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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Sam 2 Avr 2011 17:54 
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La souris te regarda avec un petit sourire amusé, mais respectueux. Et c’est avec calme et bonne humeur qu’elle te répondit.

« Enchantée Safari. Je me nomme Moustache, désormais. En fait, je parle depuis l’âge d’un an comme tous les êtres humains normaux, mais je ne suis une souris de façon permanente que depuis peu, mais ça c’est une longue histoire. »

Elle semblait soudain plus triste. Elle poussa un long soupir et leva les yeux au ciel avant de poursuivre.

« Pour Oudini, je ne le connais pas, mais peut-être que Prout ou Mium en savent plus. »

Ce disant, elle se retourna vers les immenses jarres. Elles étaient à présent renversées sur le côté, sans se briser. Et de celles-ci sortirent des gobelins, un par jarre.

ImageImage



Ces deux jeunes gobelins étaient identiques, physiquement du moins.

« En parlant des gobelins, les voici : Prout et Mium ou peut-être Mium et Prout Je ne sais pas, seul Pa… Uroldir sait les différencier. »

Elle rajouta tout bas, sur le ton de la confidence :

« Tu peux faire confiance à Prout sans hésiter. Pour Mium, ce n’est pas qu’il est méchant, mais il est un peu trop gourmand, et n’hésite pas à se mettre sous la dent tout ce qu’il trouve. »

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Dim 10 Avr 2011 04:48 
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Amusée par les pitreries immanentes du lutin, la souris se présenta et répondit qu'elle ne connaissait pas Oudini mais que peut-être l'un des deux autres prénoms prononcés par le ravisseur d'Eucalyptus en saurait un peu plus si cette mystérieuse affaire. Et comme le destin avait tendance à frapper toujours avec un certain amusement, les deux prénoms en questions sortirent de leur cachette en terre cuite. Prout et Mium étaient en fait deux gobelins identiques et Eucalyptus les regarda un instant en se demandant s'ils étaient jumeaux comme ses cousins mais bien vite, une toute autre affaire tracassa son esprit. Aussi, il fit une moue dubitative, regarda vers le plafond et se tortilla les cheveux avec un air penseur.

( Hummm...)
( Oui, ces gobelins ont l'air vraiment débiles... )
(Oui, hihi... Mais çà, ça vaut pour tous les sektegs ! Non, je repensais à ce qu'a dit Moustache... Je me demande si elle était humaine avant...)
( Eucalyptus, mon petit bouchon, tu t'éparpilles et tu ne peux pas porter tout le malheur du monde sur tes épaules ! Concentrons nous sur les tâches que nous avons ! Nous devons travailler pour Lumbo, retrouver cet Oudini, traquer la Rose Cardinale... Alors par pitié, ne rajoutons pas d'autres aventures à cette liste déjà bien longue... )


Eucalyptus regarda une nouvelle fois les deux gobelins et se contenta d'aller s'assoir sur le gros volume de Ti-Jean. Il fallait dire que dans ses terres natales, les gobelins résidents étaient des grosses brutes faisant peu cas du langage et ce fut donc tout naturellement qu'Eucalyptus ne pensa pas un seul instant à leur parler. Tout un flôt de pensées le submergeait et il ne savait plus très bien quoi faire. Au début, il pensait maîtriser la situation mais tout cet imbroglio le laissait perplexe et désarmé...

"Ma Faluche saurait quoi faire dans ce genre de situations... J'avoue que ça me dépasse tout çà ! Je croyais qu'il y avait des lutins ici à sauver ! Et on se retrouve avec une enfant maudite, deux débiles à peaux vertes et des babioles en pagaille. Je pensais pas qu'on pouvait être aussi déglingo du ciboulot que mon oncle Absinthe mais franchement, là, cet Uroldir détient la palme d'or !"

Assis sur le gros volume manuscrit et raturé, Eucalyptus gigota son petit doigt vers la pierre sombre enchâssée puis soupira, préoccupé par ses tourments intérieurs... Bidouille, elle, était restée aussi méditative que son maître, se demandant si elle ne venait pas, comme une idiote débutante, de trahir le serment du Code Faérique en s'étant révélée ainsi à de simples mortels sans grande importance. Pourtant, Bidouille était une faera tatillonne sur les règlements mais quelque chose lui disait que ce n'était pas si grave au fond. Elle regarda un instant la petite souris agiter ses vibrisses puis décida qu'il était temps de disparaître dans une nuée de lucioles qui vinrent papillonner autour du lutin...

S'il y avait bien une personne qui semblait s'amuser de cette situation, c'était bien la sylphe convoquée du lutin. Elle regardait tour à tour la souris et les deux gobelins avec un air toujours aussi amusée puis regarda le lutin s'assoir et clamer ses tourments. Sa poitrine de vent fut rapidement secouée gracieusement et on put entendre une fine brise sifflante sortir de sa bouche nappée de nuages blancs, comme une sorte de rire...

(((Mouvement de petits objets sur la pierre sombre ))))

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Dim 10 Avr 2011 15:41 
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Jet de dés:65 Réussite.


Le petit doigt d’Eucalyptus bougea et la petite sphère noire s’éleva dans les airs pour se rendre très près du plafond puis s’immobilisa là. Comme Moustache l’avait expliqué plutôt, ce n’était qu’une très grosse bulle de savon après tout.

A ta remarque sur Uroldir, Moustache fronça les sourcils puis descendit de la table et s’en retourna sur les tablettes pour prendre place juste à côté du rat empaillé. C’était sa façon à elle de te signifier qu’elle n’approuvait pas tes dires et qu’elle ne t’adressait plus la parole.

Les deux gobelins pour leur part s’approchèrent doucement de la table.
Celui de droite dit à celui de gauche :

« Les débiles à peaux vertes, c’est nous ? »

Et le second répond, tout en t’observant attentivement.

« Oui, je crois. »

« Et c’est un compliment ou une insulte ? »

« Ça dépend… tu aimes la couleur verte ? »

« Oui, j’adore »

« Alors c’est un compliment »

« Mais c’est gentil de sa part alors. »

Les deux gobelins avaient eu cette petite conversation entre eux, sans s’adresser à toi, comme si tu n’étais pas là, et pourtant ils en étaient conscient puisqu’ils n’avaient cessé de te fixer tout au long de leur petite conversation.

Du haut de son perchoir, Moustache visiblement contrariée, t'adressa tout de même la parole:

« Et puis, si il y avait des lutins à sauver, c’est Uroldir qui les aurait sauvés, comme il a fait avec toi, Nan ! »

Après avoir dit ça, toujours sur la tablette, elle se retourna pour faire face au mur et ainsi te tourner le dos.

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Dim 10 Avr 2011 19:14 
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La bulle sombre s'envola simplement vers le plafond tandis que Moustache partit bouder sur une tablette et qu'Eucalyptus regardait, amusée et quelque peu surpris, les deux gobelins s'entretenir au sujet de ce que venait de dire le lutin. Et enfin pour ponctuer tout ceci, Moustache s'exclama, bientôt suivie par Eucalyptus :

"Oh l'autre, hé ! Elle boude... Elle boude ou elle plume, remarquez, on sait pas très bien...", rajouta-t-il alors sous forme de confessions aux deux gobelins qui ne cessaient de le fixer.

"Hey Moustache ! Si tu plumes, décompte à partir de cent qu'on ait le temps de se cacher ! Hihi !"

Hilare, le lutin laissa alors la souris pour s'intéresser de plus près aux deux peaux vertes. Le jeune lutin s'approcha du bord de la table et regarda tour à tour chacun des deux gobelins. De temps en temps, il opinait du chef, puis comme s'il venait de découvrir les rouages de la fission nucléaire, s'exclamait d'un "Ah ! Ah !" fort avant de rajouter un "Ah non..." presque déçu de ne pas avoir trouvé la différence entre les deux gobelins presque identiques. Au bout d'un moment, le sourire jusqu'aux oreilles, il fit quelques pas en arrière, ajusta son pagne de fortune, sa longue queue de cheval puis regarda distraitement une des "lucioles-Bidouille" s'agiter devant lui avant de placer ses deux pieds bien ancrés sur la table.

"Un jour, mon mentor m'a dit..."

Eucalyptus sortit sa langue sur le côté comme pour se concentrer et déplaça lentement ses mains autour de lui...

"... Qu'on reconnaissait un bon magicien..."

Le jeune lutin augmenta la cadence et maintenant même ses doigts gigotaient dans tous les sens...

"... s'il était capable de maîtriser à la perfection..."

Eucalyptus, maintenant, bougeait aussi son corps et ses pieds, dans une danse tribale assez rigolote et qui se voulait retraduire les mouvements du vent. En fait, il cherchait à capter les fluides ambiants pour parfaire son expérimentation et obtenir ainsi plus de résultat. Il ne savait pas vraiment si le fait de faire appel aux fluides ambiants lui seraient d'un grand recours mais quand le lutin avait une idée en tête, il était difficile de la lui enlever, sauf si un papillon coloré ou une odeur de crêpe fumante venait dans son rayon sensitif. Aussi, au bout de quelques instants, il sentit ses propres fluides se réveiller et s'agiter dans son propre corps, le réchauffant curieusement et des fois même en le chatouillant légèrement. Il ne voulait pas subir d'échec dans son entreprise, aussi, il commença à respecter à la lettre les préceptes de son professeur de tai-shi et ses mouvements se firent beaucoup plus amples et souples et beaucoup moins fantaisistes. Son esprit se focalisait sur lui-même, Eucalyptus voulait à tout prix réussir à parfaire son propre double...

"... l'art subtil de l'illusion !"

Droit comme i, ses bras en croix, le lutin s'immobilisa et laissa ses fluides faire le reste, espérant de tout coeur que tout se passerait bien...

( Héhé, si j'y arrive, on va se payer une bonne tranche de rigolade ! )


((( Apprentissage du sort RP neutre Illusion )))

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Lun 11 Avr 2011 01:05 
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Jets de dés sort illusion: 84 Réussite

Pendant que ton double apparaît à côté de toi, les gobelins firent bouger leurs narines en même temps, le gobelin de gauche s’adressa à toi :

« Tu sens la noisette, ça me donne faim ! »

« Snif, snif, tu sens aussi d’autres choses, que je ne connais pas, mais ça sent bon. »

« J’aime bien la noisette. »

« Mais retiens-toi, papa a dit que je devais te surveiller Mium. »


« Mais qu’est-ce que tu dis là, c’est à moi que papa a dit de te surveiller, je suis Prout et tu es Mium. »


Ce disant, il donna un coup de poing sur le crâne de son frérot.


« Ah, que tu es bête, c’est moi Prout et c’est toi qui veut manger ce lutin, ou plutôt ces lutins, puisqu’ils sont deux. »

« Tu crois qu’il s’est transformé en statue ?

Les deux gobelins te fixèrent des yeux ainsi que ton double, attendant impatiemment pour voir ce qui va se passer.

(((Apprentissage du sort illusion validé . )))

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Lun 13 Juin 2011 19:13 
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Ils avaient marché une bonne trentaine de minutes, pendant laquelle Nayem avait pu raconter à son oncle les nouvelles d’Henehar, des villageois, de la famille, etc. Dimitri, quant à lui, s’était contenté de donner un aperçu au garçon de ce qu’il comptait le faire visiter à Tulorim, et ça avait l’air de plaire au petit. Puis pour finir, après avoir traversé les longues avenues de Tulorim, le garçon aperçut une immense maison devant laquelle Dimitri s’arrêta net.

« Waouh ! C’est chez toi ? »
« Et oui ! »

Puis après avoir sorti une clé dorée de la poche gauche de son pantalon en cuir, probablement très cher, il ouvrit la porte de la grande maison en montrant l’entrée au garçon de la main gauche.

« Après toi. »

Une dame aux cheveux bruns attachés en chignon sur la nuque portant un tablier de femme de ménage, en entendant le bruit de la serrure, tourna immédiatement les yeux qui se mirent à briller vers Nayem. Puis avec une voix forte et un accent étranger bien marqué, elle demanda :

« Alors c’est lui, le fameux fils d’Enzo ? »
« Oui, Emira. C’est bien Nayem ! »
« Mais qu’il est beau ! Oh, j’en oublie mes bonnes manières. Je m’appelle Emira, ravie de faire ta connaissance. En temps normal, je vous aurais proposé une tasse de thé, hélas, avec les températures que nous avons en ce moment à Tulorim, je doute que vous en ayez envie. »


En effet, c’était l’une des premières choses qui avaient frappé le garçon : il faisait une chaleur caniculaire à Tulorim. Certes, un génie comme Dimitri avait pensé à créer un système de refroidissement pour la maison, rendant l’atmosphère bien plus agréable qu’à l’extérieur, mais par les fenêtres panoramiques de l’énorme salon de l’oncle, Nayem pouvait remarquer les pauvres habitants dégoulinant de transpiration comme lui-même quelques minutes plus tôt, et sans s’en plaindre ! De toute façon, cela n’aurait rien changé. Sur cette remarque, le garçon regarda son oncle.

« C’est toujours comme ça à Tulorim ? »
« Oh que non ! Selon moi, Tulorim a le climat le plus agréable qui soit ! Ca doit bien faire quelques semaines que cette vague de chaleur a commencé. »


La femme de ménage hochait la tête pour confirmer.

« Pourtant, crois-moi, j’ai étudié toutes les possibilités géographiques, et je ne vois vraiment pas d’où une telle vague de chaleur pourrait venir. »

Voilà qui était une situation bien curieuse. Certes, Dimitri n’était pas une quelconque entité omnisciente comme un Dieu, mais on pouvait presque en avoir le doute ! Depuis tout jeune, il avait toujours eu les meilleurs résultats à l’école et il apprenait très vite les choses. Ceci, en plus d’être super créatif ! Enzo trouvait d’ailleurs que son frère serait un excellent exemple pour son enfant.

« De la magie, tu penses ? »
« Je sais pas. Il est trop tôt pour avancer quoi que ce soit, mais j’ai mes théories. »


Puis il s’interrompit par une petite toux et demanda à Emira :

« Emira, pourrais-tu m’amener deux verres d’eau, s’il te plaît ? »
« Bien sûr monsieur. »


Pendant qu’elle se retirait, Dimitri prit dans la même poche que la clé de la maison, une petite boîte parallélépipédique d’où il sortit un cigare qu’il alluma avec le bout de son index. Puis, après avoir craché un nuage de fumée vers le toit pour éviter le visage du petit, il reprit :

« À vrai dire, j’ai fait une découverte assez intéressante… »

Emira arriva alors avec deux verres remplis d’eau et les posa sur la table basse se trouvant entre les deux confortables fauteuils à la fourrure rouge foncé où étaient assis Nayem et son oncle, posés sur un tapis rond aux motifs royaux, en plein milieu de l’énorme pièce. Dimitri prit alors l’un des deux verres dans sa main libre, puis l’eau qui s’y trouvait se mit à évaporer jusqu’à ce que le verre soit totalement vide.

« Deux minutes dix-sept. J’ai compté. Avant, pour évaporer tout le contenu d’un verre d’eau à 200 ml, il me fallait au moins trois minutes. Conclusion ? »
« L’air est plus sec… ? »
« Et donc ? »
« Ben, l’eau s’évapore plus facilement… »
« Certes, certes. Mais qu’en est-il des aquamanciens ? »
« Ils ont sûrement plus de mal à utiliser leur magie. »
« BINGO ! »


En effet, Dimitri l’avait constaté, plusieurs magiciens maîtrisant l’eau ou la glace avaient affirmé qu’ils avaient beaucoup de mal à utiliser leurs sorts depuis le début de la vague de chaleur. Ce n’était peut-être qu’une coïncidence. Après-tout, il ne semblait y avoir aucune raison particulière pour laquelle on veuille affaiblir une certaine catégorie de magiciens en particulier. Cela restait cependant une remarque à ne pas négliger. Au bout de quelques secondes, l’atmosphère de suspense qui s’était mise à régner fut gâchée par le désagréable rire strident d’Emira :

« Ohohoho ! Si petit et déjà futé. Exactement comme son oncle ! »

Faisant abstraction de la remarque de la femme de ménage, Nayem se rappela tout d’un coup de la petite boîte qu’il devait donner à son oncle, qu’il sortit aussitôt de sa poche et tendit à Dimitri.

« Tiens, papa a dit que c’était pour toi. »
« Merci petit. »

L’oncle n’avait pas l’air de s’en soucier plus que ça. Il prit la petite boîte et la rangea dans sa poche. La droite, cette fois-ci. C’était typiquement le genre de détail que Nayem adorait analyser. Il avait depuis peu remarqué que les gens rangeaient généralement les mêmes choses toujours dans les mêmes poches. D’ailleurs, bête coïncidence : son papa rangeait toujours ses clés et son paquet de cigares dans la poche gauche lui aussi, exactement comme Dimitri.

« En fait, j’ai quelques courses à faire. Tu m’accompagnes ? »

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Mar 14 Juin 2011 23:15 
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« Trop fort ! Tout ça, ça faisait partie de ton plan ? »

Oh que non ! L’idée de ramener les bandits à la maison était loin d’être brillante, surtout que Dimitri n’aurait pas su quoi faire après ça. Ceci dit, il aurait suffit de réveiller Emira pour qu’elle jette dehors les deux intrus à coups de rouleau à pâtisserie ! Tout de même, il serait incorrect de dire que ce n’était qu’un coup de bol. Après tout, la façon dont l’oncle avait su se délibérer était plutôt habile.

« Euh… on peut dire ça, oui. »

Hélas, contrairement à son oncle, Nayem n’avait pas réfléchi à l’idée que les bandits aient très probablement retenu l’endroit où ils habitaient. Ils n’étaient plus en sécurité dans la grande maison. Il fallait se cacher, et vite ! Mais pour l’instant, les deux étaient bien trop fatigués pour penser à autre chose qu’à leur lit, et pourtant… ce n’était pas pour tout de suite.

« Bon, les deux là, qu’est-ce qui vous prend de renter après minuit ?! Quand j’ai entendu la porte s’ouvrir, mon cœur a accéléré à un point que j’ai cru que j’allais le recracher ! Et si c’étaient des voleurs, hein ? »

Dormir, c’était pour plus tard. Emira allait sûrement leur faire la morale pendant bien assez longtemps avec, comme prévu, son rouleau à la main. Certes, c’est rare de voir une femme de ménage faire la morale à son patron. Mais au moins, avec une comme ça, ils étaient sûrs ne pas être agressés pendant la nuit !

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Dernière édition par Nayem le Jeu 16 Juin 2011 19:00, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Mer 15 Juin 2011 14:59 
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Cela avait été une douce nuit de sommeil pour Nayem, Emira et Dimitri. Bien sûr, ils eurent tous une (très) brève pensée pour les pauvres habitants de Tulorim qui devaient supporter la terrible chaleur pour dormir, mais cela n'avait de loin pas pesé dans leur conscience. Par l’énorme fenêtre de sa chambre, Nayem pouvait voir le soleil qui se levait lentement, apportant à ses yeux la douce lumière du jour qui l’aurait tranquillement réveillé après quelques minutes… si Emira ne s’en était pas occupée.

« Allez, debout ! Il faut partir si on ne veut pas se faire tuer par ces vilains bandits ! »

Le petit avait aussitôt regretté de lui avoir raconté avec Dimitri ce qui c’était passé la veille. Pourtant, Emira avait bien raison ! Même si son accent marqué et sa voix presque masculine n’étaient pas de l’harmonie pour les oreilles, ses paroles étaient sages : il fallait quitter la maison au plus tôt. La question qui subsistait était pourtant simple : « Où aller ? ». Certes, le monde était vaste et les options nombreuses. C’était bien là le problème. En attendant d’avoir décidé, les deux mages préparaient leur bagage. Emira quant à elle avait déjà fait le sien et se contentait de gueuler sur les deux hommes pour qu'ils se dépêchent, malgré quoi, c’est seulement une bonne trentaine de minutes plus tard qu’ils furent prêts et descendirent dans le grand salon pour décider de leur destination.

« Alors, on va où ? »
« Pourquoi pas Henehar ? On serait en sécurité. »
« Hors de question. N’impliquons pas davantage de gens dans notre histoire. De plus, Enzo serait fou d’apprendre que son enfant est en danger. »
« C’est vrai. Mais dis-moi, Dimitri, il y a quoi pour finir dans ta petite boîte ? »


Le silence s’empara alors de la pièce, laissant entendre à quel point Dimitri était gêné par la question grâce aux bruits du frottement de ses chaussures sur le grand tapis rond. Il avait jusque-là gardé le secret le plus absolu sur le contenu de la boîte. C’était pendant ce genre de moments qu’il arrivait à Nayem de regretter de ne pas avoir ouvert la boîte lors d’une des nombreuses fois où il en avait eu l’occasion. Qu’est-ce qu’il pouvait bien y avoir de si important dans une boîte qui ne faisait même pas trois doigts de largeur ? La question allait encore persister pendant un bon moment, car Dimitri n’était pas près de le révéler. Pourtant, cette fois-ci il avait eu la gentillesse de d’apporter une minime information plutôt que de faire semblant que ce n’était rien d’important :

« Si vous saviez ce qu’elle contient, elle perdrait là toute sa valeur. »

Cette réponse, au moins, avait satisfait Emira. Elle était cependant loin d’être suffisante pour rassasier la curiosité de Nayem qui, pour l’instant, s’en était contenté. L’oncle avait seulement ignoré le regard non-conformé du petit, et avant qu’il puisse reprendre la parole, les trois entendirent le bruit d’une vitre cassée. Ils s’approchèrent alors d’un bond les uns des autres pour s’entendre chuchoter.

« Ils sont là. »
« Et on fait quoi ? »
« On se cache ! »


Nayem vit Dimitri et Emira se disperser très vite dans la maison, en laissant derrière eux les gros sac-à-dos de voyage, près desquels le petit se tenait, sans trop savoir où aller. Après quelques secondes de perplexité, il courut en direction des escaliers qui allaient à l’étage sans même regarder devant lui, raison pour laquelle il cogna grand homme en armure pendant sa montée, le faisant chuter des trois marches qu’il avait déjà montées.

« Héhé, te voilà, p’tit ! »

C’était un monstre qui se tenait devant lui ! L’homme mesurait un mètre nonante environ, et le diamètre de son ventre était presque aussi grand. Même depuis le sol, le petit sentait l’haleine dégueulasse de viande périmée qui sortait de la bouche de la chose. Alors que celle-ci levait sa grosse massue aux pics en acier, un bruit sourd résonna depuis sa nuque : Emira, sans hésiter, l’avait assommé à coup de rouleau à pâtisserie.

« Ils portent des armures lourdes, c’est bon à savoir. »
« Ca veut dire qu’on peut s’enfuir ? »
« Oui. Dépêche-toi, prends ton sac. Dimitri est vers la porte de derrière. »


Il se précipita sur ses affaires et suivi Emira qui courait vers la porte menant au jardin, où ils retrouvèrent Dimitri qui regardait partout autour pour s’assurer que personne ne les surveillait. Pendant qu’ils couraient vers l’horizon sans même savoir dans quelle direction ils allaient, Nayem lança un regard discret derrière et découvrit les brigands, tous armés jusqu’aux dents. Ils devaient être cinq ou six, mais la distance qui les séparait de lui était suffisante pour pouvoir s'échapper.

« Allez, plus vite ! Ils nous rattrapent ! »

Ils courraient sans relâche, sans s’arrêter une seule seconde, pendant dix, quinze, voire vingt longues et très fatigantes minutes pour s’apercevoir enfin qu’ils n’étaient plus suivis.

« On est où ? »
« On est sorti de Tulorim. »


Il était hors de question de revenir à Tulorim pour le moment, or, ils n’allaient tout de même pas rester plantés là à admirer les passants. Les trois semblaient d’accord sur le fait que la meilleure option était pour le moment de se diriger vers Exech, le village le plus proche.

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Dernière édition par Nayem le Sam 25 Juin 2011 11:10, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Mar 21 Juin 2011 05:23 
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Lenac, alors qu'il a la main sur la poignée se tourne vers toi.

"Détrompe toi, à part le passage secret et le nombre approximatif d'adversaire, je ne connais rien."

Pourtant, sans aucune peur apparente et sans précaution aucune, il ouvre la porte. La pièce est vide si ce n'est une table unique sur laquelle repose trois bougies et trois portes sur le mur du fond. Lenac se tourne de nouveau vers toi en souriant cette fois.

"Chacun la sienne ?"

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Mar 21 Juin 2011 10:40 
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Lénac posa sa main sur la poignée de la porte et se retourna vers moi pour m'annoncer qu'il ne savait absolument pas ce qu'il y avait derrière cette porte. Il ne connaissait que la route et le nombre potentiel de nos adversaires. Quelle désillusion ! Nous étions bien avancés. Lénac n'avait aucune idée de ce qui pouvait se trouver derrière la porte, Naoto et moi non plus. Nous pouvions courir à notre mort que cela serait égal !

Puis il ouvrit la porte dans laquelle nous nous engouffrâmes l'un après l'autre. A ma grande surprise, il n'y avait personne dans la pièce. Au centre se trouvait une table avec trois chandelles et trois portes permettaient de sortir de la salle. Lénac se retourna vers moi un grand sourire sur les lèvres en me posant une question rhétorique. Tout le monde devait choisir sa porte et regarder ce qu'il y avait derrière.

Je pris alors une chandelle sur la table au cas ou la pièce ou le couloir sur laquelle la porte donnerait serait sombre et je choisis la porte sur le mur de droite. Je vis Lénac choisir la porte du milieu et ainsi laisser la porte de gauche pour Naoto. Nous nous regardâmes et d'un signe de tête nous ouvrîmes en même temps nos portes.

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Léandre - Shaakt - Soldat



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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Mar 21 Juin 2011 17:27 
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Devant toi, un long couloir. Du pas de la porte, il t'es impossible d'en voir le bout, à dire vrai, avec la bougie comme seul éclairage, tu arrives tout juste à voir où tu mets les pieds. Au bout de quelques pas, le couloir tourne sur ta gauche et continue tout droit pendant encore une petite dizaine de mètres. Tu arrives alors dans une petite salle où deux gardes sont en train de jouer à un jeu inconnu (((fais-toi plaisir si tu veux le décrire ^^))). Ils semblent concentrés et ne t'ont pas encore repéré. Coup de chance pour toi, car ils sont tous les deux lourdement armés. En effet, outre l'imposante armure que chacun porte, tu peux voir, près de la table, deux énormes épées à deux mains.

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Mar 21 Juin 2011 20:12 
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En ouvrant ma porte, j'eus peur de voir surgir un monstre de nul part et il n'en fut rien. A la lueur de la chandelle, je pouvais simplement voir un couloir qui semblait assez long mais de là ou j'étais je ne pouvais juger sa longueur. Me retournant pour voir mes compagnons, je ne vis qu'une pièce vide. Je n'avais plus qu'à affronter les ténèbres du lieu à la lumière de ma bougie.

M'enfonçant un peu plus dans le noir, le couloir décrivit au bout de quelques pas une courbe sur la gauche. Avançant doucement et le plus silencieusement possible je fis encore quelques mètres avant d'arriver sur une petite salle ou je vis deux gardes lourdement équipés en train de jouer avec trois dès. J'avais déjà eu l'occasion de voir des elfes jouer avec ces derniers sans vraiment comprendre les règles du jeu. Et pour le moment, cela n'était pas ma plus grande préoccupation car je pus voir près d'eux deux épées à deux mains.

Heureusement, le temps que je mis pour analyser la pièce, mes futurs adversaires ne cillèrent pas d'un pouce continuant leur partie. Etant maintenant seul, il fallait que j'utilise la surprise à mon avantage avant qu'ils n'aient le temps de récupérer leurs armes respectives. Charger serait une bien mauvaise idée, d'autant plus qu'elle serait bruyante.

A partir de maintenant, je n'aurais plus besoin de ma bougie. Je pris soin de l'éteindre en éventant l'odeur de souffre vers le couloir pour ne pas déranger leurs narines. Mettant la main sur mon le fourreau de mon épée, je me rendis compte que cette dernière était maintenant dans les mains de Naoto. J'avais presque oublié que j'avais récupéré un katana plus puissant que la lame de mon père. Cette arme me donna une soudaine idée, me rappelant ce que j'avais pu lire dans des manuels de forgerons.

Mes souvenirs me revinrent alors en mémoire. Un jour mon père m'avait expliqué que certains humains utilisaient une technique qui permettait avec ce genre d'arme de pouvoir attaquer son adversaire par derrière et ainsi le prendre à revers le rendant vulnérable à un autre coup. Il appelait cela une attaque surprise. Tout résidait dans le silence que nous faisions pour nous déplacer.

J'avais déjà fait preuve de mon habileté à me dissimuler mais ne voulant pas commettre d'impair, je me recouvrai de ma cape posant ma main droite sur la garde de mon arme, prête à la dégainer, tandis que la gauche se posait sur le fourreau. M'accroupissant à moitié, je me mis à avancer le plus silencieusement possible. Entrant dans la pièce, je me postai juste derrière le premier des deux hommes. Sur le chemin, j'avais remarqué que leurs armures avaient une faille au niveau du cou, des bras et de la ceinture.

Il fallait les tuer le plus vite possible au cas où le bruit avertirait d'autres personnes. N'écoutant que mon courage, je me relevai d'un bond, dégainant mon katana dans un grand mouvement de gauche vers la droite, je donnai un grand coup vers le cou du premier homme en fermant les yeux.


(((HRP : Apprentissage spontané de la CCAA Surprise éclair)))

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Mar 21 Juin 2011 22:30 
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Bien que ton attaque soit précise et dangereuse, tu ne fait que trancher dans le vide. En effet, la tête de ta cible roule déjà à terre et tu peux voir, au dessus de toi, une très large lame pleine de sang. L'homme que tu as pris pour cible vient de se faire étêter par son propre compagnon, à une vitesse prodigieuse.

"Enfoiré! Je vais t'apprendre à tricher !"

La voix de l'homme est grave et effrayante. La colère déforme les traits de son visage. Il se tient debout devant la table et tient son énorme épée d'une seule main. D'un mouvement rapide, il fend les airs pour enlever une partie du sang sur son arme avant de la pointer vers toi, toujours d'une seule main.

"Qui es-tu ? Qu'est-ce que tu fais ici ?!

Son expression n'a pas changer et il semble prêt à te tuer si la réponse que tu vas lui donner ne lui convient pas.

(((Apprentissage validé! Je l'ajoute à ta fiche.)))

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Mar 21 Juin 2011 23:43 
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J'aurais mieux fait d'ouvrir les yeux pendant que je lançai mon attaque. Mais revenant sur ma cible et sur la scène qui venait de se dérouler devant mes yeux fermés, je compris beaucoup de chose. La personne que je supposais être l'ami de celui à qui je voulais trancher la tête m'avait devancé dans mes actes sanglants

A la place de la tête, on voyait maintenant un flot de sang ainsi qu'une lame d'épée double. En remontant le métal, je ne vis qu'une seule main sur la garde, l'homme la tenant devait être très fort pour réussir à trancher une tête d'une main et cette idée me glaça le sang durant quelques secondes. Il venait tout juste de tuer son ami, il avait agi plus vite que moi. Je n'avais pas vu venir son coup lorsque j'avais dégainé mon katana.

Apparemment, le sans-tête avait triché durant la partie de dés et celui qui était encore debout n'appréciait pas ce comportement et lui avait fait payer de sa vie. Sage décision ! Mais je gardais cette réflexion pour moi car mine de rien, il venait de me simplifier le boulot ! Sa voix était caverneuse, son visage faisait peur à voir, il y avait quelque chose de bestiale qui transpirait par les pores de sa peau. A y regarder de plus près, je retrouvais en lui ce que je détestais le plus parmi les miens.

Il fendit alors les airs de son épée, qu'il tenait toujours à une main, juste pour nettoyer le sang sur sa lame. Il voulait se montrer impressionnant mais j'en avais vu d'autre comme lui avant. Certes, ce n'était pas un shaakt mais il était quand même effrayant de force. Puis il pointa son arme son mon nez me narguant en me demandant qui j'étais. Son expression faciale n'avait pas changé, j'allais devoir improviser une réponse qui tiendrait la route.

- "Je déteste les tricheurs tout comme toi. J'ai pu voir cette tête de piaf tricher avec toi. Tu devais gagner la main précédente avec ta combinaison 6-6-6 alors que lui n'avait fait que 1-1-5. Mais il a stipulé plus tôt dans la partie que les as étaient toujours plus fort que les brelans. Connaissant bien la règle de ce jeu et détestant les tricheurs tout comme toi, j'ai voulu lui régler son compte, mais apparemment tu as été plus rapide que moi sur ce coup-là !"

Gardant mon katana à hauteur de frappe, j'avais débité mon laïus en espérant que ce monsieur muscle en avait peu dans la cervelle et me croirait sur parole.


(((HRP : Le jeu de dés auquel je fais référence est le 421. Sur la règle, j'ai raison mais tu peux vérifier si tu veux !)))

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 Sujet du message: Re: Les Habitations
MessagePosté: Mar 21 Juin 2011 23:56 
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L'expression sur le visage de l'homme change et laisse place à un sourire sadique. Expression, que seul un homme assoiffé de sang peut arboré.

"Tu as essayé de tuer mon ami ? Qui t'as permis une telle chose ?!"

Il a dit ces mots d'une manière calme, trop calme et, de sa main libre, il s'empare de l'épée de son compagnon mort. Avec une épée à deux mains dans chaque main, l'homme te parait immense, surtout dans son épaisse armure de métal.

" Je vais t'apprendre à te mêler des affaires des autres gringalet !"

Et, d'un geste rapide, il abat l'épée qu'il tient en main gauche sur la table, la faisant voler en éclat.

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