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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Dim 14 Aoû 2011 00:27 
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Elle semble hésiter pendant un petit moment puis une rage démesurée l’envahit. Elle commet la première erreur que l’on peut faire quand on combat pour la première fois, laisser ses sentiments agir lors d’un affrontement peut perturber la perception du milieu qui nous entoure. Le voile de la colère ressemble bien souvent à un bandeau sur les yeux.

(j’ai commis bon nombre de fois cette erreur. Je dois lui transmettre mon savoir pour qu’elle vive.)

Elle se place en position d’attaque, elle tient son épée à deux mains et pourtant il s’agit d’une arme avec un pommeau prévu pour la tenir à une seule main. Elle augmente sa force de frappe, mais elle impute grandement son habileté et sa fluidité de mouvement. Je ne vais pas critiquer ce style de combat car il n’est pas le mien. Il doit bien présenter d’autres avantages que l’augmentation de force.

Elle décide enfin de s’élancer vers moi, elle fait une entrée en matière comme j’en ai l’habitude moi-même. Un sourire se dessine sur mes lèvres, l’excitation du combat m’envahit. Je me délecte de cet instant, je la vois glisser sous moi. Je n’essais même pas de l’empêcher et je ne me tourne pas car je sais d’avance ce qu’elle va faire. Elle va tenter de me trancher les chairs.

(Tout juste, bon tu as lui faire quoi pour lui faire comprendre qu’il faut maîtriser sa rage ?)

Je m’abaisse pour éviter son coup et effectue une rotation avec mon bâton afin de la faire tomber sur le sol. Une fois que je la vois allonger sur le sol, je lui tends la main pour la relever puis je lui dis :

L’idée de te laisser envahir par ta rage n’est pas une si mauvaise idée que ça, mais il ne faut pas qu’elle t’aveugle. Il faut que tu la maîtrise, que tu la domines. Certes tu as l’impression d’être meilleure, plus forte,… mais ceci n’est qu’une banale illusion. Ton idée de passer sous moi est très bonne, mais tu dois attaquer plus rapidement. Je te conseille même de frapper pendant que tu passes en dessous de l’ennemi. Je l’ai fait contre des moustiques de la taille d’un cheval dans une grotte de Bouhen et crois-moi, cela a donné un massacre. Après je veux juste te dire qu’il n’est pas forcément nécessaire de tenir ton arme à deux mains. Tu réduits ta vitesse et ta maniabilité, mais en contrepartie tu augmentes l’impact. C’est à toi de choisir de ton style de combat, le mien est plutôt une épée dans chaque main, des coups rapides sur des zones vitales d’un corps.

Je tends mon bâton devant moi et pose la pointe sur son torse. Pour lui montrer la zone de danger qu’il existe autour de moi. Elle doit comprendre que si elle entre dans cette zone, c’est qu’il faut frapper pour tuer.

[i](Je sens que je vais m’amuser comme un petit fou)

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Dim 14 Aoû 2011 10:17 
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Au moment où je m’apprêtais à le frapper, il s’abaissa pour l’éviter. J’aurais dû m’y attendre, mais j’avais bêtement cru que je réussirais, quelle conne ! Il m’envoya un coup de bâton qui me fit tomber sur le sol. Je ne restais pas étendue bien longtemps, il tendis une main pour m’aider à me relever, mais je ne la saisis pas. Les Phalanges de Fenris avaient leur fierté.

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’étais de nouveau debout, prête à recommencer. Je me replaçai en position d’attaque en écoutant néanmoins les conseils avisés du maître d’arme que j’aimais. Il m’expliqua alors que laisser la haine m’envahir était une bonne idée, mais qu’il ne fallait pas que je laisse cette dernière me consumer.

En y réfléchissant bien, il avait raison. Je l’avais senti alors que je passais sous lui, que ma haine, ma colère allait m’être fatale. Comme le disais Daio, elle me rendait aveugle et me faisait perdre toute ma lucidité dont j’avais besoin pour parer les coups de mes ennemis. Il nota que mon idée de passé sous lui était bonne et je répliquai du tac au tac.

"J’aurais préféré me retrouver dessus", lui dis-je en rigolant.

Je reprenais vite mon sérieux. Même si une dose d’humour ne faisait pas de mal, il ne fallait pas que je me déconcentre. Le point faible de mon attaque avait été la rapidité et cela je l’avais senti. Il me donna un dernier conseil, celui de tenir mon épée à une main, cela me permettrait d’être plus fluide dans mes mouvements, mais d’une autre côté, la tenir à deux mains donnait plus de forces. Un choix s’imposait donc à moi. J’allai essayer les deux et je verrai bien celle avec laquelle je me sentirai le plus à l’aise possible.

Il me parla des points vitaux qu’il fallait toucher et pour ce faire, il plaça son bâton sur ma poitrine. Alors qu’il semblait réfléchir à quelque chose j’en profitais. Je me baissai et donné un violent coup de pied au niveau de ceux de l’elfe noir pour le faire tomber et en une roulade je me retrouvai sur lui, la lame de mon épée contre sa gorge.

"Un peu comme ça, maître ?", lui fis-je avec un sourire qui en disait long.

Je ne me relevai pas et déposai un baiser sur ces lèvres. Après ça je me relevais et lui dis :

Encore, c’était trop facile et je suis sûre que tu m’as laissé faire sans protester, lui dis-je en rigolant. Merci d’avoir exaucé mon souhait de me retrouver au-dessus, mais nous sommes là pour nous entraîner. Allez !"

Je me remettais en position d’attaque attendant de voir quel nouvel exercice il allait me proposer.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Dim 14 Aoû 2011 11:11 
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Adweinna semble plus enclin à la rigolade qu’au sérieux d’un combat. Soudain elle se baisse et frappe mes jambes, je suis déstabilisé et tombe lourdement sur le sol. Elle en profite pour placer sa lame contre ma gorge. Elle me demande si cela me va puis elle m’embrasse. Elle se relève et me dit que l’on doit continuer l’entrainement, elle ne va pas être déçu car là elle prend tout trop à la rigolade. Elle est déjà en position de combat, elle semble prête à apprendre une nouvelle chose.

Je pense que la pause et surtout la rigolade son terminé maintenant.

Je brise le bâton sur mon genou afin d’en obtenir deux d’une longueur identique. Je les fais tourner machinalement dans mes mains, je dois utiliser ma force et mes techniques tout en faisant attention de ne pas la frapper trop fort. Cette fois je ne reste pas passif, je m’élance contre elle. Je donne un coup avec un de mes morceaux. Elle arrive à le bloquer avec l’épée apparemment, mais elle n’aura pas le temps de bloquer mon coup de genoux qui arrive directement dans ses côtés. Je prolonge mon attaque avec l’autre bout de bois que j’appuis sur sa nuque pour la faire tomber contre le sol.

(J’espère ne pas y être allé trop fort. Par contre si elle s’amuse à refaire un coup comme tout à l’heure, je lui montrerais des techniques dévastatrices et surtout qu’il ne faut pas venir au corps à corps avec moi.)

Je recule de plusieurs pas et me prépare à voir son nouvel assaut, mais mon envie de combattre est trop grand. Je m’élance de nouveau sur elle et frappe en utilisant mes simulacres d’armes.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Dim 14 Aoû 2011 19:30 
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Daio déclara que la pause amusement était finie. Pour moi, cela sonnait le début du véritable entraînement. C’est maintenant que j’allai tester la dureté de ce qu’il voulait m’enseigner et de ce qu’il entendait par « aller jusqu’au bout de mes limites ». Avec sa force brute, il brisa le bâton et se retrouva donc armé de deux armes. Les choses sérieuses commençaient et toute envie de rire avait déserté mon cœur.

Il fit tourner les deux morceaux de bâtons si vite que je n’arrivais même pas à voir où ils allaient arriver. Je sentais qu’elle que chose d’étrange. L’atmosphère avait changé du tout au tout en l’espace d’un seul instant. Était-ce parce qu’il ne voulait pas me perdre et donc qu’il allait se montrer plus dur avec moi ? Et bien soit, même si cela me pinçait le cœur quand même.

Cette fois-c, il décida d’attaquer. Yuimen seul sait comment je réussis à bloquer son attaque à l’aide de mon épée que je tenais que d’une main, mais il fut trop rapide pour moi et m’asséna un violent coup de genou dans les côtes. Je reculai, le souffle coupé alors qu’il me donnait un dernier coup de bâton sur la nuque qui me fit rencontrer le sol en pleine face.

(Espèce d’ordure !)
(Calmes-toi Anorynn…)

Je me redressai, le souffle court, les mains sur les genoux je reprenais mon souffle et essayais de me concentrer pour trouver un moyen, même fourbe de ne pas me reprendre un coup aussi violent. Je n’avais pas prévu une telle brutalité durant l’entraînement. Soudain je sentis quelque chose couler le long de ma tempe. J’y passai un doigt pour y voir le liquide rouge qui nous maintient en vit. J’étais blessée, mais je ne devais pas abandonner.

Il recula de plusieurs pas, attendant ma nouvelle attaque, mais une force surnaturelle semble l’habiter et il se lance vers moi pour me frapper. Il arriva comme un fou vers moi. Je me plaçais en position de défense et réussis de nouveau à parer son coup et m’abaissai pour ne pas recevoir le deuxième coup qui vola au-dessus de ma tête.

(Vas-y !)

Anorynn s’avança doucement sans un bruit vers la jambe droite de Daio, ouvris sa bouche et referma ses crocs sur cette dernière sans pour autant les enfoncer, mais cela suffit à faire plier légèrement le shaakt. Je ne voulais pas faire saigner mon amour. De mon autre main je sortis ma dague et en effectuant une rotation, mes deux bras croisés, l’un tenant mon épée et l’autre tenant ma dague se trouvaient au niveau de sa gorge une fois de plus. Il m’aurait suffit de deux gestes vif pour l’égorger. Trop heureuse d’avoir réussi cet exploit, je ne vis pas on coup de poing arrivé au niveau de mon ventre.

Une fois de plus je me retrouvais à terre, une douleur fulgurante envahissant mon ventre et ravivant la douleur de mes côtes. Je revis le cadavre de ma mère et une larme coula le long de ma joue alors que je restais allongée sur l’herbe. Devais-je attendre qu’il vienne m’aider ? Non ! Le souffle encore plus court, le corps endolorit, je me relevai et fixai Daio avec douleur, mais détermination avant de reprendre une position de défense, attendant qu’il attaque.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Dim 14 Aoû 2011 20:30 
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Elle arrive à bloquer mon attaque et juste après je sens les crocs d’Anorynn dans mon mollet. Cela me déconcentre juste ce qu’il faut pour qu’elle se saisisse de sa dague et pose ses lames contre ma gorge. Elle semble heureuse et une nouvelle erreur apparaît la fierté de ce que l’on fait. Je profite de ce moment d’égarement pour lâcher une de mes armes et ensuite la frapper au ventre avec mon poing.

(Elle utilise son loup, c’est un atout non négligeable d’avoir un équipier pour un combat. )

Je laisse tomber le deuxième morceau de bois que je tiens dans les mains et dégaine mes véritables armes. Je lui souris, ce même sourire que j’ai à chaque fois que je le combats des ennemis. Je plante une de mes lames dans le sol et ferme les yeux l’espace d’un battement de cœur. Je concentre mon énergie en pensant à mon amour pour elle et Flora. L’énergie crépite en moi, je relâche l’énergie d’un seul coup dans le sol.

Ma vague d’énergie se dirige vers Adweinna en craquelant le sol et heureusement pour moi elle était suffisamment loin pour ne pas être touché. Je respire un bon coup voyant qu’elle n’a rien, mais je dois continuer à la mettre sous pression surtout que maintenant j’ai dégainé mes véritables armes.

Je préfère ne pas les assembler sinon je risque d’être réellement plus dangereux que je le suis actuellement. Il faut que je lui donne un bon niveau avant notre arrivé. Je suis encore trop gentil pour le moment, je dois utiliser toutes les ruses possibles et je dois faire très attention à Anorynn. Je donne un coup de pied dans la poussière afin d’aveugler le loup. Je me jette sur Adweinna et lui balai les jambes avec les plats de mon arme. Elle s’écroule sur le sol puis je pose mon genou sur son torse et place mon épée à quelques centimètres de son œil.

On va s’arrêter pour le moment, je m’emballe un peu trop dans le combat. Je suis encore un peu énervé par rapport à mon bannissement.

Je rengaine mes armes et me place mieux au-dessus pour éviter de lui faire mal puis je l’embrasse langoureusement et je lui dis encore une fois que je l’aime.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Dim 14 Aoû 2011 22:55 
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Je pris peur lorsque je vis Daio sortir ses véritables armes, abandonnant les bâtons de bois. Ce banal entraînement commençait à prendre l’allure d’un combat à mort. Daio allait-il me pousser dès maintenant dans mes derniers retranchements au risque que l’un de nous soit blessé. Il me sourit de façon sadique, une lueur dans ses yeux qui m’était inconnue, mais que j’avais déjà vu chez le double vulgaire de Daio qui m’avait sauvé la vie en premier.

Je voulais arrêter le combat pour le ramener à la raison, mais il planta l’une de ses lames dans le sol et ferma les yeux pendant une minuscule seconde. Soudain le sol se mit à trembler et ce dans ma direction. Que se passait-il ? J’étais toujours en position de garde, la sueur coulant le long de mon dos. Par chance ou par la volonté de Daio, l’onde de choc ne m’atteint pas.

Je le regardais hébétée, mais crus comprendre qu’il ne voulait pas cesser le combat. Malgré la terreur que je ressentais, je me mis en position d’attaque, prête à m’élancer. Il envoya de la poussière dans les yeux d’Anorynn ce qui aveugla ce dernier. Je pus ressentir ça douleur, même infime. Daio en profita pour se jeter sur moi et me plaquer au sol, son genou sur ma poitrine et la pointe de son épée dangereusement proche de mon œil. J’étais essoufflée et cherchais une manière quelconque de me sortir de ce mauvais pas, mais le shaakt prit la parole. Je m’immobilisais.

Il souhaita s’arrêter là, car il reconnut qu’il n’était pas totalement maître de ses émotions et que l’énervement qu’il ressentait suite à son bannissement l’envahissait. Sans me relever, il rangea ses armes avant de se placer au-dessus de moi et de m’embrasser. Encore une fois il me dit qu’il m’aimait et je le crus. Il ne se montrerait pas si dur s’il ne tenait pas réellement à moi.

Je l’attirai vers moi pour lui rendre son baiser. Il n’y avait plus aucune tentions dans nos corps et ce fut sans mal que je réussis à inverser la position sans pour autant mettre fin au baiser. Dans ce mouvement, ma robe s ‘était légèrement relevée, dévoilant une partie de mes cuisses blanches.

"Je t’aime aussi, mon cher maître d’arme…, lui chuchotais-je à l’oreille. Même si tout est loin d’être fini, un peu de douceur ne te fera pas de mal…"

Je saisis l’une de ses mains que je plaçais sur la peau de ma cuisse offerte pendant que je glissai ma main sous son armure à la recherche d’un contact charnel. L’ivresse de ce moment. Je voulais la garder et y repenser lorsque je me battrai, le plaisir était loin d’être une faiblesse et mieux valait en profiter tant qu’on le pouvait encore. Je continuais de l’embrasser avec passion. Passion venue de l’amour que je lui portais, mais également de l’ardeur du combat.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Lun 15 Aoû 2011 00:07 
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Elle passe ses mains autour de mon visage pour m’attirer vers elle. Sa langue tournant dans ma bouche et la mienne touchant la sienne. Le désir a remplacé rapidement la rage et la violence en moi. Je me sens consumé par ce sentiment de bien-être, une chaleur douce et intense comme si je mettais ma main dans un feu sans me brûler. Elle nous fait rouler sur le côté afin qu’elle se retrouve au-dessus de moi, elle doit certainement avoir besoin d’être dominante. Je ne sais quoi faire, la laisser ou reprendre ma place. Cela ne me dérange pas d’être en dessous, il y a certains avantages d’ailleurs comme d’avoir une vue en contre-plongée.

Elle me susurre à l’oreille qu’elle m’aime et qu’un peu de douceur ne peut pas faire de mal. Je ne suis pas contre, il y a tellement longtemps que je n’ai pas eu de contact physique avec une femme. L’excitation est telle que je commence à me sentir à l’étroit dans mon pantalon. Je trouve ça quand même complètement dingue d’avoir autant de désir en soi pour une personne que l’on connait que depuis peu. Je ne dois pas chercher à comprendre les mystères de l’amour.

Elle saisit une de mes mains et l’emmène sur sa cuisse qui est découverte. Je peux sentir le contact froid et doux de sa peau. Je laisse mes doigts littéralement marcher sur elle, ils ont même l’audace de remonter doucement sous sa tunique. Elle essai avec sa main de traverser mon armure avec d’entrer un contact avec moi. Elle entame une lutte contre mon équipement et mes vêtements, mais elle parvient à atteindre mon ventre.

Pendant ce temps ma main a osé remonter jusqu’à ses fesses. Sur le moment, j’ai envie de dire à Adweinna que j’ai une vilaine main qui ose se promener toute seule. A ma grande surprise, je tombe sur un type de sous-vêtement que je n’ai pas l’habitude de rencontrer. Il s’agit d’une simple ficelle à l’arrière, je ne pense pas qu’il s’agisse d’un vêtement prévu pour le combat, mais je trouve que cela ne doit être déplaisant à regarder surtout qu’il semble être fait dans de la soie.

Je laisse ma deuxième main encore libre se diriger vers sa poitrine. Je pose ma main sur un de ses seins et commence à le pétrir délicatement. Je me rends compte que sa protection en cuir me gêne quelque peu. Je dirige ma main dans son dos afin de défaire le lasage qui maintient son armure. J’arrête de l’embrasser passionnément pour descendre doucement dans sa nuque puis les épaules pour finir sur le torse.

Soudain j’entends Xéolian frapper le sol avec son sabot comme pour me ramener à la réalité. Je regarde Adweinna et pivote pour me retrouver allongé à côté d’elle. Je l’embrasse encore une fois et me lève pour voir comment ce qui arrive à mon compagnon. C’est là que je me rends compte que nous n’étions pas si loin de la route et qu’il n’aurait pas fallu grand-chose pour que quelqu’un nous voit.

Je flatte l’encolure de mon fidèle destrier et l’approche du petit groupe que nous formons avec Adweinna et Anorynn.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Lun 15 Aoû 2011 00:46 
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Je peinais à atteindre la peau douce de Daio, tellement que je dus me contenter de son ventre. Je sentis un frisson me parcourir à ce contact. Je ne le connaissais pas depuis longtemps, mais peut-on refreiner un désir si puissant ? Je n’en avais pas la volonté, ni la force. Alors que je profitais de ce contact léger, mais puissant, je sentis sa main remonter le long de ma cuisse.

Une fois encore j’avais le souffle court, mais pas pour les mêmes raisons que tout à l’heure. Mon bas ventre frémissait sous le contact des doigts de l’elfe noir qui ne tardèrent pas à remonter jusqu’à mes fesses où il s’attarda. Je poussais un soupir de plaisir, de désir, signe d’une attirance réelle pour lui. Je l’embrassai dans le cou, mais son armure me gênait. L’une de ses mains vint s’attarder sur l’un de mes seins qu’il caressa avec douceur. Comment penser que l’instant d’avant nous luttions. Mon équipement aussi le gênait, de ce fait il laissa courir sa main dans mon dos pour en défaire les ficelles. J’envoyai mon plastron un peu plus loin.

Soudain, la monture de Daio trépigna. Il se retrouva allongé à mes côté, sur ses gardes et m’embrassa avant d’aller voir Xéolian. Pendant ce temps je m’étais relevée alors qu’il amenait sa monture plus proche du groupe que nous formions avec Anorynn. J’apparus dans son dos, passant une main sur son armure.

"Viens…"

Je lui pris la main et l’entraînai un peu plus loin dans les bois qui bordaient la route. Là je fis courir mes doigts sur son épaisse armure.

"C’est en trop je crois…", lui dis-je dans un souffle.

Mes mains se mirent alors à défaire soigneusement les lanières qui retenait le seul barrage entre moi et sa peau délicate. Je la posai doucement au sol. Une fois libérés de nos armures respectives, seuls nos vêtements, fins faisaient office d’obstacles. Cette fois je pus glisser avidement mes mains sous son vêtement et le lui ôtai. Je l’embrassai avant de reculer d’un pas.

J’ôtai ma robe et la laissai tomber dans l’herbe tendre. Je le saisis par le col, le replaçant au dessus de moi et m’allongeai de tout mon long. J’étais un flocon qui s’offrait. Tout en caressant le torse de celui qui faisait battre mon cœur et qui avait fait naître des papillons dans mon bas-ventre, je lui dis :

"Le dernier moment de plaisir avant le danger…"

Je l’attirai et l’embrassai avec encore plus de fougue qu’avant. Je le voulais, ici et maintenant et peut importe ce que les gens pouvait en penser, ils n’étaient pas à notre place. Ils ne brûlaient pas de désir. Nous étions deux flammes unies en une, animée par le feu de la passion. Mes mains glissèrent jusqu’au seuil de son intimité et je n’osai aller plus loin. C’était à lui de décider s’il voulait poursuivre cette union.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Lun 15 Aoû 2011 11:38 
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Adweinna s’est lever pour se placer dans mon dos et elle passe sa main sur mon armure, je suis chagriné de ne pas pouvoir sentir le contact de sa peau sur la mienne et d’avoir un frisson intense pouvant parcourir mon être. Elle me dit de venir avec une voix douce et sensuelle, je ne peux rien lui refuser si elle utilise une voix pareille.

Elle nous emmène dans un petit bosquet non loin de notre place actuelle. Elle promène ses mains sur mon armure avec un air innocent et me dit que mon armure est en trop. Je suis d’accord avec elle surtout qu’elle a déjà son équipement sur le sol. Elle arrive à défaire les lanières qui retiennent mon armure et cette dernière se détache de moi pour qu’ensuite ma compagne la saisisse pour pouvoir la déposer délicatement dans l’herbe.

Maintenant Adweinna arrive à glisser ses mains facilement sous mes vêtements de cuir. L’effet est plus intense que ce que je croyais, chacun des poils de mon corps s’hérisse sous l’excitation puis elle dépose à nouveau ses lèvres contre les miennes. Un baiser toujours aussi langoureux et aux saveurs sucrés s’échange entre nous.

Elle ôte sa robe et la laisse tomber sur l’herbe. Elle m’attrape par le col de ma tunique et m’entraine au-dessus d’elle. Chacune de mes mains se retrouve autour de sa tête afin de me tenir et de ne pas l’écraser. Elle passe ses mains sur mon torse brûlant de désire et elle me dit qu’il faut profiter de ce dernier moment de douceur avant la fureur de la bataille.

Elle m’attire encore un peu plus près d’elle pour pouvoir m’embrasser encore plus. Elle commence à glisser ses mains sur mon ventre et de descendre doucement jusqu’à atteindre le seuil de la décence. Je ne dis rien et réagis en l’embrassant sur la nuque puis les épaules pour enfin finir au niveau de ses seins. Une de mes mains à même décidé d’elle-même de se diriger vers sa féminité, mes doigts se promène sur ce qui lui reste de vêtement.

J’espère que cette réponse montrera mon accord par rapport à son envie. Je reste quelques instants sur sa poitrine en l’embrassant et en jouant avec ma langue puis je décide de continuer tellement mon désire brûle en moi. Je crois que mes années d’abstinences se consument en cette instant et que rien au monde ne pourra me gâcher ce moment. J’amorce ma descente avec mes lèvres jusqu’à atteindre son entre-jambes pour remplacer ma main coquine.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
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Les deux bras puissants de Daio encadraient mon visage. Il frémit sous mes caresses et le plaisir qu’il ressent me revient en plain visage. Un échange total, un bonheur partagé que rien ne pouvait venir briser. Alors que j’atteins le niveau de son pantalon, Il continua ses baisers, passant par ma nuque et pour finir sur ma poitrine qu’il embrasse langoureusement et avec délice.

Mon corps tremble et brûle d’envie, de désir pour lui. À cet instant je sus que je pourrai un jour me consumer pour revivre un instant pareil dans les bras de mon aimé. Je pousse un léger cri lorsque sa main vint caresser ma féminité, l’endroit le plus secret pour une humaine, mais qui aujourd’hui lui était totalement ouverte.

Pendant ce temps, il joue avec sa langue sur mes seins et sur mes tétons durcis par le plaisir. Et bientôt, mon souffle de plaisir se fit de plus en plus court lorsqu’avec ses lèvres et sa langue, il descendit là où se trouvait sa main quelques instants plus tôt. Je ne réalisais plus ce qu’il se passait. Le monde se résumait à nos deux corps enlacés, ne faisant plus qu’un. Pendant un instant je profite de ce cadeau qu’il me fait et absorbe le maximum de plaisir.

Mais n’y tenant plus, je lui relève la tête et m’extirpai de son étreinte. Nous étions à genoux, l’un en face de l’autre. Je l’embrassai avant de descendre à mon tour sur son torse musclé et forgé par la guerre. D’un mouvement fluide, je fis tomber le dernier vêtement qu’il me restait. Je me retrouvais telle une nymphe des bois, nu, en accord avec la nature et faisant ce qui pour moi était le plus naturel au monde.

Mes mains descendirent le long de son torse pendant que je faisais jouer ma langue sur son torse et particulièrement sur ses deux tétons. Je les glissai sous son pantalon pour faire glisser tout le reste de ses habits le long de ses jambes. Il était presque nu et l’une de mes mains ne pu s’empêcher de venir caresser sa masculinité, sa virilité, toute brûlante de désir, tout comme mon intimité l’était. Mes baisers aussi arrivèrent jusqu’à cet endroit que je voulais sentir en moi. J’y déposai des baisers délicats et fit jouer ma langue sur son sexe.

Après quelques minutes de ce petit jeu, je me redressai et le forçai à s’allonger. Je me mis au-dessus de lui et lui murmurais.

"Je te veux…, lui dis-je le souffle empli de désir pour lui. Je suis à toi Daio…"

M’emparant de sa virilité, je la fis entrer dans ma caverne secrète et commençai à jouer des hanches.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
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Adweinna laisse s’échapper un soupir de plaisir, je dois donc comprendre que je la satisfaits pleinement pour le moment. Soudain elle prend ma tête entre ses mains et me relève. Nous sommes à genoux face à face puis elle se penche vers moi et commence à embrasser mon torse. L’excitation devient de plus en plus intense et profonde. Elle retire son sous vêtement afin qu’elle se retrouve nue devant moi m’offrant ainsi le plaisir de pouvoir la contempler. Elle est ravissante, somptueuse, enivrante et désirable.

Ses mains se promènent sur mon torse puis elle en profite pour faire brûler le désire en moi grâce à sa langue qui s’attardent sur deux zones sensibles de mon torse. Elle glisse ses doigts sous mon pantalon afin de me le retirer. Un sentiment de faiblesse m’envahit au moment où je me retrouve à demi-nu. Je me suis toujours cacher derrière une carapace de cuir ou de métal. Le mélange de sentiment de faiblesse et de désire est subtile ainsi qu’agréable.

Elle promène sa main sur ma virilité et à ce moment je ne sais quel alchimie se produit en moi, mais cette dernière semble se mettre au garde à vous comme un bon milicien obéissant aux ordres. Elle embrasse mon corps jusqu’à atteindre sa main. Elle reproduit ce que je lui ai fait tout à l’heure, mon corps se retrouve parcouru d’un frisson, mes muscles se contractent au point que mon dos se cambre. J’ai comme une montée d’adrénaline à ce moment, je ne peux pas décrire tous les sentiments qui me traversent tellement ils sont intenses et puissants.

Au bout d’un certain temps, elle se redresse et pose sa main sur mon torse pour m’obliger à m’allonger. Je résiste un peu juste le temps de lui donner un nouveau baiser puis je me laisse faire. Elle se place au-dessus de moi et me murmure qu’elle me désire et que je lui appartiens.

Je te désire de tout mon être et moi aussi je suis à toi.

Elle s’empare de moi et s’installe. La sensation de chaleur, de douceur et le mouvement de ses hanches sur mon organe qui est en elle. Mon corps se met à vibrer avec elle, mon souffle devient profond et fort. Je dirige une de mes mains vers son sein avec des doigts massant et titillant le téton puis l’autre juste au-dessus de l’entré de sa grotte avec le pouce caressant l’endroit.

(Heu Daio sa te dérangerais pas trop que l’on intervienne aussi car franchement nous aussi on brûle d’envie.

L’amour est un sentiment qu’il faut savoir partager mon petit Daio.

Personnellement l’amour j’en ai rien à foutre, une partie de jambes en l’air me suffit amplement.

FERMEZ LA BORDEL DE MERDE
)

Les voix se turent aussitôt, mais cet instant de déconcentration me fut quelque peu fatal. L’envie est devenue de plus en plus forte. Je me redresse, passe un bras derrière et l‘embrasse sa poitrine pour ensuite lui déposer un baiser passionné sur les lèvres.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Lun 15 Aoû 2011 15:54 
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Mon ventre se tordait de plaisir tandis que mes hanches remuaient de manière douce puis de plus en plus rapidement. Il dirigea l’une de ses mains sur mes seins et les massa avec douceur et fermeté. Je ne tenais plus, je poussais de plus en plus de cris que je tentais de faire discrets pour ne pas éveiller les soupçons de ceux qui passaient sur la route. Son autre main se dirigea vers mon intimité où il toucha le point le plus sensible de mon corps. Un cri plus puissant sortit de fond de ma gorge.

Je me penchai au-dessus de lui, mes longs cheveux venant balayer son torse. Je l’embrassai encore et encore, descend toujours sur son torse délicat alors qu’il accélérait in mouvement de va et vient à l’intérieur de moi. Chaque fois qu’il y rentrait de nouveau, cela m’arrachait encore un petit cri de plaisir. Je remuai de plus en plus, voulant atteindre le sommet du plaisir, l’extase. Il m’embrassa les seins et les lèvres.

Dans un sourire malicieux, je me penchai d’avantage et je renversai la situation pour me retrouver de nouveau en-dessous de l’elfe qui était en moi et dans mon cœur. Sans pour autant le faire sortir de moi, car je ne le voulais pas. Je n’avais pas encore atteint l’extase et lui non plus. J’étendis mes bras au-dessus de moi, serrant quelques brins d’herbe pour éviter de crier trop fort. Je n’en pouvais plus, pour la première fois de ma vie je m’offrais totalement à quelqu’un, sans défense, avec pour seule arme tout l’amour que je lui vouais.

Je plongeai mon regard dans le sien et l’embrassai, ne voulant plus reprendre ma respiration et voulant me noyer dans son corps et dans ses lèvres. Il accéléra le mouvement et mon corps commença ne tenait plus, il tremblait sous les assaut du désir et de force de Daio. J’étais à lui, totalement à lui et rien n’y personne ne pourrait changer cet état de fait. J’étais essoufflée, mais je ne voulais pas que cela s’arrête et soudain quelque chose monta en moi.

Les papillons dans mon bas ventre se faisaient de plus en plus nombreux et je ne pouvais plus les contenir. Ils voulaient sortir pour exprimer tout l’amour que j’avais pour celui qui me faisait l’amour en cet instant. Je ne pus réprimer un cri plus fort que les autres alors que mon corps se crispait et se cambrait sous les effets de l’extase qui venait à moi.

Mes mains se nouèrent autour du cou de mon adoré le forçant à se coller à moi. Je voulais me fondre en lui, ne faire plus qu’un. Je l’embrassai avec toute la passion qui se déchaînait en moi telle une tempête. Je couvrais son cou, son torse des baisers les plus enflammés qu’ils soient. Je serrais son corps puissant contre le mien, mes seins ferme se trouvant écrasés sous le poids de son corps et pourtant, jamais la douleur n’avait été aussi douce, car elle venait de lui.

"Vas-y !..., lui dis-je dans un souffle. Prends-moi toute entière…"

Et je m’étendais de nouveau de tout mon long laissant juste une main sur son torse et lui donnais mon corps pour l’ultime offrande qu’il soit.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Lun 15 Aoû 2011 16:51 
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Adweinna commence à gémir de plus en plus, ses petits cris deviennent de plus en plus forts. Il est quand même étrange que ma compagne pousse des cris alors que moi-même je prends aussi autant de plaisir qu’elle, mais qu’au niveau sonore je suis plutôt muet. Soudain elle me sourit et nous fait pivoter afin qu’elle se retrouve à nouveau en dessous. Elle étend ses bras et saisit de l’herbe que serre fort aux creux de ses mains. J’éprouve un profond sentiment de joie de pouvoir éprouver à nouveau cette passion charnelle.

Elle pose ses yeux dans les miens, j’ai l’impression d’être un être fragile si je devais reprendre une expression ce serait une humaine. J’ai l’impression de redevenir humain, mais dans mon cas je dirais que j’ai l’impression de revivre. Je donne des à-coups avec mes reins pour continuer à donner du plaisir et à en recevoir. Son souffle et le mien sont saccadés, courts, mais empreint d’amour.

Chacun de mes mouvements me rapproche le plus de la jouissance, je me délecte de ses moments que je ne suis pas sûr de connaitre à nouveau avant un certain temps. Son corps se crispe et se cambre sous chacun de mes mouvements. Elle passe ses mains autour de mon cou et me rapproche d’elle jusqu’à ce que je sois collé contre sa peau. Ses seins se retrouvent comprimés par mon torse, nous formons ce que l’on peut appeler la bête à deux dos. Je trouve ça tellement magnifique, agréable et somptueux.

Elle m’embrasse avec passion ce que je lui rends directement de la même manière. Nous brûlons tous les deux d’un désir intense. Elle m’embrasse dans le cou et sur le torse puis elle rapproche encore un peu plus nos deux corps. Elle me dit même de la prendre tout entière, les va-et-vient se firent de plus en plus rapides et de plus en plus lointain.

Elle s’allonge de nouveau sur le sol en gardant une main sur mon torse. Je passe un de mes bras et la soulève pour que je puisse me retrouver dans la position à genou avec elle au-dessus. Je l’embrasse et la caresse en même temps, le désir est tel que je ne peux plus le contenir et je laisse mon amour se rependre en elle comme un cours d’eau débordant dans les prairies environnantes. Je pousse un gémissement de plaisir qui me fait frissonner entièrement le corps et je dis à Adweinna :

Je t’aime

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Lun 15 Aoû 2011 17:22 
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[:attention:] Post pouvant contenir des propos choquants
Pris du même désir que moi, il passa un bras sous mon dos pour me soulever. Il était à genoux et toujours en moi. J’embrassai tendrement son cou, laissant mes mains se balader dans sa chevelure pour descendre le long de son dos jusqu’à la naissance de ses fesses. Tout n’est que douceur et amour entre nous.

Soudain je sentis cet amour couler en moi. Quelque chose de chaud se répandit alors en moi et Daio poussa un léger cri de plaisir qui contenait tout l’amour qu’il me portait. Son corps frissonna et en me regardant il me dit qu’il m’aime.

Je passe l’une de mes mains sur son visage encore brûlant de l’effort qu’il vient de fournir. Il était un ange noir venu du ciel pour que je le rencontre et pour que je l’aime, que j’apaise ses blessures. Bien sûr, rien ne pourrait lui faire oublier Flora et je ne le voulais pas. Je l’embrassais tendrement, avec amour avant de lui dire en souriant.

"La conquête d’une femme vaut bien une bataille, tout comme te conquérir…"

À ces mots je l’embrassai encore une fois et me calai nue contre son corps chaud. Ma raison me disait que nous devions retourner près de la route pour que nos compagnons ne passent pas sans nous voir, mais mon cœur voulait rester là, contre lui, à profiter de ce moment de tendresse. Je laissai aller et venir mes mains dans son dos et la tête calai dans le creux de son épaule, je lui embrassai le cou.

"Je t'aime tellement..."

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Lun 15 Aoû 2011 18:06 
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Elle m’embrasse encore une fois et me dit que la conquête d’une femme vaut une bataille. Je lui dirais bien que oui, mais la grande différence est que la victoire à un goût sucré dans ce cas. Elle se blotti contre moi, je passe mon bras autour de ses épaules et lui embrasse les cheveux. Le sentiment de bien-être m’envahi, je me sens reposé, calme et détendu.

Après quelques instants de calme, je la regarde et lui dis :

Nous devrions nous rhabiller et aller attendre nos compagnons justes à côté de nos amis à quatre pattes.

Je l’embrasse une dernière fois et commence à récupérer mes affaires qui se trouvent tout autour de nous. Je renfile ma tenue de cuir et me rééquipe de mon armure ainsi que de mes armes. J’aimerais tellement vivre une vie tranquille et paisible avec Adweinna. Je me verrais bien reprendre une ferme et produire ce que j’ai besoin pour manger et de temps en temps aller dans l’arène pour gagner un peu d’argent.

Je regarde le corps d’Adweinna pendant qu’elle s’habille, elle est vraiment magnifique. Jamais je n’aurais pensé qu’une telle relation puisse apparaître entre elle et moi. J’ai le lourd fardeau d’être un Shaakt et pourtant elle a regardé plus loin que mon apparence, elle a touché mon cœur. Je trouve cela complètement fou qu’en l’espace d’une nuit nous ayons pu apprendre à nous aimer à ce point.

Une fois que nous avons fini de nous rhabiller, je l’embrasse encore une fois et lui prends la main pour rejoindre nos compagnons. Je m’agenouille aux pieds d’Anorynn et le gratouille derrière les oreilles en espérant que cela lui plaise. Puis je me dirige près de Xéolian et regarde si la selle est correctement mise puis je l’approche d’une zone où l’herbe semble plus appétante.

Adweinna, j’espère que ce voyage nous rapprochera encore plus et surtout que nous reviendrons tous les deux à Kendra Kar. Cette ville me manque déjà.

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