J'adore ta conclusion, ça devient vite du n'importe quoi ^^
Mais effectivemen, l'histoire "psychologique" dont tu parles est intéressante.
Si on la tourne du point de vue de l'éthologie phylogénétique, c'est à dire la détermination des comportements des especes qui ont permis à ces dernières de survivre, on pourrait penser qu'il y a aussi une donne biologique liée à la favorisaiton de l'espèce à tout ça.
Prennons par expl une célebre expérimentation qui a été réalisée, où l'odeur produite par la sueur des hommes après le sport ont été prélevé et présentés à des femmes. Et bien elles choisissaient systématiquement "l'odeur" comme partenaire préféré, appartenant à la personne dont l'ADN était le plus éloigné en terme de similitude (rapellons que plus le code génétique de 2 individus est éloigné, meilleur sera la probabilité d'une décendence saine sans dégénéréscence et autre malformation).
Ceci est donc effectivement lié à cette notion d'hormone, ok, mais en couplant à ceci :
Les pies femelles se battent pour choisir leur mâle pour la reproduction, en choisissant le mâle qui a la queue la plus longue. Pk la queule la plus longue ? Ca n'a aucun intérêt logique en soit, pourrait-on dire. Pourtant en observant le pouvoir reproducteur de ces individus à la queue la plus longue, on a pu constater que ce pouvoir était plus fort (cellule reproductrice plus forte, plus nombreuses, un ADN peu abîmé,...).
Tout ça pour dire que ça peut être les 2 :
Soit les hormones qui font un effet direct.
Soit un "trait" chez la personne en face. Chez les animaux, comme tout marche à l'instinct, il s'agit d'une sélection "biologique" sur des traits physiques, donc, mais chez l'humain, il peut également s'agir de traits psychologiques, mentaux chez l'autres, mais que ça ait été programmé dans la phylogénétique (génétique de l'espèce entière.
Dernier et 3eme niveau du fait de notre condition "humaine", que ça ait été programmé comme le dit GM1, dans l'ontogénétique (génétique de l'individu au cours de son développement individuel).