Continuant à avancer tranquillement après avoir franchi les portes imposantes de Kendra Kâr, il commençait à faire nuit. Je me mis à la recherche d'un plan de la ville. J'avançai, j'avançai dans les petites rues sombres de la ville, sans aucun plan en ligne de vue. Tout à coup, deux personnes m'accostèrent et me dit :

"Halte étranger, donne-nous tout tes yus et que ça saute !", me dit méchamment l'un des deux. Son compagnon me regardait fixement.

Je les regarda en ricanant :
"Et vous croyez me faire peur ? Non mais vous savez à qui vous avez à faire franchement ?"

(Je sens que je vais devoir me taper ces 2 boulets, pppffff ...)

"Oui on sait, on a devant nous un petit malin qui veut se la jouer frimeur !" Les 2 dégainèrent leurs épées respectives. En regardant, j'observai que leurs deux épées étaient rouillées.

"Et en plus vous voulez vous battre ! Non mais vous tenez vraiment pas à vos vies, vous deux. Et c'est pas avec vos petites épées toutes rouillées que vous allez me battre."

"C'est ça, viens, tu vas voir comment on va te recevoir ! Aller suis-moi Mak !"

(Mak, mais quel nom pourri !)

"Bon si vous le voulez mais je suppose que vous ne m'en voudrez pas si je vous tue ?", dis-je en les regardant avec un air narquois.

"Moi c'est bon j'en ai ma claque des gus dans ton genre !!!", me cria-t-il.

Je dégaina mon épée et ma dague. Je pris mon épée à l'envers, la lame vers l'arrière dans ma main droite et ma dague dans l'autre. C'est alors que les deux hommes me chargèrent l'un après l'autre. Le premier courait son épée vers le bas afin de pouvoir me porter un coup bas, mais je le para sans trop de difficulté et je l'envoya valdinguer quelques mètres plus loin. Dès lors le second me fonça dessus mais il tenait son épée à 2 mains afin de me porter une attaque puissante. Je dus, d'un réflexe éclair, mettre mon épée devant mon visage pour éviter le coup arrivant. J'essayai de lui mettre un coup de dague dans la jambe. Le coup toucha sa cible, ce dernier lâcha son épée et tomba à terre, se tenant la jambe meurtrie. Le sang gicla de sa blessure avec abondance. Je ne vis pas l'autre me sauter dessus. Il m'attrapa les 2 bras pour m'empêchait de l'attaquer, et il les tenait bien fermement. Il essaya de me faire lâcher mes armes mais sans succès. C'est alors que vint la confrontation de force, après maintes minutes à me débattre et lui à me tenir les deux bras en arrière, je réussis à me défaire de son contre. Il tenta de me trancher un bras mais il ne s'était pas attendu à ce que je lui transperce le torse avec ma dague et mon épée en même temps. Je reçus une volée de sang en plein visage, cela était dû à la force avec laquelle je le tua.

L'autre était pétrifié devant le carnage auquel il venait d'assister. La dépouille de son compagnon tomba lourdement sur le sol pavé. Je dis à celui-ci :

"Alors tu tiens toujours à te mesurer à moi ? Tu sais moi j'ai tout mon temps.", lui dis-je essoufflé et recouvert de sang.

" Euh … euh non, non c'est bon tu as gagné ! Tu m'as vaincu, prends tout ce que tu veux mais ne me tue pas !"

"Et bah, c'est pitoyable de voir un être pareil existé. Tu vois, je vais te faire une fleur car c'est mon jour de bonté et que je suis très fatigué, je ne te tuerai point si tu ne dis à personne ce qui sait passer, d'accord ? Et s'il te plaît, tu seras gentil de me donner TES yus ainsi qu'un plan de la ville, merci."

Je repartis en sa direction, tout en rangeant mes 2 lames dans leur fourreau et en m'essuyant avec un vieux chiffon déniché au fond de mes poches; il me tint sa bourse ainsi que la carte de la ville. Je quitta la ruelle pour rejoindre la Grande rue et pour pouvoir espérer trouver une auberge.

==> L'auberge de la Tortue Guerrière

Pendant la nuit, qui devait m'être agréable, me fut un calvaire. Je n'arrivai pas à trouver le sommeil. Alors je tentai plusieurs choses afin de m'endormir, mais en vain. C'est alors que je décidai d'aller faire un petit tour dans les rues de Kendra Kâr. Je me revêtu puis je sortis en silence de ma chambre, je descendis les escaliers un à un afin de n'alerter personne et je me dirigea en dernier lieu vers la porte de l'auberge. Une fois sorti, j'humai l'air de la nuit, je me sentis empli de confiance. C'est alors que je commençai ma petite ballade nocturne. Je passai devant le marché, l'arène, etc... quand tout-à-coup, un panneau attira mon attention. Je m'approchai de plus près afin d'observer l'affiche qui s'y trouvé. C'était un avis de recherche, la personne recherché se nommait Jubaïr, son profil ne m'impressionna guère, c'était un homme vêtu d'un masque noir et de vêtements blancs. Quand je vis la récompense et les délits qu'il avait commis, cela me donna envie de le retrouver et dans savoir plus à son sujet.

(Je le retrouverai ce Jubaïr)

Et c'est ainsi que je partis à la recherche de cet homme, qui me paraissait fort bien sympathique !

Après avoir erré sur le continent durant plusieurs année à vendre son épée au service de troupes de mercenaires Ragnak en était arrivé la : débarqué dans une ville totalement inconnu qui malgré son rang de capitale et de ville dont les beautés époustouflerais n’importe quel voyageur laisse de marbre Ragnak. La situation était la même, sans une grande fortune dans un milieu inconnu et sans amis.

« Cette ville sent le mal à plein nez » se dit-il. « Les brigands voleurs prostituées se mêlent aux marchand et aux gardes créant un bordel pas possible. Je hais les villes. »


Mais il était pourtant bien obliger de venir ici pour trouver du travail ou devenir un chasseur de primes à la solde de riche marchands, il n’avait pas le choix. Continuant à maugréer dans sa barbe il continua à avancer dans l’ombre des bâtiments se faufilant entre les passants coulant entre eux comme une ombre. Prenant une ruelle sur sa droite il déboucha dans une impasse.

« Hum il ne me manquait plus que ça… Manquerait plus que deux bon gros lards empestant la bière viennent me chercher et la ca serait la totale… »

Comme Ragnak était peux chanceux sa prédilection se révéla exact car quelques secondes plus tard il entendit des bruits de pas la boue derrières lui. Un des hommes prit la parole :

« Oh voyageur, je vois que tu t’es égaré et bien dommage pour toi tu es tombé sur notre territoire, le territoire des voleurs, prépare toi à mourir ou perdre ta bourse… »

« Hum rectifie ton choix pauvre homme, soit tu pars et tu as la vie sauve soit tu articules ne serait ce que la pensée de voler ma bourse et je t’envois avaler toute la boue qui tapisse cette ruelle comprit ? »

Les deux hommes dont la tirade de Ragnak avaient mit en rogne ajouté à cela la stupidité que donne l’alcool chargèrent. D’un mouvement fluide Ragnak dégainât son épée courte et fît volte face aux deux truands. Le premier un gros lourdaud armée d’un couteau de boucher arriva le premier sur lui. Bloquant le coup descendant de son adversaire Ragnak profita de son avantage pour attraper le poignet de ce dernier et lui briser dans un son sec de craquement. Il enchaina rapidement par un coude de coude dans le nez et brisa ce dernier. L’homme tomba à la renverse en crachant du sang. L’autre truand plus réfléchit voyant son ami se faire massacrer prit la fuite.

Après cette petite altercation Ragnak avait de nouveau le sourire.

« Je crois que je vais me plaire enfin de conte. Ici les truands sont encore plus débiles que des orcs ma parole »

Poursuivant son chemin il attrapa un passant au vol afin de lui demander le nom d’une auberge pour la nuit. Le pauvre homme fut terriblement effrayé lorsque Ragnak plongea ses yeux bleus pâle comme le ciel d’hiver dans le regard de ce dernier. Celui-ci se mit à bredouiller :

« L’au..bber.berr.gee de la tor…tue guérriere c’est pas loins d’ici »

Relâchant le pauvre homme Ragnak poursuivit sa route un mauvais rictus aux lèvres.

« Les gens sont des lâches ici c’est pourquoi il y autant de délinquance.. .Ils ont besoin d’homme valeureux pour enlever toutes cette vermine… »

Continuant son chemin il trouva un avis de recherche. Il concernait un homme nommé le Rat. Ce dernier recherché pour vole et meurtre se terraient dans les égouts de la ville la ou la milice et la gardes n’osaient pas se rendre. Voyant la belle somme de la récompense Ragnak arracha l’affiche et continua sa route se voyant déjà avec la récompense en main. Il pourrait enfin s’acheter une nouvelle tenue et des gantelets en faire et cela lui suffit à se sentir totalement heureux.


Suite Auberge de la Tortue Guerrière.

Theeftan rasa le mur en évitant les regards intrigués des passants. Il haïssait la ville, sa puanteur, le bruit, la foule humaine... Les stimuli en tout genre agressaient ces sens d'Elfe.
La ville humaine était fidèle au portrait que lui avait dépeint son père, le pire étant les passants, qui le dévisageaient comme s'il était recouvert de pustules. Ils n'avaient pas l'habitude de voir des elfes blancs, comprit-il.
Les voleurs pullulaient dans ce quartier. Heureusement, ils l'évitaient. La peur de l'inconnu, sans doute.
Il passa sous un porche et vit un écriteau de bois vermoulu annonçant que l'auberge qui se trouvait dans un renfoncement se nommait "la tortue Guerrière". Un nom étrange pour une ville étrange, se dit-il.
Theeftan supposa qu'un emploi lui permettant de partir à l'aventure lui serait proposé. Au pire, il pourrait toujours se renseigner sur les villes où lui seraient proposés des quêtes, le voyage en lui-même constituant une aventure...
Notre Guérisseur rabattit donc son capuchon et poussa la porte...

La suite à l'Auberge de la Tortue Guerrière.

<De la champigneraie du Nain Sven>

Le chemin n’était pas long jusqu’au port, juste le temps pour le soleil de dépasser l’horizon puis de passer au-dessus des remparts de la ville, inondant les rues de ces rayons. Mais entre temps une certaine obscurité, diffuse, était encore présente.

C’est dans cette atmosphère que Svengar avançait tranquillement vers la sortie sud de la cité.
Sifflotant doucement en regardant les maisons et les quelques personnes qui circulaient déjà. Il y avait surtout des paysans avec leur charrette qui venaient vendre leurs légumes, leurs fruits ou leurs bêtes à une quelconque place de marché. Mais aussi quelques ménagères matinales qui partaient ou revenaient des achats du matin, quelques miliciens terminant leur ronde de nuit et puis parfois des voyageurs, souvent à cheval d’ailleurs.

Les regards des badauds étaient généralement indifférents, lorsqu’ils prenaient la peine de regarder un tantinet plus bas que d’habitude. Mais, parfois, Svengar percevait un regard curieux ou étonné de voir un Nain. Moins souvent, un voyageur qui semblait aisé le regardait avec mépris ou avec haine comme s’il lui en voulait.

Ce matin cependant, Svengar souriait et saluait ceux qui le regardaient, on lui répondait parfois, ou pas…

Chemin faisant, il se mit à observer, comme toujours, l’architecture de la ville, tout l’intéressait, des masures sur trois étages avec les poutres apparentes aux belles demeures de pierres polies.

Soudain, déboulant d’une ruelle sur sa droite, surgit un immense cheval brun tirant une charrette !
Paralyser par la surprise, Svengar ne put que rester bêtement immobile !

(Mais bouges toi bougre d’empoté tu vas te faire écraser !!! BOUGES TOI !!!)

Le temps d’une pensée inutile et le cheval se cabra, hennissant furieusement, le faisant paraître encore plus immense, impressionnant. Derrière, le fermier avait du tirer fortement sur les rennes pour stopper son percheron. Criant et vociférant tant après l’animale qu’après l’étourdit qui restait planté devant son attelage.


«Alors quoué ! On rêvasse le miocheu ?»

Du haut de sa charrette, le fermier ne voyait qu’une petite forme devant son cheval de bat.

«Ah euh je…pardon…grmblblmal réveillé ce matin.»

«Crééééé vindieu, écart’toi donc maaaaint’nant, j’ai du boulot moué !»

Svengar s’écarta en vitesse, laissant passer la charrette qui repartit immédiatement.
Soufflant encore d’émotion, il la regardait s’éloigner rapidement.

(J’ai horreeeuuuur des chevaux…ces grands machins sur des cannes sans fin…c’est un coup à se faire piétiner pour pas un rond. Il m’a fichu la trouille de ma vie ce satané bourricot !)

Reprenant un peu contenance, Svengar reprit son chemin, en faisant attention aux charrettes cette fois !

«Bon, bah au moins, je suis réveillé, à nouveau.»


<Vers le Port de KK>

Suite de l'Auberge de la Tortue Guerrière.

Theeftan détestait toujours autant les rues qu'avant son premier passage. La même puanteur, la même promiscuité...
Il croisa un paysan tout grommelant sur sa charrette, criant aux badauds de se pousser de son chemin, qui semblait de fort mauvaise humeur. Il continua sa route sans y prêter attention.
Heureusement cette fois-ci, les regards intrigués ne pesaient plus sur lui. Il avait rabattu son capuchon sur son visage, masquant ses traits typiquement elfiques.
Il se glissa entre deux hommes bedonnants se faisant la causette en plein milieu de le rue, et arriva enfin aux portes de la ville.
Le port puait le poisson pouri et la mauvaise bière. des exclamations retentissaient de toute part. Il l'avait trouvé.

Suite au port.

Suite du port.

Theeftan, de retour dans les rues, adressa un clin d'oeil à Oryash qui fronçait le nez de répugnance.

-Ça sent pas la rose, n'est-ce pas ? C'est l'odeur de la ville. Comme moi, tu te dis peut-être que tu aurais dû rester chez toi...

L'Elfe continua à parler, mais sur un autre sujet :

-Tu sembles vexée. C'est sûrement parce que j'ai sous-entendue que tu était sanguinaire outre mesure... Mais sache que moi aussi je sais éventrer les gens si besoin est... Contrairement à ce que tu sembles penser, je suis armé.

Les regards étonnés, méfiants, haineux et effrayés se multipliaient. Déjà qu'un seul d'entre eux n'aurait pas passé inaperçu, alors les deux... Évitant une pestilentielle flaque de vomi, ils arrivèrent enfin devant l'Auberge de la Tortue Guerrière. Theeftan ouvrit la porte devant Oryash, puis referma derrière eux.

Suite à l'auberge de la tortue Guerrière.

http://www.yuimen.net/univers/les-egouts-t23.html#p57553
Suite aux égouts.
Le ciel est particulièrement dégagé, les étoiles commence à apparaitre, le feu éternelle descend sous l’horizon de Kendra Kâr. L’atmosphère dégage un vent assez frai.
(L’horizon est rouge..beaucoup de sang a coulé aujourd’hui..La nuit commence à tomber, il faut que je trouve un lit et une soupe bien chaude.)
« Et une bonne bière qui plus est ! »
« Pardon jeune homme, vous m’avez parlé ? »
« Ho !...Non se n’est rien, je ne fais que penser a voie haute… »
Après m’avoir dévisagé d'un regard bien méfiant l’homme s’éloigne en laissant derrière lui une étrange enveloppe que je ramasse avec précaution.
« Monsieur ! Vous avez oublié cette… »
A peine que j’ai le temps de finir ma phrase en me redressant que le barbue à déjà disparue.
(Et bien, je vais tout de suite aller me reposer et je regarderais cette lettre demain.)
Je marche alors tout le long de la rue faite de pavés, chaque bâtiment est fait de pierre et de quelque poutre en bois permettant a la ville de dégager un certain charme. Après quelque pas, une vielle dame étrange assise dans l’ombre d’une caisse m’interpelle.Elle est habillée d'un immense mentaux noir , sa tête recouvert d'une vielle capuche sombre et très salle laisse passer quelque rare cheveux sec d'un léger ton roux.
« N’auriez vous pas par hasard une pièce s’il vous plait ?.. »Me demande t-elle d'une voix affreusement cassée.
Je plonge ma main droite dans une poche située à l’intérieur de mon mentaux et sort deux petites pièces.
« Tien, voila pour toi mendiante ! Et laisse moi dont en paix. »
« Ho ! Que Dieu vous bénisse pour vos mésaventures à venir démon! »
Je ne prête pas attention à ses dires et poursuis ma route jusqu'à une porte et lie la pancarte suspendu à la façade, (Taverne de la tortue guerrière.)
Suite, Auberge de la tortue guerrière.

http://www.yuimen.net/univers/les-habitations-t52-60.html#p57556

" Certaines scènes de ce rp sont à forte connotation sexuelle/violente/gore, aussi est-il recommandé aux lecteurs sensibles d'y réfléchir à deux fois avant d'en entamer la lecture."

Suite habitation de Zohra
Je marche dans la rue au milieu de la foule qui commençais déjà a grossir effroyablement. Je marche au prenant des rues aux hasards, le regarde enfouie à nouveau au plus profond de mes pensées.
Je repense déjà à cette nuit là, ou tout a réellement commencé…Je sort un étrange collier de ma poche orné d’un étrange symbole vert…
(Tien..On dirait…)
Lorsque tout un coup je passe vaguement mon regarde derrière mon dos et voie avec stupeur que je suis suivis.
(Encore un traqueur ? non , cette personne n’a pas les mêmes habits, et Puis son manteau est complètement usé.)
Je décide d’accélérer le pat afin d’essayer de le semer.
(Hum, il est coriace, il est toujours derrière moi, je ferais mieux de me dépêcher, je n’aime pas jouer a se genre de petit jeu.)
Je me mets à courir aussi vite que je le peux, il y a beaucoup de monde et me glisse avec agilité à travers la foule épaisse.
Au passage je bouscule malencontreusement un vieux marchant qui n'hésite pas a faire entendre son mécontentement.
"Tu pourrais regarder ou tu marche patate!"
Je frôle de prêt chaque passant de cette rue qui forme un véritable labyrinthe.
A ma droite une ruelle se présente, l’endroit idéal pour se cacher.
Je m’engouffre à l’intérieur, au bout de quelque mètre un vieux mur aux pierres dégradées se dresse devant moi.
(Non ! une impasse !, que faire…calme toi…a, je sais, le mur présente plusieurs trous apparemment, je pourrais peut être l’escaladé sans trop de problèmes.)
Je me place au pied du mur, inspira une grande bouffée d’air et place mes mains dans les premiers orifices.
(Aller, c’est parti !)
J’escalade alors le mur avec malgré tout quelque difficultés, pour arriver finalement sur les toits de la cité.
Le soleil commence déjà a se faire haut dans le ciel, devant moi s'étant un champ de tuile parfois rouge, parfois orangé laissant place a une vrai palette de couleur allant du jaune au ton rougeâtre.D'ici je peux voir l'immensité du château du roi de Kendra Kâr.
Je regarde l’endroit d’où je suis arrivé, l’étrange personnage avait disparue.
(Ouf, c’était moins une..)
Je me retourne et devient frappé de stupeur en voyant mon poursuivant se dresser là, devant moi comme ci de rien n’était.
« Toi là, donne-moi le médaillon, tout de suite ! Et je te laisserais alors peut-être la vie sauve »
« ..Qui…Qui êtes vous ? Vous êtes un des traqueurs ? »
« De quoi tu parle ? Tu délire complètement, n’essaie pas de gagner du temps, donne moi le médaillon !!Tout de suite ! »
Je voie ensuite l’étrange homme au visage masqué sortir un grand bâton de bois et le pointa face a moi.
D’un coup il se rua vers moi en hurlant, par chance je réussi a esquiver le coup qu’il a tenté de me porter, je fais une roulade sur le coté mai ne sort pas mon poignard par prudence de le blesser pour rien.
(Pourquoi veut-il se médaillon, pourquoi veut-il me tuer..pourquoi tout le monde s’acharne sur moi..il faut que je sache pourquoi, il ne faut pas que je le tue, mai que je l’immobilise…)
Un autre coup se dirige vers moi a toute vitesse, heureusement il le rate et tape à coter de moi , quelque tuile se brise sous le choc de l'impacte.
(Qu’est ce qu’il a, est-il soul ?, visiblement il veux réellement me tuer, bon je n'est pas le choix, je vais devoir me battre.)
Sans hésiter je sors mon arme et me précipite sur lui après m’être placé sur son coté droit et lui porte un coup au bras porteur de l’arme.
« Ha ! saloprie, je vais t’apprendre se que sa fait d’avoir osé s’attaquer a moi ! Tien ! Prend sa ! »
Le bâton heurte mon estomac de plein fouet me faisant valdinguer de quelque mettre, une effroyable douleur me paralyse quelque instant.
(Je commence à en avoir marre, il faut que je face cesser se combat au plus vite !, analysons la situation..calme toi…réfléchit et concentre toi..Il est blessé au bras gauche, il tien toujours son bâton, il me regarde fixement, il reste sur ses gardes…il faut que j’attende le bon moment pour frapper…)
« Arg ! »
Tout d’un coup mon assaillant émet un gémissement de douleurs, le sang commence a couler fortement de sa plait. Il lâche alors son bâton et appuie sur sa blessure.
(La ! une ouverture !)
Je bondis ensuite jusqu'à ses pieds et lui place un coup sur sa jambe droite, mon poignard s’enfonce comme dans du beurre, le sang gicle fortement, un bruit de craquement effroyable se fait entendre, je m’éloigne de mon adversaire de quelque pat et rengaine mon arme.
Mon adversaire s’écroule et se tord de douleur, son sang se répand à une vitesse effroyable sur le sol.
(Je lui est coupé une artère…et j’ai malencontreusement brisé l’os de sa jambe en voulant le blesser...il va bientôt mourir, il faut que je lui parle !)
J’avance et me place debout face à lui , le soleil est caché dans mon dos, me plaçant ainsi à contre jour. Telle un ange de la mort prêt a dévoré son âme, je suis là, debout devant ma victime qui elle se tord de douleur et agonise, gisant a mes pieds.
D’un ton très grave je lui adresse la parole.
« Pourquoi veut-tu à tout prit posséder se médaillon ? »
« Arg…achève moi ! Je t’en pris, achève moi ! La douleur est trop forte ! Je t’en supplie ! »
« Alors répond moi et ensuite je t’achèverais.. »
« Le médaillon que tu possède, montre le moi.. »
Je le sors alors de ma poche et le lui montre.
« La légende…elle dit donc vrais..Dans un monde de paix et de prospérité un démon apparaitra sous la forme d’un hôte, une démon de fureur qui fera régner le néant, réduisant tout a feu et a sang…un démon porteur d’un joyaux orné d’un œil vert…l’œil du démon !Il..Il… »
((( Un hôte est une personne possédant un démon, la créature est enfermé dans le Corp de cette personne, d’après plusieurs légende il en existerais neuf.)))
« Quoi ? se que tu dit n’a aucun sens.. »
L’homme se met à cracher du sang et à tousser .Il se plie comme un ver de terre en vomissant son sang sur le sol, je l’achève en lui portant un coup de poignard dans la gorge, il cesse immédiatement de bouger après avoir lâché quelque cri qui ressemble a ceux d’un cochon que l’on égorge.
(Un démon porteur d’un joyaux..Non cet homme a surement déliré a cause de la douleur...)
Une mare de sang s’étant autour de moi, dégageant les reflets lumineux du soleil.
Je fouille le cadavre et trouve une boite emballée dans du coton, je ne prends pas le temps de l’ouvrir et le place dans mon sac.
Je cours alors sur les toits cherchant un endroit éloigné de la zone de combat pour ensuite redescendre. Le vent souffle asses fort, laissant ainsi place a un étrange son dans le fond des mes oreilles.
Je saute de toit en toit en évitant de trop approché des bord afin d'éviter une probable chute d'une dizaine de mètres.
Après une dizaine de minutes je trouve une échelle est descend.
Je me retrouve en face d’un immense château où une multitude de gardes surveillent les alentours.
(Hum, je ferais mieux de passer au marché pour m’acheter de quoi manger.)
Je marche jusqu'à la place marchande.
Suite, le destin de Krayth est en cour de création.

(précédemment Theeftan et Oryash autour d'une table)


La demoiselle venait de sortir de l'auberge s'étant fait lâchement abandonné par son partenaire de table sans même une explication ou ne serait-ce qu'une vague excuse.
Sa première journée ne ressemblait vraiment pas à ce qu'elle avait pensé.Enfin peu importait,à présent que le soir était venu,il lui fallait trouver un endroit où passer la nuit et le plus rapidement serait le mieux quoi que......explorer la ville à la nuit tombée étant bien tentant.

(Après tout c'est comme parcourir la montagne et les dangers sont sensiblement les mêmes.Oui s'est décidé une petite exploration me permettra de savoir où je vais vivre et aussi à mieux me repérer.)

Après être restée quelques minutes devant l'auberge,elle regarda autour d'elle.La grande rue était par trop fréquentée et elle préféra s'engager dans une rue adjacente un peu moins passante.

Oryash remonta une rue et croisa quelques personnes qui comme elles se dirigeaient dans diverses directions.Certaines devaient sans doute rentrées chez elle et pour d'autres comme elle,chercher un lieu ou passer la nuit.
Elle ne leur prêta pas d'attention au contraire d'eux qui à plusieurs reprises s'étaient retournées sur son passage.Après tout une peau blanche ne passait pas inaperçue même en pleine nuit.

Ses pas l'amenèrent devant un bâtiment à la haute stature et elle en fut ébahie.Jamais elle n'avait vu chose aussi grande et se demanda à quoi cela pouvait bien servir.Oryash venait de découvrir l'hippodrome.

Suite de l'auberge de la Tortue Guerrière.

Theeftan avança dans la foule des marchands et des badauds. Il s'écarta pour laisser passer un cavalier monté sur un cheval et l'entendit grommeler sur "une foutue phalangienne qui s' balade en liberté".

(Tiens... Oryash est sortie.)

L'elfe ressentit une vague honte à l'idée de l'avoir abandonnée, mais c'était ça ou lancer sa chope dans la tête du lourdaud qui parlait de le "corriger". Il avait donc préféré s'abstenir.

Tout à ses pensées, il ne remarqua pas qu'il était arrivé aux portes de la ville et ce fut la densité de la foule qui l'arrêta. La queue pour sortir était bien plus étendue qu'à l'aller.
Theeftan s'aperçut alors que la sortie était bloquée par toute une escouade de garde, pour X raison. Le guérisseur soupira et retourna déambuler dans les rues, forcé d'attendre...

(précédemment Une nuit de repos dans le foin,enfin si possible...)


La louve s'était mise en chasse et avait bien l'intention de trouver quoi se restaurer même si pour cela elle devait dépouiller un animal de cette ville pour le dévorer.
Elle humait l'air à la recherche d'une proie,parcourant les rues de la cité,revenant parfois sur ses pas,pour être sur d'une trace à suivre ou bien en perdant une autre à cause d'un filet d'eau ou l'odeur s'effaçait.Mais tenace la Phalangienne poursuivait sa quête,furetant un peu partout,secouant quelques tonneaux ci et là laisser à l'abandon,faisant fuir parfois des myriades de rats qu'elle venait de déranger dans leur repas nocturne.
Chemin faisait,elle déboucha sur un quartier pour le moins et de toute évidence très mal famé.Oryash venait de déboucher sur les Docks....

Oscurio était à nouveau frais après leur petit somme dans le parc. Une dernière lampée de ce bon vin l'avait réchauffé, une rapide trempette dans le point d'eau du jardin lui avait éclairci les idées.. Il avait du mal à comprendre pourquoi il s'était confié comme cela à cet elfe... Peut-être lui manquait-il un réel compagnon, qui soit plus qu'un partenaire de boisson de paris ou de débauche ?

Il n'en savait rien, enfin Theeftan savait plus sur lui que tous les autres Keldarien, même si beaucoup restait dans sa tête, il avait essayé d'être le plus évasif possible sur son "travail" et pensait bien y avoir réussi vu que la conversation avait dérivé sur d'autres sujets. Un compagnon bien accommodant, et fort sympathique, mais aux limites qu'il lui faudrait bientôt découvrir.

Un compagnon aux longues jambes par contre ! Même si il semblait faire un effort pour s'adapter, Oscurio devait accélérer pour garder l'allure..


Une peau pale, des griffe autour du cou, à moitié nue.. Non ?

Visiblement, soit la sauvage n'était pas réveillée, soit elle s'était entichée d'une chose qu'elle ignorait auparavant, discrétion Les deux compères déambulèrent dans les rues, jusqu'aux écuries, infructueux... Jusqu'à arriver près de l'auberge

M'étonnerais pas qu'ils aient fini par la trouver accroupi entrain de dévorer la gorge d'un étalon ! Pour sur cette sau...

... Vous verrez je j'ai raison mécréants et médisants...à vous me... buurpp.. à vous me moquez mais Kendra kar va se gorger de sang ! J'lai vu, la collecteuse d'âme, pâle comme un cadavre... assoiffé d'âmes..

L'homme était appuyé sur le mur, visage bouffi, rougie par la boisson, des vêtements qui avaient surement été beaux dans le passé, mais qui aujourd'hui témoignaient de la débauche de leur propriétaire. Il tenait une choppe à la main,et s'adressait aux rares personnes présentes, qui elles fuyaient ses harangues et son odeur d'urine...

Et l'ami ! Pâle comme un cadavre dis-tu ?

L'homme se tourna vers eux suspicieux, et regarda Theeftan qui vînt de l'interroger et s'avançait vers lui tandis qu' Oscurio restait à distance ..
Theeftan revînt l'informant qu'elle se dirigeait vers les docks

(précédemment Chasse et repas)


La peau blanche arpentait les rues de la cité à la recherche d'un lieu où elle pourrait trouver un refuge pour penser ses plaies et se reposer un peu.
Le colosse n'y était pas aller de main morte et lui avait décroché la mâchoire et explosé la lèvres inférieure en beauté. Se tenant toujours le côté,compressant au mieux sa blessure,Oryash tentait de rester la plus discrète possible,évitant les soûlards qui traînaient encore à cette heure dans les rues car vu son aspect plus que sanglant,elle pouvait être certaine que si jamais on l'apercevait dans cet état quelqu'un viendrait à crier aux meurtres ou à l'assassin.
Pour un premier jour en ville ça commençait bien,deux morts et une belle bagarre en prime.

Elle s'arrêta quelques instants afin de se reprendre un peu,et secoua la tête empêchant ainsi une certaine langueur se s'emparer d'elle. Ce n'était pas le moment de vaciller et de tomber au beau milieu de la rue.Par Fenris,elle en avait vu d'autre et ce n'est pas une blessure comme celle là qui l'aurait.

(Allez tient bon,tu vas bien finir par trouver un lieu où te réfugier comme jadis dans les montagnes)


Oryash évita délibérément la grande rue,préférant les ruelles adjacentes moins sûres, il est vrai mais aussi moins fréquentées. De plus la nuit était une alliée qui n'était pas négligeable.
Soudain au détour d'un passage,une montagne blanche s'éleva devant elle si bien qu'elle crut l'espace d'une seconde être dans ses montagnes. Mais bien vite la réalité s'imposa à elle et en guise de montagne trônait une tour blanche si haute et si belle qu'elle éprouva le besoin de d'y rendre.
Le bâtiment exerçait sur elle comme une attraction,comme si le blanc de cette tour lui commandait de venir à elle.
Oryash avança au travers des rues et ruelles de la cité,gardant toujours en ligne de mire cette tour qui ne cessait de l'appeler.

(Elle sera mon refuge à présent,mon chez moi)

Elle trébucha sur une aspérité du sol et tomba un genou à terre ce qui lui amena une grimace de souffrance sur le visage.Un peu de sang coula sur le pavé et s'aidant d'une main au mur,elle se redressa difficilement.

(Il faut que j'y parvienne coute que coute)

Oryash reprit son chemin titubant de plus en plus,perdant de plus en plus de sang,
cheminant inlassablement,se rapprochant toujours plus de la tour.Elle y parvint enfin mais dans un état second.
La Phalangienne allait se diriger vers les portes de l'édifice quand elle remarqua deux hommes en faction devant la porte et qui plus est armés de hallebardes. Il allait falloir qu'elle trouve un autre moyen d'entrer à l'intérieur.

Devant elle se dressait le temple des plaisirs mais ça elle l'ignorait encore....