Galen avait quitté sa mère depuis déjà une quinzaine de jours lorsqu'il arriva en vu de la cité.
Ce départ n'était pas le fruit d'une dispute ou d'un désaccords entre la Taurion et de son fils. C'était simplement que le demi-elfe souhaitait connaitre le peuple de son père.
Même si il est vrai que la vie dans la forêt lui semblait bien monotone. Le temps passait, de saison en saison, d'année en année et il se passait quasiment toujours la même chose. Les rumeurs du monde n'atteignaient pas la communauté des elfes verts, car pour ce faire il auraient fallu que leur messager survivent.
C'était donc par curiosité et par envi de changement que Galen avait quitté les siens.
Bien évidement pour lui qui n'avait connu qu'un environnement sylvestre le premier choc fut lorsqu'il du sortir du couvert des arbres. Cela peut sembler étrange mais voir une plaine ou du moins un espace avec plus de cinquante mètres entre chaque arbre était nouveau pour le jeune homme. En un sens il se sentit mise à nu, exposer au prédateur alors qu'il lui suffisait jusque-là de se dissimuler derrière un arbre ou en montant sur celui-ci. cette vulnérabilité se traduisit par une forte tendance à conserver un flèche encochée, même si rien d'autre ne justifia cette précaution.
Il va sans dire que la vu de champs cultiver eu aussi un impacte. C'était comme voir la terre asservie et Galen ne peut s'empêcher de se demander comment Naritrùme le permettait. Le jeune homme continua néanmoins sa route et justement arriva sur une route qu'il suivit en direction du sud, en marchand en plein milieu du chemin évidement.
Bien évidement il n'a fallu que quelque heures pour qu'un bruit de tonnerre se fassent entendre derrière lui et qu'un homme sur un charriot lui demande de:
"
Dégage du chemin, petit"
C'est plus en sursaut que Galen sortit du chemin, et comme il devait avoir un bonne tête l'homme l'invita à monter à l'arrière du chariot, avec ce que l'homme transportait c'est a dire des jarres.
Galen ne peut s'empêcher d'en ouvrir une et d'y jeté un œil mais il n'y avait qu'un liquide mauve dont les vapeurs piquait le nez.
Ainsi transporter le trajet sembla plus rapide pour le jeune homme, et c'est surtout ses pieds qui était heureux d'avoir un peu de repos, et le lendemain la cité était en vu.
Il quitta la compagnie de l'homme lorsque celui-ci s'arrêta à la file d'attente de la porte, et il en fut bien heureux car la conversation de l'homme au sujet de la vigne, du vins n'avait que peu de sens pour lui, il lui promis néanmoins si cela lui était possible de le revoir au marché.
Galen avança donc parmi la foule qui attendait son tour d'être fouillé, dépassant les charriots et autre véhicules puis patienta derrière les autre piétons.
Ces yeux ébahis le classait dans la catégorie des provinciaux, et ses vêtements tachés par la route et par ses nuits à la belle étoile dégageait une certaine odeurs que le garde ne put que remarquer. Toutefois celui-ci aillant sans doute des parent paysan laissa Galen entré non sans lui avoir indiquer les thermes après que le jeune homme lui est donner comme raison de sa présence l'inhabituel réponse.
"
je viens voir la ville."
-->La grand-rue