Virina, en vraie orque, n’éprouvait que peu de sentiments, voire même aucun, pour autrui. Dotée de muscles puissants, Virina raffolait des combats qui s’avéraient à être l’un de ses meilleurs passe-temps, rien de surprenant pour une garzok. Cependant, ce qui la distinguait des autres, c’est qu’elle était pourvue d’une intelligence considérablement supérieure à ceux de sa race. Et c’est ce petit plus qui la sortit une fois de plus d’une situation plutôt délicate. Ainsi, lorsque subitement elle demanda aux esclaves d’enlever leur couronne de cuir, ces derniers s’exécutèrent aussitôt, laissant le garde au dépourvu. Lorsqu’il réalisa qu’elle venait de libérer ses prisonniers, il était trop tard, il ne pouvait plus les contrôler, la barbare l’avait brillamment déjouée.

Vingt hommes et cinq femmes venaient de retrouver leurs libertés d’esprit. Amaigris, démunis, toutefois musclés par les travaux forcés, ils mirent quelques minutes à réaliser ce qui venait de se passer.

D’un pas de marche qui se transforma rapidement en pas de course, la barbare chargea le garde avec force et vivacité en émettant un puissant cri de guerre tout en pointant son arme en direction de sa cible ahurie, espérant sans doute l’empaler. Le garde réagissant à retardement réussit tout de même à esquiver en partie l’attaque violente, mais peu précise de la garzok. Au lieu de l’embrocher, la rapière de la guerrière lui causa une vilaine balafre à son flanc gauche. Par instinct de survie, il fit vibrer son fouet, mais dans l’intention cette fois-ci de faire reculer la guerrière, sa dague dans son autre main, prêt à estropier la barbare si elle s’approchait de trop prêt. Après un pas de recul, elle s’apprêtait à attaquer de nouveau, lorsque la troupe d’humains écartèrent la guerrière pour tuer l’un de ceux qui les avaient malmenés depuis nombres de mois, voire peut-être des années. En quelques secondes, le garde perdit la vie sous la pluie de coups de poing et coups de pieds qui l’assaillaient de tous les côtés. Contrariée de n’avoir pu tuer elle-même sa proie, Virina émit quelques grognements.

Quelques ex-esclaves dépouillaient les cadavres des trois gardes décédés à la recherche des clés qui pourraient les libérer de leurs chaînes. Sitôt fait, cela ne prit que quelques minutes supplémentaires pour que les trente humains deviennent tout à fait libres.

Pendant ce temps, le regard de la guerrière avait été attiré par les couronnes de cuir qui gisaient sur le sol. Échaudée par sa mauvaise expérience, elle n’osa les toucher de ses mains. Sans le moindre scrupule, elle déchira un bout de tunique au premier garde qu’elle avait tué et s’en servit pour ramasser trois couronnes de cuir sans y toucher directement. Elle rabattit les coins du tissu et fit un nœud afin de ranger le tout dans sa besace. Le fouet à sa ceinture, elle pensait que ces ornements de tête pourraient lui être utiles dans un avenir approché. Puis, tentant de refermer son sac, elle réalisa qu’il devenait trop encombrant et qu’elle devait se débarrasser de quelques pièces d’équipement. C’est ainsi qu’elle jeta par terre, sans ménagement, son armure étincelante et son cimeterre ténébreux. En moins de temps qu’il faut pour le dire, l’armure et la lame furent ramassées par un homme décharné.

Un petit groupuscule de cinq à six personnes s’approcha de la guerrière pour la remercier. Celle-ci les dévisagea avant de répondre :

« J’ai fait ce que j’avais à faire ! » Ces gens reconnaissants envers la garzok traduisirent cette réponse comme celle d’un brave guerrier affirmant qu'il n'avait qu'accompli son devoir qui consistait à leur porter secours. Alors qu’en fait, ce que voulait dire la garzok s’était plutôt qu’elle avait fait le nécessaire pour se sauver la vie, pour prendre le dessus sur les gardes. Mais peu volubile, et n’en voyant aucunement la nécessité, Virina ne perdit pas de temps en explications.

La vieille créature verte s’intéressait à présent à la mine à ciel ouvert. Profitant de la proximité de tous ces gens, elle questionna :

« Que sont ces pierres ? Servent-ils à la confection de ce collier ? » dit-elle en pointant le collier qui lui entourait le cou.

« Si vous êtes libres, moi je suis toujours prisonnière de ce collier. Vous savez quelque chose à ce propos ? »

Cela dit, la vieille créature demeura immobile attendant patiemment la réponse à sa question.

Mise à jour "découverte"

Jour 2 : 5h du matin

Les pierres de la mine étaient bleues, du même bleu que celui de ton collier. Elles sont issues de la mine sous forme d'une pierre, grise, en forme de poire, de la taille d'un creux de main. Quand la pierre est brisée correctement, il en sort deux sphères bleues, une petite, de la taille d'une bille; et une grande d'une petite pomme sauvage. Ce sont des pierres de vision, reliées l'une à l'autre.

Un esclave t'en fera la démonstration simplement. Lui prendra la petite et s'écartera au bout de la carrière, puis il te criera de regarder la tienne. En regardant la plus grande, tu verras le visage de l'esclave, flou, mais quand même.

A ta seconde question, ils te répondront juste qu'il y a quatre mines sur l'île, trois pour les pierres, une pour le métal. Chaque esclave est lié à une mine, et il y travaille de jour ou de nuit, sous surveillance. En temps normal, les esclaves ne se croisent jamais. Mais l'un des esclaves connaît l'une des autres mines de pierres... Il est prêt à t'y emmener, si tu le veux.

(((Pour avoir profité de la "mine" d'infos que peuvent représenter 30 esclaves : 2xp)))

Bien que reconnaissants, certains esclaves semblaient intimidés par la barbare ou par l’équipement de garde qu’elle portait. Cependant quelques-uns,dont un grand homme aux cheveux bouclés, sûrement blonds lorsque lavés, s’attroupèrent autour de Virina afin de lui apporter des réponses à ces questionnements. Ce dernier tendit à Virina une pierre grise en forme de poire.

« Voici ce qu’on extrait de la mine ! »

Virina ramassa le gros caillou l’examina, le renifla puis attendit silencieusement le reste des explications.
Ce fut une femme arborant des cheveux d’apparences similaires à celui de l’homme qui prit la relève.

« Erac a raison, voyez ce qu’il y a à l’intérieur de chaque caillou gris ! »

Ce disant, elle tendit à son tour une pierre grise à la différence que la sienne était cassée. Et à l’intérieur, on pouvait en extraire deux pierres bleues de grosseurs différentes. Un troisième esclave, encore plus maigre que les deux autres, ramassa rapidement la pierre bleue pas plus grosse qu’une bille et partit en courant. Virina allait le poursuivre quand Erac l’arrêta d’un geste et la pria de regarder dans la grosse pierre, celle de la grosseur d’une petite pomme sauvage. La créature obtempéra et aperçut de façon légèrement floue, le visage de l’esclave. Elle lui fit signe de revenir. Pendant ce temps, Erak, lui expliqua qu’il s’agissait de pierre de vision.

Virina figea soudainement. Elle venait tout juste de faire le rapprochement entre ces pierres bleues et celles qui ornaient son collier. Avec empressement, elle se pencha vers le garde décédé le plus près et sans ménagement, elle arracha un bout de sa tunique. Sans donner d’explications aux esclaves qui la regardaient ahuris, elle noua le bout de tissu autour du coup, s’assurant de bien cacher les pierres du collier.

« Ils ne pourront plus m’espionner ! » Justifia la guerrière qui n’avait aucune idée de l’identité de ces éventuels espions.

Le petit homme revint et raconta qu’il existait trois autres mines semblables à celle-ci, et qu’il serait volontaire pour la conduire. Virina lui enleva la petite bille des mains, mais ne lui répondit pas immédiatement. Après une minute de réflexion, elle se décida enfin.
« Non, je voulais me diriger vers des bâtiments. Je veux trouver ceux qui m’ont mis ce collier ou ceux qui le contrôlent. Il existe une route pas loin ? »

Puis pointant le garde qui gisait au sol.

« Ramassez son fouet. Rendez-vous à cette mine pour libérer les autres esclaves, moi je vais tenter de trouver un chemin qui mènerait aux bâtiments »

Armés d’un fouet et deux dagues, le troisième larron et ses deux compagnons partirent vers la mine afin de rendre la liberté aux autres gens prisonniers de la couronne de cuir.

(((Récapitulations: Au dernier post Virina s'était débarrassé de certains objets et en a ramassés d'autres. Donc si tu es d'accord voici:

• les objets à retirer de sa fiche
  • Armure étincelante[E=5]
  • Cimeterre ténébreux[E=2]
• Ceux à rajouter dans sa fiche
  • le fouet
  • 3 petites couronnes de cuir
  • une pierre grise
  • deux pierres bleues (une grosse et une petite)

)))

Evènement rp

Jour 2 : 5h du matin

Cémaën se pointe alors que tu te diriges, escortée de la bonne vingtaine d'esclaves que tu as sauvés, tous désormais armés de pioches, de tes équipements ou de ce qu'ils ont pu ramasser sur les cadavres de gardes désormais nus exposés aux charognards de l'île, vers un chemin qui quitte la carrière, où se trouve de lourds chariots munis de harnais à taille humaine. Les esclaves t'expliquent qu'ils étaient chargés, en fin de journées, de traîner ces chariots jusqu'aux habitations et que là-bas, d'autres esclaves prenaient le relai. Le sentier mène à la route pavée, qui mène directement aux maisons des treizes et aux habitats des esclaves travailleurs.

(((Pour avoir semé le chaos dans l'île en envoyant deux esclaves avec un fouet de commandement : +1xp
pour t'être protégée de la vision des colliers : +2 xp)))

Désormais armés, la vingtaine d’esclaves, reconnaissants envers la garzok pour leur libération, l’escortèrent de plein gré vers la route les menant aux bâtiments habités. Ils en étaient qu’au tout début de leur randonnée lorsque Cémaën arriva dans leur direction. La barbare s’arrêta aussitôt et le dévisagea, attendant qu’il lui donne un compte-rendu de ce qu’il a vu. Puis après une petite minute d’attente pendant laquelle l’homme demeura muet, la guerrière leva la main tout en pointant le collier de ce dernier.

« Camoufle les pierres de ton collier. Elles leur permettent de nous espionner. »

Bien que surpris Cémaën jeta un coup d’œil sur le cou de Virina puis s’exécuta aussitôt. S’il s’attendait à davantage de détails de la part de la guerrière, il fut bien déçu, car il n’était pas dans les habitudes de celle-ci de s’étendre inutilement en explication.

La marche reprit et ils passèrent tout près de chariots servants au transport des pierres bleues. Une humaine d’à peu près de la même taille que Virina, mais plus frêle, lui expliqua que les harnais leur était destinées et qu’ils les transportaient quotidiennement. Un autre humain, la tête rasée, de petites tailles et trapu malgré sa maigreur, fit part de son idée à la garzok.

« Si les gardes nous voient arrivés de loin, libres et armés, ils vont se douter que quelques choses ne tournent pas rond et font appeler au renfort. Nous devrions nous atteler à un chariot et le transporter jusqu’à destination et les prendre par surprise ! »

Avant que la garzok ne put ajouter un mot, l’humaine à proximité de Virina protesta :
« Je suis enfin libre ! Pas question que je m’éreinte à tirer une fois de plus ces charrettes ! »

L’homme convaincu de l’efficacité de son plan ne se laissa pas démonter et enchaîna aussitôt.

« Mais, on ne les remplira pas, on les tirera vide. Et puis… » Il s’arrêta au milieu de sa phrase, se tournant vers la barbare.

« Quel est votre nom ? » questionna l’homme.

« Virina ! » Répondit immédiatement la vieille créature verte qui trouvait les présentations tout à fait inutiles, mais qui voulait en savoir davantage sur les plans de l’homme qui ne s’était pas plus présenté.

« Donc, Virina qui est déjà équipée comme un garde pourra nous escorter, ils ne verront que du feu et nous pourrons les prendre par surprise ! »

Ce plan sembla plaire à l’ensemble des anciens esclaves qui rangèrent l’équipement acquis dans les charrettes et enfilèrent les harnais qui les avaient fait tellement souffrir.

La créature verte ne s’opposa pas au complot et le convoi prit la route en direction des bâtiments.

Mise à jour rp
jour 2, 6h du matin

Vous avancez dans la forêt, il y règne un calme étrange, comme s'il manquait quelque chose, ou quelqu'un. Vous passerez forcément à coté de la carrière vide. Elle semble fraîchement abandonné, trois corps humains complètement dépouillés.


par rapport aux précédents posts :
Les nains se rangent spontanément à l'avis de Sirat, mais les deux autres compagnons semblent trouver l'idée de N'kpa intéressante, jusqu'à la vague de peur. A partir de ce moment-là, leur discours devient confus, mélangeant les craintes de Sirat et leurs propres craintes de mourir d'une des horreurs découvertes sur cette île, ou de crever comme Lillith ou Cyrior. Toujours est-il qu'ils sont résolus à garder leur collier, trouvant dans cette aliénation une forme de rempart irréel, intangible contre les dangers qui vous attendent.
Tout le monde suit, presque bien sûr. Ils ne sont pas assez fou (et trop terrorisé) pour avoir ne serait-ce que l'idée de se séparer. L'Enfer c'est peut-être les autres, mais ils préfèrent l'Enfer à une mort seuls...

J'adopte une course au pas soutenu, je n'arrive pas à croire que Lillith soit mort. Si nous avions été l'équipe qui a traversé Verloa rien de tout ceci n'aurait pu arriver. Nous étions des messagers aussi bien de la vie que de la mort. Je ne prête guère attention au milieu forestier qui m'entoure, je n'entends rien hormis le silence.

Ceci me frappe comme un coup de poing en pleine figure, une forêt silencieuse n'est pas normale. Soudain j'aperçois une carrière, je m'y dirige quand la vue de trois corps dépouillés s'offre à moi. Je scrute les corps quelques secondes et vois que le combat a été rapide ainsi qu'efficace.

Je me retourne et vois que tout le monde a décidé de me suivre. Le pouvoir de Jack a certainement un déclic de courage pour eux tous. La peur possède un pouvoir surprenant. Je scrute les alentours pour comprendre ce silence anormal.

Hrp : je frappe la pierre pour voir ce qu'il en retourne...

Mon attention est à un tel niveau que je parviens à entendre ce que glisse la woranne dans l’oreille de SIrat. Elle sous-entend que je suis un monstre, que je suis comme tous les Shaakts qui existent. Mon sang continu de bouillir à force d’entendre des absurdités pareil, je me relève et me retourne vers le couple d’amoureux. Je peux voir mes compagnons les nains qui ont compris qui j’étais malgré tout, puis il y a le vieux, l’androgyne ainsi que la jeune femme qui sont certainement comme N’kpa à me craindre pour ce à quoi je ressemble et non ce que je suis.

Les yeux brûlants de colère, je la regarde. Je retire mon heaume et le jette à ses pieds, je fais de même avec mon plastron. Je me retrouve quasiment sans aucunes protections laissant apparaître diverses blessures. Des coupures, des brûlures, des perforations et j’en passe tellement il y en a, mon corps ressemble à un temple de la douleur. Il raconte pour moi mes anciennes batailles ainsi que les sévices que j’ai pu subir étant enfant.

La folie de ce monde me paraît éternelle, quand vont-ils enfin comprendre que je ne suis pas comme mes frères et soeurs?

Je lève ma main gauche et claque des doigts. Mes doubles apparaissent à mes côtés et croisent les bras avec un regard sévère.

Sache une chose, si j’avais voulu tenter de vous tuer je l’aurais déjà fait. J'aurais déjà pu tenter de tuer Sirat quand il dormait. Tu penses que je suis un être fourbe, sanguinaire, violeur,... Je pense qu’il est temps de dire les choses franchement et sans aucuns mensonges.

Je pense qu’il serait sage d’agir de la sorte.

Je ne m’appelle pas Dirzton pour commencer, mon véritable nom est Daio Ichioama. Je suis né sur les terres de Caïx Imoros, j’ai pu y grandir un certain temps. Certaines des marques sur mon corps m’ont été laissées comme souvenirs de ma condition de mâle au sein de ma caste. J’ai le droit à des coups de sabres, de couteaux, de brûlures et j’en passe. J’ai fui cette vie quand j’ai ouvert les yeux sur le sens du terme liberté. J’ai pu vivre quelques années tranquillement avec ma femme Flora.

Je prends une inspiration profonde en pensant à ma tendre femme.

Nous étions heureux, nous nous aimions et respections. Nous n’avons jamais rien demandé à qui que ce soit. Un jour je suis parti chasser notre repas, j’y suis allé à l’aube. Je m’en souviens encore très bien, il faisait froid et il y avait un brouillard à couper au couteau. J’étais loin de la maison, beaucoup trop loin. Quand je suis revenu j’ai retrouvé ma maison entrain de brûler et ma femme assassinée.

Ce jour-là je suis né dans le sang et la rage comme la plupart des créatures de Thimoros.

Je regarde Jack et souris à ces paroles. En effet il doit être né ce jour.

J’ai erré pendant plusieurs années, j’ai été insulté, agressé, blessé,… parce que j’étais un Shaakt. J’ai toujours tué mes ennemis que quand je n’en avais pas le choix ou si cela était une nécessité pour le bien de tous. Beaucoup de mes amis sont morts ou ont pris un chemin différent du mien, mais jamais ils ne me quitteront. *en me mettant à hurler progressivement* Quand tu tueras ceux de ton peuple pour protéger tes amis, quand tu oseras avancés vers tes frères et sœurs l’arme à la main prêt à faire couler le sang pour les libérer et surtout quand tu seras prête à être une paria ainsi qu’un être maudit par un nombre incalculable de personnes on reparlera. * en vociférant mes derniers mots* TU CROIS QUE JE SUIS UN MONSTRE COMME EUX ALORS SACHE UNE CHOSE, JE DONNERAIS MA VIE POUR LES CHANGER, JE TUERAIS LES PRÊTRESSES ET TOUTES LES VOMISSURES COMME OAXACA. TANT QU’IL Y AURA UNE ONCE D’AIR DANS MES POUMONS JE ME BATTERAIS. MA VIE NE SERA QUE LE COMMENCEMENT DU CAUCHEMARD DE CERTAINS ET MA MORT SERA DEBUT DE LEUR EPOUVANTE.

Je regarde le couple ainsi que mes compagnons de voyage qui ne comprennent sûrement pas ce qui se passe.

(Cromax où es-tu mon frère ? Nous avons toujours été puissants quand nous étions tous les deux. Nous aurions pu changer le monde. Tu me manques mon frère.)

Mise à jour : "évènement rp"

Jour 2 : 6h du matin

Il n'était guère difficile pour N'kpa de pister les insurgés, par contre retrouvé dans cette masse la paire de botte de Virina était plus difficile. Mais à près tout, peu importait, toutes les traces, avec même au moins un chariot, se dirigeait droit vers le Nord.

Le coup de Marteau de Sirat de son coté brise la pierre sous le regard ravi des nains, déçu de ne pas pouvoir mettre leur science à l'oeuvre sur ces cailloux qu'ils ne connaissaient pas. De la gange de pierre sortirent deux gemmes, l'une de la taille d'un creux de main, et l'autre de la taille d'une bille. Kirena s'exclame en voyant la couleur, identique à celles de vos colliers.

Mais Nurrin, Sirat et elle n'ont guère le temps de s'intéresser plus en avant aux pierres que Daio explose, quasiment littéralement.

"Tu pourrais crier moins fort ?"

Nellia est inquiète, le reste du pouvoir de Jack, sans doute.

Katsu qui était parti plus en avant sur la seconde route revient au même moment en courant et chope le bras de N'Kpa sans cesser de courir pour rejoindre les autres :
"Le fou. C'est pas le moment. 3 gardes et une trentaine d'esclaves viennent droit vers nous !"

Egrilmar lui restait assis à fumer une pipe, bien content d'avoir enfin une pause...

(((Pour le bris réussi de la pierre : +1xp pour Sirat. Pour la piste +0,5xp pour N'Kpa. Pour vos interactions +1,5xp à tous)))

Action : Tentative de briser les pierres sur le collier, dans sa colère.