L'Univers de Yuimen déménage !


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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Mer 17 Fév 2010 16:29 
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Le port

L'elfe gris marchait au milieu des nombreux marchands et marins qui venaient du port.
Arrivé prêt des portes, l'elfe les observas. Celles-ci était plutôt grossières, et il semblait au jeune homme quelles allaient s'effondrer d'une seconde à l'autre. Quelques gardes étaient posté devant l'entré, mais certains semblaient plus pressé de rattraper leurs heures de sommeils plutôt que d'observer le flux denses des personnes qui entraient et sortaient de Kendra Kâr. L'elfe s'approcha de l'un deux, et lui demanda, utilisant sa haute stature pour impressionner le bonhomme, et le faire réagir.

«Sentinelle, dit-il de sa voix naturellement hautaine, pourrais-tu me dire ou se trouve le temple du dieu Yuimen de la cité ?»

Le garde sorti de sa somnolence, et lorsqu'il ouvrit les yeux, il tomba sur le torse bombé d'un elfe gris entrainé au combat. Levant timidement les yeux, il observa la face du fils d'Elru'tialer qui le dépassait d'une très bonne tête. Tentant de faire bonne figure, il se mit au garde-à-vous, et répondit.

«Mais bien sur, vous suivez cette rue, et arriverez au bâtiment de la milices, vous tournerez à gauche. Vous longer la milice, et le temple de Yuimen est le bâtiment juste après, vous ne pourrez pas vous tromper»

L'elfe gris regarda la direction indiquer, puis il s'en alla en disant :

«Merci, sentinelle.»

Temple de Yuimen

_________________
Fils d'Elru'tialer / Rôdeur (lvl 1)


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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Dim 7 Mar 2010 03:00 
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Une silhouette se détachait à l'horizon. Ciad avançait vers la grande cité de Kendra Kâr.

(((Ah ! Enfin je la vois cette foutue cité ! Me voilà enfin rendu vers un semblant de civilisation ... J'exècre vraiment toute cette verdure, alors y passer mes journées et même quelquefois mes nuits ... Tu parles d'un voyage !)))

Il accéléra le pas et se rapprocha des portes. Il leva la tête et observa les imposantes murailles de la cité. Un frisson remonta le long de son dos. La vue de la ville l'émouvait après un si long moment passé dans la nature.

(((C'est la deuxième fois que je viens, mais tu me fais toujours le même effet Kendra Kâr ... Mais cette fois je prendrais le temps de te connaître et de t'apprécier. Je suis certain que tu me réserves de nombreuses surprises.)))

Il s'avança sur le pont-levis et fût pris d'un vertige en jetant un œil dans les douves. Il secoua la tête et scruta la grande porte où la moitié du royaume semblait s'être donné rendez-vous. Des marchands itinérants avec leurs marchandises, des voyageurs et leur famille, des aventuriers et leur baluchon, des paysans et leurs bêtes, des bourgeois montés sur d'élégants équidés, toute les classes sociales étaient représentées.

(((Pfff ! La flemme ... Hors de question de faire la queue ... Je vais essayer de me frayer un passage.)))

Il se faufila donc dans la foule compressée devant la porte. Par manque d'inattention, il bouscula un paysan plutôt du genre bien bâti.

"Héla la l'mouflet ! Tu va où comme ça ? Faudrait penser à pas s'foutre de not' gueule, tu nous passes devant, et en plus tu nous bouscules !"

(((Et merde !)))

Ciad se retourna brutalement et lui jeta un regard glaçant, la capuche de sa cape qui cachait une bonne moitié de son visage formait, avec les dernières lueurs du jour, des ombres effrayantes sur son faciès. Le grand homme fit des yeux ronds puis détourna le regard, ne prononçant pas un mot.

(((Ouf, c'est bon il m'a laissé tranquille. Heureusement, je ne pense pas faire le poids devant cette masse ...)))

Il atteignit enfin les deux gardes de la porte. L'un deux s'écria :

"Halte !"

(((Génial ! Un représentant de l'ordre maintenant, mais je vais jamais y arriver moi !)))

"Vous m'avez l'air bien pressé d'entrer ! On ne tolère généralement pas les gens qui passent devant tout le monde comme vous le faites. Vous croyez que je ne vous ai pas vu ?"


Puis il reprit un peu plus bas.

"Je pense que vous devriez me donner un petit quelque-chose pour ces gens qui attendent à votre place. A moins que vous ne vouliez faire demi-tour ..."

Ciad rabattit la capuche de sa cape pour dévoiler son visage. Puis il prit son plus beau sourire et dit :

" Vous savez, je ne vis que très simplement, je n'ai pas grand chose à vous offrir."


Le visage du garde se referma soudainement.

"Alors dégage ! On accepte pas les clochards et les mendiants à Kendra Kâr !"


(((Pourquoi t'es là alors abruti ?)))


"Je crois que vous m'avez mal compris, messire. Je suis venu en cette somptueuse cité pour trouver du travail."


Le garde éclata de rire.

"Ouais ! Tout le monde cherche du travail !"


Il ri de plus belle devant le voleur totalement déconcerté.

(((Est-il limité ? C'est quoi leur critère de recrutement des gardes à Kendra Kâr ? La consanguinité ?)))

Le garde se débarassa enfin de son fou-rire inexplicable et repris :

"Si tu ne veux pas payer et que tu cherches du travail, alors tu va devoir travailler pour moi ..."


Ciad ouvrit la bouche pour contester mais le garde le pris de court :

"Si tu refuse, alors c'est le cachot. Tu peux très bien t'y retrouver pour insulte à un milicien en fonction."

Le voleur ayant déjà traité avec ce type de personne, savait que discuter n'apporterai que des ennuis.

(((Enfoiré de débile ! )))

"Très bien, j'accepte. Ça sera un honneur de travailler pour la milice, messire."


Le garde regarda longuement en coin le Semi-Elfe, comme s'il doutait fortement de ses paroles, mais continua :

"Rends-toi devant le clocher, demain, à midi ... et sans faute ! Maintenant circulez !"

Ciad s'avança et franchit la grande porte mais fut retenu à l'épaule par une puissante poigne. C'était le garde qui lui murmura tout bas :

"Si tu n'y es pas demain. Je te retrouverais sois-en sûr. Et tu passeras un mauvais moment."

Ciad hocha la tête et se dégagea. Il remit sa capuche et entra dans Kendra Kâr.

(((Bordel ! Pourquoi le sort s'acharne sur moi ?)))


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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Dim 14 Mar 2010 22:46 
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Une masse poussiéreuse se détacha de l'horizon, plus tard c'était une ombre informe, plus tard encore c'était une personne sombre dont on ne pouvait pas encore distinguer ses traits précisément.

Plus tard l'homme dont le nom était Kadathe fut à porté de vue: C'était un un elfe couvert d'une grande cape sombre.
Son visage était sans émotion, il fixait l'entrée tout en s'approchant, marchant pas à pas. Cela pouvait durer une éternité et enfin, il mit pied devant la grande porte de Kendra Kar et s'arrêta net.

(Voici donc Kendra Kar...) pensa-t-il

Un sourire malicieux se marqua sur ses lèvres puis il reprit la marche.
Tout en mouvement, il observait les remparts qui formaient les crocs de la ville. Des archers semblaient s'y trouver. Ils observaient un instant le jeune elfe puis ils se remirent à fixer l'horizon.

Une foule incroyable s'amassait de l'autre côté du pont-levis. Des marchands et des voyageurs attendaient de recevoir leur autorisation pour rentrer dans la ville.

Les nobles et les bourgeois étaient les seules personnes ayant le droit de rentrer et sortir comme ils le voulaient. On pouvait entendre les protestations de certains, les ronflements des autres. On y trouvait de tout, et de rien.

Kadathe attendit son tour pendant 2 longues heures, il succombait quelque fois à la tentation de dépasser la foule mais il se retint, pour ne pas se retrouver aux cahots.

Une fois devant le garde, il donna son titre d'apprenti mage venant d'une université dont le garde se fichait du nom, après 10 bonnes minutes d'explications intempestives, il put entrer dans la ville sans encombre, et en garda un souvenir bien mauvais.

_________________
Kadathe, mage de niveau 1

Fiche de Kadathe


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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Ven 26 Mar 2010 00:39 
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Voilà déjà plusieurs jours que je marche dans les campagnes et les forêts verdoyantes en cette période de l'année, ce qui me donnait la nausée. Puis je vis au loin des murailles apparaître, c'était celle de la majestueuse cité de Kendra Kâr.

(Cela me fera le plus grand bien de m'arrêter), pensai-je.

Les remparts se rapprochaient de plus en plus. Quand j'arriva non loin des portes, je vis un tas de personnes attendant devant ces dernières. Au vu de ma grande taille, je pus voir qu'il y avait un régiment de soldats qui bloquait l'accès à Kendra Kâr. Je tenta de m'approcher afin de pouvoir entrer, mais je fis arrêter par un soldat me disant :

" Eh, où veux-tu aller étranger ? Ne vois-tu pas que personne ne peut rentrer ?", me dit-il sur un ton mécontent.

(Je sens qu'il va encore me saouler !)

"Et bien, voyez-vous, je ne suis qu'un voyager désirant se reposer après des jours de trajet. Et si vous n'y voyez pas d'inconvénients, j'aimerai passer."
, lui dis-je sur un ton calme.

"Je n'en ai rien à faire de vos raisons à la noix, j'ai reçu l'ordre de ne laisser rentrer aucune personne."

(Il commence à me taper sur le système avec son ordre à la con, je sens que je vais le tuer si il continue ainsi. Mais je dois rester calme pour éviter de me faire remarquer)

"Et si je vous donnais quelques yus, me laisseriez-vous passer ?"
, en murmurant l'oreille du garde.

Il me regarda bizarrement pendant quelques instants. On aurait cru que ma proposition l'avait perturber. Puis tout-à-coup, il me répondit :

"Moui, pourquoi pas. Prenez en compte que je ne suis pas sensé accepter de telles demandes, et que cela ne se reproduira jamais? Combien seriez-vous prêt à me donner pour que je vous laisse passer, voyageur ?"

Je sortis ma bourse et lui tendis une cinquante de yus, amasser tout au loin de mon périple. Il les examina pour vérifier que ce n'était pas des faux, puis il les prit sans broncher et il demanda aux autres villageois et marchands de bien vouloir me laisser passer.

(Enfin, j'ai bien cru que j'allais le trucider. Me voilà enfin arriver dans la cité, j'ai bien cru que je n'y parviendrais jamais. Mais bon ce qu'il me faut, c'est un repas copieux,car cela fait 2 jours que je n'ai pas manger et une bonne nuit de sommeil)

J'entendis derrière moi, des cris de colère des marchands qui rageaient en me voyant passer. Mais cela m'importer peu de les entendre. Et c'est ainsi que je continua de pénétrer dans Kendra Kâr afin de trouver une auberge avant la nuit.

_________________
Le succès se mesure au sang versé, le vôtre et celui de votre adversaire.


Dhaos/Voleur


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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Sam 17 Avr 2010 20:25 
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Galen avait quitté sa mère depuis déjà une quinzaine de jours lorsqu'il arriva en vu de la cité.
Ce départ n'était pas le fruit d'une dispute ou d'un désaccords entre la Taurion et de son fils. C'était simplement que le demi-elfe souhaitait connaitre le peuple de son père.

Même si il est vrai que la vie dans la forêt lui semblait bien monotone. Le temps passait, de saison en saison, d'année en année et il se passait quasiment toujours la même chose. Les rumeurs du monde n'atteignaient pas la communauté des elfes verts, car pour ce faire il auraient fallu que leur messager survivent.

C'était donc par curiosité et par envi de changement que Galen avait quitté les siens.
Bien évidement pour lui qui n'avait connu qu'un environnement sylvestre le premier choc fut lorsqu'il du sortir du couvert des arbres. Cela peut sembler étrange mais voir une plaine ou du moins un espace avec plus de cinquante mètres entre chaque arbre était nouveau pour le jeune homme. En un sens il se sentit mise à nu, exposer au prédateur alors qu'il lui suffisait jusque-là de se dissimuler derrière un arbre ou en montant sur celui-ci. cette vulnérabilité se traduisit par une forte tendance à conserver un flèche encochée, même si rien d'autre ne justifia cette précaution.

Il va sans dire que la vu de champs cultiver eu aussi un impacte. C'était comme voir la terre asservie et Galen ne peut s'empêcher de se demander comment Naritrùme le permettait. Le jeune homme continua néanmoins sa route et justement arriva sur une route qu'il suivit en direction du sud, en marchand en plein milieu du chemin évidement.

Bien évidement il n'a fallu que quelque heures pour qu'un bruit de tonnerre se fassent entendre derrière lui et qu'un homme sur un charriot lui demande de:

"Dégage du chemin, petit"

C'est plus en sursaut que Galen sortit du chemin, et comme il devait avoir un bonne tête l'homme l'invita à monter à l'arrière du chariot, avec ce que l'homme transportait c'est a dire des jarres.
Galen ne peut s'empêcher d'en ouvrir une et d'y jeté un œil mais il n'y avait qu'un liquide mauve dont les vapeurs piquait le nez.

Ainsi transporter le trajet sembla plus rapide pour le jeune homme, et c'est surtout ses pieds qui était heureux d'avoir un peu de repos, et le lendemain la cité était en vu.

Il quitta la compagnie de l'homme lorsque celui-ci s'arrêta à la file d'attente de la porte, et il en fut bien heureux car la conversation de l'homme au sujet de la vigne, du vins n'avait que peu de sens pour lui, il lui promis néanmoins si cela lui était possible de le revoir au marché.

Galen avança donc parmi la foule qui attendait son tour d'être fouillé, dépassant les charriots et autre véhicules puis patienta derrière les autre piétons.
Ces yeux ébahis le classait dans la catégorie des provinciaux, et ses vêtements tachés par la route et par ses nuits à la belle étoile dégageait une certaine odeurs que le garde ne put que remarquer. Toutefois celui-ci aillant sans doute des parent paysan laissa Galen entré non sans lui avoir indiquer les thermes après que le jeune homme lui est donner comme raison de sa présence l'inhabituel réponse.

"je viens voir la ville."

-->La grand-rue

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Galen rodeur 4


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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Jeu 22 Avr 2010 16:40 
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De : "Port de Kendra Kâr"

En passant sous l'immense arc de pierre grossière, le jeune loup pensa au nombre de personnes qui devaient passer par ses deux grandes portes en une journée. Puis il commença à revoir, un par un, les visages et les corps de toutes les filles qu'il avait laissé derrière lui...

Il n'avait pas besoin d'instrument pour celle-ci, le brouhaha remplissait déjà tout l'espace symphonique et il se trouverait bien quelques badauds qui fasse office de publique. Il chanta donc.


"Il est 5 heures...
Je quitte nos draps trempés de sueur.
De ma main, j'effleure ta peau.
Je pense déjà à tes prochains sanglots.
Il fait encore nuit.
Et rares se font les bruits.
Tu es tournée vers la fenêtre.
Tu es tous ce que je ne pourrais jamais être.

Je m'en vais bien avant l'heure...
Je m'en vais bien avant de te trahir...
Je m'en vais en gardant toute ton odeur...
Je m'en vais avant que l'on ne puisse en rire...

Je m'habille en te regardant dormir.
Je songe en te regardant sourire.
Je commande une blonde, une alliée.
Je bois modérément... déjà presque enivré.
Tous nos exploits... Passés.
Tout ce bonheur... Envolé.

Je m'en vais en croyant que tout est vrai...
Je m'en vais avant de te découvrir...
Je m'en vais avant que l’on ne se laisse aller...
Je m'en vais bien avant de te trahir...

Je reste de longues minutes, assis.
Sur la vieille chaise en bois rougit.
Je t'observe... lassé.
J’espère que de ton coté,
Jamais tu ne puisses m'oublier.
Jamais comme je l'aie fait.
Je n'espère jamais, une autre vraiment trahir.
Je n'espère jamais un autre jour vraiment partir.

Je m'en vais car l'on s'est vus volés...
Je m'en vais avant que l'on ne puisse atterrir...
Je m'en vais car l'on s'est tant aimés...
Je m'en vais bien avant de te détruire...

Je pense en écoutant, derrière moi, la porte claquer.
Je pense qu'il faudra tout recommencer.
Je pense en descendant l'escalier.
Que c'est du mauvais bateau que je me suis jeté.
Je n'ai aimé que toi...
Je t'embrasse jusqu'à en mourir...
Je n'ai aimé que toi...
Je t'embrasse jusqu'à en mourir...

Je m'en vais pour tout recommencer...
Je m'en vais pour ne jamais m'assagir...
Je m'en vais car tout est si léger...
Je m'en vais en te regardant dormir...

Je m'en vais pour ne jamais t'oublier...
Je m'en vais sans même te l'écrire...»



Il faisait déjà nuit.

Pas d'étoiles.
Les autres voyaient les étoiles... lui rien.
C'est pourtant le même ciel.
Immense, infini.
Et dans cet océan de l'envers, rien...
Un grand rien, un non-dit.
Aucune chance de revenir en arrière...
Aucune chance de rédemption.
Même le noir du ciel était éclairé par les lumières de la ville.
Un noir délavé.
Délavé comme les yeux des ces filles...

C'est alors qu'arrivé de nul part, un homme encapuchonné et vêtu d'une tunique rouge sombre l'interpella discrètement...


"Jeune homme... pssst, jeune homme... pour trouver ce que tu cherches, il te faudra te rendre au temple des plaisirs"

"Le temple des plaisir ? qui êtes vous ? Que suis-je sensé chercher ?"

"Tu le sauras bien assez tôt"



L'homme mystérieux continua ainsi son chemin dans la grand rue laissant Zéphyr
songeur.
Qu'avait-il à perdre après tout ?



Vers : "Le Temple des plaisirs"

_________________
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Dernière édition par Zéphyr le Mer 28 Avr 2010 19:07, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Dim 25 Avr 2010 00:52 
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Suite des Docks.

{{{{Le passage dans les rues s'effectuant très vite, j'ai préféré couper court et arriver directement ici.}}}}

Theeftan passa tel une ombre entre les passants devant les portes. Ses côtes le lançaient, et il sentait toujours la marque de Yuimen sur son torse, mettant ses nerfs à vif. De plus, malgré tout ses efforts, il s'interrogeait toujours sur la nature de son rêve et surtout, sur la Faëra que Yuimen lui avait offert.
Les gardes étaient en train de fermer les portes. L'un d'eux l'arrêta, le saisissant par le bras.

-Eh, vous ! les portes sont fermées, et montrez votre visage ! De toute façon, vous ne pouvez pas passer. Revenez demain matin !

L'elfe rabattit son capuchon, dévoilant son visage. Il parla d'une voix calme, mais inflexible, sans laisser deviner la tempête qui faisait rage en lui.

-A ce que je vois, les portes ne sont pas encore fermées. Vous devez me laisser passer. Un soudard pressé de rentrer chez lui ne m'arrêtera pas dans ma quête.

Le guérisseur ne parlait habituellement pas comme cela, mais sa détermination le poussait en avant et l'incitait à franchir tout les obstacles. La magie de Yuimen devait y être pour quelque chose...

Cependant, cela ne sembla pas impressionner le garde, qui éructa :

-Eh oh, c'est pas un sale elfe qui va dicta sa...argllh !

Le soldat écarquilla les yeux en sentant la froide morsure du stylet sous sa gorge. Cela non plus n'était pas dans les habitudes de Theeftan, mais la pression sur son esprit avait augmenté, le forçant à en conclure au plus vite. Il relâcha finalement le soudard, mais non sans le foudroyer du regard. Kadil grommela au fond de son esprit contre la violence de l'action, mais il passa outre.

-Vous...vous pouvez passer... balbutia celui-ci.

L'elfe franchit donc les portes, regrettant les extrémités auxquels il devait recourir. Il remarqua un bosquet d'arbres un peu plus loin, où il établit son bivouac, puis passa le reste de la nuit en état de méditation, laissant ses sentiments tourbillonner en lui-même.

Suite dans les trajets Kendra Kâr-Bouhen

_________________
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Theeftan, elfe, guérisseur


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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Sam 1 Mai 2010 17:23 
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Après avoir graissée la patte du garde (((voir biographie))), Eowithranduil, en entrant dans la ville fut très déçu. Le portrait que le lui avait dépeins les coursiers ne ressemblais pas du tout à ce qu'il voyait là.

Là où les coursiers affirmaient qu'il y avait une ville charmante, parcourue de bonnes odeurs, de gens raffinés, emplis de maisons magnifiquement scupltées se trouvait une ville des plus écoeurante, parcourue d'odeurs pas vraiment exquises, de misérables gens vêtus de haillons ou bien de simples voleurs, emplis de maisons dont certaines parties menaçaient de s'effondrer et dont la peinture était écaillée. Non vraiment, Eowithranduil se demanda s'il ne s'était pas trompé de ville, car ils ne reconnaissaient rien des descriptions que lui avaient fait les coursiers.

Ses sens aiguisés étaient agressés par tant de bruits et d'odeurs.

Aussi décida-t-il d'aller acheter un cape pour éviter toutes agressions dues au fait de son appartenance aux Shaakts. Il entra dans la première boutique venue.
Il aborda le marchand :

- Bonjour mon bon monsieur !

L'homme, effrayé réussi à bégayer :

- Bon-bon-bonjou-jour.

- Combien cette cape ?

- Non-non gar-gar-garder vo-vo-votre argent.

Eowithranduil, agacé du bégaiement du marchand, lui redit sur un ton plus dur :

- Combien coûte-telle
?

Cette mauviette qui commençait suer de peur, à trembler des jambes,qui avait le teint blême et allait bientôt tourner de l'œil et qui avait ,visiblement, peur des Shaakts le supplia :

- Pre-pre-prenez la mais-mais ne-ne me faites pas-pas de ma-ma-mal, s'il-s'il vou-vous plai-plaît, j'ai-j'ai u-u-u-ne-ne fem-fem-femme et-et des enfants
.

(Quel lavette, il ne mérite pas le titre d'homme, il ne mérite même pas la vie ! Si je n'était pas pressé, je lui règlerai son compte !)

Eowithranduil sortit après avoir acheté, pardon récupérer une cape. Il l'enfila et se mit en marche.

(Mais en fait où vais-je aller, se dit-il)

Il décida que l'auberge était le meilleur endroit pour se faire des compagnons, dormir, manger, boire, rencontrer des filles et déclencher des bagarres. Euh non, pas les bagarres.

---->Dans les rues de Kandra Kâr<----

_________________
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Eowithranduil / Rôdeur


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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Sam 22 Mai 2010 21:58 
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Les derniers rayons de soleil s'absentaient peu à peu, tandis que les ombres nocturnes s'avançaient vers la cité de Kendra Kâr. Parmi elles, Elhor vêtu de haillons et de poussières. Son bâton de marche frappait le sol au rythme d'un vieux chant nordique qui s'échappait des lèvres de l'humain. C'est un de ces chants qui content l'histoire d'un jeune berger qui tomber d'amour pour une Déesse tente de la combler de désir. Il sacrifie tout son bétail, sa famille, ses amis, sa ville... Mais jamais il ne trouve grâce aux yeux de la Déesse... Chant triste et mélancolique...

Arrivé devant les grandes portes de la cité, Elhor hume l'air environnant puis surpris par la force da sa voix il crie :

"Elhor Fils du Sud. Je me présente. NI voleur! Ni mendiant! Auriez vous la bonté de m'ouvrir les portes?"

En attendant la réponse d'un garde, Elhor essaye tant bien que mal de réajuster ses haillons afin que sa présentation vestimentaire ne trahisse pas sa présentation orale.

Derrière les portes de la ville, une voix se fit entendre. Bien qu'elle parut bien jeune, une certaine assurance propre à celui qui porte l'uniforme de garde se vit entendre :

Les portes ne s'ouvrent pas à la tombée de la nuit. Ni pour les non-voleurs. Ni pour les non-mendiants.

Le visage de Elhor grimaça tant la réponse fut dure et le coup porté à son moral difficile à supporter. Cependant il n'était pas résolu à rebrousser chemin et à passer une nuit de plus sous le quart de lune.

Les nuits sont encore fraîches en cette saison, mon couchage n'est plus de ce monde depuis plusieurs nuits et mes vivres m'ont servis à éloigner les loups de ma maigre carcasse. Auriez-vous la bonté de m'ouvrir les portes afin que je puisse dépenser mes derniers sous dans une de vos auberges?

En redescendant par là ou vous êtes arrivée, il existe une clairière. Aucun loup n'y a été vu depuis plus de dix ans. Passer la nuit là bas. Et pour la bouffe, une soirée de plus à ne pas manger ne vous tuera pas.

Alors que les derniers espoirs de passer une nuit au chaud s'envolaient, un homme dont la conversation avait tut le bruit de ses pas se mit au côté de Elhor :

Joach! Ouvre donc la porte! Je viens de me farcir plus de dix heures de routes et je suis crevé.

Les rouages du mécanisme d'ouverture de la porte se mirent à grincer déchirant le silence des rues de Keldun. La faible ouverture permit à l'homme de pénétrer au creux de la cité. Puis se retournat vers Elhor :

Entrez avant que Joach ne refermes! Au vu de votre maigreur je crois qu'un bon repas au coin d'un feu et un bon bain ne vous ferez pas de mal.

Le jeune garde s'apprêtait à ouvrir sa bouche afin de protester, mais l'autre se porta garant envers Elhor et lui fit remarquer que s'il entendait de mauvaises choses à son propos, il l'expluserait lui-même de la ville à grands coups de pieds dans le derrière.

Elhor remercia tout le monde, et s'avança dans la ville à la recherche d'une bonne auberge.

_________________
Elhor, Humain, Rodeur


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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Jeu 27 Mai 2010 19:04 
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Localisation: Kendra Kar
Une grande boutique, un étal de peaux, une enseigne qui ne trompe pas, et quelques hommes peu engagent sans doute venue pour la même chose que moi, le travail de garde du corps.

(Bon j'y suis. Il me faut maintenant me faire recruter. Si il a tant le sens des affaires que ça, je ne pense pas qu'il sera dur de le convaincre de me recruter. Mais bon, le mieux est déjà de faire une entrée remarquée.)

Tout ces hommes restent à l'intérieur ou à l'extérieur de l'échoppe, et aucun ne bloque le passage. Je m'y engouffre donc, en faisant voltiger ma cape pour plus d'effet. Celui qui se fait auditionner en ce moment est un humain proposant son arbalète pour défendre le marchand. Il est donc d'une constitution à peine supérieur à la moyenne. Je lui touche l'épaule.

« Si je puis me permettre ? »

Je prends l'arbalète, de mauvaise facture bien entendu, que je brise en la projetant simplement contre le mur. Je me retourne alors, face au marchand, et lui déclare :

« Pensiez vous, noble marchand, que ce jouet aurait pu défendre votre gracieuse personne ? Laissez moi vous proposez quelque chose de plus résistant, de plus puissant, et à moindre coût. »

(Au point où j'en suis, je peux bien ravaler ma fierté quelques instants.)

Ainsi que je l'avais prévu, la destruction de son arme ne fait pas plaisir à l'ex-arbalétrier, et celui ci voudrait changer mon profil d'un coup de poing ravageur. La colère, si elle n'est pas maitrisé, n'amène à rien et moi, exemple même de calme, je l'esquive sans difficulté. Un deuxième repart à l'assaut. Je suis obligé de le parer avec mon bras, mais la douleur est minime.

(A mon tour de riposter.)

D'un mouvement de tête, je rejette mon capuchon en arrière, et je sors mes griffes. Je n'ai pas l'intention de le tuer, cela pourrait compromettre mon admission, mais j'ai bien l'intention de le ridiculiser.

De coup de griffe en coup de griffe, je retaille les vêtements de l'arbalétrier pétrifié par mon aspect bestiale.

J'enchaine, après m'être attaqué à ses manches, le brillant final de ma composition.

« Si j'étais toi, j'éviterais de bouger, sauf si tu veux révéler tes attribut au public. »

Son pantalon ne tient plus qu'à un fil, au sens propre du terme, et celui ci repose sur mon index qui pourrait bien décider de le sectionner.

Je lâche le tout, et il s'enfuit sans demander son reste mais en prenant bien soin d'emporter ses guêtres, enfin ce qu'il en reste.

« Quelque yus et ces griffes sont à vous. Alors qu'en dites vous mon seigneur ? »

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Lockbaal/rôdeur/niveau 4

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Les chroniques de Lockbaal


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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Dim 30 Mai 2010 14:03 
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Je suis, obsédé par l'image de Giran'mak, l'homme-loup qui m'avait agressé, et au final, je le suis jusqu'à un grand étal de peaux infesté de populace, armée pour la plupart. Je vois le Lykior parler au marchand, je me mêle à la foule en rabaissant bien mon capuchon pour cacher la majeure partie de mon visage. Celui que j'ai suivi depuis ma sortie du temple commence à se disputer avec un paysan, tout fier de son "arbalète", tel était le nom qu'il conférait à un bout de bois relié à une flèche par deux cordelettes, et une sorte de gâchette trop enfoncée dans l'arme pour pouvoir être utilisée.... ces paysans, vraiment...
Il me semble que l'interlocuteur du loup bipède est un marchand cherchant des mercenaires pour protéger son chariot, pas étonnant que les gens et pèles-culs du coin se rameutent ici, un tel travail rapporte bien à condition qu'on ait assez de chance pour éviter les pillards. D'un coup sec et précis, le loup saisit l'arme du paysan et la fracasse contre le mur. J'anticipe déjà la réaction du cul-terreux, mais je décide de ne rien faire, ce ne sont pas mes affaires et ce serait faire trop de ronds dans l'eau. Après une dispute brutale, l'homme voit ses guêtres déchiquetées une par une par les griffes acérées et précises de l'animal enragé, au point que son pantalon manque de tomber devant la foule avant qu'il ne prenne la fuite, réalisant qu'il ne vaut pas grand chose contre une paire de pattes griffues.
D'après les quelques bribes que j'arrive à comprendre à travers le brouhaha de la foule, je comprends qu'il a l'intention de se faire embaucher. Pas bête, un travail facile et presque sans risques, on est tout de même à Kendra Kâr, et il serait bien difficile aux bandits de grand chemin de prospérer, chaque groupe de marchand est protégé étroitement par des miliciens.

Je sais pertinemment que c'est idiot de ma part et bien illogique, mais je me décide à suivre ce Lykior si il vient à se faire embaucher. De plus, si tout se passe bien, je pourrais recevoir un peu d'argent, idéal pour payer mon voyage jusqu'à Exech, les bateaux sont certes un peu moins grand que dans les ports d'Imifitl, mais ils sont indéniablement plus chers.
J'observe la réaction du marchand, va-t-il accepter de prendre ce loup blanc, agressif et d'une bestialité sans pareil ?

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Dim 30 Mai 2010 20:35 
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Je vis Jubaïr partir expressément à la poursuite du lykior que j'ai fallu égorgé. Quand j'y repense, ça aurait pu être drôle de me battre contre lui. Mais bon, je me demande pourquoi Jubaïr tient t'en à le suivre, et surtout ce qu'il lui veut. Il marchait d'un pas pressé, à un tel point, que même moi un elfe, j'avais du mal à le suivre.

"Eh Jubaïr, qu'est-ce que t'as ? T'as l'air pressé, me dis pas que tu vas te mettre à poursuivre ce lykior ?"

J'eus l'impression de parler dans le vide, car Jubaïr ne s'était même pas retourner pour m'écouter et je le vis mettre son capuchon sur ta tête. Je fis pareil que lui en remontant mon capuchon afin que ce lykior ne me reconnaisse pas. Jubaïr avait l'air très préoccupé par ce lykior. Tellement qu'il ne m'écoutait même plus.

"Jubaïr, tu as entendu ce que je t'ai dis ? Jubaïr je te parle !"

Toujours aucun signe d'attention chez lui. Tout-à-coup, je le vis demander à un passant ce que le lykior faisait.

(Me dis pas qu'il a l'intention de le tuer ? Ça me plaît !)

Jubaïr s'arrêta brusquement non loin de l'échoppe où était entrer le lykior. Alors que j'étais perdu dans mes pensées, j'eus une idée qui pourrait l'intéresser.

"Jubaïr, tu vas m'écouter ?! Si tu pars à la poursuite du lykior, je veux venir avec toi ! Cela t'évitera peut-être de mourir."

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Lun 31 Mai 2010 19:01 
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La voix de Dhaos résonne à mes oreilles, mais je ne cherche même pas à en comprendre le sens. Il n'y a que ce Lykior en face de moi, que Giran'mak, tous les autres me sont insignifiants, même Dhaos. Je ne me retourne pas pour lui dire de se taire, d'un geste lent qui serait bien visible si nous n'étions pas dans un tel bain de foule, je dresse ma main devant sa bouche, sans pour autant la toucher.
Ce signe est bien clair et facile à comprendre, il veut dire "Tais-toi.". Je ne lui ai même pas demandé de me suivre, et je n'ai pas besoin de son aide ni ici ni maintenant, pire, il n'est qu'un encombrement aussi bruyant qu'inutile dans cette situation. Je ne sais pas si il se sent d'humeur à protester contre ma réaction, et je m'en moque, rien ne m'importe en ce moment autant que cet animal. Tant de ressemblance.....

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Mar 1 Juin 2010 19:47 
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Le marchand regarde la scène d’un œil amusé, et ne semble pas désappointé de la fuite de son prétendant, qui ne semblait pas correspondre à ses critères. Néanmoins, lorsque le loup se propose comme mercenaire, il s’exclame :

« Ha ! Et pourquoi je prendrais une bête sauvage comme garde du corps ? »

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 Sujet du message: Re: Les grandes portes de la ville
MessagePosté: Mar 1 Juin 2010 21:29 
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Jubaïr ne s'était même pas retourner afin de me répondre. Il était trop occupé à espionner le lykior qui faisait je ne sais quoi et je m'en contrefiche. Il me mit juste la main devant ma bouche mais sans me toucher pour me dire "Tais-toi !" mais sans parler. Ce geste me mit hors de moi, je le pris par le bras, je le retournai de force et je lui dit :

"Ne refais plus jamais ça !!! Et puis qu'est-ce que t'as avec ce lykior à la fin ?!"

(Il commence à me gaver, si il continue je vais le planter avec ma dague, et là il pourra se plaindre !)


Il eut l'air très surpris de me voir hors de moi, mais bon je ne suis pas un elfe normal, certes je n'ai ni leur sagesse et leur patience, mais je reste un elfe. Et puis j'ai mes raisons de ne pas avoir de patience, après ce qu'il m'ait arrivé quand j'étais encore qu'un enfant.

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