

Sinon, du point de vue moral, j’ai été bien éduqué, alors pas de souci à se faire pour mon âme : je ne sais pas encore ce qui adviendra d’elle si jamais l’enveloppe physique qui la renferme casse et si tant est d’ailleurs que j’en ai une, on m’a appris à faire la différence entre le bien et le mal et à choisir de préférence le bien que le mal. Pour autant, ne vous attendez pas à avoir affaire à un enfant de chœur en cas de litige, car ce n’est pas parce que mon enveloppe charnelle est partiellement artificielle que je n’y tiens pas, et comme j’ai de l’énergie magique à ma disposition, je compte bien m’en servir au besoin.

Que dire d’autre ? Je ne sais pas trop : il faut comprendre que quand ce qui a fait littéralement toute votre vie est réduit en cendres ou peu s’en faut, ça fait… un vide qu’on ne sait pas trop comment combler ni même si on va pouvoir le faire un jour…


Biographie (Résumé) :

Mon histoire ? Pour commencer, il faut remonter à bien des années auparavant, lorsque Caesi’nhyl, ma mère, une sindel très entreprenante et, il faut bien le dire, plutôt étourdie, s’est lassée du confinement qu’offrait à ses yeux le Naora pour partir avec son frère, Aenigal, qu’elle avait réussi à convaincre de l’accompagner à force de persuasion. Pour dire la vérité, je crois surtout que cette bonne poire n’a surtout pas supporté l’idée de laisser sa sœur chérie partir seule vers des contrées inconnues, en particulier en étant enceinte ! Hé oui, elle a poussé le vice de la curiosité et de la soif d’aventures jusqu’à partir avec dans son ventre un bébé qui, comme il aura pu l’être deviné, n’était autre que moi.

Passons rapidement quelques années sous silence pour nous arrêter sur un tableau en particulier : en bordure d’une coquette maison de gabarit plutôt réduit bien que d’abord robuste et de bonne facture située aux abiords de la Clairière d’Astallin, une elfe grise encore jeune fait ses adieux à celui qui est vraisemblablement son aîné et qui tient dans ses bras un petit être tout juste sorti de l’état de nourrisson. Etrangement, la scène se déroule étonnamment tranquillement : ses bagages sur le dos, la femme part sans se retourner, laissant l’homme l’air résigné et le petiot qui tête son pouce sans comprendre.
Dans l’ordre d’apparition : Caesi’nhyl, Aenigal et Tuia. Apparemment, l’air du monde extérieur a définitivement éventé les dernières parcelles d’intelligence restantes de ma génitrice car elle a à cet instant décidé une fois pour toutes de s’en aller vers d’autres horizons et de laisser la charge de son fils unique à son frère. Cela dit, je n’ai pas eu de quoi m’en plaindre, car le bon homme m’a très bien élevé, dans l’affection, la connaissance, la bonne humeur et toutes ces autres choses nécessaires à l’épanouissement d’un enfant ; choses que ma mère n’aurait probablement pas pu réussir aussi bien.

A ce stade de mon existence toutefois, il faut savoir que ma vie aura alors été composée de trois Ironies.

Première Ironie :

Alors que j’étais en pleine croissance magique, tâtonnant encore sérieusement en matière de maîtrise, mon oncle avait remarqué chez moi et une forte prédilection à la pyromancie et n’avait pas hésité à nourrir les germes d’un tel goût avec abondance de manière à ce que j’en puisse obtenir les fruits les plus riches possibles. Hélas, la sœur n’était pas la seule à être étourdie : le frère également avait parfois trop tendance à agir avant de réfléchir, et il s’est avéré qu’il m’avait donné des exercices largement hors de ma portée lorsque, âgé alors de quarante-deux ans, j’ai commis une fausse manipulation qui m’a tout bonnement transformé en torche vivante.
Je vous passerai les détails ; il suffira de dire que lorsque Aenigal a réussi à m’éteindre (ça fait toujours bizarre de dire ça), ma vie ne tenait plus qu’à un fil et n’importe qui aurait probablement jugé plus charitable, plus logique et plus sûr d’abréger mes souffrances : la surface entière de ma peau avait été noircie par la carbonisation, je ne respirais plus que par miracle, et mon cœur ainsi que certains de mes autres organes avaient été à ce point lésés qu’ils n’allaient plus mettre longtemps à fonctionner si ce n’était déjà fait.
Ainsi, le feu qui était censé m’aider à m’épanouir et pour la maîtrise duquel je me sentais un tel intérêt fut-il à deux doigts de causer ma mort.

Deuxième Ironie :

Aenigal n’était pas n’importe qui : non seulement c’était un véritable génie en matière de technologie, mais il était aussi d’un acharnement qui aurait pu faire descendre Zewen parmi les mortels s’il l’avait voulu. Son grand rêve avait toujours été de créer un aniathy, et je crois bien que c’est pour cette raison qu’il put avoir aussi aisément les matériaux à disposition pour reformer mon corps qui n’aurait certainement pas pu survivre autrement tellement il était en piteux état : je ne vous décriai pas l’opération en profondeur car je ne la sais pas moi-même et ne veux pas la savoir, mais des pieds à la tête, il a remplacé tout ce qui n’était plus viable par des substituts artificiels, la modification la plus importante consistant en le remplacement de mon cœur mourant par une source d’énergie semblable à celle utilisée pour donner vie aux aniathys.
C’est ainsi que je suis devenu ce que je suis aujourd’hui : une créature en quelque sorte à mi-chemin entre l’organique et l’inerte, qui doit toujours se nourrir, dormir et respirer pour continuer à vivre, bien que je doive le faire en proportions moins importantes du fait de mon étrange nature. Une Ironie auxiliaire là-dedans est inhérente à mon nom : Tuia je suis, un germe, une petit pousse, et Tuia je resterai à jamais, ma croissance s’étant arrêtée au stade de mes quarante-deux ans pour ne plus laisser de toute évidence la moindre possibilité qu’elle se poursuive un jour, cela en bien comme en mal.
Si ce n’est là qu’une Ironie auxiliaire, alors quelle est la seconde à proprement parler ? Hé bien il se trouve que des nutriments convenables aux elfes ne pouvaient suffire à alimenter les besoins en énergie de cette nouvelle enveloppe charnelle, et pour l’entretenir, mon très cher oncle n’a pu trouver d’autre moyen que de « raccorder » mon organisme à l’énergie magique qui brûlait toujours en moi, au sens propre puisque ce sont les maigres parcelles de pouvoir pyromantique que j’abritais qui me permirent de subsister et qui me le permettent d’ailleurs encore pourvu qu’en plus de ça, je m’alimente aussi convenablement comme n’importe quel être vivant.
Ainsi, le feu qui m’avait maltraité, défiguré, à moitié tué et à cause duquel l’inestimable Aenigal avait dû littéralement se tuer à la tâche pour moi me permettait-il de survivre.

Troisième Ironie, sans doute la plus cruelle :

Malgré ce par quoi je suis passé, j’ai pu pendant vingt-sept ans mener une vie tout ce qu’il y avait de plus agréable : mon éducation, sous l’égide toujours aussi attentionnée de mon tuteur, se poursuivait le plus convenablement du monde, et mon cerveau qui n’a pas souffert de ma Première Ironie (du point de vue intellectuel en tout cas) absorbait toujours les connaissances comme une éponge, s’abreuvant goulûment des flots du savoir qui déferlaient sur une terre aussi fertile.
Bien évidemment, du point de vue de la magie, ça a été beaucoup moins folichon : j’ai mis beaucoup de temps avant de pouvoir soutenir la vue d’une flamme sans me mettre à trembler, et encore plus à parvenir à supporter de faire jaillir un simple trait de feu de mon corps si atrocement éprouvé par ce même élément. Toutefois, paradoxalement, la pyromancie m’apporta à la longue l’assurance que je n’étais pas devenu qu’une simple expérience magistralement réussie, une vulgaire poupée animée, mais que j’avais bel et bien une valeur propre, ce dont Aenigal n’avait de cesse de me convaincre.
En parlant de lui, en dehors du ravissement purement désintéressé dans lequel ma remise en forme l’avait mis, il se montra d’autant plus stimulé à la pensée qu’il était parvenu à maîtriser les arcanes de la création d’une aniathy, même s’il était vrai que la chance avait beaucoup joué dans son heureux succès. Avec une ardeur redoublée, il se consacra durant ces années à la concrétisation du fantasme qui lui tenait tant à cœur, éclusant tous les livres qu’il pouvait trouver à Lúinwë traitant de près ou de loin d’un tel sujet, passant des journées entières occupé à la confection de matériaux dont la nature m’échappait même a moi, expérimentant avec une obstination qui n’avait d’égal que l’ampleur de son génie presque fou… il y mettait une telle passion que je n’avais pas le cœur de faire en sorte de réfréner sa fougue, sachant qu’il n’aurait de toute façon rien voulu entendre.

Et ce fut cela qui conduisit à la Troisième Ironie.
Alors que j’étais sorti me promener afin d’être un peu à l’écart pour me livrer à mon entraînement habituel afin d’exercer mas facultés magiques encore hésitantes, j’ai… je ne sais pas comment cet imbécile et frère d’imbécile s’y est pris, mais alors qu’il était en plein dans ses expérimentations habituelles et que je m’échinais tranquillement à développer mon art, j’ai entendu la plus énorme explosion que j’aie jamais entendue et, pour la première fois depuis ma Première Ironie, je me suis aussitôt précipité sans réfléchir. Pour la première fois, j’ai eu une peur atroce, pour la première fois, je me suis dit que mon existence entière allait être remise en question, et pour la première fois, je n’ai plus du tout su quoi faire…
C’est avec cette Troisième Ironie, celle de mon feu, respectivement bourreau, nourricier puis meurtrier, que mon récit commence.

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Armes et bouclier :
-En main droite : Petite orbe d’un gris argenté (Mag+2)
-En main gauche : Petit bouclier (End +2)

Armure(s) :

Protection pour le torse :
- Robe épaisse, mitée et usagée (End +2)
- Tunique Lunaire (End+2, éclaire d'une faible lueur lorsque le porteur en a besoin)

Protection pour la tête
-

Protection pour les jambes :
- Jambière pour enfant (End +2)

Protection pour les bras
-

Cape
-

Bijoux Magiques :
-Amulette magique bleu (Mag+1, te permet d’en faire sortir de grande quantité d’eau en jet, l’équivalent d’un bon seau plein, tant que tu appuies dessus.)
-

Sac (Encombrement = 0/20) :
-
-

Or : 59 Yus

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Magies Acquise(s) :

Magie simple :

Magie RP :
- Chaleur

Magie évolutive :
-Boule de feu : mag+1/lvl

Compétences de Combat :

CC AA (Capacités de Combats Avec Armes) :
-

CC SA (Capacités de Combats Sans Armes) :
-

CC AJ (Capacités de Combats Armes de Jet) :
-

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Point de Vie : 24/24
Point de Magie : 2/4 (Feu)
Point de Ki: : 3/3
Nbre d'xp nécessaire pour changer de niveau : 7,5
Niveau : 3
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Image
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Ville de départ : La clairière d'Astallin (Près de Lúinwë)

_________________
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À votre service, pour le plaisir de rp !


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 Sujet du message: Re: Tuia/ Mage (lvl3)
MessagePosté: Dim 4 Oct 2009 07:08 
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Pour faire simple, ma vie, et j'entends par là ma vie propre en tant qu'individu livré à lui-même, commença à proprement parler lorsque, par un accident de travail de mon oncle, Aenigal, qui avait été jusqu'ici la personne qui comptait le plus au monde pour moi, ma maison explosa. Bien entendu, la pilule ne fut pas facile à avaler, et après une scène qui comprit, en vrac, des corbeaux, une boule de feu et un enterrement (Apprentissage des sorts Boule de Feu et Bouclier de Chaleur), je pris un moment pour méditer sur ce qui venait de m'arriver et me clarifier les pensées au réveil à l'aide d'un bain salutaire.
Celui-ci fut interrompu par la venue d'un bien curieux personnage qui se proposa de me divulguer les dernières volontés d'Aenigal, prétention à laquelle je n'accordai aucune foi. Malheureusement, cela eut vite fait de provoquer son courroux et me força à faire preuve d'audace pour tenter sauver ma peau en une fuite qui ne fut pas de tout repos. Celle-ci fut d'ailleurs bien vite interrompue par mon persécuteur qui ne se priva pas de faire usage de l'entièreté de ses considérables pouvoirs pour me piéger, puis pour m'expédier où bon lui sembla.

Quête 20 :

Ce fut ainsi que je me retrouvai dans un fort étrange endroit en piteux état, entouré de trois personnes (Meredith, Malehën et Kal) qui me considérèrent de bien curieuse façon. Entre elles, il y eut rapidement de l'eau dans le gaz, ce qui ne m'empêcha pas de m'adonner à mes petites expériences
(Absorption d'un fluide de feu 1/8 et apprentissage naturel du sort Chaleur) avant de daigner prêter l'oreille au cinquième larron de notre escouade qui nous divulgua des informations difficilement croyables.
Cependant, le temps pressait, aussi nous fallut-il faire diligence pour aborder les épreuves auxquelles nous allions bien devoir être confrontés tôt ou tard et dont la première ne fut pas dénuée de complexité : mon intelligence et mon érudition ne furent pas de trop pour en venir à bout ! Hélas, ce surcroît de science ne fut pas sans attirer une indésirable attention dont j'eus toutefois l'occasion de me dérober lorsque survinrent de nouveaux ennuis inhérents au commencement de notre seconde épreuve incluant la disparition subite d'une Malehën décidément parfois aussi étourdie que sa compagne taurion.
Cela dit, nous n'y perdîmes pas au change puisqu'avec une de perdue, six furent retrouvées, étrangeté pour le moins saisissante qui ne pouvait être que l'occasion de notre seconde épreuve. Pas déstabilisé pour deux sous, je n'eus aucun mal à résoudre l'énigme qui nous étais proposée, commençant par séparer le bon grain de l'ivraie avant de tout simplement récolter le bon grain. Toutefois, pour notre sortie, il restait à régler une petite formalité dont je m'empressai de m'occuper avant de prendre la direction de la suite des évènements, répondant au passage à une question de Kal.
Cependant, il s'avéra bien vite que l'épreuve allait être beaucoup moins paisible que celle que nous avions traversées jusqu'ici, la preuve en étant de l'atmosphère d'obscurité oppressante qui régnait dans l'antre où elle se déroula. Il s'avéra rapidement que le danger régnait effectivement en maître sous la forme d'un gigantesque ours contre lequel je pus œuvrer avec un minimum d'efficacité mais face auquel je tombai vite à cours de moyens, raison pour laquelle je cherchai vite d'autres pistes, lesquelles s'avérèrent malheureusement fâcheusement infructueuses et même dangereuses, m'obligeant à une sorte de sauve qui peut. Même en cette situation défavorable, je tentai de tirer parti des éléments à disposition pour faire pencher la balance de notre côté, mais devant le manque de résultats de ce parti, je dus me résoudre à avoir recours à des moyens d'action plus directs qui s'avérèrent des plus probants, repoussant la bête et nous donnant ainsi la possibilité de partir de cette caverne...


...

Veuillez m'excuser, mais je me dois de m'interrompre à ce moment de mon récit pour des nécessités urgentes. Je le reprendrai dès qu'il me sera possible de me consacrer à nouveau à coucher noir sur le blanc le résumé de mes pérégrinations.

_________________
Tuia, sindel mâtiné d'aniathy, né, brisé, refaçonné, puis brisé à nouveau.


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