La boîte à merveilles

Située au cœur du marché de Luinwë, cette petite bâtisse dispose, contrairement aux apparences, d’une place insoupçonnable grâce à une gestion intelligente de la place: au rez-de-chaussée, vous pourrez trouver tout ce dont un aventurier comme vous peut avoir besoin: matériel pour camper, pour s’habiller et se nourrir pour les longs voyages, pour s’éclairer… bref, vous trouverez votre bonheur, c’est garanti sur facture! Facture établie par la famille Ynylaïn, constituée du père, Bemlhan, de la mère, Myln’mil, et de leurs deux charmants jumeaux, Gwyan et Gwyin. Cette accueillante troupe gère le comptoir à tour de rôle et habite à l’étage ou, plutôt, aux étages. Mais bon, de toute manière, cette partie est privée et donc interdite d’accès aux visiteurs.

Le sous-sol est accessible par une large trappe dans le coin gauche dont le mur proche est frappé d’un coquet panneau annonçant « Merveilles », justifiant ainsi l’alléchant nom de la boutique. L’échelle aboutit à une pièce moins bien organisée que le rez-de-chaussée qui ne fait que renforcer l’aura de mystère conférée par les torches qui semblent donner à l’endroit quelque chose d’irréel. Ce « quelque chose » s’affirme d’ailleurs déjà par l’étrangeté de la marchandise échangée ici (en toute légalité rassurez-vous).
L’un des secrets de la prospérité des Ynylaïn est la proximité de leur échoppe avec le port, ce qui rend possible un approvisionnement direct avec les navires allant et venant, permettant à la boutique de ne jamais désemplir.

Cet endroit multi-fonctions sera donc divisé en deux parties pour plus de clarté, avec leurs marchandises propres.

Rez-de-chaussée :

Sommeil :
Sac de couchage : 20 yus [E=3]
Tente simple (1 personne): 60 yus [E=4]
Toile cirée (2 personnes) : 100 yus [E=6]

Éclairage :
Torche (2 h) : 5 yus [E=1]
Lanterne : 10 yus [E=1]
Huile à lampe (3 doses, six heures chacune) : 65 yus [E=3]

Potions :

Petite potion de soin (redonne 5PV) 20 yus
Potion de soin moyenne (redonne 10PV) 50 yus
Grande potion de soin (redonne 20PV) 110 yus
Potion de soin divine (redonne 40PV) 250 yus
Élixir de soin (redonne 10 pv, 4 doses) 300 yus

Petite potion de mana (redonne 2PM) 20 yus
Potion de mana moyenne (redonne 4PM) 50 yus
Grande potion de mana (redonne 8PM) 110 yus
Potion de mana divine (redonne 16PM) 250 yus
Élixir de mana (redonne 4PM, 4 doses) 300 yus

Petite potion mixte (redonne 2PM et 5PV) 50yus
Potion mixte moyenne (redonne 10PV et 4PM) 250yus
Grande potion mixte (redonne 20PV et 8PM) 550yus

Exploration :

Grand sac (Encombrement maximal de 24) 100 yus
Très grand sac (Encombrement maximal de 28) 150 yus
Sac aux mille poches (Encombrement maximal de 36) 400 yus
Sac sans fond (Encombrement maximal de 40) 600 yus

Cape de dissimulation (Dissimulation) [E=2] 40 yus
Cape de voyage (End+1) [E=2] 50 yus
Cape polaire (End+4 contre le froid) [E=2] 100 yus
Cape de qualité supérieure (End+2) [E=2] 120 yus
Cape renforcée de mithril (End+3) [E=2] 200 yus

Petite Gourde magique [E=1] (Contient [E=0/4] de potions. Le liquide bu est choisi mentalement par le personnage lors de l'absorption dans la gourde. Liquide contenu : /) 40 yus
Gourde moyenne magique [E=2] (Contient [E=0/10] de potions. Le liquide bu est choisi mentalement par le personnage lors de l'absorption dans la gourde. Liquide contenu : /) : 110 yus
Grande Gourde magique [E=3] (Contient [E=0/16] de potions. Le liquide bu est choisi mentalement par le personnage lors de l'absorption dans la gourde. Liquide contenu : /) : 150 yus

La famille Ynylaïn vous rachètera vos objets de cet acabit au 1/2 de leur prix de vente

Sous-sol:

Consommables (périssables.):

Fourrage super-énergétique [E=3] : Une monture nourrie de ce fourrage 100% naturel (Il faut y croire…) voit sa vitesse doublée pour une journée entière. Cependant, l’effort fourni nécessite ensuite l’équivalent d’une bonne nuit de repos à la bête harassée. 50 yus (3 Exemplaires)

Consommables (quotidiens):

Luth du repos forcé [E=3] : Lorsqu’il joue de ce Luth, l’utilisateur plonge son entourage dans un rayon de 5m (tout le monde sans exception sauf lui) dans un sommeil profond dont il ne se réveille qu’en cas de choc ou lorsque l’utilisateur cesse de jouer. (Une fois par jour) 600 yus

Armes :

Fourreau de tonnerre : Ce fourreau s’adapte à toute arme, même la plus exotique. Lorsque son porteur la dégaine, un coup de tonnerre digne du plus violent des orages retentit, et des arcs électriques bleutés courent le long de l’arme...ça sert à rien mais c’est très joli ! 40 yus. (Se compte simultanément à l'arme)

Accessoires:

Anneaux du serment éternel [E=1] : Le nom du porteur respectif et de son vis-à-vis s’inscrit sur chaque anneau dès qu’ils sont tous les deux enfilés. Les porteurs ne peuvent alors plus concevoir de désir que pour l’autre porteur de l’anneau et ne peuvent les retirer… jusqu’à ce que la mort les sépare. 500 yus.

Collier-accordéon flon-flon [E=2] : Lorsqu’il joue de ce petit accordéon, l’utilisateur a Agi x 10% de chances de provoquer le climat de son choix (tout en restant dans une altération raisonnable : pas de tempête de neige ou de cyclone à Kendra Kâr !). En cas d’échec, l’altération est aléatoire. 150 yus.

Vous pouvez vendre dans cette boutique tous les objets « inclassables », généralement reçus des GMs, et qui ne se vendent pas dans les boutiques conventionnelles.
Les Ynylaïn achètent ce que vous lui proposez pour la moitié du prix de vente.
Les objets exposés ici sont en exemplaires uniques sauf indication contraire !

Vos objets cassés ou abîmés sont réparables contre 1/4 du prix initial, (cf le Générateur de prix d'équipement, en fonction de la ville) du moment qu'ils correspondent à un type d'objet vendu ici.

(((SI VOUS VOULEZ ÊTRE SERVI DANS DES TEMPS RAISONNABLES, N'OUBLIEZ PAS DE DEMANDER AUX GM UNE INTERVENTION GMIQUE ICI, POUR QU'ILS S'OCCUPENT DE VOS ACHATS/VENTES. Nous ne faisons pas le tour des boutiques... merci de votre compréhension )))

=>Les rues de la ville

Niniel avait suivi les indications de l'elfe bleu et se retrouva en plein marché. Ce n'était pourtant pas cela qu'elle cherchait. Cependant la place était grande et il y avait majoritairement de la nourriture à vendre. Du moins, c'est ce qu'elle arrivait à distinguer sur les étalages. La jeune fille doutait que le magasin qu'elle cherchait se trouvait en plein milieu de ce tumulte. Elle décida donc de faire le tour du marché.
Elle ne le vit pas tout de suite, c'était en trébuchant sur un tréteau qu'elle découvrit le magasin. Elle jura tout bas en se massant le pied.

"Non mais quelle idée de foutre un tréteau ici ! Ils sont tous malades dans cette ville !"

La douleur passa assez vite et la jeune fille se calma en posant son pied, réalisant qu'elle avait de la chance que sa mère ne soit pas là.

(Elle m'aurait grondé si elle m'avait entendu...Ou alors envoyer quelque chose en pleine tête en prenant le premier objet qu'elle avait sous la main.)

En imaginant la scène Niniel pouffa de rire toute seule. C'était si ridicule ! Elle s'apaisa et avant que la nostalgie du foyer la prenne elle se concentra sur le panneau qu'il y avait devant elle. Il indiquait seulement le nom du magasin avec un slogan: <<Dans ce magasin il y a de tout et de rien !>>.

(Ils sont vraiment trop bizarres...) pensa-t-elle en levant les yeux au ciel.

Puis elle examina l'extérieur de la boutique. Elle était bleue comme les maisons autour d'elle.

(Pas étonnant que je ne l'ai pas vu. Elle ne pouvait pas être jaune ?)

Le nom du magasin "La boîte à merveilles" était écrit en rouge sombre au-dessus de vitrine. Celle-ci renfermait des éléments utiles pour les marins, mais aussi pour toutes autres classes. Les prix ayant l'air abordable, elle décida d'y entrer.

Niniel avait eu peur de se retrouver dans un espace confiné et sombre, mais ce n'était pas le cas. Au contraire, l'intérieur était clair et spacieux. Son sac contre elle, l'adolescente n'osait pas aller trop loin. Ne voyant personne, elle se dirigea vers les tentes, sacs de couchages, etc. Elle en regardait une qu'elle estimait à bon prix.

"Bonjour ! Que puis-je pour vous ?"

Elle sursauta si violemment qu'elle lâcha son sac et poussa un cri de terreur. Le vendeur, effrayé par la réaction de la jeune fille, avait fait un bond en arrière. Puis le naturel revint au galop aussitôt: Niniel, furieuse d'avoir éprouvé de la peur devant quelqu'un, hurla.

"Non mais vous êtes malade ?! Ca vous prend souvent de faire à vos clients comme ça ?! Vous ne pouviez pas faire votre boulot et être au comptoir, comme tout le monde ?"

Gwyan (son nom étant marqué sur un petit bout d'ardoise accrochée à sa chemise à carreaux) fut si surpris de se faire disputer de la sorte qu'il ne put lui répondre de suite. Remis, il se fit indulgent, après tout il était légitime qu'elle se fâche.

"Excusez-moi de vous avoir effrayé, ce n'était pas mon intention.

-Oui bah quand même... Et vous êtiez où d'abord ?"

Elle grommelait, consciente qu'hurler n'avait pas aidé le vendeur et que ce n'était pas choses à faire au vu de son âge.

"J'étais en réserve, quand je suis revenu je vous ai vu et me changez agréablement des marins qui viennent de plus en plus ici ! Je ne voulais pas vous effrayer.

-Oui beeeeen...Faites attention...J'ai faillit mourir d'une crise cardiaque."

Un sourire mince sur les lèvres, il retourna à son comptoir laissant la jeune elfe choisir dans les produits qu'il y avait devant elle. Apparemment il ne semblait pas fâché contre elle de ses paroles cinglantes. Mais pour plus de prudence Niniel décida de se calmer...même si elle était encore rouge d'humiliation. La jeune fille prit un sac de couchage puis se tourna vers les torches. Elle ignorait combien de temps elle mettrait pour arriver dans la prochaine ville tout comme pouvait durer les torches. Elle en choisit deux, auto-allumante et puissante, pour s'assurer qu'elle ne serait pas dans le noir si elle n'avait pas produit de feu.
Le vendeur l'aborda d'une voix beaucoup plus douce et de derrière son comptoir.

"Si vous voulez aussi plus de choses qui sortent de l'ordinaire des boutiques pour les voyageurs, il y a le sous-sol qui pourrait vous interesser.

-Merci mais je recherche seulement des choses conventionnelles.

-Je vois. Si je peux être utile, n'hésitez pas."

Elle repartit dans ses comptes d'argent tout en s'énumérant ce qu'elle devrait emporter. Pour le moment, c'était vraiment ce don elle avait besoin comme matériel élémentaire. L'adolescente revint avec le sac de couchage et ses deux torches.

"C'est tout ce dont tu as besoin ?"

Ce passage du vouvoiement au tutoiement la fit tiquer mais sans vraiment la gêner. Il avait certainement du chercher son âge alors qu'elle déambulait entre les rayons.

"Oui pour l'instant.

-Reviens quand tu veux. En tout cas tout ça te coûtera 50 yus."

Niniel posa ses achats sur le comptoir pour pouvoir sortir délicatement une petite bourse où résidait ses économies. Elle donna les yus demandés et remit rapidement sa bourse à sa place. Dans le sac qu'elle avait emmené elle mit son sac et ses torches puis sortit de la boutique en lançant un "à bientôt et merci !" qui fit sourire Gwyan.

(Il était sympa quand même) se dit-elle tout en se fondant dans la foule.

Elle observa les gens autour d'elle un moment et elle partit enfin vers un des lieux qu'elle espérait visiter: le temple de Gaïa !

=>Les rues de la ville

Marché de Luinwë


La suggestion du sinari n’est pas mauvaise, et autant profiter de l’occasion pour faire des emplettes. Ma dernière excursion dans une affaire autre que la chasse n’a pas véritablement bien tourné – doux euphémisme ! – et les choses auraient pu être bien pires sans l’intervention de Mammy Ray. Les elfes sont réputés pour leur magie, mais aussi pour les filtres et onguents tirés des plantes de leurs forêts, traitées selon des savoir-faire ancestraux. Autant mettre tout ça à profit. A ma demande de renseignement, un garde m’indique poliment mais froidement, dans une langue commune qu’il semble peu habitué à utiliser mais d’une bonne maîtrise, une boutique située au cœur du marché, dont le nom ne m’enchante guère : la boîte à merveilles.

Les merveilles, c’est sûrement clinquant, ça encombre, et je ne vois pas trop à quoi ça pourrait me servir. Autant garder ça pour les marmots. Ce qu’il me faut, c’est de quoi me remettre sur pied en cas de mauvais coup, et peu importe si la potion a un goût de purin ou si elle scintille comme la mer dans le couchant. De l’efficacité d’abord, pour le reste, j’aviserai. Avec les indications qui m’ont été fournies, je trouve l’endroit sans peine. Et de prime abord, me voilà rassuré. S’il y a des merveilles, elles sont soigneusement planquées, sous terre, si la trappe que j’aperçois mène bien au reste de l’échoppe. Ce qui se trouve à mon niveau me va très bien. L’endroit n’est pas grand, mais au moins, ça me semble complet, adapté à la vie de baroudeur au grand air. Il y a là des toiles cirées, des couchages, des sacs de bonne facture, des torches, des lampes, des gourdes, des fioles sur les étagères, de la corde, des capes. Là, ça vaut peut-être plus le coup de traîner un peu.

Allons dans l’ordre des besoins. Le contenant tout d’abord. Le sac que je me trimballe depuis que je l’ai piqué sur le shaakt n’est pas de si mauvaise qualité que ça, mais à l’usage, ça ne va pas coller, ne serait-ce que parce qu’il n’est pas adapté à ma morphologie. L’autre avait les épaules plus fines, et sans doute besoin de voyager plus léger. Moi, faut que je puisse partir en expédition, être plus autonome, donc pas question de chercher à faire dans le petit. Parmi tout ce que propose la boutique, il y a de quoi faire. Contenances variables, différents poids suivant la qualité du cuir, les doublures, des poches, des lanières ; c’est finalement un sac assez haut et large, peut-être un peu lourd mais solide, doté de bretelles renforcées, réglables par des boucles d’acier, qui retient mon choix. Là-dessus, diverses attaches permettent de sangler un matériel plus lourd, ce qui peut s’avérer utile.

Et question matériel plus lourd, c’est du côté du couchage qu’il me faut me tourner, histoire de finir un peu avec les nuits à la belle étoile, à me les cailler sous un rocher, ou trempé comme une soupe à cause d’une averse. Il y a une tente, avec une armature de bois, tout pour pioncer presque comme chez soi. J’ai pas besoin d’autant. Par contre, une bonne toile assez large pour que je puisse m’y coller avec le fruit de ma chasse, imperméable, que je pourrai ensuite moduler comme je l’entends, par exemple pour étendre un abri naturel, ça me convient mieux. Pas mal encombrant, mais je pense qu’au final je n’aurai pas à le regretter.

Pour autant que je puisse en juger, le vendeur qui m’adresse un sourire lorsque je dépose les effets qui m’intéressent est une vendeuse ; mais avec les elfes, allez savoir… Nous n’avons pas échangé plus d’un bonjour lorsque je suis entré, et il m’a semblé tout du long que son regard ne me quittait pas un instant. Quoi de plus normal, je suis le seul client à cette heure à sa boutique. Et puis je ne pourrais pas la blâmer de me trouver curieux, je serais sans doute le premier à garder à l’œil, par acquis de conscience, le membre d’une race étrangère qui viendrait dans ma boutique, si j’en possédais une. Ne serait-ce que pour me faire une idée de quoi ils ont l’air, les gens comme lui. Pas sûr que je sois un bon représentant pour les humains.

« Je souhaiterais vous ach’ter ça. Et puis éventuellement, savoir si vous r’prendriez une cape et ce sac. Ah, oui, j’oubliais... Si vous avez d’ces breuvages qui peuvent vous r’mett’ sur pied en cas de p’tit bobo, l’genre qui accélère la guérison d’une blessure, m’en faudrait huit. »

Huit, ça devrait être assez, pis ce chiffre pourrait me porter chance. Sans se départir d’un sourire de bon aloi, la boutiquière m’explique qu’elle dispose de telles potions, mais que transporter des fioles peut s’avérer encombrant, d’autant qu’elles sont fragiles. Aussi me propose-t-elle une gourde magique, qui peut contenir plusieurs liquides sans que jamais ils ne se mélangent, et dont le buveur peut faire le choix d’une simple pensée. Pas bête, la magie ne m’inspire pas spécialement confiance, mais là, faut dire que c’est plutôt pratique. J’accepte d’un signe de tête. Reste maintenant à savoir combien je vais débourser.

(((Vente :
cape de dissimulation (End+9) = 840/2 = + 420 yus
grand sac (encombrement max de 25) = 100/2 = + 50 yus
Achat :
Sac sans fond (Encombrement max de 40) = -600 yus
Grande gourde magique = -150 yus
8 petites potions de soin = 8*20 = -160 yus
Toile cirée (2 personnes) = -100 yus.
Total : 420 + 50 - 600 - 150 -160 - 100 = -540 yus sur ma fiche de personnage
Je souhaiterais que les huit petites potions de soin soient transférées dans la gourde magique s'il vous plait.)))

A la recherche des sinaris

L’elfe paraît un instant décontenancée par l’accent rustique de Jager, et semble tendre l’oreille avec un sourire légèrement crispé. Malgré tout, à la fin de la déclaration de Jager, son sourire se fait plus franc. Une fois les objets demandés sur le comptoir et la cape ainsi que le sac analysés et acceptés, l’elfe fait mine de calculer avant de dire :

- Le sac et la cape, je vous les reprends pour 470 yus. Si on leur enlève le reste de ce que vous souhaitez acheter, cela fait 540 yus pour l’ensemble. Le sac est de très bonne facture, dit-elle, légèrement gênée, pour expliquer son prix.

Elle empoche les yus de Jager et le salue.