Neo après avoir prier au temple arriva en ville rapidement.
Cette ville ou son père a vecu ,après la mort de sa mère, devenu orphelin, il été parti vivre chez son grand père un ancien chevalier qui lui a enseigner l'art de se battre puis des elfes noirs on attaqués on tué son grand -père et il s'est jeté sur l'elfe noir Mage avec un hurlement de rage, son impulsivité fesant face , puis le Mage l'a changé en statue de pierre et un vieil elfe l'avait libéré.Il avait une dette envers lui.Neo tient toujour ses promesses et ses dettes.Il secoua la tète doucement.
Il voyait les passants intimidés a sa vue, faut dire qu'il ne passe pas inapercu, il fait 1 metre 97 et est enormement musclé, c'est une montagne a lui tout seul.
Il ne savait pas vraiment ou aller mais il avait envie d'avoir un compagnon de voyage:
" ètre tout seul ce n'est pas très drole pensa t'il
quand soudain sans y penser il se heurta quelqun.

Je sors du cachot, puis de la milice de Kendra Kâr, en direction du temple de Moura, entouré de cinq gardes. Le soleil venait de se lever sur la Grande cité, éclairant le vaste monde aux alentours. En traversant les rues de la cité, je regarde autour de moi, des gens vêtus de tuniques misérables me regardaient, et murmuraient dans leur barbe :

"Regardez ! C'est cet infâme voleur !"

Je ne m'occupais pas de ces imbéciles, assez bêtes pour se faire manipuler par un seul gobelin vicieux. Les passants me regardent comme si j'étais le diable, ce que je suis peut être, et m'évitent au fur et à mesure que je progresse.
Dans la hâte des gardes qui m'entrainaient, je bouscule par mégarde un énorme guerrier armé de deux grands sabres. Je poursuis néanmoins mon chemin, mais je perçois derrière moi le regard perçant du barbare, probablement révolté d'une telle agression.

Au sein de la procession un homme au regard hagard attendait certainement son heure. Amarante lui aurait bien fait ce cadeau mais la discrétion régnait, elle ne désirait pas perdre sa liberté si récemment acquise, cette perspective la froissait comme une vulgaire feuille de parchemin. Dans tous les cas, vu qu'elle venait d'absorber un fluide d'air, la Belle venait d'acquérir une puissance encore plus dévastatrice, dans quelques temps elle pourra détruire des chaumières avec une simple bourrasque. Qui égalerait ce pouvoir ? Les Dieux eux-mêmes seront obligés de s'incliner devant la Beauté Amarante ! Oh oui ! Elle braverait la mort, en estropiant Phaïtos, bientôt elle sera immortelle et plus personne ne pourra lui arracher sa vie de traîtresse. Comment parviendra-t-elle à ses fins ? Elle s'en moquait, mais, elle savait pertinemment qu'elle oserait les crimes les plus démoniaques pour ne faire qu'un avec le mal !

La grande asperge d'humain était toujours au milieu du peuple, il attendait pitoyablement l'heure prochaine et fastidieuse qui l'emporterait vers les catacombes, lieu saint aux yeux de la Douce. Peut-être devrait-elle accélérer un peu le tout;elle détestait ce genre d'êtres qui préféraient attendre que le temps passe et agisse sur leur jeunesse plutôt que de vivre leur misérable vie qui pouvait disparaître d'un instant à l'autre. Oui, il était évident qu'en moins de temps qu'il n'en faudrait Amarante pourrait le tuer, elle n'était que la faux de la Mort, mais en aucun cas elle n'était le Démon qui prétendait être neutre dans la balance qui oscillait entre le bien et le mal. Tout ceci n'était que de belles illusions aux yeux d'Amarante qui savait pertinemment que le trépas incarné toujours pleurs et désespoir ! Pourtant à cet instant précis, elle oublia ses idéaux et s'approcha de l'homme brun, prête à faire vibrer ses fluides au cas où il s'en prendrait à elle !
«Misérable qu'attends-tu en ce lieu ?»

La voix de la Sulfureuse était forte et maîtrisée, elle n'avait aucune crainte de cet être imbécile qui finirait dans ses griffes tôt ou tard. La rivière flamboyante qui lui servait de chevelure vint taquiner sa bouche délicate à cause des quelques rafales de vent qui soulevaient la poussières en ce jour.

En continuant dans les rues, j'aperçois une femme aux cheveux roux, vêtue de noir et, bien que magnifique, inquiétante à mes yeux. Mais pas aux yeux des gardes qui bavaient devant elle. Le vent matinal soulevait la poussière en ces lieux, réservés au tiers peuple. Sa chevelure rousse, à ce moment là, me parait comme une rivière de feu.
Elle nous barre la route. L'expression dans son regard laisse penser qu'elle s'intéresse à moi, elle esquisse un sourire douteux et un certain étonnement, probablement à cause des menottes, des gardes, et tout ce qui accompagne un détenu condamné à tort.
Elle s'approche en me demande d'une voix qui se voulait chaleureuse mais qui me parut glaciale :

"Misérable qu'attends-tu en ce lieu ?"

Sa voix m'intrigue, était-ce une question qui prenait ses racines dans la compassion ou dans la haine ?
Méfiant, je lui répond :

"Une opportunité. Et toi, pourquoi tu restes plantée là ?"

Neo regarda avec colère celui qui l'avait bousculé, il avait l'air d'echapper a quelque chose mais il ne savait pas quoi alors il l'interpella , courroucé, sa voix grave roulait comme un tonerre :
- eh, toi la ,petit homme, tu pourrais t'escuser quand meme sa serait polie non? et puis qui est tu?

Je faisais face à la demoiselle aux yeux de glace jusqu'à ce que l'abruti derrière moi m'interpelle :

"Hé ! Toi là ! Tu pourrais au moins t'excuser ! Ce serait poli non ?"

Je tourne la tête, celui qui avait interrompu notre confrontation n'était autre que l'autre barbare que j'avais par mégarde bousculé. J'en déduis que je l'ai énervé, je lui souris avec mon arrogance habituelle :

"Pourquoi je devrais m'excuser devant quelqu'un comme toi ? Tu n'es qu'un gros tas de muscles sans cervelle !"

Le brave guerrier était insulté, sa fierté est attaquée, il est clair qu'il va réagir.
Je le provoque ainsi pour tester mon interlocutrice qui regardait la scène, je me remet à l'insulter :

"Dites donc ! T'as pas beaucoup de caractère mon gros ! Tu veux pas réagir au lieu de pleurer comme une fillette ?"

En insultant ainsi cette masse de muscles imposants, j'étais assuré d'arriver à mes fins, j'observe cependant sa réaction.

la fureur s'emparait de Neo , sa fierté qu'il avait grande été attaquée il avait envie de se battre mais il s'abstint et de toute façon il ferais un carnage si il le ferais en plus des gardes entourer ce garçon meme si ils été beaucoups mais alors beaucoup moins imposants que lui qui est un colosse mais bon ,alors il dit furieux sa voix grave rouler :
- petit homme tu te prend pour qui a m'insulter comme sa ? pour le roi? t'a interet a presenter tes escuses vite fait .

Un sourire malicieux et sournois anime mes lèvres. L'insulté commence à s'énerver :

"Petit homme, tu te prends pour qui à m'insulter comme ça ? Pour le pape ? T'as intérêt à présenter tes excuses vite fait !!"

Mon plan commence à prendre forme, je continue pour pousser l'homme des cavernes à devenir plus agressif :

"Arrête de pleurnicher ! T'es grand maintenant hein ? T'en fais pas, appelle ta mère ! Elle réglera tout ! Allez !"

alors la Neo été furax, mais furax , furieux il sorti ses deux sabres de leurs fourreaux, se fichant des gardes, il avait attaquer sa fierté et sa allait pas se passer comme sa:
- tu commence a m'enerver petit homme , apparament tu t'est pas regarder tu balais la poussière avec tes cheuveux

Ça y est, le combat est inévitable, tout se passe comme je l'ai prévu. Je détourne les yeux du barbare sorti de ses gonds et les pose sur la magnifique jeune femme, impassible. Avec un air flatteur, je la regarde droit dans les yeux et lui demande :

"Gente dame, cet énergumène m'importune, pourriez-vous me faire une faveur et le faire partir ?"

J'avais senti le caractère maléfique de la jeune femme, qui transparaît jusque dans son regard où pourraient se perdre moult navires. N'attendant pas sa réponse, je déclare :

"Vous êtes si généreuse, mademoiselle ! Je vous remercie du fond du cœur ! Je vous en prie, faites-le déguerpir hors de ma vue !"

A cet instant, je défiais la créature des yeux, lui imposant un test véridique. Je laisse la place entre le barbare et la femme fatale. Les gardes firent de même, intimidés par le guerrier armé de deux immenses lames, me laissant apprécier le spectacle. Devant moi se dressait l'arrogance et la froideur, le feu et la glace. Je regarde d'un œil attentif les événements qui suivront...

La colère bouilloner, mais Neo senter le piège depuis le debut,et se doutait qu'on le pousser a la colère mais il n'avais pas de temps a perdre il fallait qu'il se trouve une auberge ou passer la nuit. Il tenta de se calmer puis il remit ses sabres dans ses fourreaux , vit les gardes intimidés il leur jeta un regard puis dit a la femme bizarre et a ce type en leur jetant un regard meprisant:
- je n'ais pas de temps a perdre avec deux energumènes comme vous, de toute manière je n'ai pas que sa a faire de mes journées.Je ne suis pas un gros butor sans cervelle comme tu dis petit je prevois les choses mon grand père me l'a appris

L'imposant guerrier semblait hésiter, il range ses armes et lance avec toute sa fierté :

"Je n'ai pas de temps à perdre avec deux énergumènes comme vous. De toutes manières, j'ai bien d'autres choses à faire de mes journées. Je ne suis pas un tas de muscles sans cervelle comme tu te plais à le dire, petit ! Mon grand-père m'a appris à reconnaître la perfidie quand je la vois !"

Ses paroles pleines d'honneur et de dignité ne me font pas trembler, je lui lance mes paroles aiguisées comme des couteaux :

"Ha ! Tu fuis, gros lard ? Tu fuis devant une pauvre et innocente jeune femme sans défense ? Honte à toi ! Tu n'as donc aucun honneur !?"

Les gardes, fidèles à leur tâche, ne s'enfuient pas, même si l'envie devient de plus en plus forte. Le barbare, son honneur agressé, ne vas sûrement pas rester sans rien faire. La ténébreuse jeune femme, quant à elle, ne laisse transparaître aucune émotion.

" mais je suis tomber sur 2 fous la premiere a l'air dètre une vraie skyzophrène et l'autre me nargue pour que je me mette en colère mais je dois me calmer pensa t'il
Il avait passé 2 ans changé en statue de pierre,si cette femme avait le meme pouvoir que cet elfe noir Mage il été cuit, il n'avais pas peur au contraire, et son honneur et sa fierté été piquées.Il dit fièrement,ressortant ses deux immenses sabres de leurs fourreaux, ils avait la particularité magique d'ètre indestructible, determiné et prèt au combat sa voix grave resonnant dans la rue:
- si je dois me battre je me battrais, je n'ai peur de personne, c'est juste que vous me faites perdre mon temps avec vos débilitées, je me battrais honorablement et avec courage , je ne fuirais pas

Amarante n'était pas ce qu'on pouvait appeler de sociale et était même plutôt sauvage dans sa manière d'être. Alimentée par le mal, la Belle ne rêvait que de destruction et de désespoir et cet homme stupide ne faisait pas exception à la règle. Il avait osé lui poser une question à elle, à cette Beauté irréaliste qui avait débarqué sur cette terre pour semer la discorde. Était-il suicidaire ? Les fluides d'Amarante ne demandait qu'à exploser, oui, elle aurait pu transformer ce mâle en abats, cela aurait été si facile ! Pourtant, la Sulfureuse était en public et user de la force en ce lieu ne ferait qu'attirer l'attention sur sa personne et cela elle ne pouvait l'accepter ! Cet homme n'était qu'un être parmi tant d'autres, un futur asservi qui sera aux pieds de la jolie jeune fille dans quelques années.
«Ne m'adresse pas la parole !»

Toutefois, une autre personne apparut, un autre mâle pour être plus clair, mais celui-ci incarnait l'archétype de la déchéance humaine. Oui, il possédait plus de muscles que de cervelles, une lentille avait dû germer dans sa boîte crânienne, mais à part ça, il ne devait pas y avoir grand chose... Amarante le toisa, faillit même le gifler pour son insolence maladive ! La Belle était en train de communiquer, comment osait-il la déranger ? Ses yeux lancèrent des éclairs, foudroyant le nouvel arrivant qui ne demandait qu'à mourir... De toute façon, un homme aussi futile n'aurait pas été une grande perte pour l'humanité ! Dans tous les cas, Amarante n'avait rien à faire avec ces deux imbéciles, prêts à se battre comme des chiffonniers devant toute la population Kendranne. La Plantureuse tourna la tête, oubliant ces rencontres fastidieuses qui n'arrivaient pas à la cheville d'Assil. L'un d'entre eux osa même donner un ordre à la libre jeune fille qui n'en croyait pas ses oreilles. Comment osait-il lui adresser la parole de cette manière, à elle qui avait tant souffert par le passé ?
«Crevez bande d'idiots !»

Amarante tourna les talons et s'en alla, disparaissant au milieu de la foule, s'évaporant comme une simple fumée.

La femme le regarda avec haine, il lui rendit un regard degouté et méprisant, il n'avait que du mépris pour cette femme qui d'après la lueur sadique dans ses yeux été encore plus machiavelique que des Elfes noirs, tout comme son père qui combatter pour le Bien il meprisait les sadiques.
"crevez bande d'idiot"
et la femme s'en alla sans un mot de plus , Neo aurait eue envie de la gifler de sa grosse main.
Il se retrouver donc seul avec ce type.
" pour qui elle se prend celle la, quelle pourriture cette fille" pensa t'il
puis il lança au type , ses sabres toujours en mains:
- t'a l'air de moins faire le malin tout seul , qu'est ce que tu vas faire maintenant? t'a interet de t'escuser sinon tu vas le regretter amèrement
Les gardes n'allait pas intervenir , ils été tellements intimidés par le colosse qu'il est qu'ils n'osait pas bouger le petit doigt.