Je m’approche de Danal et de l’homme à la pelle, c’est toujours marrant de voir un ivrogne délirer.

« Alors c’est ça être rond comme une queue de pelle ! »
Je rigole de ma propre bêtise, mais suis coupé net dans mon fou rire par la pelle qui manque de peu de nous percuter.

« Non, recule ! Tu mens ! Tu n’es pas celui que tu prétends ! Écarte-toi ! »
« Ho l’ami du calme ! »

Me tournant vers mon compagnon je lui demande :
« C’est de toi ou de moi qu’il parle le gus ? »

Remarquant ses yeux clos, je rajoute :
« On a de la chance, c’est difficile de toucher quelqu’un avec une pelle, les yeux fermés ! Tu crois qu’il dort ? »

Kamaliss :

La jeune gobeline te regarde avec des yeux tendres et se raproche légèrement de toi :

"Toi vouloir?" te demande t-elle.

Une de ces mains vient se poser sur ton genou...

L’homme ignore totalement mes questions, au moment où Larn se rapproche en rigolant, je ne note pas ses moqueries car j’ai juste le temps de me reculer pour éviter un coup de pelle.

Il continu de délirer toujours en fouettant l’air de sa pelle. Je regarde alors mon compagnon et répond à sa question.

« Il ne parle ni de toi, ni de moi. Il semble délirer en dormant… Mais, je m’interroge. »

Je marque une courte pause en sortant ma dague, puis souriant à Larn, je lui rétorque.

« Soit tout est lié, soit rien du tout. Mais tu as fait un rêve en lâchant « daewlin », j’en ai fait un aussi… Une femme qui me demandait de me diriger vers la porte des songes. Et puis cet homme, qui délire juste devant nos yeux. Crois-tu que tout soit lié ? »

Je m’approche de l’homme en évitant ses coups de pelles, lorsque celle-ci approche dans ma direction, je tente de la parer avec ma dague pour pouvoir lui arracher des mains.

Maylee frappa trois légers coups sur la porte. Une elfe blanche, distinguée, ouvrit. Luna, comme la salua ma guide, nous fit entrer dans un vestibule vert sombre et jaune. Je me fis le commentaire que ces couleurs étaient hideuses, puis mon attention fut attirée par les reflets miroitants d'un immense lustre aux bougies dorées. Les cordelettes de cristal se balançaient très doucement, dans des éclats presque hypnotiques. Je rêvassais sur la valeur de l'objet, lorsque la voix de la domestique, Luna, me ramena au moment présent.

Réponse à Artiel et Sirendor :

Le coup hasardeux du somnambule est aisément bloqué par Artiel, qui peut alors s’emparer de l’objet. L’homme désarmé poursuit alors de fendre l’air de ses poings en hurlant :

« Reculez, démon ! et rendez-moi ce sabre ! »

Réponse à Vedd :

Pendant que tu admirais le lustre, une elfe blanche d’un âge un peu plus avancé est apparue dans le couloir. Celle-ci est vêtue d’une riche robe de soie rouge, lamée de fils d’or. La dénommée Luna élève alors la voix :

« Maîtresse, votre fille vous rend visite. »

Sur ce, la domestique dispose, vous laissant face à la riche Hinion. Maylee tire alors sur ta manche afin que tu baisse un peu les yeux de l’objet qui te captive afin de ne pas paraître discourtois.

« Bonjour Sédia, cela faisait longtemps… »

La vieille elfe paraît émue et vous fait signe de la suivre dans une autre salle. Maylee te murmure alors :

« C’est ma mère. Tâche de bien te tenir ici, nous ne sommes pas à l’auberge. »

« Soit tout est lié, soit rien du tout…

Cette phrase, lâchée par Danal, me fait devenir plus sérieux. Danal aussi a rêvé d’une femme sans doute la même qui m’est apparu en rêve et m’à demandé d’emmener avec moi un gobelin et une certaine Deawlin, pour sauver le monde, rien que ça!

(Que viens faire Danal dans cette histoire ? et que lui a-t-elle demandé ? )

Il me faut attendre que mon compagnon s’empare de la pelle contre l’avis de son propriétaire, pas content de s’être fait dérober ce qu’il croit être un sabre par un soi-disant démon.

« Laisse le donc divaguer et trouvons un endroit tranquille, j’ai deux trois trucs à te demander et a de dire par l’occasion, tu ne tireras rien de lui, à moins de le reveiller.»

(il a bien de la chance de dormir lui!)

devant les coups dans le vide qu'il donne, je me demande si, effectivement, il ne faudrait pas le reveiller avant qu'il ne se blesse ou blesse quelqu'un.

« Maîtresse, votre fille vous rend visite. »

Je baissai les yeux, brusquement, tandis que Maylee tirait sur ma manche bien mise de manière dérangeante, et je vis entrer une grande et éloquente elfe blanche. Une superbe robe rouge ornée d'or flamboyait sur son corps montrant déjà les signes de l'âge. Ses traits reflétaient sa majesté et son allure fière, alors qu'elle se tenait aussi immobile qu'une statue, m'impressionna. Toutefois, sa robe était sans doute la chose la plus intéressante de cette personne. La domestique s'éclipsa, et nous restâmes face à la maîtresse des lieux.

« Bonjour Sédia, cela faisait longtemps… »

Les traits de la noble Hinion se décontractèrent un instant, et un instant, elle me parut plus humaine — si l'on peut dire — et presque maternelle. Je l'examinais ouvertement, mais mon regard semblait pourtant ailleurs. Elle fit brusquement demi-tour et d'un geste, nous invita vers le fond du couleur vert sapin. Maylee se pencha et murmura à mon oreille:

« C’est ma mère. Tâche de bien te tenir ici, nous ne sommes pas à l’auberge. »

Peut-être étais-je légèrement paranoïaque, mais je crus déceler un sous-entendu complice, ou ironique, dans ses propos. Je fronçai les sourcils, un peu étonné, et ma main vint tâter la fiole qui logeait dans ma poche. Puis, chassant tout pressentiment, je m'engageai à son côté le long du corridor.

Je réussis mon action, de la main droite je bloque sa pelle avec ma dague et de l’autre j’arrache l’objet de son tenancier le faisant valser à quelques pas. J’esquive avec agilité ses coups de poing tout en me retirant.

Larn me parle alors, il semble savoir certaines choses lui aussi, intéressant… Je vois sa surprise aux expressions de son visage, à vrai dire, moi-même j’étais surpris également.

« Il me semble en effet que nous avons des choses à nous dire. »

Un large sourire se dessine sur mes lèves… Je regarde une dernière fois le délirant, déçu, j’aurais aimé lui soutirer des informations. Je me retourne et commence à marche dans la rue.

Réponse Vedd :

Tu entres à nouveau dans une salle immense ornée de chandeliers et de peintures. Cette pièce est d’une couleur blanche. L’elfe blanche s’assoit sur une chaise en bout de table et vous invite à faire de même.

« Alors, ma fille, qu’as tu appris de toutes tes aventures ? Nous nous sommes inquiétés et nous nous demandions quand tu allais revenir nous voir… »

« Oui, j’ai beaucoup appris… Je suis maintenant une shamane et mon totem est le loup… Et comme m’avait dit mon oncle, je suis allée à Cuilnen et ai vécu quelques années… »

La vieille elfe se tourne vers toi et te dit :

« Vous, vous êtes un ami de ma fille ? »

Réponse Artiel et Sirendor :

Vous pouvez continuer votre rp libre jusqu'au soir...

La salle dans laquelle nous arrivâmes était grandiose. Le haut plafond moulé était d'une couleur crème, et les murs soyeux d'une blancheur éclatante, que par endroits rehaussait la lumière dorée des chandeliers. La peau des deux elfes disparaissait presque dans un tel décor. Quelques tableaux et portraits étaient accrochés, perdus dans l'immensité de la pièce. Une longue table en bois blanc trônait en son milieu, et la mère de Maylee nous invita à nous assoir.
Tandis que j'admirais les lieux eurent lieu les échanges courants qui agrémentaient les retrouvailles, et qu'avait fait la fille durant son absence, et qu'on s'était inquiété, et comment se portait la mère... Je n'écoutais pas, ou peu, mais compris que Maylee était shamane. Voyager avec une magicienne, pour rejoindre une enchanteresse... Pff... Et puis, pas besoin de chercher si loin ! Regarde un peu où tu te trouves, Vedd ! Tu as perdu la boule, c'est tout... Et en effet, j'étais captivé par les dorures des cadres, l'or rouge des chandeliers, la table incrustée de pierres... Le chemin de la richesse prit soudain dans mon esprit une nouvelle dimension. Comment se sentait-on lorsqu'on possédait tout cela ? Je me vis dans un futur proche, ordonner d'une voix puissante à des serviteurs, dans un palais aux hauts murs blancs... La voix cristalline de Maylee et celle sage et grave de sa mère appelèrent mon oreille. J'entendis le nom d'une ville lointaine dont je savais à peine si elle se trouvait à l'Est ou à l'Ouest de la Blanche, et au fur et à mesure qu'elles discutaient, je sentis de nouveau monter en moi ce puissant désir de parler. Tout cela avait un sens, finalement. Il ne fallait pas que je l'oublie. Brusquement, je sentis le coude de Maylee s'enfoncer dans mes côtes.

« Vous, êtes-vous un ami de ma fille ? »

Je tournais hâtivement la tête et regardai, un peu hébété, l'illustre elfe. J'attendais évidemment de Maylee qu'elle vienne à ma rescousse. Après tout, elle ne m'avait pas attendu pour connaître mon nom !

L’homme désarmé, Danal accepte que nous ayons une petite conversation. Il part tranquillement en marchant tandis que je reste planté devant le spectacle ridicule d’un pauvre homme en train de se battre contre des fantômes.

Il me faut courir quelques mètres pour rattraper mon compagnon.

« Hé ! Attends ! Ou tu vas comme ça ? j’ai des choses a te dire, plutôt a te demander en fait, mais tu risques de me prendre pour un dingue et je ne sais pas trop par quel bout commencer »

-Moi vouloir ? Bien entendu que je veux te... hum, je veux dire que je me ferai un plaisir d’assouvir tes plus grands désires, ô ravissante gobeline! Mais heu...

Je lui pris la main et la serra très fortement contre ma poitrine, toute ma sincérité se reflétait dans mon intense regard que je lui portais. Mais j’ignorais toujours comment m’y prendre avec cette diablesse ! Sauter sur elle aurait été légèrement trop brusque à mon sens. Mais en la laissant faire, je n’aurai pas montrer ce que tous gobelin se doit de porter dans son âme : la Virilité ! (Avec un « V » majuscule)

Puis après une longue inspiration, je me décidai à la serrer très fort contre moi ! Pas très transcendant comme action, mais je n’avais pas d’autres idées sur le moment. Puis lorsque je l’entendis me taper sur le dos, je compris que je l’étouffais tellement je l’étreignais ! Elle avait pris des couleurs légèrement rougeâtres mais elle ne sembla pas avoir souffert autant que ses toussotements semblaient le présager. Je m’excusa à la vitesse d’un lièvre et pria de tout mon cœur que toutes mes chances n’avaient disparu par cette bêtise monumentale. Le stress de sa présence m’imprégnait tellement que mon cœur en suait. Je portai une petite prière à un dieu, n’importe lequel, du moment qu’au minimum un pouvais entendre mes appels de détresse ! Qu’il me dise ce que je devais faire !

Mes pas se font souples et gracieux, j’ai les yeux rivés à terre réfléchissant. Cette journée à été forte en émotion, quelques évènements étranges se sont produits, notamment ce mercenaire qui à presque réussit à m’ôter la vie. Ainsi donc Oaxaca avait mit ma tête à prix pour cinq cent yus, je dois sûrement m’attendre à de nouvelles attaques. De cet homme et peut-être même d’autres encore… Décidément, cette imbécile n’a rien comprit. En quoi je peux la déranger, j’ai renié mon passé, j’ai renié mon titre… Je ne suis ni prince ni roi, je ne suis plus rien pour elle. Alors pourquoi me cherche-t-elle encore ?

Mes sourcils se plissent cherchant aux alentours un signe de réconfort. Ces temps-ci, les peuples de ce monde agissent étrangement, j’ai des soupçons au niveau de ces rêves. A vrai dire, c’est ce « fou » qui me les a éveillés, les gens perdent la raison. Je crains qu’une terrible menace, peut-être encore plus terrifiante que la maîtresse noire. Mais qu’est-ce que je viens faire là dedans ? Je n’ai rien d’un héro, je ne suis pas quelqu’un de courageux non plus…

(Hum… Pourquoi est-ce toujours à moi que ça arrive ?)
(Je ne peux te répondre prince, la vie est faite ainsi et il faut vivre avec dans le bien comme le mal.)
(Je sais… Mais c’est parfois très troublant. Pas dur, mais troublant. Et puis ne m’appel plus prince, je suis Danal à présent.)
(Tu restera toujours prince à mes… yeux.)
(Qu’insinue-tu ?)

La dernière remarque d’Orëa me trouble un peu, cela fait des jours qu’elle ne m’a pas parlé aussi amicalement. J’espère que le différent… très grave… est passé, j’ai besoin d’elle. Et puis, elle est la dernière chose qu’il me reste de mon père.

Je soupire de lassitude lorsque j’entends Larn me rejoindre, il semble résolu à me parler de choses extraordinaires. Quelle ironie, aujourd’hui c’était vraiment la journée… Moi qui aurais aimé rester seul ce soir, à réfléchir sur ma situation. M’enfin, un peu de compagnie ne me fera pas de mal… Après tout, il est très amical, quoi qu’un peu bavard.

J’écoute attentivement ce qu’il me dit, lorsqu’il eu fini, je lui fais comprendre amicalement que ce n’est pas l’endroit pour parler de toute cette histoire. Je décide donc de nous trouver un endroit serein où pouvoir converser. Après moult réflexion, c’est les remparts que je choisis, de là haut, la vue est merveilleuse apaisant ma soif de beauté et d’un autre assez discret. Quelques gardes passent, mais ils ne sont pas embêtants.

Pendant notre parcoure dans les rues, j’observe et analyse les comportements de chacun, la plupart des personnes semblent fatigués, même abattus par je ne sais quel fléau. Rien de bien important en somme, mais confirmant peu à peu mes craintes.

Je monte en premier l’escalier de pierre jusqu’à atteindre le haut de la muraille, je m’approche du bord et pose délicatement mon coude droite sur le haut. Je pause ensuite mon menton sur ma main pour observer tranquillement le paysage.

Les étendues verdoyants m’offrent un spectacle à couper le souffle, une telle beauté de plaines et de forêts avec en arrière plan les montagnes au loin. C’est ce genre de chose qui agrémente mes jours.

Je réponds alors à mon compagnon d’une voix lasse et presque ennuyée sans prendre la peine de le regarder :

« Ainsi tu voulais t’entretenir avec moi ? Vas donc mon ami. »

Danal ne veut pas que nous discutions ici, et m’invite à le suivre dans les rues de la cité et en silence. J’ai la curieuse impression de le gêner aussi je préfère rester a quelques pas derrière lui et le laisser dans ses pensées, en espérant secrètement qu’il me conduit dans un endroit chaud ou l’on sert à boire.

L’alcool, qui a bien failli me faire mourir quelques minutes avant, me rend plus loquace, plus courageux et moins méfiant aussi. La meilleure preuve en est que je suis en train de suivre un homme dont je ne connais que le nom. Un type rencontré dans une taverne et qui ça se trouve m’amène dans un traquenard, après tout ça ne serait pas la première fois que ça m’arrive. L’air de rien, je reste sur mes gardes. La paranoïa fait aussi partie des effets secondaires de trop de bière
.
Danal lui aussi veille, lui aussi se promène avec un inconnu, mais plutôt que de me garder à l’œil, c’est les rares personnes que nous rencontrions qui l’intéressent le plus.

De rue en rue, nous rejoignons les remparts de la ville, c’est épuisé que j’arrive au sommet alors que Danal, lui n’a pas l’air d’avoir souffert plus que ça.

Kendra Kâr s’étend à mes pieds, protégée par la solide et si haute muraille. Rien ne semble pouvoir la menacer et pourtant je dois la sauver, et avec elle le monde, d’une menace dont j’ignore tout.

Demain, je quitterai Kendra Kâr et ses environs. À défaut de me rendre nostalgique, ça me fait quand même quelque chose, mélange d’excitation et de crainte. Je suis excité de découvrir le monde, d’accomplir une grande chose, encore floue et terrifiante je dois dire. Terrifiante parce que je ne sais pas si je reviendrai un jour ici ou à Kêryan dont je devine l’emplacement, là-bas, à si peu de kilomètres.
C’est Danal qui rompt le silence, presque par dépit:

« Ainsi, tu voulais t’entretenir avec moi ? Vas donc mon ami. »

« Drôle de soirée non ? Il..Il se passe des trucs que je ne comprends pas, et tu peux te moquer de moi, ça me fait un peu peur. T’aurais pas peur toi si une femme te demandait de sauver le monde ? Bref, voila, j’ai fait un, non. J’ai fait deux rêves, comment dire ? si bizarre qu’ils en avaient l’air presque réel. J’ai rêvé de l’accident de ce matin et d’une femme, belle, qui me demande des trucs incroyables et se permet de me faire la morale ! Putain c’est pas dingue ça ! Toi aussi tu l’as vu, la femme, je veux dire, tu sais ce qu’elle veut exactement? Non parce que sauver le monde, tu comprends, c’est un concept bien trop vague, et de toute façon, je suis bien incapable de sauver qui que ce soit ! Et si tu veux rester seul dis le moi! »

Vedd :

Maylee intervient de suite et répond à sa mère :

« Vedd est muet… Il a perdu la parole depuis un petit moment d’après ce que j’ai compris… Je peux lui proposer une chambre pour qu’il se repose un peu avant le souper ? »

La vieille femme fait un signe de la tête et vous regarde vous lever. Maylee se dirige dans un couloir de couleur jaune pale orné de miroirs. Au bout de celui-ci, à gauche, il y a deux portes côte à côte. La première c’est ta magnifique chambre, de couleur claire. Un sublime lit en ébène trône dans la chambre. Une table ronde y est à sa droite et une armoire sur sa gauche. Maylee te dit avant de repartir dans la salle à manger :

« Voilà ta chambre… Dans une demi heure nous mangeons, rejoint nous dans la salle à manger… Mais ne soit pas en retard… »

Kamaliss :

La belle gobeline se rapproche de toi en se dodinant. Ses mains viennent se balader sur tes jambes... Petit à petit, elle remonte celles-ci et vient défaire ton pantalon.

Tout d’un coup, vous entendez un son sourd et de l’agitation à l’extérieur. Tu entends tous les gobelins qui courent dans tous les sens. Au loin, une immense vague se rapproche à toute allure…

« Au secours… Le grand gloups… » Crient les gobelins.

Le jeune gobeline arrête de te défaire ton pantalon et sort dans ca cabane d’un air paniqué…