Message PNJ

« Mais non, ne t’inquiète pas. Je suis parfaitement au fait de ta situation au sein de la garde. Et je ne doute pas qu’elle s’est encore plus envenimée depuis ta mission de ce soir. Et dès demain, toute la milice te cherchera des noises avec un portrait détaillé, tu peux me croire. Mais… c’est justement en allant lui rapporter et en présentant tes plus plates excuses à cette chère sergente, à son bureau, et sans te faire prendre avant, que toutes les charges contre toi seront annulées. Les nouvelles comme les anciennes. »

Elle te regarde d’un air malicieux et joueur.

« Servir le Temple en servant tes propres intérêts n’est-il pas le meilleur moyen de nous assurer une collaboration ? »

Je n'en peux plus, je suis épuisé, à bout de souffle et je me sens vacillé, mais pourtant, pourtant je dois rejoindre le Temple des Plaisir pour donner la lettre. Cela fait maintenant une heure que j'arpente les rues de Kendra-Kâr, les muscles endoloris et le souffle court. Une heure que je recherche en vain ce temple et qu'a chaque fois que je demande ma route, mon état de fatigue fait que je ne me souviens de rien, une heure que je me demande si je vais m'en sortir.Je n'ai rien mangé depuis près de vingt-quatre heures, ma vision se brouille légèrement et mon corps tout entier réclame du repos. Je vais tenter une dernière fois et ensuite....nous verrons bien.

Je m'approche tant bien que mal d'une grande battisse blanche des plus élégantes, gardée par deux soldats en muni de hallebardes. Je m'avance, difficilement en faisant mon possible pour tenir debout, mais rien n'y fais, je n'en peux plus, vraiment plus. Arrivé devant les gardes, je tombe à genoux, je dois leurs dire...

"Temple....Plaisir...Pudding.....La Planche."

Je ne vois plus rien, je ne sens plus que le contact froid des pavés Kendran contre ma joue, vais-je échouer dans ma mission? Faillir à ma promesse? Rana, Zewen, vous êtes les seuls maitres de mon sort maintenant.

La situation devenait vraiment inquiétante. Halkmir commençait à penser que Pulinn lui faisait une mauvaise plaisanterie. Mais envisager le pire était toujours un moyen plus efficace de s'y préparer.

"Donc... vous voulez que je m'infiltre dans le quartier général de la milice, que j'y fasse les excuses à la capitaine, et que je revienne, c'est ça?"

Il insista bien sur la notion de retour, des fois que sa maitresse ne voyait pas cela comme une nécessité.

Par le passé, Halkmir avait souvent eu des missions particulièrement périlleuses, farfelues, voir suicidaires. Mais c'était justement pour éviter que cela se reproduise qu'il était partis de chez lui. L'idée de recommencer pour le compte de son nouvel "employeur" ne l'enchantait guère, d'autant plus que l'intérêt de cette mission lui échappait quelque peu. Mais après tout, puisque c'est ce qu'il faisait de mieux...

Il considéra l'elfe. Il espérait simplement qu'elle ne s'amusait pas avec lui avant de le faire jeter aux geôles.

"Il ne me reste donc plus qu'a..attendre que le double de la clé soit prête..."

Il baissa les yeux, sur sa main toujours aussi indiscrètement placée, sans oser bouger.

Message PNJ

(À Duncan)

Te voyant au bord de l’évanouissement, les gardes se ruent vers toi et te soutiennent avec leurs larges épaules. Ils t’emmènent à l’intérieur du Temple, où ils te laissent à la charge d’un laquais en livrée rouge. Il t’allonge sur une couche, dans une alcôve de la salle principale, et un second laquais amène une petite bassine d’eau fraiche et un tissu imbibé, avant de s’en aller. Le premier s’empare du tissu et te le passe sur le front pour apaiser ton malaise.

« Monsieur ? Tout va bien ? »

(À Halkmir)

Pulinn se complaisait à laisser ta main posée sur son décolleté, même si elle n’en disait mot.

« Oui, c’est bien ça. N’ais crainte, jeune mage. Si cela tourne en ta défaveur, nous serons là pour t’aider. Tu ne seras pas seul… Reviens me voir ici dans une heure, et profite du temple en attendant ! »

[HRP : en libre pour occuper le temps du petit pyro pendant une heure dans le temple.]

Pendant une heure, le garçon fut témoin de quelque chose de parfaitement nouveau pour lui. Au cœur des cuisines du temple, face à l'opulence, il ne se découvrit aucun appétit, à croire que cette mission à venir l'angoissait au plus haut point.

C'est avec une pointe d'hésitation qu'il repartis à la recherche de Pulinn, une heure plus tard.

Où suis-je? J'ouvre mes yeux, lentement, sorti de ma torpeur par un contact froid sur mon front. Mes muscles sont endoloris, mais je me sens bien, je me sens mieux. Une petit homme trapu, tout de rouge vêtu est penché sur moi, l'air inquiet. L'allure de cette petit personne m'inspire confiance, le regard franc, un petit sourire sincère à la vue de mon réveil, je me sent en sécurité. Difficilement, je me relève pour adopter un posture assise. Le luxe des lieux m'impressionne, ne serait-ce que la couche qui où je suis confortablement installé. Magnifique, drapée de satin d'un rouge envoutant, et ce velours des plus délicats au touché. Est-ce que je mérite autant de luxe ? Où suis-je ? Je me dois d'abord de rassurer l'homme sur mon état, les question viendront après.

"Je...Je vais bien merci."

Oui je vais bien, étrangement bien après ce qui s'est passé ces derniers jours, mais je ne dois pas oublier ce que je suis venu faire ici, ce pourquoi j'ai risqué ma vie. Celui qui veille sur moi peut surement me renseigner.

"Excusez moi...je dois voir une certaine Poitrine...euh...Pudding...enfin bref. Je dois, me rendre..euh..Où est le Temple des Plaisirs? Je dois m'y rendre, c'est....important."

Il faut vraiment que j'apprenne à parler correctement, je me demande même si l'homme m'a compris tellement ma voix est hésitante.

Message PNJ

(à Duncan)

Le laquais en livrée haussa un sourcil à tes paroles, non sans une petite moue amusée par tes propos décousus, et te répondit presque aussitôt :

« Vous êtes en plein cœur du Temple des Plaisirs. Et je vais à l’instant chercher Dame Pulinn… »

Puis, alors qu’il tournait les talons, il précisa :

« Il n’est pas exclu que vous en voyiez la poitrine… »

Et il s’éloigna de ta couche. Quelques instants plus tard, une vision de rêve s’offrit à toi : une demoiselle elfe s’avançait vers ton alcôve avec un déhanché provocateur et marqué. Elle était sublime, à peine vêtue d’un voile évanescent qui affirmait ses formes plus qu’il ne les cachait réellement, le tissu fin épousant son corps à la perfection. Sa peau d’albâtre était parcourue de tatouages d’or, qui relevaient le doré de ses lèvres pulpeuses. Sa voix retentit alors, chaleureuse et suave.

« On m’a dit que vous me cherchiez… »

(À Halkmirr)

L’elfe splendide était toujours à sa place lorsque tu revins la voir. Elle tenait à la main la clé que tu devrais porter à la milicienne le lendemain.

« Voilà la clé que tu iras rendre à la Sergente Erwen demain aux aurores, à son bureau. En attendant, jeune mage, profite de cette nuit pour te reposer. Qui sait ce qui peut t’attendre… »

Halkmir pris la clé et, sans en demander d'avantage, pris congé.

Ce qui pouvait arriver? Que voulait-elle dire par là? De toute façon, a part se faire arrêter ou tuer, il ne pouvait pas lui arriver grand chose dans cette mission.

Pendant quelques heures, il erra, mangea un peu, puis finit par s'assoupir entre deux coussins...enfin il espérait que ce soit des coussins, un peu à l'écart de l'activité constante du temple.

Demain allait être une rude journée. Autant suivre les conseils de Pulinn et tâcher de se reposer.

Je suis donc au Temple des Plaisirs ? Quelle étrange coïncidence, la roue du destin a guidé mes pas m'a amené en ces lieux. Je me sens quelque peu honteux d'avoir déformé le nom de Dame Pulinn et je commence à me sentir mal, à avoir chaud, encore plus quand le petit homme me parle de la poitrine de Dame Pulinn.
L'arrivée de cette dernière ne va pas pour arranger les choses. Cette elfe est d'une beauté hors du commun. Sa tenue...Ses courbes...Sa peau. Tout éveille en moi un profond désir et les propos du laquais me reviennent...voir sa poitrine. Voila que je m'imagine des choses maintenant, un peu de respect voyons! Trop tard, la preuve de mon profond désir est maintenant visible à travers ma tunique et je fais mon possible pour la cacher quand l'incarnation de la beauté me fais face.

"Je....."

Je suis incapable de lui dire quoi que ce soit, trop occupé à serrer les jambes pour ne rien montrer de ma réaction primaire, mais logique. J'ai chaud, très chaud et je suis au bord de l'évanouissement, mais j'ai fais une promesse. Sans un mot et de toute façon je suis bien incapable d'en prononcer un seul, je tends la lettre à Dame Pulinn en espérant qu'elle comprenne sans que j'ai à lui expliquer. Oh mon dieu, ce corps....Pense à autre chose Duncan! Allez force toi!

Message PNJ

(À Duncan)

Pulinn haussa un sourcil à la vue de ce grand guerrier timide rougissant sur sa couche, au même instant où un sourire de séductrice carnassière s’afficha sur ses lèvres avides de baisers. Lorsqu’elle vit la ‘réaction’ qu’elle imposait au jeune homme, elle déhancha encore davantage sa souple démarche pour la rendre carrément aguichante. Arrivée toute proche du lit, elle y grimpa sans préavis, et avança à quatre pattes sur le jeune homme avec un regard provocant.

Elle prit la fiche entre les doigts, et se redressa à cheval sur les genoux de Duncan pour parcourir la missive du regard. Elle haussa à nouveau un sourcil, et jeta le parchemin griffonné un peu plus loin.

« Et tu es encore vivant, en ayant les hommes de Grantier à tes trousses depuis Bouhen ? Tu dois être fourbu. N’ais crainte, ici tu es en sécurité, et je vais prendre soin de toi. »

Elle était directement passée au tutoiement, comme pour rendre plus intime votre discussion naissante. Elle baissa des yeux gourmands vers ce que le guerrier avait tant de mal à cacher, et sans bouger de sa position équivoque, poursuivit :

« Comment t’appelles-tu ? »

Tout semble irréel, une elfe, d'une beauté digne de la grande Yuia elle même, est là, a cheval sur moi, une attitude provocante, comme réceptive à mon désir puissant et visible. Je dois être en train de rêver, plongé dans un monde onirique et mon cerveau me joue des tours, mais si c'est bien un rêve, par Rana faites que je ne me réveille pas.
Non, le contact de ce corps contre le mien, la boule au ventre, ma fierté masculine qui fait des siennes, mon incapacité à parler, tout ça est bien réel je le sais, mais tout est trop beau. J'ai été battu et poursuivi par Rewolf Grantier et me voila maintenant allongé dans un endroit confortable, une elfe sublime sur moi, me provocant ouvertement, me promettant la sécurité...Que faire, je dois respirer et parler lentement, calmement et essayer de réfréner mes pulsions masculines. Le dernier point est plus dur à mettre en pratique que le premier, je dirais même que cela empire. Je reste là, sans bouger, essayant de ne pas croiser le regard de Dame Pulinn, j'ai chaud.

"Duncan..."

J'aurais voulu le dire plus fort, avoir le courage et la force de parler ouvertement à cette personne et pourquoi pas aller plus loin, mais j'en suis incapable. Pourtant j'en meurs d'envie.

Message PNJ

Pulinn garde cet air mutin et ce regard gourmand après que tu ais prononcé ton prénom. Délicate, elle pose une main légère sur l’excroissance déplacée qui provoque ta gêne, et poursuit après s’être léché les lèvres…

« Et que faisais-tu à Bouhen, Duncan ? »

Comme si ses gestes étaient associés à la discussion, son ton est suave et provocateur…

La belle Pulinn, magnifique elfe blanche, à la beauté incomparable, semble vouloir, comment dire, prendre la chose en main, si je puis dire et ce n'est pas pour me mettre plus à l'aise. Je n'en peu plus, il faut que je sorte, que je prenne l'air, mais partir serait un affront pour la déesse qui m'offre asile et protection. Voila un très bon exercice Duncan, contrôle toi, répond lui calmement, sans bégayer et à haute et distincte voix, si tu y parviens, non....je n'y arriverai pas. Pourtant, je dois répondre à une question, des plus simple s'il en est.

"Euh...Grantier, euh...m'a capturé à Oranan...p-p-pour l'avoir b-bousculer et il m-m'a t-trainer jusqu'à Bouhen."

Comment voulez-vous, avec une timidité comme la mienne faire une phrase correcte, qui plus est quand une femme telle que Pulinn vous provoque pose ses mains sur des endroit sensible de mon anatomie. Il faut que je prenne l'air vraiment, mais je n'ose pas, non, je n'ose pas lui demander d'arrêter son manège, et puis, je me demande si j'en ai vraiment envie...

Message PNJ

L’elfe blanche magnifique hausse un sourcil surpris à ton aveux d’enlèvement, et commente, sans véritablement s’adresser à toi…

« Tiens… Ce vieux Rewolf serait-il nerveux ? »

Te fixant à nouveau avec intensité, elle penche à nouveau vers toi son visage pâle et tu peux sentir sa poitrine délicate se poser sur ton torse, alors qu’elle se maintient juste au dessus de ton visage, appuyée sur ses mains.

« Et que faisais-tu donc à Onaran ? Que n’y s-tu retourné, après ta libération ? »