L'arène de Kendra Kâr

L'arène de Kendra Kâr est à l'image de la cité, imposante et resplendissante. De majestueuses décorations ornent les briques de murs taillés dans de la pierre blanche. Une grande quantité de sable a été déposée sur le sol, des gradins en pierre se dressent en forme de cercle sur une dizaine de rangées, certifiant d'accueillir pas loin de dix mille spectateurs.

A chaque événement, peu importe la raison, des jeux, spectacles animaliers et combats sont organisés dans son enceinte, bien que certains combats n'aient eu besoin de l'excuse d'une fête ou victoire pour se dérouler.

Ces combats se déroulent comme un grand tournoi, la fin arrive lorsque le gladiateur en lice n'a plus de concurrents, il doit alors affronter le maître de l'arène pour prendre sa place et ainsi posséder ses appartement dans l'arène ainsi qu'une compensation pécuniaire mensuelle. Les participants à ces tournois sont tous volontaires cependant, et il s'agit de prouver à tout un chacun sa bravoure et sa force, sans faire de mort toute fois puisque les combats sont arrêtés avant.

Le combat se fait en libre, et sera noté comme un combat classique, les récompenses matérielles (arme/armure) seront converties en yus, montant auquel sera ajoutée une prime de x * 10 yus (x = lvl de la bête) en plus des récompenses classique de combat. Quelques objets rp viendront récompenser les combats exceptionnels.

Les pjs ne peuvent effectuer que deux combats par mois.

(Les combats contre d'autres PJ ici se feront bien évidemment en dirigé. Merci de contacter un GM dans le SOS GM pour ne pas attendre. Nous ne faisons pas le tour de tous les endroits !)

Neo arriva devant l'arène avec l'homme bizarre a ces cotés.
Il regarder avec inquietude l'arène, se demandant quel bète feroce ou qui il allait affronter:
" je n'ai presque jamais perdu, mais je n'ai pas peur.... pas du tout je ne fuyerai pas devant la chance immense que jai de realiser mon rève et pouvoir proteger des innocents .... je ne fuit jamais les combats quelle honte ça serait pour moi que de fuir ..... et quelle honte sur mes ancètres et ma lignée aussi

Nous sommes en face de l'imposante arène de Kendra Kâr, que dire ? Les murs blancs et les colonnes de marbre détaillé ne sont pas sans me rappeler l'hippodrome, sauf que sa forme circulaire est parfaitement appropriée pour les combats de gladiateurs, mais j'ai le sentiment que Neo ne va pas faire qu'un simple combat de gladiateurs...
Moi et Neo restons pensif devant l'arène, mais pour différentes raison. Neo, lui, pensait sûrement déjà à sa gloire et son rêve enfin réalisé, mais moi je me demandais quelle épreuve atroce on allait lui imposer, qu'allait-il subir de qui ?

"Rentrez."

C'était la voix rauque d'Aktros, le Maître Paladin qui s'adressait à nous. Nous n'avons d'autres choix que d'obéir, et nous entrons dans l'enceinte du monument. Nous traversons les couloirs humides et j'entends derrière les murs un son auquel je suis habitué : les cris de la foule déjà présente en ces lieux. Je n'imagine même pas la pression de Neo à ce moment là.
Aktros s'arrête devant une porte vulgaire de fer et parle à Neo :

"Toi, fils de Luneark, prends tes armes et tes haillons et traverse cette porte lorsque le cor sonne, ni avant, ni après."

Il était clair que c'était par là qu'il devra entrer pour se battre dans l'arène, à la vue de tous les gens de la cité.

"Et toi, petit, les tribunes, c'est par là."

Il montre un couloir en faisant un signe de la tête, puis s'en va rapidement, en marchant d'un pas énergique et déterminé. Petit ? Si ce n'était pas un paladin armé d'une lame capable de me trancher en deux d'un mouvement, il en aurait vu de toutes les couleurs, ce con !

"Neo, je vous laisse, si possible... tentez de survivre au combat qui vous attend."

J'emprunte le couloir sans écouter les éventuelles questions du géant.



Je suis assis sur l'un des innombrables bancs de pierre de l'arène, aux premières loges, pris entre la peur du combat et les cris des spectateurs. Neo devait être prêt maintenant, et le cor ne devrai pas tarder à sonner, je tremble à l'idée que son adversaire l'expédie en un seul coup...

Neo rentre par la porte de fer, inquiet , très inquiet:
- qu'est ce qui va me tomber sur la tète comme adversaire.
Puis il enfila ces haillons et le cor se mit a sonner.La sonnerie de l'annonce du combat.
Le geant , avant de rentrer dans l'arène, utilisa la technique de son grand -père, s'imaginer dans un endroit calme et faire le vide dans sa tète.
Ce qu'il fit et cela le calma.Il entra alors légerement serein dans l'arène.

Le cor sonne, Neo rentre, anxieux. Un gros homme, assis sur la plus haute des estrades, annonce le combat :

"Mesdames, Mesdemoiselles et messieurs, bienvenue au sein de cette arène prestigieuse, celle de Kendra Kâr ! Le combat qui nous réunit tous aujourd'hui, va opposer... l'aspirant paladin Neo Luneark et notre invité de marque, capturé et chassé de la caverne sordide qui le cachait aux yeux du monde, ce véritable monstre de quatre mètres de haut..."

Qu...quatre mètres ! Mais...

"... meurtrier et sauvage, il a un jour réussi à étrangler un dragon des marais..."

Hein ? Non, c'est pas possible, il vient d'inventer ça !

"...aux poings destructeurs, mais aussi armé d'une massue de taille humaine...."

C'est de la folie... de la folie !

"... mais aussi affamé et avide de meurtre, car ceci est un combat à MORT !"

Un combat à mort ? Mais c'est quoi cette plaisanterie, c'était pas prévu ça !
La foule est en transe, elle aime le sang, mais je n'ai aucune envie de voir celui de Neo ! Je n'ai pas l'intention d lui repayer ma dette de cette manière ! L'arène tremble, le colosse arrive, tout le monde est pris de sueurs froides, sans compter Neo. Enfin, l'horrible adversaire se montre à la lumière du jour :



Je ne peux le décrire, dans des secousses successives, l'adversaire de Neo se montre sans peur, mais pourquoi aurait-il peur de lui, qui est une limace comparé à ce cyclope, qui fait près de deux fois sa taille !
Le combat est engagé, je prie de mon côté, bien qu'aucune prière ne peut repousser un tel colosse... non... Je dois agir ! Mais pendant ce temps, le combat commence...

Neo vit un enorme cyclope s'avancer vers lui, il fesait quatre fois sa taille.....
etrangement Neo n'avait pas peur.... car avec son grand père il avait etudier tout les adversaires cyclopes compris il connaissait le point faible de ces creatures: leur unique oeil!!! mais autant essayer de le toucher.....
Neo se tint pret, armé de ces deux grands sabre il regarder le geant, mais la peur au fond de lui ne le quitter plus, mais il ne devait pas fuir.
Le combat commença.... Neo esquivait les coups du monstre, c'etais dur car il été rapide le bougre!!! mais il été enorme et il se fatiguerai surement vite.
Il tenta de taillader ces poignets mais le monstre avait deviner ces intentions et d'un coup de poing le fit valser a l'autre bout de l'arène. Il été légérement assomer, mais la volonté le tient toujour debout!!!

Je regarde, inquiet, ce combat perdu d'avance.

Le géant se rue sur Neo, déchaînant une furie de coups sur lui, sans utiliser sa massue, quel animal étrange...
Neo, avec ses deux sabres en mains, tente de se défendre mais la vitesse du cyclope a toujours raison de ses attaques. Mais comment un être aussi grand peut-il être aussi rapide ? Rapide au point de surprendre Neo, qui, d'un revers du cyclope, se voit écrasé contre le mur et plaqué au sol. Tout est fini....
Idiot qu'il est, il cherche encore à se battre et se relève péniblement, mais il va se faire étaler, c'est sûr et certain. Je dois faire quelque chose ! Malheureusement, mes armes ne sont pas sur moi, je vais devoir improviser. Des armes, les miliciens en ont ! Une telle arène doit sûrement être gardée ! Je me lève et tente de traverse la foule dans l'espoir de trouver une tactique capable de sauver Neo...
Le vestiaire des gladiateurs ! C'est un endroit où doivent reposer plusieurs armes, j'accélère le rythme, cette salle doit se trouver à côté de celle où j'avais laissé Neo.
Je m'engage dans le couloir, je descends les marches et court encore à travers un autre couloir, tout ça dans une vitesse frénétique.
Après quelques minutes de recherche, je sors du vestiaire armé d'une lance et d'un arc. Je prends la lance en main et range l'arc sur mon dos. Ensuite, je refais tout le chemin à l'inverse, car la porte qui a mené Neo à l'arène est désormais bloquée.

Me voilà revenu dans les tribunes, armé, prêt à agir, alors que Neo continue son combat...

Neo devait percer l'oeil du cyclope et gagné pour devenir paladin.
Son reve si il gagnerai se realiserai certainement.
Il continua dasperger de sable le cyclope.Mais il devait gagné.Absolument!!!
Soudain il eue une idée: le fatigué!!!
il courut donc partout le cyclope aux fesses pour l'epuiser ; a force il finira bien par se fatigué , certes Neo est un colosse mais lui l'est encore plus.

Armé d'un arc et d'une lance de gladiateur que j'ai pu me procurer dans un vestiaire, je me prépare à bouleverser le combat, qui depuis le début tourne à l'avantage du cyclope.
Je dois guetter le bon moment, celui où le cyclope sera vulnérable, pour le blesser et que son attention se détourne de Neo qui allait se faire massacrer par un tel géant. D'ailleurs, ce dernier eut ce qui pourrait être appelée une idée de génie pour Neo, mais qui m'a tout l'air d'être un semblant de stratagème idiot : courir et se faire poursuivre par la bête jusqu'à ce que celle-ci s'essouffle.
Mais quel imbécile ! Un tel colosse possède des muscles bien plus performants que les siens, et ce ne serait qu'une question de temps avant qu'il ne le rattrape !

Et de plus, cela rendait ma tâche plus ardue, car il est bien difficile pour moi de viser la faille de l'armure d'une telle cible en mouvement, sans être toutefois sûr de la blesser.
Mais qui ne tente rien n'a rien, et je bande l'arc dans l'espoir de faire mouche, pendant que Neo jette du sable au visage du monstre, espérant l'atteindre, même si son œil est protégé par un casque. Ces tentatives sont vaines et ridicules !
et dire que je me retrouve à protéger cet abruti... mais c'est une question d'honneur, et ma dette n'est pas encore payée !

Alors que Neo détale comme un lapin et jetant du sable, que le cyclope agite son immense massue pour l'écraser, je souffle, je contrôle ma respiration tout en bandant l'arc encore plus fort, et finalement, le tir bien ajusté, je lâche la corde et laisse partir la flèche.

Jet de dés de Jubaïr : échec; jet de dés de Neo : échec, jet de dés du Cyclope : échec

Tout se passe très vite : Le cyclope abat sa massue à quelques centimètres à peine de Néo qui tombe au sol sous la puissance de la vibration. Neo se retrouve dès lors au sol, face contre le sable tandis qu'un hurlement de frayeur parcourt les spectateurs et les jurys. Jubaïr quant à lui échoue son tir, sa main ayant tremblé au moment où son "protégé" se retrouve au sol.

Damnation ! Alors que mes doigts se séparaient pour que la flèche soit lancée, le cyclope a frappé d'un coup surpuissant au sol, ratant Neo de très près. Celui-ci se retrouva face contre le sable chaud de l'arène. Cet enchaînement d'événements soudain déstabilisa mon bras, et mon tir avec...
La flèche a traversé une longue distance avant de se heurter à la gigantesque épaulière du titan.



Neo est mal en point, je me prépare à réessayer, mais cette fois, je me mets le plus près possible de l'aire de combat, à la limite des tribunes. La foule entière est surprise à cause de mon irruption dans la "compétition", et je devrais tirer un bon coup, avant qu'un de ces idiots de miliciens aille s'en mêler...

soudain Neo vit le garçon au masque l'aidé.... et raté car la flèche a completement échouée.
Neo dans sa tète chercher une tactique: pour en trouver une au finale et une rusée en plus!!!!
il été face contre le sol, ne se relever pas et se retourner il attendait que le cyclope aille vers lui.
Ce qu'il fit, le colosse le voyait du coin de l'oeil, puis avant que le cyclope ne plante ces dents dans la chair de Neo, celui ci bondit d'un coup et sans prévenir lança un de ces immenses sabre..... qui rata sa cible:
- javais pas vu qu'il avait un casque a l'oeil.... il faut trouver un moyen de le vaincre sans sa je realiserai jamais mon rève.....

Soudain, un groupe menaçant, armés d'épée et de lance s'approche de Jubaïr des deux cotés du rang. Il s'agit manifestement de jeunes miliciens très voire trop enthousiastes et peu enclin à discuter.

"Arrêtez-vous! Vous êtes cerné!" s'écrie alors l'instructeur, reconnaissable aux deux soleils qui ornent son armure.

Sur le sable, la flèche de Jubaïr touche sa cible, mais l'effleure à peine. Quant à la tentative de frappe au sabre de Neo, elle échoue lamentablement.

Puis soudain, un grand filet, lesté de lourds poids va s'abattre sur le cyclope enragé, le couchant au sol... C'est le garde de l'arène qui a décidé d'interrompre le combat, sachant très bien que la mort d'un homme sur son sable est toujours une mauvaise pub...

A ma grande satisfaction, ma flèche atteint sa cible, mais cette satisfaction est de courte durée car la peau du cyclope est si dure que mon tir l'a à peine effleuré. Et merde ! N'y a t-il aucun moyen de sauver cet abruti ?

"Arrêtez vous ! Vous êtes cerné !"

Hein ? Alors que j'étais tourné vers le centre sableux de l'arène, j'ai été surpris par de jeunes miliciens qui pointaient avec agressivité leurs lances contre moi. Ils étaient bien nombreux, inutile de les combattre. Je vais devoir poser mes armes face aux gardes, mais je ne peux pas me résoudre à le faire, ce n'est pas mon genre de me rendre sans résistance, surtout que derrière moi, le combat faisait rage...
Celui qui semble être leur instructeur, avec son emblème ornant son armure, représentant deux soleils, me lança :

"T'es cerné, gredin ! Rends toi et tu recevra moins de coups de fouets !"

Des coups de fouets ? Non, je ne me laisserais pas humilier une seconde fois par ce porc puant ! Ses menaces, au contraire de me dissuader de résister, m'encouragent à tenter quelque chose.

"Pose tes armes !"

Non, j'ai bien envie de faire exactement l'opposé de ce qu'il me dit. Mon arc reste entre mes mains et la lance accrochée à mon dos.

"Et retire ton masque ! On n'est pas au carnaval, ici !"

Et non.... Pendant ce temps, j'entends les cris de la foule. En jetant un œil derrière moi, je m'aperçois que le Cyclope est emprisonné dans un filet énorme, il est vrai qu'une telle bête se doit d'être maitrisée, et le combat est donc annulé, quel soulagement... Je m'adresse au milicien.

"Vraiment ? Nous ne sommes pas au carnaval ? Pourtant, ton accoutrement semble dire le contraire !"

Provocation de ma part, je m'attends à une réaction musclée de la part de l'instructeur. Ce dernier, dans un élan de colère et d'assurance, m'agrippe par le col, et me crie au visage, alors que je suis acculé au bord de l'estrade :

"Tu te prends pour qui, connard ?! Tu veux que je t'aide à te casser la gueule en bas, c'est ça ?"

Quel idiot, tombé dans mon piège si facilement... Je lâche mon arc tout d'un coup et agrippe fermement cet abruti par la ceinture.

"Exactement !"

Suis-je fou ? Quand j'y repense, pour faire une chose pareille, il faut sûrement l'être.
Je fais un bon vers l'arrière et entraîne le milicien de tout mon poids dans la chute. Je m'en sers ensuite comme bouclier humain, ou plutôt, je m'en sers pour amortir mon atterrissage. Le cri du gaillard se stoppe net une fois que l'impact se ressent, et je n'ai aucune égratignure grâce à lui. Je ne sais pas si la chute l'a tué, et je m'en fiche, mon égoïsme prime d'abord ma survie à celle des autres.

Je me retrouve dans le cercle de sable, dans lequel est emprisonné le cyclope et où Neo récupère de son "combat", si il peut être appelé comme tel, car Neo tentait plus de survivre que de faire face à la bête. Et quand je regarde le formidable filet, je le comprends...

Neo regardait le cyclope enprisonner, une vague de tristesse et de chagrin monter en lui:
" jai echouer...... je realiserai pas mon rève et mon père doit avoir trop honte de moi de la ou il est, il doit se retourner dans sa tombe"
puis le colosse se parla pour lui meme:
- je serai jamais paladdin, père..... tu dois avoir honte de moi de la ou tu est, tu dois te retourner dans ta tombe...... ou maudire d'avoir eue un fils comme moi
l'echec faramineux qu'il venait de cloitre de son combat le rendait mélancolique.Il resta ainsi, la tète baissée, le regard perdu et triste, ces deux immenses sabres en mains qu'il avait oublier de ranger contemplant le sable de l'arène, et si il avait la tète très baissée c'etais pour cacher les larmes qui coulait sur ces joues, car il refusait que les gens le voit pleurer , il ne voulait pas rajouter a l'echec le deshonneur de voir un guérrier pleurer.