La dernière fois SAp14

Jet Evangelina: Attaque à la gorge de Sura: Echec
Jet Sura: Riposte à l'attaque d'Evangelina: Echec
Jet Tips: Attaque planée sur l'arbre figée 10: Réussite
Jet Nessandro: Attaque arbre 30 : Réussite
Jet Azric: Attaque de l'homme-arbre #27 Réussite (arbre 27 figé)
Jet Haillindra: bris de la branche gênante: Réussite
Jet Aram, Agnès,Uroldir, : Attaque de l'homme-arbre: Échec, Réussite, Réussite (Arbres 16 et 17 figés)

Une fois que le moyen pour les éliminer était trouvés les hommes arbres figeaient l'un après l'autre aussitôt qu'ils s'enflammaient. Azric en immobilisa un de plus, même chose pour Aram et Agnès, Uroldir pour sa part, rata son coup.

Bien que le petit dragonnet semblait rempli de bonnes intentions pour sauver le petit sinari dans la situation où il était plongé, il rata son attaque pour fonçer tout droit sur un arbre. Heureusement pour le petit gobelin, l'arbre n'était plus animer d'aucunes vies. Il était imposant, mais tout à fait inoffensif.

Le bout de bois enflammé de l'aldryde suivit la trajectoire qui lui était destinée. La cible mi-animal mi-végétal s'enflamma pour arborer quelques secondes plus tard une robe noirâtre. (((Arbre 30 figé )))

La sauvage toujours au sol sembla proche de la fin. Même à ce stade, elle eut cependant assez de volonté et d'énergie pour retenir la main d'Evangelina lorsque celle-ci tenta de l'étrangler. Puis mue d'un rage incontrôlable elle tenta d'écraser la main de la poupée, mais sans résultats, trop faible, elle n'avait plus de forces. Ce fut sa dernière tentative. L'homme-arbre (#26) qui s'était approché d'elle, l'entoura de ses racines puis ouvrit la bouche et la recouvra de sa sève noire corrosive. Sura n'était plus.

La dénommée Croque suivit du regard la direction indiquée par Arkalan. Ses yeux s'agrandirent, sa peau verte se colora de rouge, et elle courut vers la statue végétal renfermant son frérot. De sa hache, elle décapitait l'arbre en tentant en vain de récupérer le membre de sa famille.

Tout tremblant et les larmes coulant sur ses joues, le petit Sinari regarda autour de lui, puis comme si l'issue était évidente à trouver, il se dirigea tout droit vers l'arbre auprès duquel se tenait Tips. Arrivé près de celui-ci, il s'arrêta, craignant sans doute les flammes du petit dragonnet. Il jeta un regard à la petite bestiole ailée, puis à l'homme encapuchonné pour enfin regarder Arkalan et le supplier:

"Je ne peux rien faire lorsque j'ai trop peur. "

La branche asséchée cèda dès que Haillindra tenta de la retirer. Son bras bien que mobile de nouveau restera cependant quelque peu douloureux.

Le narrateur qui jusque là, ne s'était pas trop manifesté, en colère fit entendre une gémissement de rage à vous glacer le sang Puis, suite à ce cri, un tremblement se fit ressentir sur ce qui restait de sol, un tremblement étrange qui n'était sûrement que la prémisse à un danger plus périlleux.

Je ne parviens plus à me sentir concerné lorsque le énième bout de bout de bois part figer un nouvel arbre. Mes yeux sombres suivent chaque mouvement, sans s'y attarder. D'autres végétaux sont brûlés par les colosses, et un être vert -femelle pour ne pas changer- doté de crocs ramène l'erreur vivante et féline à proximité des autres protagonistes. J'ai juste le temps d'apercevoir l'humaine traitresse recevoir un traitement similaire à l'orc, signifiant sans doute que le narrateur a enfin compris l'inutilité d'un tel pion, et de son côté cet idiot de sinari continue à trembler. Je suis las de tout ceci. Ma colère est bien présente, mais si froide que j'ai la sensation de ne pas sentir le brûlot proche de moi.

Je me mure dans le silence, transmettant mon état d'esprit dans un regard perçant. Je le dirige vers le lézard volant, puis l'humain sous capuche. Si ces deux imbéciles persistent à effrayer le bonhomme, je ne suis pas prêt de sortir d'ici. Mon corps frissonne, hérissant ma peau bleutée. Je veux retrouver Lyïl. Je ne connais que peu cet oiseau, mais j'ai fini par attacher de l'importance à son existence. Dans un effort de volonté, je parviens à ne pas reporter entièrement mon attention sur le shaakt.

Soudain, tandis qu'un son déchirant se fait entendre, je me rends compte que le sol de bois tremble, rendant les présents un peu instables. Je me sens menacé, vraiment. Ces arbres mouvants n'avaient rien de rassurant, mais cette combinaison d'un cri impossible à identifier et d'un danger imminent et invisible est bien pire. Si cela m'effarouche à ce point, le sinari va finir paralysé de peur. Orientant mon visage vers la chose féline, je me souviens qu'elle a utilisé quelque chose ayant momentanément calmé l'assemblée. Acte égoïste qui m'a d'ailleurs irrité au plus haut point. De quel droit une femelle de grande taille peut se permettre de manipuler mes émotions ?

Toutefois, ce pouvoir pourrait s'avérer utile. Sauf que je refuse de lui adresser la parole. Ma langue va finir nécrosée si je m'acharne à tenter de communiquer avec des imbéciles dans son genre. Et je suis à bout de patience. Cette mésaventure n'a que trop duré, ravivant l'amertume de me sentir prisonnier. Si je ne sors pas d'ici bientôt, je ne réponds plus de mes fléchettes !

Je me contente donc de croiser les bras avec force, sarbacane à la main, et allant voleter non loin du hobbit.

Torture

Un sursaut de brutalité, la force du désespoir peut être. Quoiqu'il en soit, la prétendue traitresse parvint à bloquer la main de la poupée qui ne s'y attendait pas. Elle sentit son geste être brusquement stoppé par la poigne de la mourante. Elle en resta interloquée, immobile.

Il y eu un léger craquement, son poignet qui résistait à la pression de la main de la traitresse. Mais le temps qu'elle réagisse, cette force avait disparue. Les blessures qu'elle avait subies étaient trop importantes et ses forces la quittaient.

Evangelina ne ressentit rien. La mort d'autrui ne lui faisait rien, ne faisait apparaitre aucune émotion, aucun sentiment en elle. Un instant elle se demanda ce qu'elle était devenue, mais cette pensée fut très vite effacée. De grandes racines commençaient à entourer le corps de la brulée qui ne put réagir. La poupée écarquilla les yeux en remarquant qu'une des créatures était juste à côté d'elle et sauta en arrière, brandissant son sabre devant elle.

(Il faut que tu sortes d'ici, et vite.)
(Je me demande sincèrement à quoi tu sers, là...)

L'araignée ne répondit pas. Evangelina regarda le corps de la traitresse être doucement recouvert de ce liquide noir qui n'avait rien de ragoutant. Elle recula d'un pas, ne sachant trop quoi faire. Le monstre était devant elle, et elle ne pouvait rien faire.

Et soudain, elle sentit quelque chose vibrer. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre qu'il s'agissait du sol lui même. Et le cri qui surgit soudainement ne fit rien pour la rassurer. Elle tourna la tête de tous les côtés, sans rien voir de spécial. Tout le monde semblait occupé à se battre. Elle inspira un grand coup, pour essayer de se calmer.

"C'est n'importe quoi. Rien n'est réel ici, ce n'est pas possible..."

Elle était complètement perdue. Il fallait vraiment qu'elle sorte d'ici, qu'elle trouve la sortie, le plus vite possible. Devant elle, un homme encapuchonné s'excitait sur un petit humanoïde. Il parlait de sortie, entre autre.

Elle s'approcha de lui.

"Il faut trouver comment sortir d'ici !"
(Il a dit ne pas pouvoir sortir sans avoir peur...)
(Pourquoi tu le dis que maintenant ?)
(Je suis une Faëra, je te rappelle...)

Evangelina soupira, puis ressentit ses sentiments remonter à la surface. Elle avait oublié qu'ils avaient disparu. La peur, la haine...

(Apaise-le, comme tu as fait pour moi !!)

4ème de couverture
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Utilisation d'apaisement par Gladys sur Lacrème.

La dernière fois SAp15

Les yeux du petit Sinari devinrent moins ronds, sa respiration ralentit, ses larmes cessèrent de couler, le charme d'apaisement de la faera avait fait son oeuvre.

A présent calme, il déposa sa main sur le tronc de l'arbre, la déplaça un peu à droite et en bas, puis vous sourit.

"Je vais vous y faire passer un après l'autre, en vous touchant "

Du bout des doigts, il effleura le pied droit de l'aldryde. Aussitôt le contact établit entre les deux, Nessandro, et seulement lui, put voir une ouverture de la taille du sinari dans le tronc de l'arbre. Puis le petit hobbit toucha la chevelure de la poupée, et elle put voir elle aussi la porte pratiquée dans le tronc de l'arbre.

Lorsqu'il franchiront la porte, ils se retrouveront ici !
((( Une fois que le sinari vous a touché, vous pouvez passer par l'ouverture sans avoir besoin de garder contact avec lui.

Evangelina et Nessandro, vous pouvez désormais rp dans le nouveau sujet sans attente.)))

Manquée. L’attaque était complètement ratée. Il passa largement au-dessus du petit homme et de ses agresseurs, et alla se gaufrer méchamment dans les branches d’un arbre inerte, imposant, et autre fois menaçant. Pendu et enchevêtré dans ces branchages malavisés, il contempla la scène incongrue qui se déroulait tout autour de lui. Des végétaux agressifs se battaient contre les gens de l’auberge, qui y allait à cœur joie pour cramer leurs jolies feuilles sombres et tranchantes. La brume et la fumée se mêlaient, rendant l’atmosphère étouffante et pesante, si seulement l’ambiance générale ne l’était pas déjà. L’obscurité ambiante n’arrangeait pas les choses. Par chance, les petits brasiers allumés par la bataille éclairaient les environs directs, comme des torchères macabres, chacune signifiant le trépas d’un arbre vivant.

Le petit Lacrème finit tout de même par arriver près de l’arbre où Tips était juché, sans doute par l’odeur alléché. Il ne lui demanda cependant pas de fromage, ni ne fit d’hypothétiques compliments sur son ramage : trouillé, il se plaignit simplement de n’être pas plus efficace qu’un vieux camembert mou s’il avait peur. Tips se demanda bien de quoi il avait peur. C’était une garden-party improvisée plutôt agréable, même si le temps n’était pas vraiment de la partie.

Un grognement lugubre retentit par-delà les airs, rageur et sans scrupule, aulne d’une nouvelle menace qui ne tarderait plus. Ou d’un estomac affamé qui, de loin, avait décidé de rejoindre cette petite fête entre copains. Le tremblement qui accompagnait ce cri était la preuve, pour Tips, de cette faim sur l’arrivée. Chez lui, ça faisait toujours ça : du bruit et un tremblement. Il suffisait juste que le mangeur soit un peu plus grand, et les proportions se devaient d’être augmentées. Logique… Pour un gobelin sans intellect.

La poupée toucha le sinari, et ça lui fit moult effets qu’il serait malséant d’expliquer ici. En réponse à ses attouchements, il se mit aussi à lui caresser le poil, ce qui la fit tout bonnement disparaître. Lorgnant sur cette scène inattendue, Tips avait repris sa forme gobeline sans même s’en rendre compte… Et les liens végétaux qui le maintenaient en hauteur cédèrent sous cette nouvelle apparence chétive : dans un craquement sinistre, il dégringola jusqu’aux racines de l’arbre, où il atterrit sur son arrière train, juste à côté du semi-homme, un peu éberlué. Il lui lança un sourire niais, oubliant désormais tout ce qui l’entourait.

Les Murs de Poussière - Chapitre V

Les Murs de Poussière

Chapitre VI

Le sinari lui disait avoir trop peur pour pouvoir user de sa magie.
Goetius se contenta de le regarder avec insistance : Ce n'était pas comme s'il avait le choix, il devrait faire avec ou mourir ici. Était-il trop stupide pour le comprendre ?

Le fanatique désespérait de la faiblesse de cet hobbit incapable de même sauver sa propre vie sans chouiner. C'est à ce moment qu'un gémissement puissant venant des cieux agressa ses oreilles, suivi d'un tremblement soudain de la terre qui ébranla tout autour de lui et manqua de lui faire perdre l'équilibre.
Était-ce ce narrateur qui venait de comprendre son erreur ?

Quoi qu'il en était, cela ne faisait que lui donner plus envie encore de presser son départ. Il s'apprêtait à hurler sur le sinari lorsqu'il le vit en train de tâter l'arbre et toucher tour à tour trois des autres survivants de l'auberge qui avaient dû se rendre compte de ce qui se tramait ici. Ce devait être sa fameuse sortie invisible.

Il se rapprocha et dit :
"Hâtez-vous de me faire sortir."



Les Murs de Poussière - Chapitre VII

La dernière fois SAp15

Henri rendit son sourire à Tips avant de lui toucher le bout de son couvre-chef, et jovialement il lui dit :

"Passe par cette ouverture et tu trouveras peut-être ce que tu cherches ! "

Quant à Goetius, il tendit sa main vers lui et puis la rétracta. L'homme lui faisait plus peur qu'autres choses et manquait de lui faire perdre ses moyens. Il se ferma donc les yeux et toucha du bout des doigts la tunique de l'humain.

Lorsque le contact fut établi avec le Sinari, Tips et Goetius put voir une ouverture de la taille du Sinari dans le tronc de l'arbre.
Lorsqu'il franchiront cette ouverture, ils se retrouveront ici !
((( Une fois que le sinari vous a touché, vous pouvez passer par l'ouverture sans avoir besoin de garder contact avec lui. Vous pouvez désormais vous rendre au sujet de couloir de transition pour y faire votre dernier rp et prendre vos récompenses de quête.)))

Terrifié, le sinari admettait qu'il ne pouvait rien faire dans cet état. Je ne pouvais que le comprendre, mais ne restait pas inactif pour autant.

Je pensais n'avoir tourné la tête qu'un instant mais c'était suffisant pour qu'un des monstres arboricoles s'approche suffisamment près du groupe pour dissoudre la dingue à la pelle. Nous ne pouvions plus attendre pensais-je en lançant ma torche vers cette chose immonde. Il fallait absolument rassurer le hobbit pour s'en sortir.

Comme pour m'en dissuader, un cri qui fit trembler le sol me figea un instant de frayeur. Je regardais autour de moi cherchant la provenance du cri. La brume était toujours pressente, voilant la lumière des foyers qui prenaient un peu partout ajoutant à ça la marche funèbre des hommes arbres qui avançaient imperturbable, tout donnait l'impression d'un décor de fin du monde.

Je cherchais mon acolyte qui m'avait accompagné le long de cette histoire. Il m'avait semblé l'avoir vu voleté l'air mécontent près du Sinari.

Bizarrement celui-ci semblait calme, il avait cessé de pleurer et il tâta le tronc de l'arbre avant de sourire. Oui ! Il souriait ! Après quelques mots que j'avais espérés entendre il effleura les pieds de mon acolyte blond puis il se dirigea vers la pleurnicheuse pour lui toucher les cheveux puis le bonnet du gobelin puis, les yeux fermés, la tunique de l'humain désagréable.

Quand il rouvrit ses yeux je me tenais devant lui, la main tendue, un sourire impatient sur le visage, j'allais quitter cet enfer.

Enivré par la bataille et motivé par les victoires de ses compagnons d'armes, Azric ne ressentait plus ni la fatigue, ni la douleur. Plus concentré que jamais, il engagea le combat avec une autre de ces abominables créatures végétales qui ne l’effrayait plus désormais.
Suivant son entrainement, il para et encaissa les coups de son adversaires - manquant de se faire embrocher à plusieurs reprises - avant de trouver une ouverture pour attaquer. Puis, lorsque ce fut le cas, sa torche se balança au bout de son bras et frappa directement le visage noueux de l'homme-arbre, l'enflammant d'un intense brasier.

Cependant, alors que l'arbre finissait de brûler et de s'immobiliser, le sol se mit à trembler affreusement, comme s'il s'apprêtait à s’effondrer sur lui-même à tout moment. Puis un sinistre hurlement retentit soudain, sortant de nul part et couvrant le vacarme pourtant assourdissant du champs de bataille. La voix qui avait émit ce cri ressemblait fort à celle du nouveau narrateur, mais le nain ne pouvait en être sûr. Ce dont il était sûr, en revanche, c'était qu'il ne valait mieux pas trainer trop longtemps dans le coin !

Quand il se retourna pour voir où en étaient les autres avec le hobbit, il eut juste le temps d’apercevoir l'un des créatures hybrides engloutir Sura entre ses racines, de la même façon que l'orque avait été engloutit un peu plus tôt ... Ses protestations et ses cris de douleurs furent bien rapidement par le craquement de ses os et le grésillement de la sève acide qui consumait son corps.

( Sura ... Puisse tes dieux recueillir ton âme ... ) Pria Azric, le cœur serré. Cette barbare avait beau avoir été une traitresse, personne ne méritait une telle mort.

Un peu plus loin, se trouvait le reste du groupe. Encerclés d'arbres calcinés, ils se tenaient tous en cercle autour du petit sinari, qui avait enfin cessé de pleurer. A la place, celui ci commença par s'approcher de l'un des arbres pour apposer sa main à sa surface. Puis, une par une, il toucha chacune des personnes qui l'entouraient, lesquelles s'avançaient alors vers l'arbre en question pour disparaitre à son contact.

« Magie ! » Cracha le nain, à voix basse.
Quoi qu'il en soit, le passage était ouvert. Et au vu du séisme qui s'annonçait, il risquait de ne pas le rester bien longtemps.

Alors, dans un ultime geste de défi, Azric envoya sa torche contre l'homme-arbre qui était trop occupé à digérer ce qui restait de Sura pour s’intéresser à la fuite de ses autres proies, avant de s'empresser de rejoindre le hobbit et les derniers membres de leur petit groupe qui n'étaient pas encore sortis.

« Aller Henri, il est plus que temps de s'en aller. » Lâcha le nain quand il arriva à son niveau, quelque peu essoufflé et épuisé par son combat. Il tenta de lui faire un sourire rassurant, mais cela ne devait guère avoir d'autre allure que celle d'une horrible grimace.

La dernière fois SAp17

Lorsqu'il ouvrit ses yeux, le petit Sinari toucha sans hésiter la main tendue d'Arkalan. Henri sourit également à Azric et lui toucha délicatement la barbe.

Mais le sourire du Sinari faiblissait, il semblait fatigué. Il ne pourrait durer longtemps

Aram toucha Henri et traversa à son tour.

Mais Agnès et Uroldir s'arrêtèrent, regardant Croque et Haillindra

Lorsque le contact fut établi avec le Sinari, Arkalan et le nain purent voir une ouverture de la taille du Sinari dans le tronc de l'arbre.
Lorsqu'il franchiront cette ouverture, ils se retrouveront ici !
((( Une fois que le sinari vous a touché, vous pouvez passer par l'ouverture sans avoir besoin de garder contact avec lui. Vous pouvez désormais vous rendre au sujet de couloir de transition pour y faire votre dernier rp et prendre vos récompenses de quête.)))

Le Sinari se plaignait de ne rien pouvoir faire en étant traumatisé, sans cette foutue branche accrochée à mon bras, je l'aurais déjà aidé, mais impossible de jouer de la flûte avec ce morceau de tronc d'arbre qui me bloque.

Autour de nous, le sol tremble et un horrible cri se fait entendre. Manifestement, le narrateur n'a pas l'air heureux de la tournure des évènements. Quant à nous, il faut sortir de là avant d'être victime de son ire. Et pour cela, il faut parvenir à calmer le demi-homme et donc il faut que je dégage mon coude bloqué dans une situation inconfortable.

Je me bats un bon coup et finis faire céder cette prison lignifiée. Il est trop tard cependant, quelqu'un a réussi à le calmer. Ce petit homme avait la capacité de créer une sortie dans un tronc d'arbre. Tous partaient, je me retrouve bientôt seule avec le Sinari, la créature verte qui m'avait sauvée et ... le cadavre de la barbare, livrée aux arbres et à la colère du nouveau narrateur.

"Toi, la grande verte, pars, je te rejoins !"

Je me dirige vers le cadavre de Sura. Trop lourde pour que je puisse la porter, mais je ne peux pas la laisser là ! Traîtresse à je-ne-sais-pas-qui ou pas, elle mérite une sépulture décente ! Je fouille mes poches rapidement, à la recherche d'une idée géniale. Je tombe sur le sachet de poudre récupéré chez les centaures. Si elle lévite, je vais pouvoir l'emmener avec moi et trouver un endroit où enterrer son corps.

Je lui ouvre la bouche y verse le sachet de poudre qui se met à agir. Tenant son pied, je me dirige guillerette vers le Sinari.

"Tu peux nous faire sortir toutes les deux, s'il te plaît ? Puis viens avec nous, je te soignerais, ça te fera du bien je pense."

(((HRP: utilisation de la poudre papillon sur le cadavre de Sura)))

La dernière fois SAp18

Jet de dés: Persuasion de l'orque: Réussite.
Jet de dés : Transport de Sura : Échec

L'orque qui venait de décapiter l'arbre sans réussir à retrouver son frère, se tourna à ton appel et se résout enfin à rejoindre le sinari. La connaissant bien, Henri lui fit un petit sourire d'encouragement malgré la fatigue qui l'assaillait.

Sura lévita sans problème lorsque Haillindra réussit à trouver ce qui était autrefois la bouche de Sura et de lui y verser la petite poudre. Malheureusement pour la poupée, il lui fut impossible de transporter la femme sauvage puisque tout un arbre entier, bien enraciné au sol la maintenait de ses racines et de ses branches. Cet arbre calciiné par les bons soins du nain

Agnès voulut aller chercher les petites fleurs, mais Uroldir lui prit la main et la ramena avec lui vers Henri.
Lorsque le contact fut établi avec le Sinari, Haillindra put voir une ouverture de la taille du Sinari dans le tronc de l'arbre.
Lorsqu'elle franchira cette ouverture, elle se retrouveraici !

Agnès et Uroldir traversèrent à leur tour et le sinari bien épuisé entra dans le couloir et referma l'ouverture.

Un grand feu envahit l'auberge tout entière suivit d'un puissant ricanement. Le narrateur pensait à tort s'être débarrassé de tous les aventuriers.

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