Intervention 4 pour rp pré-quête 31

Lorsqu'elle arriva à l'endroit de rencontre prévu, Asterie put voir le petit garçon de la veille. Le visage de ce dernier s'épanouit lorsqu'il vit Asterie à son tour.

" Bonjour madame, j'ai eu peur un petit moment que vous m'ayez posé un lapin. Si vous voulez toujours sauvez les silnogures, il vous suffit de passer la porte de l'auberge derrière moi. Fenouil et les autres vous accueilleront. "

En poussant la porte, tu peux lire sur un écriteau :



Lorsque tu franchis le seuil de la porte tu aboutis ICI


(((La préquête est terminée pour toi, ton prochain rp devra être dans la quête, au lien indiqué ci-dessus !)))

Le gamin semble d'accord avec le fait qu'il est grand temps pour lui d'aller se coucher. Finalement, c'est facile, les gamins! Moi qui ai toujours redouté d'en avoir un jour... J'vois déjà le tableau: deux d'un coup, comme mes parents! Ceci-dit, ça ne me surprendrait pas qu'un jour, une donzelle précédemment conquise m'annonce l'existence d'un bâtard...

Je secoue la tête. Non mais ça va pas? A quoi je pense là, sérieusement?

Astérie s'étant éloignée pour filer, elle aussi, se coucher, je me presse d'aller rendre les 50 yus à l'aubergiste. Ce dernier me supplie presque de boire une pinte avec lui, pour me remercier de mon honnêteté et me féliciter de la prise du bandit, qui manifestement a déjà fait le tour de la ville. Dans le fond de l'établissement, je reconnais le coupable de la propagation de la nouvelle: le milicien de l'entrée, le frustré qui nous avait "accueilli" à notre arrivée.

Bref, la fatigue faisant effet, je sors de la taverne, laissant derrière moi, un peu à regret, jolies filles et bonnes bières.

La fraicheur de la nuit tombée me donne l'énergie pour atteindre mon domicile. Dans la pénombre, j'aperçois vaguement la silhouette de la scierie que nous avons démoli par mégarde ce matin... Je passe donc le seuil encore un peu honteux de notre bêtise, m'attendant à ce que mon père me demande des comptes supplémentaires. Heureusement pour moi, je l'entends ronfler, depuis le salon. Il doit s'être assoupi dans son fauteuil, devant la cheminée.

Je monte les marches d'escalier quatre à quatre, et me rue dans ma chambre pour me glisser dans mes draps de satin. Le sommeil m'emporte avant même que je ne puisse penser à tous les évènements de la journée.

Quelques heures plus tard, le chant d'un coq m'extirpe de mes rêves. Je m'apprête à mon aise, pas forcément pressé de retrouver le bambin, mais néanmoins curieux d'en savoir plus à son sujet. Astérie m'attend, tandis que nos parents sont déjà partis travailler. Ensemble, nous retournons au lieu de rendez-vous.

Intervention 5 pour rp pré-quête 31

Lorsqu'elle arriva à l'endroit de rencontre prévu, Sihllaar put voir le petit garçon de la veille. Mais ce dernier, le visage épanoui, n'eut de yeux que pour la belle Asterie.

C'est seulement après lui avoir indiqué la porte, qu'il remarque Sihllaar. Honteux, les joues empourprés, il s'excusa

" Bonjour monsieur, désolé, je n'avais vu que la jolie dame." Il se pressa de rajouter :

"Si vous voulez toujours sauvez les silnogures, il vous suffit de passer la porte de l'auberge derrière moi. Fenouil et les autres vous accueilleront. "

En poussant la porte, tu peux lire sur un écriteau :



Lorsque tu franchis le seuil de la porte tu aboutis ICI


(((La préquête est terminée pour toi, ton prochain rp devra être dans la quête, au lien indiqué ci-dessus !)))[/quote]

Realmas arriva devant la milice. Il vit un garde qui gardait l'entrée et il lui parla.

" Salutations monsieur, qu'est-ce que cet endroit ? "

" Vous vous trouvez devant la milice de Yarthiss " dit-il en baissant les yeux pour regarder le thorkin.

" On m'a dit que l'on pouvait s'y faire engager, est-ce vrai ? "

"Mais oui, biensûr. Nous sommes des protecteurs de la ville chargés de diverses missions, allant des plus simple, aux plus périlleuses. "

" Et comment puis-je me faire engager ?

" Vous devez vous présenter au sergent en chef, à l'intérieur. "

" Merci bien "dis le thorkin en rentrant.

A l'intérieur, il y avait un humain adossé contre le mur, qui attendait sûrement que quelqu'un vienne. Le nain se posa lui aussi contre le mur, quand l'humain commença.

" Eh bien maintenant les nains viennent se présenter à la milice ? Les gens ne te verront même pas et demanderont qui tu es pour parler au nom de la milice mon gars "dit-il d'un ton moqueur.

Realmas sentit la colère monter en lui quand un milicien qui semblait haut-gradé entra après avoir entendu.

" Oh mais pour qui te prends-tu toi ? Si tu es là pour te faire engager sors d'ici, nous n'acceptons pas les gens avec une mentalité comme toi, allez pars !"

L'humain s'exécuta en grognant, tandis que l'autre arrivait.

" Vous venez pour vous faire engager c'est ça ? Venez avec moi."

Le milicien prit une feuille.

" Votre nom ? "

" Realmas "

" Vos qualités premières ? "

" Euh...Le combat, mais je peux faire un peu tout si vous voulez. "

" C'est noté, attendez, je reviens. "

Realmas partit s'installer sur le mur et attendre le retour du milicien.

Intervention pour inscription à la milice et première mission pour Realmas

L'officier de la milice revient avec un encrier, une plume grossière et un registre sur lequel est inscrit le nom du thorkin, son signalement, et une ligne sur les déclarations qu'il a faites : "Voilà le registre des inscriptions. Si tu sais signer, signe, sinon contente toi d'une croix que j'avaliserai."

Une fois cette formalité accomplie, il lui donnera sa première mission :

"Des gens qui savent se battre, c'est bien, c'est toujours utile, mais ça suffit pas. Des gars qui savent manier la hache, j'en trouve treize à la douzaine, mais je ne sais pas si ils feront tous de bons miliciens. Si tu veux du combat, tu seras sûrement servi à la Milice, il y a toujours des gens pour nous chercher des poux dans la tête, et défendre une ville ne se fait pas toujours avec de belles paroles. Mais tu devras aussi prouver que tu vaux un peu plus qu'un mercenaire lambda si tu veux faire du chemin.

Enfin pour le chemin on verra. T'es un thorkin, et j'ai peut-être ce qu'il te faut comme mission. J'ai entendu des gens dire qu'il y a un repère de garzoks dans le coin, une vieille mine semblerait-il, où ils ont fait leur trou. Avant d'envisager une action concrète, je veux savoir précisément où ils sont, et combien ils sont. C'est une mission de renseignement avant tout, alors pas de témérité, je tiens pas à perdre un milicien, mes supérieurs me taperaient sur les doigts. Tu trouves les informations que je t'ai demandé, et tu reviens me les donner. C'est clair ?"

Si Realmas accepte la mission, l'officier de la milice lui indiquera le chemin de l'armurerie, où il pourra choisir une pièce d'équipement [HRP : voir règle sur les milices, précise moi la pièce d'équipement par MP, je l'ajouterai à la fiche]

Realmas hésita deux secondes

"Euh...oui j'accepte..."répondit-il.

Le milicien lui indiqua une pièce, remplie d'armures en tout genre.

"Vas-y choisis."dit-il en désignant quelques équipements au couleurs de la milice.

Il y avait un casque, un plastron et des jambières. Realmas n'hésita pas, il prit le casque car il était hors de question pour lui de porter quelque chose sur le torse ni des jambières en dessous de sa jupe. Il ne s'attendait pas à ce que le milicien lui donne une mission comme celle-ci, il s'attendait plutôt à devoir surveiller la ville ou une chose comme cela. Il sortit de la pièce et se dirigea vers la sortie après avoir reçu un bonne chance. Il avait un large sourire aux lèvres, tellement il était content de sa mission ! Et c'est là qu'il se demanda :

(Mais au fait, je vais m'y prendre comment si je ne sais pas où c'est ? Mince alors je ne sais pas ! Bon je vais faire le tour de la ville de l'extérieur voir si je vois quelque chose...)

Realmas se dirigea vers les portes de la ville pour commencer sa mission.

C'était l'une de ses matinées prometteuses, aux alentours de dix heures, quand tout est encore possible. Les derniers volets de la ville s'ouvraient, le soleil réchauffait les tuiles et les toits, le vent portait dans les rues des odeurs fraîches et agréables. Honru était arrivé à peine une heure plus tôt à Yarthiss, débarquant le port de commerce, il avait apprécié la ville dès les premiers craquements du ponton de bois sous ses pieds. Il se remémorait son premier geste une respiration ample, un bon moment face au soleil. Tout autour de lui, il avait entendu la cohue des débardeurs qui déchargeaient la marchandise d'un bateau à voile triangulaire, il s'était aussitôt enquis auprès de l'un de ces matamores où se trouvait la milice citadine.

Grâce aux indications fournies, il arpenta sans peine les rues pavés de la ville et franchit un vaste pont jeté sur le fleuve. Sur les rives il distinguait les roseaux, la verdure et quelques arbres de-ci de-là. Les rues s'emplissaient de voyageurs comme lui mais aussi d'habitants venant faire leur marché ou encore de lavandières venant laver le linge sur les berges. Il quitta une rue pleine d'échoppes sous des tentures bigarrées pour emprunter une venelle où le sol était en planches de bois. Il parvint alors devant les bâtiments des miliciens. C'était une large bâtisse où flottait au vent les armoiries de la cité, ciseaux sur sinople et croix marine sur gueules. D'après le docker, la milice patrouillait sur le fleuve et dans les bois alentours pour protéger le commerce.

Honru passa un instant la main contre son crâne rasé. Après tout la milice devait toujours avoir besoin de main d’œuvre et elle assurerait à Honru un revenu lui permettant de survivre en attendant qu'il cherche des débouchés pour le commerce de l'indigo en ville. Il aurait tout le loisir d'en apprendre un peu plus sur la situation voire de tisser quelques relations utiles. Il s'approcha de l'entrée, salua le garde en faction d'un bref signe de tête.

Une fois à l'intérieur il s'adressa à un sergent : "Sergent, j'aimerai m'enrôler la milice. Je sais lire, écrire, compter et manier l'épée."

Intervention de milice pour Honru

Le sergent lève les yeux de sa paperasse vers Honru et le toise de haut en bas. Ce qu’il voit semble lui plaire, car il se redresse, un petit sourire aux lèvres, avant de le saluer d'un bref signe de tête.

- Eh bah c’est surtout d’épée qu’on va avoir besoin pour un apprenti, pis d’un peu d’diplomatie si tu sais faire. Si tu veux faire tes preuves, j’ai la mission idéale pour toi : j’ai entendu dire qu’une bande d’une poignée de Sektegs traîne dans la forêt et traumatise deux camps de bûcherons qui du coup se mettent sur la tronche en accusant l’autre de ne rien faire ! Le truc, c’est que c’est l’boulot d’la milice, tout ça… Donc j’te propose deux trucs : tu règles le problème des bûcherons, pis tu règles le problème des Sektegs, à toi d’voir comment tu t’y prends, j’ai pas envie d’men mêler. Ça t’va ?

Il cherche dans sa paperasse et sort un gros registre, avant de poursuivre.

- Si ça t’va, t’as juste à signer ici, comme tu sais écrire ça devrait pas trop t’poser d’problèmes !

Honru esquissa un sourire en obtenant l'attention du sergent, selon toute vraisemblance pour témoigner silencieusement d'une certaine reconnaissance à être ainsi considéré ou bien pour mettre ledit sergent en confiance. Il l'écouta alors avec avidité avant de lui répondre.

"Faire en sorte de remettre les bûcherons au travail plutôt que de les laisser se taper dessus et quelques Sektegs à mater. Admettons... Vous avez plus d'informations sur les Sektegs ? Leur nombre notamment."

Honru se pencha sur le bureau du sergent pour prendre une plume et écrire son nom en guise de signature parmi les centaines d'autres hommes et femmes ayant fait des croix en pensant se mettre à l'abri du besoin grâce à une solde médiocre. Il se redressa et reposa la plume dans l'encrier.

"D'ailleurs Sergent, vous n'auriez pas un uniforme aux couleurs de la ville en trop ? Histoire de me rendre plus crédible aux yeux des bûcherons et pour leur faire comprendre plus facilement que la ville n'apprécie pas des disputes stériles. Vous sauriez me dire aussi le montant de ma solde ?"

Sans s'en rendre compte Honru avait déjà posé sa main sur le pommeau de son épée, il sentait son poids dans le fourreau qui pendait à l'une de ses deux ceintures noires en cuir de buffle. Il n'attendait que ces dernières informations pour aller acheter des vivres pour quelques jours et se lancer dans sa mission.

Intervention de milice pour Honru

Le sergent observa l’œil morne Honru inscrire son nom sur le registre.

- Pour les sektegs, y’a un camp qui fait état d’une poignée et l’aut’ d’une dizaine, y sont pas très fiables, va falloir improviser mais j’pense pas qu’ils soient très nombreux.

Il déplaça lourdement sa grosse carcasse vers une armoire rudimentaire qu’il ouvrit. Il jeta un coup d’œil en arrière, lorgnant Honru, puis s’intéressa de nouveau au contenu du meuble. On entendit des bruits de ferraille puis finalement le sergent émergea avec trois pièces d’équipement qu’il laissa tomber sur la table. Il s’agissait d’un plastron, un casque et des jambières, les trois manifestement usés.

- Tu peux en prendre un d’ces trucs pour l’temps d’ta mission, j’suis désolé, tu peux pas en avoir plus, on est un peu en rupture, si tu vois c’que j’veux dire. Je s’rais toi j’prendrais l’plastron, ça en impose plus, mais tu fais comme tu l’sens.

Il finit par lever les yeux sur Honru.

- Pour ta solde, ça va taper dans les 50 yus, c’est l’salaire de base de ceux qui commencent.

"En rupture... oui, bien sûr..."

Stinck ! Honru venait de faire une pichenette de l'index sur le plastron de la milice comme en vérifier la solidité. Cela lui offrait une protection équivalente à ces vêtements de voyage en cuir mais une telle armure était longue à enfiler, on devait bien souvent s'y prendre à deux, on ne pouvait pas dormir avec et elle s'avérait plutôt lourde. Il ne prêta pas attention aux jambières, trop bruyantes. Son regard s'arrêta sur le casque en fer, c'était un chapel en fer avec l'écu de la ville sur le flanc même si celui-ci n'était pas tout jeune et la peinture un peu délavée. Le type de casque que la plupart des miliciens portaient. Il le prit entre ses mains le soupesa.

"J'apprécie la valeur de votre conseil mon sergent, mais avec la tignasse que je me trimballe, je vais plutôt prendre le casque pour éviter une isolation." dit-il en coiffant le casque sur sa tête chauve. "Bien, Sergent je ne vais pas prendre racine, je vais tâcher de régler votre pépin pour que vous me régliez ma solde à mon retour."

Il le salua le vieux gradé et sorti dans la rue.

ArtMots vient d'entrer dans l'imposant bâtiment de la milice. Il semble un peu perdu et se demande si il vient de faire le bon choix. Cependant, il a vraiment besoin d'argent, il va donc effectuer une mission. Si elle s'avère trop dangereuse, il n'acceptera pas de toute façon. Après tout, il n'est pas obligé d'exécuter n'importe quel ordre.

Le jeune guerrier analyse l'emblème de la milice. Il le trouve ni bien ni nul. Il s'en moque, il veut juste gagner sa croûte.

ArtMots commence à avoir faim, il regrette de ne pas avoir demandé un peu de nourriture au barman de l'Auberge de L'Au-Delà. Tant pis pour lui, ça sera pour une prochaine fois. Il s'avance vers un garde et lui demande :

" Bien le bonjour, je souhaiterais avoir une mission pour gagner un peu d'argent. A qui dois-je m'adresser ? "

" Un instant, quelqu'un va vous recevoir... "

ArtMots se dit que le garde est bien équipé.

( Il a de la chance, moi je n'ai qu'une toge et un bâton à deux mains pour me battre... )

Le temps passe jusqu'à que...

Le milicien te regarde de bas en haut, semblant hésiter devant ton apparence. Puis, il déclare :

"Un bucheron de la guilde est mort il y a quelques jours. Les gars de là-bas disent que c'est à cause de l'invasion de serpent des forêts. On avait envoyé un type, mais il a disparu sans faire le boulot. Maintenant on nous accuse de négligence..."

Il soupire :

"Occupe-toi de ces serpents. Et puis... pour le gars qui est mort... notre spécialiste dit que ces serpents ne sont pas mortels, alors si tu trouves un indice sur ce qui a pu se passer."

Le milicien regarde ArtMots de bas en haut, semblant hésiter devant son apparence. Puis, il déclare qu'un bucheron de la guilde est mort dans la forêt et que des gens disent que c'est à cause des serpents. Il rajoute que le guerrier doit s'occuper de ces bestioles même si ils ne sont pas mortels et trouver des indices sur ce qui c'est vraiment passé.

ArtMots écoute attentivement le milicien jusqu'au bout. Des serpents qui ne sont pas mortels, un bucheron mort, tout ça semble en effet assez louche.

" Très bien, je vais me mettre de ce pas au travail ! Je pense pouvoir faire l'affaire, je reviendrais dès que ma mission sera terminée. A bientôt, j'espère... "

( Si je suis toujours en vie... )

Avant de partir, ArtMots s'incline respectueusement face au milicien, puis, il regarde une dernière fois l'emblème pour se donner du courage. Une fois ceci fait, il pousse la porte du bâtiment et sort dehors, prêt à affronter son destin pour de l'argent...

La route se faisait longue...

Tapant des doigts sur le comptoir, le jeune Triam se laissait d'attendre qu'on vienne le quérir. Il n'aimait guère l'air humide de Yarthiss, et les murs en bois du bâtiment de la milice ne lui épargnaient pas cette chaleur désagréable qui pousse à la transpiration. Le nord de l'Imiftil n'était pas réputé pour son climat.
Nerveux, il comptait les Yus qui lui restaient, à peine une poignée. C'était, avec son cimeterre et son long manteau, tout ce qui lui restait. Un acolyte lui présenta un parchemin froissé. Triam écouta sans lever les yeux.

- Écrivez ici votre nom de famille, votre lieu d'origine, votre destination, et votre complainte.

L'homme lui prêta une plume. Triam était las de répondre, pour la troisième fois au moins, aux mêmes questions, mais il remplit le formulaire sans faire de bruit. Au moment de le remettre, il se fendit d'une remarque acide :

- Est-ce une coutume ici que de redresser un tort avec un bout de papier ?

Le milicien grimaça, puis s'en alla sans rétorquer. Triam s'appuya contre le comptoir en bois noirci, et il se malaxa le front. Avec ce qu'il lui restait, il aurait bien du mal à trouver un navire qui le prendrait à Tulorim.

- Quel ennui...