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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Mar 18 Aoû 2015 18:13 
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L'Oasis d'Alsimura (P37)


Pour Maâra, Jôs, Caabon, Astérie, Aliéron et Hawke

Pendant que les adultes discutaient Martin, Martine continuaient à soigner Fenouil. Ce dernier reprit peu à peu des couleurs et un sourire s'afficha sur son visage.

"Je vais mieux, merci ! " Dit-il d'une voix assez forte

La petite Goubliée s'approcha alors de lui, lui sourit et lui prit la main, soulagée que son nouvel ami se porte mieux.


Sans négliger les soins apporté à Fenouil, Martin avait tout de même suivit la conversation des adultes. Et il crut bon intervenir lorsque Maâra s'interrogea sur la possibilité de retourner dans la grande salle sans la présence de Fabiolo.

"Il nous sera possible de vous conduire dans cette grande salle. Il nous suffira de penser à Fabiolo ou à ses petites soeurs. Pour le frère de Astérie, ce fut différent, nous n'avions qu'une idée précise ou se rendre. Il est beaucoup plus simple pour nous les enfants lorsque nous devons rejoindre l'un de nous. "


Alors que Martine demeura muette.

Dans la petite salle, le sinolgure, accompagné de Jôs, but malgré lui ce que lui administrait Jôs et semblait reprendre des forces. Il tenta de bouger, mais les chaînes et Jôs le retenait.

[i] Caabon: XP: 1 ,5(post) 0,5 (délai respecté) 0,5 (Mot)
Maâra: XP: 2 (post) 0,5 (délai respecté) 0,5 (Mot)
Jôs: XP: 0,5 (posts) 0,5 (administration potion)
Astérie: 1(post) 0,5 (délai respecté)
Aliéron: 1(post) 0,5 (délai respecté) 0,5 (Mot)
Hawke: 1(post) 0,5 (délai respecté) 0,5 (Mot)

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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Lun 24 Aoû 2015 11:22 
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Visiblement, ma prise de parole dérange mon compère Sindel. Il ne l'es pas tout à fait, mais c'est déjà un pas vers la perfection... Quoi qu'il en soit, il me lance un regard agacé, chargé de reproche. Je ne dis rien de plus et me contente de lui rendre mon regard le plus sérieux et le plus noble. Après tout, il n'est rien d'autre qu'un aventurier comme les autres. Il ne devrait pas avoir à juger mes dires. Surtout lorsque mes paroles sont mûrement choisies.

Le Phénix complète mon compte-rendu en citant la prophétie et en expliquant un peu notre découverte concernant l'étrange lien que semblent entretenir les enfants avec les Silnogures.
Maâra apporte ses propres réflexions à la situation. Elle pose quelques questions et explique un peu ce qu'eux ont découvert et trouver. Le passage mentionnant la petite qui se tient à ses côtés m’intéresse particulièrement. Nous en savons donc légèrement plus concernant nos probables ennemis.
D'après elle, Fenouil est lui aussi lié au Silnogure soigné dans l'autre pièce par l'un des nôtres. Intéressant. Il ne faut pas oublié cette histoire de lien. En parlant du petit gobelin, il semble guéri après que Martine lui ai fait boire une décoction fournie par l'homme sombre. Tant mieux, cela fait un problème de moins à gérer.

Un des enfants, un petit garçon, déclare alors qu'il lui est possible de nous emmener dans la grande salle que moi et mes camarades avons découverte.
Aliéron entreprend de répondre aux questions posées précédemment par Maâra. Il propose d'emmener Fenouil et le Silnogure qui est lié à lui dans la grande salle. Son idée est bonne, cela sera plus simple si nous emmenons chaque duo là-bas. Il demande ensuite combien il y a d'enfant, et demande plus d'informations concernant le parchemin que la Sindel a déroulé tout en parlant.

Pour ma part, je ne trouve rien à redire et je me contente donc juste d'attendre la suite des événements. Une chose est sûre, nous nous devons d'agir rapidement. Cela est bien trop lent pour moi... La parlotte n'a jamais été mon fort.


(((346 mots)))

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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Lun 24 Aoû 2015 13:46 
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En réponse à mes mots, l’elfe grise qui se présente sous le nom de Maâra, prouve qu’elle a plus de jasette que les aventuriers l’accompagnant, puisqu’elle révèle enfin leurs propres découvertes. Elle me révèle, particulièrement, que leur expérience des portes a été peu fiable, puisque depuis le début de l’aventure, elle cherche avec mon frère à me suivre dans les portes que j’ai empruntées, en vain… et qu’il s’est lui-même perdu dans le passage de l’une d’elles. Elle a donc plus de nouvelle de Sihlaar que je n’en ai moi-même. Mon frère s’est sans doute débrouillé pour se trouver une autre donzelle à suivre pour se démerder. C’est son genre, il a la tchatche et le charisme. Il n’est pas imprudent : il aura trouvé de quoi se mettre à l’abri, peut-être même farfouillant de ses yeux habitués à la lecture les nombreux volumes de la bibliothèque. Je n’ai pas à me soucier de lui, mais bien de tout le reste : la prophétie, les Silnogures, et les paroles de cette elfe grise volubile, qui nous apprend par la suite qu’ils ont appris que dix espèces de Silnogures ont été profanées, correspondant aux dix chaînes dont j’ai parlé dans la prophétie.

Et apparemment, nous sommes dans un lieu fort lié à ces expériences, puisque des cages contenant touffes de fourrures et poils de ces mythiques animaux du Naora gisent, vidées de tout contenu, dans les pièces voisines, si j’en crois ses dires.

Une des enfants présente, une petite elfe grise, a été précédemment envoyée ici pour, comme nous, sauver l’espèce en danger, mais elle a des problèmes pour recouvrer la mémoire, et a apparemment à peine évoqué leurs cris, et la présence d’un homme, disparu depuis lors. Un homme, une dame grise… des elfes noirs, un gobelin et des enfants. Voilà un curieux décor gravitant autour de ces curieux animaux dégénérés. Mais rien ne m’émeut plus que d’apprendre la présence d’un silnogure bien vivant, juste à côté, en compagnie d’un autre aventurier de leur petite compagnie. Elle émet l’hypothèse d’un lien entre le gobelin Fenouil et ledit Silnogure. Bien ! Ça colle avec nos propres conclusions, et ça nous évite de chercher à qui celui-là sera rattaché.

Le gobelin, d’ailleurs, ne tarde pas à se porter mieux, aidé par les soins d’une petite dont j’ai déjà oublié le nom. Il y a trop d’enfants tout autour. Vivement qu’on les abandonne avec leur paire silnogure dans la salle du rituel.

Un autre gamin prend la parole pour répondre à l’elfe grise concernant son inquiétude pour l’utilisation des portes, précisant que pour rejoindre la salle, il leur suffira de penser à Fabiolo qui y est retourné. Pour des lieux géographiques, ce n’est pas très précis, pour des personnes aléatoires, c’est carrément hasardeux, mais entre eux, les enfants semblent pouvoir aisément se joindre. C’est une bonne chose. Au moins nous avons fini par comprendre un mécanisme complexe de ce qui nous était caché au départ. Ça facilitera les choses.

Je pose le regard sur Aliéron, qui narre à la sindel le souci libérateur que nous avons eu avec l’une des deux jumelles, qui une fois dans la salle en présence de son silnogure associé, n’a plus pu en sortir. Mes yeux se trouvent un peu insistants sur ses lèvres sèches et peu charnues qui remuent pour évoquer la potentialité de rapatrier Fenouil et son double spirituel animal dans la salle, au risque de les retrouver bloqués dedans. Mais les lèvres sont plus attirantes, irrésistiblement, que son discours, dont je partage pourtant le contenu. Irrésistibles, oui. Comme si un instant, je pourrais y rester suspendue, effaçant tout autour pour ne garder qu’elles, que lui. Sans le vouloir, je m’approche de lui, à quelques pas, comme hypnotisée, avant de… reprendre conscience. Subitement.

« Que… »

Qu’est-ce qui me prend, encore ? Quel nouveau sortilège ce bel étranger a-t-il lancé sur moi pour me faire sortir ainsi de la conversation. Oh je n’ai jamais eu une grande concentration, délaissant les longs discours pour observer le vol chaotique d’un papillon, ou épier les pas feutrés d’un renard curieux de la civilisation voisine à son antre. Mais là, ce n’est ni un papillon, ni un renard. Ni même une feuille d’arbre se laissant porter par une brise printanière sous le couvert de ses pères les arbres. Je me sens bête, et j’en ai l’air, ayant ainsi avancé sans but vers lui, et le regardant maintenant avec un air éberlué qui se mue vite en moue mêlant surprise et mécontentement.

« Hum… »

Éloquent, une fois de plus. Je dois reprendre contenance, préserver une image plus ou moins saine auprès de ces aventuriers qui nous entourent. Plus ou moins, quoi, moi qui suis généralement déjà impulsive, maladroite et caractérielle. Têtue, même, diraient certains. Versatile, soupe-au-lait, tout ça… Inutile de me rajouter d’autres tares face à des étrangers dont je ne connais que peu. Voire quasiment rien. Rien, en vérité, pour beaucoup d’entre eux, même ceux qui m’accompagnent depuis le début de cette aventure étrange. Alors, je prends la parole, d’un ton assuré, pour marquer mon accord aux propos de mon confrère aux yeux magiques.

« Oui, nous devrions rapatrier Fenouil et le Silnogure dans la salle du Rituel sans tarder. Ils sont affaiblis, et c’est là qu’ils seront le plus en sécurité d’ici la fin de tout ça. »

Ma question posée précédemment, je me dois de la répéter, puisqu’elle n’a trouvé aucun écho parmi les aventuriers, et que Fenouil est désormais sur pied. Je tends la main vers lui comme pour l’aider à se mouvoir.

« Allons-y. Tu sais aussi appeler à toi le pouvoir des portes, n’est-ce pas ? Et ce calice, en as-tu déjà entendu parler ? »

(952 mots)

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Asterie


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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Mer 26 Aoû 2015 21:32 
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Du côté des enfants, les choses avancent et s’arrangent. Martine continue de s’occuper de Fenouil pendant que tous ou presque s’intéressent aux nouveaux arrivants. Maâra garde constamment un œil sur la petite fille aux yeux vairons et le gobelin dont elle se sent responsable. Elle ne doute pas de l’efficacité de soins, en temps normal, de la décoction offerte par Caabon mais le caractère mystérieux, quasi magique de la blessure du gobelin inquiète encore celle dont le compagnon a causé la blessure. Ce dernier s’est d’ailleurs discrètement déplacé devant l’escalier menant sur le désert et garde un œil vers la porte donnant sur le reste des galeries. Un acte non dicté par la nécromancienne, et encore moins par une volonté de protection de la part de la créature aux yeux nerveux ; il ne s’agit là que d’une frustration et d’une soif de sang non assouvie. Bien qu’étant totalement et irrémédiablement aux ordres de l’elfe grise, il est à peine moins vide de conscience que les Silnogures torturés et sa rage, à lui, ne date pas des dernières semaines. Nul doute que si une autre créature que celui sur le lit aux côtés de Jôs ose pénétrer dans la pièce, il se jettera dessus pour étancher sa soif.

Martin intervient le premier aux questions de Maâra quant au voyage vers la salle, que le nouveau trio vient de découvrir. Il lui certifie qu’ils pourront rejoindre sans problème la fameuse salle, et que pour se faire, il leur suffira de penser à Fabiolo ou l’une de ses sœurs. Ainsi, le mystère concernant ces portes se dévoile encore un peu … mais pourquoi tant de précautions et de conditions au bon fonctionnement d’un outil tel que ces voyages plus qu’étranges, et ne le confier qu’à des enfants ? Il leur suffit de penser à l’un d’eux, et selon Fenouil ils peuvent parvenir à un lieu précis en pensant à un sentiment fort, éprouvé en ce lieu. Qui a guidé et comment se sont alors décidés les premiers passages ? Autant qu’elle le sache, aucun des enfants n’avaient mis les pieds dans le désert de dragomélyn ou le volcan … le passage est certes aléatoire lorsqu’il s’agit d’un des adultes ou d’un lieu, mais la majorité d’entre eux sont arrivés dans la bonne région, et pas les pieds dans le sable d’un autre désert.

L’humain aux yeux mâtinés de bleu violine intervient à la suite de Martin, expliquant et confirmant pour sa part n’être pas plus capable de contrôler les enfants que les portes. Son sourire et son ton teinté d’ironie échappe à l’elfe grise, qui se contente de rajouter sur un ton des plus sérieux.

- On en est tous là.

Aliéron fait alors quelques pas vers Fenouil qui, de son côté, vient de calmer l’intensité des battements de cœur de Maâra, sans s’en rendre compte et en quatre petit mot, prononcé haut et fort. Le petit gobelin se sent bien mieux, le ton de sa voix et son teint le confirment.
Maâra aperçoit alors la jeune femme à la coiffure débordante s’approcher elle aussi, comme un insecte attiré par la lumière … des yeux ronds comme des piastres, tournés exclusivement vers le bellâtre Hafiz. Un instant, elle semble vouloir intervenir mais un seul mot sort de sa bouche, avant qu’une légère ride de surprise ne fronce son nez, et que ses yeux ne plongent le vide. Incapable d’en saisir le sens et se sachant bien incompétente en matière d’interactions humaines, Maâra détourne son attention vers Aliéron qui, contrairement Hawke, ne se contente pas d’attendre, immobile et silencieux, inutile à tout effort.
Du discours du jeune homme à l’allure de guerrier, elle en comprend que l’idée d’un lien entre les créatures et les enfants soit venue après leur entrée dans la salle du rituel, quand l’une des sœurs ne put en ressortir, coincée comme la bête dans cette salle où, visiblement, tout allait se jouer si tant qu’ils trouvent les huit autres Silnogures, le calice et son contenu.
Maintenant que le gobelin est en état de voyager, il propose ensuite de faire le voyage jusqu’à la salle avec le Silnogure, tout en acceptant le risque qu’ils soient bloqués. Avis rapidement repris par l’humaine, qui a retrouvé une certaine contenance. Et apparemment pour l'un comme pour l'autre, quoi qu'il puisse arriver sur place.

- Si l’on fait cela, ce n’est pas seulement enfants et créatures qui devront y restés. Certains d’entre nous aussi au cas où d’autres prédateurs atteignent la salle. Nous avons chacun eu notre lot de mauvaise rencontre.

Les choses se précisent de plus en plus. L’humaine s’empresse ensuite de rejoindre le gobelin et lui tend la main pour l’aider à se relever, lui demandant s’il a entendu parler de ce calice. La petite Géouliée se trouvant tout près, Maâra lui fait signe de la rejoindre et, en écho au Hafiz s’enquérant du nombre d’enfant, le lui demande aussi, profitant de la moindre occasion pour rafraichir sa mémoire grâce à ces situations présentes.

- Est-ce que tu te souviens mieux maintenant des enfants et des gens avec qui tu étais. Tous ces chiffres, les dix races, les dix chaines et ce rituel font remonter des souvenirs ?

Elle se détourne un instant de sa compatriote pour présenter le parchemin demandé par Aliéron.

- C’est bien cela. Nous l’avons trouvé ici, voyez les noms barrés, les deux races d’hiver, dit-elle sans cette fois expliquer de quoi elle parle, pensant qu’il utilise lui aussi le calendrier Sindel.
Elle ouvre la bouche pour en dire plus, poser les questions qui lui brûlent les lèvres mais se ravise rapidement, préférant ne pas embrouiller l’esprit d’un autre comme l’est le sien, en cherchant à comprendre l'ensemble ce drôle de puzzle.


((954 mots))
((hrp : les deux races de silnogures barrés pour Aliéron : Chelartea et Ithilartéa
le lien vers l'intervention de GM8 au cas où. A noter que la bouteille et les gobelets sont par terre en plein milieu))

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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Sam 29 Aoû 2015 17:03 
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Pour Maâra, Jôs, Caabon, Astérie, Aliéron et Hawke

Jet de dés mémoire de Géoublié: Réussite en partie

C'est Martine qui répondit à la première question de Aliéron, tout en comptant.
"Moi, Martin, Fenouil, Géoublié, Fabiolo, Huguette, Muguette, Phil, Maude et Nadine." Tout en parlant, elle comptait sur ses doigts;

" Dix ! "
Finit-elle par clamer fièrement !

Goubliée haussa les épaules n'ayant apparemment aucune information à donner. Et Maritn prit la relève.

" Nadine est sûrement avec son petit frère Phil, je les ai vu partir de la bibliothèque avec une étrange femme-poupée... Mais je n'ai pas vu Maude ! "

Fenouil prit la main d'Astérie et réussit à se lever au prix de quelques efforts.

" Le calice ? Je ne vois pas de quoi vous parlez. " Une fois debout, il ne lâcha pas la main d'Astérie, un sourire niais se dessinant sur son visage, il se dirigea vers la porte attendant patiemment qu'on apporte le silnogure.

Géoublié répondit au signe de Maâra et s'en approcha, puis lui murmura:

" Je me souviens des enfants qui m'accompagnaient à présent, mais aucun de ceux-ci n'en faisaient parties. Et je me souviens du visage de l'homme qui m'a assommé. Il avait la peau grise, il ne semblait pas méchant, il avait les yeux remplis de chagrin. " Elle s'arrêta, tenta de se concentrer de nouveau puis poursuivit d'un geste d'impuissance:

"C'est tout, le reste est flou ! "

Martine se rapproche discrètement de Caabon attendant vraisemblablement les directives de ce dernier.



[i] Caabon: XP: --(post)
Maâra: XP:1,5 (post) 0,5 (Mot)
Jôs: XP: -- (posts)
Astérie: 1,5(post) 0,5 (délai respecté) 0,5 (mot)
Aliéron: 1(post) 0,5 (délai respecté) 0,5 (Mot)
Hawke: 0,5 (post) 0,5 (délai respecté)

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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Lun 31 Aoû 2015 11:30 
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Asterie fait alors quelque chose de bizarre. Qui m'étonne un peu, mais après tout, les humains sont comme ça, bizarres. Je reste donc de marbre lorsque je la vois s'approcher d'Aliéron comme si elle avait une hallucination. Elle a les yeux dans la graisse de binnes. S'arrêtant à quelques mètres de lui, elle bredouille quelque chose et déclare finalement que le rapatriement de Fenouil et du Sinolgure à la salle du rituel est une bonne idée. Elle termine ses paroles sur une question adressée à Fenouil concernant un calice et son pouvoir pour faire apparaître des portes.
Maâra ajoute néanmoins qu'il faudra laisser un adulte là-bas, en cas de mauvaise rencontre. Je me renfrogne légèrement à cette idée. Si c'est moi qui dois être là-bas, c'est hors de question. La Grise semble encore poser des questions à la petite Sindel qui semble bien perdue.. Pour finir, elle montre le parchemin à Aliéron et précise que les deux noms de races d'hiver des Silnogures sont barrés. C'est étrange... Je ne trouve aucun lien apparent avec tout ce que nous avons trouvé jusqu'à maintenant. Mis à part que justement, nous avons trouvé deux Silnogures.. Mais j'ignore si les noms coïncident.

Martine compte alors le nombre total des enfants. Elle termine son compte en clamant le nombre dix. Ainsi, ils sont piles le même nombre que les races de Silnogures. La théorie colle jusque là à la réalité. Un enfant pour un Silnogure. Nous avons donc déjà trouvé celui d'une des jumelles et celui de Fenouil. Plus que huit !
Le petit gobelin n'a jamais entendu parler d'un quelconque calice, et il se dirige vers la porte apparue un peu plus tôt. Ils doivent partir sans tarder, et nous aussi. Rester au même endroit aussi longtemps est rarement une bonne idée.

Je prends donc la parole, regardant tour à tour chaque personne présente, en gardant mon air sérieux et militaire.

« Bien. Fenouil et le Silnogure partent dès maintenant. Si un adulte veut rester les garder, qu'il le fasse. » Je me tourne vers les aventuriers déjà présents ici avant mon arrivée « Vous avez déjà exploré tout le coin ? Ou reste-t-il des zones pouvant nous réserver quelques surprises ? Comment est-ce, ici ? Pour notre part, nous avons eu à traverser un étrange pont en bois, probablement enchanté car résistant à la chaleur de la lave. Il n'avait pas l'air confectionné de la main d'homme, et je pencherais plus sur mes confrères, ou une autre race elfique.

Je me propose pour partir explorer, ici, ou là où je me trouvais avant. Si vous avez d'autres idées de plan d'action, elles sont les bienvenues. Mais rester tous ici n'est pas une bonne idée. »


J'attends donc les réactions des autres aventuriers. Je ne sais pas ce qu'ils vont penser des mes paroles, et je m'en fiche un peu au final. Ce ne sont que des humains.

(482 mots)

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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Jeu 3 Sep 2015 19:57 
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Pendant qu'elle laisse au Hafiz la possibilité d'observer ou prendre le parchemin, Maâra écoute attentivement tout ce qui se dit autour d'elle. Presque une première pour l'elfe grise qui a plutôt tendance à s'isoler dans ses pensées et à tenter tant bien que mal une fois les voix éteintes, de le retrouver et de les réécouter de mémoire. Maintenant qu'ils sont plus nombreux, cette habitude pour le moins étrange devient une gêne, bien peu compatible avec la compréhension de toutes les informations qui s'envolent à chaque prise de parole.
Pendant que la jeune Sindel rencontrée derrière la cascade s'approche d'elle, Martine répond à la question d'Aliéron et que la majorité d'entre eux se posent aussi. Elle énumère les enfants, les nommant un par un afin d'être sûre de n'oublier personne. Naturellement, elle compte parmi eux la nouvellement nommée Géoublié, ce qui a pour conséquence de faire froncer les sourcils de Maâra qui, bien qu'étant celle qui a invité la petite à la rejoindre et donc responsable de sa présence ici, elle ne la considère pas comme faisant parti du même groupe d'enfants, et donc d'élus. Ne sont-ils donc que des outils interchangeables aux yeux de la Déesse … ce que l'un ne peut entreprendre, un autre le fera ? Pourquoi alors envoyer des enfants ? … à cause de leur innocence, de la facilité avec laquelle on peut les convaincre de l'impossible ?

La voilà qui recommence à se perdre dans un flot de questions silencieuses et sans réponses immédiates, au lieu d'écouter le jeune Martin qui précise qu'il a vu Nadine, la fille aux nattes rencontrée à Yarthiss, partir avec son petit frère et une étrange femme poupée, mais qu'il n'avait pas vu Maude, sa soeur. ((L'aniathy)) se dit Maâra à part elle avec un soupçon d'aigreur, n'ayant jamais pu comprendre pourquoi et comment son peuple avait pu oser créer de telles choses, de donner un semblant de conscience à des objets sans âme et ainsi se prendre pour des Dieux. Elle n'avait jamais pardonné à ses parents, qu'elle pensait être des gens raisonnables, d'avoir adopté la leur comme leur troisième enfant.

Comme pressenti par l'elfe grise, Fenouil n'a pas pu aider Astérie mais, toujours prêt à foncer droit devant lui, il profite rapidement de la main tendue et offre à l'humaine la même nature de sourire qu'elle lui connait bien, avant de se caler devant la porte. Une manière bien à lui de faire comprendre à Astérie qu'il est d'accord pour partir et qu'il possède le pouvoir de se servir des portes.
Géoublié commençant à mi-voix à lui répondre, Maâra délaisse un instant le duo que forment le gobelin et la rouquine. Cette dernière aura rapidement l'occasion de cerner le tempérament du gobelin sans son avis.
De toute évidence, la ténacité de Maâra à ranimer les souvenirs de sa congénère n'est pas vaine. Elle lui apprend qu'elle se souvient maintenant mieux des enfants avec qui elle voyageait, et qu'aucun de ceux que Maâra a rencontré à la bibliothèque n'en font parti. Sur le coup, Maâra s'en étonne car cela est évident pour elle mais le garde pour elle afin de ne pas perturber Géoublié. Cette dernière se souvient aussi du moment de son "accident", de l'homme qui l'a assommé, de son visage, de sa peau grise et du chagrin qu'elle a perçu dans ses yeux.
Son visage se raidi sous la concentration mais d'un geste d'impuissance, elle lui avoue que le reste est flou.

- C'est déjà beaucoup. Tu te souviens du nombre d'enfants, ou si vous étiez tous Sindel par exemple ?
Elle s'apprête à lui demander des précisions sur l'homme quand Hawke prend la parole d'un ton rigide et impérieux.

Le caractère militaire de son homologue Sindel n'a pas échappé à Maâra, mais la logique qui semble découler de cette appartenance à l'armée s'éloigne littéralement de la sienne. Cette constance à faire état d'évidence, de présenter des résumés sans détails, d'enfoncer des portes ouvertes ou de s'enfarger dans les fleurs du tapis, la décontenance.
L'entendre évoquer l'accompagnement du gobelin et du Silnogure comme du gardiennage fait à nouveau grincer des dents Maâra, qui se souvient que déjà dans la bibliothèque il avait tenu des propos qui laissait entendre qu'il n'avait cure des enjeux de leur quête, ni conscience des horreurs contre-nature qui étaient en cours. Cette fois ci cependant, elle arrive à se contenir et reste silencieuse, consciente qu'une discussion sémantique ne ferait que les ralentir. Il s'enquiert ensuite de la zone qu'ils ont pu explorer dans les environs, elle et les deux humains qui l'accompagnent, avant de leur raconter une histoire étrange à propos d'un pont enchanté … en voilà une de chose inutile aux yeux de Maâra.

- Par ici, dit-il elle en désignant la porte à l'opposé de l'escalier montant, se trouve une série de tunnel. L'un d'eux a été creusé très récemment. J'en ai déjà fait part aux deux autres, je souhaite y aller. Ce tunnel est trop proche d'ici et trop récent pour être laisser de côté.
Elle se tourne ensuite vers Géoublié.
Si tu penses pouvoir facilement rejoindre Fenouil grâce aux portes, j'aimerais que tu m'accompagnes s'il te plait … ta mémoire est une de nos meilleures chances.
Le Silnogure se trouve à côté avec Jôs, ligoté avec des chaines. Jôs est un colosse, il pourra surement vous aider à porter l'animal jusqu'à la salle. Caabon ?
demande-t-elle enfin, pourrais-je emprunter votre corde si j'arrive à l'enlever de l'animal ?

((900 mots))

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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Mar 8 Sep 2015 00:11 
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La conversation se déroule sans que Caabon y prenne part, préférant rester quelques instants en retrait face à ces nouveaux arrivants, tous dotés d’une certaine vision de choses dont il ne sait pas encore comment la considérer. Le plus important demeure toutefois les informations qu’il collecte à mesure que les participants.

Celui qui a des airs de bâtard elfique n’est pas avare en la matière. Il fait état des rencontres hostiles, élémentaire de feu et lézard géant, qui valent sans doute plus que les araignées ; preuve, s’il en est besoin, que les dangers sont nombreux dans cette contrée dont le voyageur innocent pourrait croire qu’elle n’abrite pas plus de vie que quelques insectes résistants et petits mammifères terrés dans les profondeurs fraiches de la terre. Pas un mot cependant sur d’éventuels humanoïdes dans la catégorie des adversaires. Le wotongoh en vient à se demander si les shaakts qu’il a cru identifier à leur langue constituent une véritable menace dans leur aventure. D’autant que Géoubliée, mal nommée pour l’occasion, semble avoir la mémoire qui lui revient, et avec elle le souvenir d’un visage, un visage gris. Peut-être un sindel ? N’est-ce pas de ce côté de la mer que l’on peut les trouver ? L’individu ne parle pas seulement de combats, mais aussi d’une salle, et d’une prophétie.

La femme la formule, et cela sonne bien comme une prophétie pour le peu que Caabon peut en juger : il ne connaît que celles des histoires, des contes, des légendes, qui ont toutes la même aura de mystère, l’étrangeté de la formulation. (Pourquoi donc faut-il que les prophéties soient aussi peu claires ? Pourquoi ne donnent-elles pas des indications précises, comme une recette de cuisine, à commencer par les personnes concernées, les instruments à utiliser, le lieu où trouver ceux-ci ? Voilà que nous cherchons une coupe, des gamins, mais sans savoir s’il s’agit bien des nôtres, ni plus d’idée sur l’allure du récipient.) Force est de constater que la voix de l’intervenante joue pas mal dans l’appréciation du texte, lui donnant un air un peu plus… prophétique.

Le silence de Caabon ne lui semble guère porter à conséquence, Maâra fournissant une bonne part des informations, sans doute les plus importantes. Doit-il préciser la question des araignées ? Déjà une autre donnée l’occupe : le compte de Martine, sur le nombre d’enfant, correspond trop bien au compte des sinolgures sur le parchemin évoqué par l’elfe grise. Les coïncidences aussi grosses dans un contexte aussi particulier peuvent aussi bien raisonnablement n’en être plus, à moins d’un tour particulièrement retors du destin. Or, du destin, Caabon se fiche pas mal. Il craint plus d’affronter des forces autrement plus humbles et matérielles.

L’heure n’est plus à la profusion d’information cependant, Fenouil va mieux, et il convient d’agir. Ce qu’a rappelé le dénommé Aliéron. Sa proposition de transporter le sinolgure et Fenouil retient l’approbation du demi-elfe – qui pour sa part s’orienterait plus vers une exploration des lieux – si bien qu’il est presque acquis pour une part du groupe récemment débarqué que ceux identifiés comme les protagonistes. Maâra ne semble pas s’y opposer, mais émet une remarque, fort à propos aux yeux du wotongoh, portant sur la sécurité de ceux qui seront réunis dans ladite salle.

Entre partir plus à l’aventure et protéger les plus faibles, Caabon n’est guère tenté de taponner. Aussi décide-t-il d’enfin intervenir.

« Je n’ai pas vraiment d’opinion sur le fait de poursuivre une exploration des lieux. Votre expérience prouve qu’il y a des dangers qui peuvent nous menacer, et je crois que la nôtre concorde là-dessus. Cependant, rester immobiles ne nous mènera à rien non plus. Ramener le sinolgure à la salle que vous avez mentionnée, ainsi que Fenouil, pourrait être une bonne chose. Cela reviendra peut-être à mettre tous nos œufs dans le même panier. Si cette salle est importante, il y a peut-être un risque pour que des forces voyant d’un mauvais œil notre intervention dans cette affaire aient connaissance de son existence, ou vienne à apprendre quelque chose à son sujet : là pourraient se concentrer des efforts pour nous entraver, surtout si y sont réunis les éléments les plus faibles de notre groupe. Je me propose donc d’accompagner ceux qui s’y rendront, et de veiller autant que mes moyens le permettront sur eux. Cependant, je ne pourrais pas partir seul. »

Et surtout, il ne le veut pas. Il se sent un engagement moral à l’égard de Martine, et il est pour lui hors de question de la laisser seule, aussi se tourne-t-il vers elle pour lui demander son concours car, cette dimension ne sera pas non plus à exclure, il aura probablement besoin de ses pouvoirs, voire de son soutien dans des tâches de première nécessité, dans lesquelles elle a montré une certaine compétence depuis les débuts de leur collaboration balbutiante :

« Martine, j’aimerais que tu m’accompagnes. Pour que tu puisses m’aider, car je ne sais pas si je pourrai me débrouiller seul une fois là-bas, et puis parce que sans toi je ne sais pas si je pourrai à nouveau traverser les portes en cas d’urgence. Même si Fenouil peut le faire, mieux vaut être prudent, au cas où il faudrait à nouveau neutraliser le sinolgure. » Se tournant vers Fenouil, il lui précise : « Je ne te considère pas du tout comme un fardeau, ni ne pense que tu es inutile, mais je préfère te ménager pour que le moment venu tu puisses nous apporter ton plein concours. » Et à Martin tant qu’à Jôs il complète : « Si Jôs veut bien nous accompagner jusqu’à la salle, il faudrait peut-être que toi aussi, Martin, tu puisses nous accompagner, pour nous permettre plus de liberté de déplacement si nous devons nous déplacer. »

Concernant la corde, Caabon hésite un instant. Il imagine qu’il aura sans doute un besoin égal de celle-ci en cas d’affrontement victorieux avec un adversaire qu’il conviendrait de maintenir captif, voire plus s’il est seul à devoir maintenir sous la contrainte un individu hostile, là où la sindel pourrait se retrouver appuyée par d’autres si elle se rallie à un petit groupe d’exploration. Mais c’est sans doute cette composante, et le souvenir de la détermination qu’elle a montré à aller plus en avant dans la découverte des mystères de ce réseau souterrain qui fait basculer la décision du wotongoh en faveur de sa demande. S’il n’a pas la possibilité de ligoter un adversaire ayant cherché à le tuer, il peut toujours l’assommer, ou le blesser assez pour le neutraliser, voire en finir pour de bon avec lui. En revanche, si l’un de membres de cette petite expédition tombait dans un trou, ou se trouvait en difficulté, alors cette corde pourrait sans doute sauver une vie.

« Prenez la corde, je crois que vous pourrez en faire un meilleur usage que moi. Je possède également des chandelles, je peux vous en céder une : c’est bien peu de chose, mais cela pourrait faire une différence dans un boyau particulièrement obscur, ou pour se pencher sur des détails. Par contre, je ne possède qu’un briquet. »

(((1184 mots)))

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C'est par la sagesse qu'on bâtit une maison, par l'intelligence qu'on l'affermit ;
par le savoir, on emplit ses greniers de tous les biens précieux et désirables.
Proverbes, 24, 3-4


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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Mar 8 Sep 2015 02:35 
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Pour Maâra, Jôs, Caabon, Astérie, Aliéron et Hawke

Suivant l'ordre de Hawke, Fenouil toucha la clanche de la porte de sa main libre et affirma:
"Je m'en vais rejoindre Fabiolo et les adorables petites" Mais rien ne se produisit. Il ferma les yeux et tenta de se concentrer, mais la porte refusait de s'ouvrir.


A la question de Maâra, le visage de Goublié s'éclaira :
" Nous étions quatre au tout début, il y avait Kim et Pierre, deux humains, Antoine, un elfe gris, puis Loïc, un gobelin.... Oh... je m'appelle Charlène ! "

La petite fit un sourire reconnaissant à Maâra, peu à peu sa mémoire revenait.

Je vous suis ! Répondit Charlène dit Géoubliée.

Quant à Martine, elle écoute religieusement les paroles de Caabon, craignant sans aucun doute, d'être mis à l'écart une fois de plus. Elle pousse donc un bruyant soupir de soulagement lorsque Caabon lui demande de l'accompagner. Elle apprécie la compagnie de cette homme qui sait lui faire confiance.

Martin acquiesce à la requête de Caabon, et s'en va rejoindre Jôs, ils reviennent quelques minutes plus tard, le colosse portant la bête dans ses bras. Celle-ci, cherche à se débattre et l'homme doit la serrer plus fort dans les bras, permettant à Maâra de récupérer la corde. Fenouil tressaillit, mais ne fait aucune remarque. Martin touche l'épaule de Fenouil et les vêtements de Jôs de sa main libre. Martine prend la main de son protecteur puis du pied touche celui de Martin. La chaîne ainsi formée, Fenouil réussit cette fois à ouvrir la porte et ils y entrent tous pour se retrouver là !

Dans la pièce souterraine, il ne reste plus que Maâra, Aliéron, Hawke et Charlène.

Pour Maâra, Aliéron et Hawke

Suivant les directives de Maâra, Aliéron, Hawke et Géoubliée (Charlène) pénètrent dans le tunnel creusée depuis peu, la petite fille demeurant à proximité de Maâra. Au bout de d'une quinzaine de mètres, le couloir se rétrécit, et le plafond est plus bas, à peine 1 m 75.

Et puis les parois du sol, du plafond et des murs se mettent à trembler. Est-il plus prudent de demeurer immobile, de rebrousser chemin ou d'aller plus en avant (environ une trentaine de mètres où le couloir semble s'élargir.

(((Ici, vous avez le choix de 2 façons de faire. Soit que vous m'indiquiez par mp votre décision, votre choix immédiatement avant de rp, et je vous rajoute immédiatement un bout de maj... ou que vous rp votre décision.. dans ce cas, je rajouterai le plus tôt possible le bout de maj qui vous manque )))



Caabon: XP: 2 (post) 0,5 (mot) 0,5 (prise en charge des enfants)
Maâra: XP:1,5 (post) 0,5(délai respecté) 0,5 (mot) 0,5 (info et explo)
Jôs: XP: -- (post)
Astérie: --(post)
Aliéron: --(post)
Hawke: 0,5 (post) 0,5 (48 heures) 0,5(délai respecté) 0,5 (mot) 0,5 (ordre et explo)

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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Jeu 10 Sep 2015 00:18 
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Le visage de la jeune sindel s'est littéralement éclairé pendant qu'elle parlait au reste du groupe. Ses yeux lui répondent avant sa voix : elle se souvient de quelque chose d'important pour elle.
Et pour comble, il s'agit de son prénom. La petite se nomme Charlène et elle se souvient de deux humains et d'un autre Sindel l'accompagnant, respectivement nommés Kim, Pierre et Antoine ; et comme pour le groupe d'enfant dont ils sont en charge, un gobelin du nom de Loïc est venu agrandir le groupe.
Reste en suspens la question de l'homme triste l'ayant assommée ; au premier abord, une peau grise lui fait penser à sa race mais Caabon a fait référence à un groupe de Shaakts présents dans d'autres souterrains. A nouveau, elle hésite une seconde à demander des précisions sur l'homme. D'une part, la petite semble réellement soulagée malgré leur situation et elle ne souhaite pas la brusquer en la faisant replonger aussi vite dans des souvenirs plus sordide ; et d'autre part Caabon, resté silencieux et attentif jusque là, se lève et intervient.


Jôs n'étant pas d'une grande aide lorsqu'il s'agit d'analyse ou de délibération, son absence n'était pas gênante mais Maâra a appris à prendre en compte l'avis du Wotongoh et, savait qu'en cas de désaccord, comme il y a pu en avoir entre eux, il faudrait discuter de compromis.
L'humain résume promptement, et se propose d'accompagner le groupe qui ramène le Silnogure à la salle. Ne connaissant pas les aptitudes de chacun, Maâra approuve grandement sa décision car, l'ayant vu à l'œuvre, elle ne doute pas que les moyens dont il fait allusion ne seront pas dérisoires.

Tout s'accélère ensuite très rapidement. Fenouil, déjà au garde à vous, se dirige vers la porte et attend les autres.
Martine accepte plus que volontiers la demande de Caabon de l'accompagner là bas et Martin rejoint Jôs et l'aide avec le Silnogure.
Le wotongoh lui dit alors qu'elle peut prendre la corde, qu'elle en ferait un meilleur usage. Un meilleur, elle n'en sait trop rien mais, dans la masse de ses espoirs présents, parvenir à attraper l'une de ces créatures torturées sans la blesser prend une grande place, plus que de parvenir à retrouver les assassins de sa sœur. Il lui propose aussi l'une des chandelles, qu'elle accepte même en l'absence d'un briquet, ne sachant pas si le semi-elfe peut se déplacer facilement quand il fait plus sombre.

- Je vous remercie Caabon. Répond-t-elle après avoir réussi à retirer délicatement la corde du coup du Silnogure, pendant que le colosse le serre contre lui. Gardez le briquet bien sûr, nous trouverons un autre moyen.

L'instant d'après, Martine prend la main du Wotongoh et termine ainsi la chaine formée par Fenouil, Jôs, Astérie et Martin.
La lumière les enveloppe comme dans la bibliothèque et ils disparaissent, laissant les quatre Sindeldi dans le pièce soudainement plus sombre.

Maâra enroule la corde et la range dans son sac avec la chandelle puis fait signe à son compagnon de sortir de l'ombre.

- Voici Stor Varg, présent-elle brièvement de son timbre monocorde, sans précisions quant à son aspect somme toute terrifiant, il passera devant et Charlène et moi le suivrons.


Elle ouvre la dernière porte encore fermée de la pièce et s'engouffre dans l'escalier descendant sans attendre de réponse. Ils marchent plusieurs minutes, dans un tunnel plutôt bas obligeant les plus grands à marcher plus lentement, avant que le tunnel ne se sépare en deux autres galeries.
Le compagnon mort-vivant de Maâra tourne vers celle de gauche sans même un mot de cette dernière. Le tunnel est, comme l'avait dit Maâra, étroit mais haut … mais elle n'était pas allé bien loin dans ce dernier et quelques mètres plus loin, une quinzaine tout au plus, l'espace se rétrécit grandement. L'elfe grise grimace et marmonne son mécontentement mais, déterminée et distinguant à une trentaine de mètres plus loin l'élargissement du couloir, elle se penche et s'apprête à avancer quand les parois se mettent à trembler.

Par pur réflexe, elle cherche la trace d'une boule blanche, craignant que l'immense créature à la gueule béante en soit responsable. Mais ce n'est pas que le sol qui tremble, soulevé par la masse du monstre, ce sont bien toutes les parois, du sol au plafond qui se mettent à vrombir autour d'eux.

- Demi-tour, s'exclame-t-elle angoissée en attrapant la main de Charlène. Si c'est la créature qu'on a croisée en venant il ne faut pas rester coincés ici.


((744 mots))

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Dernière édition par Maâra le Mer 16 Sep 2015 00:59, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Dim 13 Sep 2015 21:00 
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Maâra m'indique qu'un des tunnels qu'elle a exploré l'a particulièrement intéressée. D'après elle il est très récent, et il y aurait donc des êtres vivants dans le coin. Vu la tête du coin en question, cela m'étonnerait qu'ils soient gentils envers nous.
Elle nous présente alors ce qui semble être un de ses proches. Une sorte de chien spectral et mort-vivant. Stor Varg. Drôle de nom, mais après tout, cela est aussi drôle que son aspect. Je ne me pose pas plus de question, après tout, c'est un atout comme un autre. J'ai mes armes, elle a sa magie.

Je m'engouffre dans le tunnel. Je marche à la suite de la petite Sindel et de Maâra. Son charmant compagnon est à la tête de notre petite colonne.

Nous marchons à la file indienne pendant quelque temps, quelques mètres. J'ai dégainé mes deux dagues, au cas où... Le couloir se rétrécit peu à peu, et s'abaisse. Je ne suis pas vraiment à mon aise, vu ma grande taille. Obligé d'avancer à moitié plié, ce n'est pas vraiment l'optimal en cas de danger.

Ce dernier ne tarde pas à surgir. Ou plutôt à se manifester. En effet, les murs et le plafond se mettent à trembler..
En un instant, je fais l’état de la situation. Vaut-il mieux rester immobile, continuer un peu plus, ou faire demi-tour ? Je ne sais pas, car je ne me suis jamais trouvé dans cette situation, plutôt gênante.
La nécromancienne est plus rapide et moins rassurée que moi. Elle nous ordonne de faire demi-tour, stressée. Elle a le réflexe d'attraper la main de la petite Sindel, qui pourrait faire n'importe quoi avec la panique. Sait-on jamais, avec ces gosses...

Je m'exécute donc et me contente de faire demi-tour le plus vite possible, sans me soucier de ce qui se passe derrière moi. Je préfère m'assurer que nous ne rencontrerons rien en revenant là où nous étions tout à l'heure.

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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Mer 16 Sep 2015 03:35 
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Pour Maâra, Aliéron et Hawke

La décision de rebrousser chemin s'avère probablement la bonne puisque quelques éboulements épars font suite aux tremblements.


La petite en larmes n'est plus capable d'avancer, figée de peur. De la poussière de sables tombent sur la tête de tous les aventuriers, la respiration s'avère difficile et la vision gênée par les particules en suspension.

" J'ai trop peur " Crie-t-elle tout en pleurant.

Malgré le grondement sourd accompagnant le tremblement de terre, il es possible d'entendre de l'eau qui coule tel un ruisseau derrière vous, ainsi que des gémissements, autres que ceux de Charlène Géoublié, devant vous.



Maâra: XP:1 (post) 0,5 (48 heures) 0,5(délai respecté)
Aliéron: 1,5(post) 0,5(délai respecté)
Hawke: 0,5 (pos) 0,5(délai respecté)


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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Dim 20 Sep 2015 11:51 
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Aliéron se trouve devant moi et fait-lui aussi demi-tour. Au moins, tout le monde va dans le même sens. Et heureusement.. Je jette un regard en arrière et arrive à apercevoir les débuts de quelques éboulements. Le sol au-dessus de nous est fait de sable et de roche, pas très solide comme mélange. Du sable s'écoule du plafond pour venir nous aveugler et nous stresser davantage. Si nous restons ici, c'est la mort assurée.
La respiration se fait difficile, et nos capacités de combat sont largement réduites.
Mon compagnon Sindel, à moitié certes mais c'est déjà ça, se penche sur son sac et l'ouvre. Imbibant une chemise blanche d'eau, et la déchirant en lambeau, il nous distribue à tous un morceau. Il s'affaire ensuite à en fixer sur le nez et la bouche de la petite Sindel, trop petite pour s'en occuper elle-même.
L'idée est brillante, et je reçois le tissu en esquissant un très léger sourire. Me le fixant sur le visage, j'hoche la tête avant de continuer à avancer, du mieux que je peux.

La petite Sindel craque psychologiquement et crie en larmes qu'elle a peur. Cela se voit, elle est comme paralysée. Je la laisse au soin de Maâra. Aliéron tente de la réconforter, malgré le danger de la situation.

Jamais je n'aurais cru affronter un tremblement de terre. Un monstre ou une quelconque créature, oui. Mais pas un événement de cette nature. Je ne sais pas quel comportement adopter dans une telle situation.
J'arrive à décerner un étrange bruit, qui n'a normalement rien à faire dans un tel environnement. De l'eau. Une fuite d'eau. Une énorme fuite d'eau. Et d'étranges gémissements, droit devant nous. J'avais déjà dégainé mes deux armes, au cas où. Peut-être vas-t-il falloir s'en servir.

Aliéron passe avant moi, et je le suis comme je peux. J'attache ma tuque, cela peut très bien être une quelconque créature ou un ennemi. Je m'imagine mal combattre dans cet environnement de poussière et de sable, mais je n'aurai sûrement pas le choix.

(335 mots)

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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Dim 20 Sep 2015 22:14 
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Les deux nouveaux compagnons de route de Maâra agissent rapidement, sans palabrer sur ce qui leur arrive ou poser des questions sur ce dont elle fait allusion. Ils font demi-tour et rebroussent chemin vers le croisement des trois tunnels.
Ils n'arrivent cependant pas jusque là. Les tremblements des parois s'intensifient et perturbent leur avancée.
Maâra doit se faire une raison, il ne s'agit pas du monstre violacé aux pointes et dents acérées … et une part d'elle l'aurait préféré à la réalité car face à une telle créature, ils n'auraient pas été complètement démunis.
A quelques pas derrière eux, là où ils se trouvaient quelques secondes avant, chutent plusieurs pierres et un nuage de poussière et de débris s'abat rapidement sur eux, les obligeant à s'arrêter et à se protéger.
Le tremblement de terre ne dure pas longtemps mais laisse l'elfe grise complètement démunie et impuissante. Charlène aussi ne peut supporter la situation et se met à pleurer. Figée par la terreur elle s'arrête nette, incapable de faire un autre pas.
Le guerrier Hafiz se retourne aussitôt au dessus d'elle et la protège de son corps, la rassurant du mieux qu'il peut en lui disant que les tremblements de terre ne durent jamais très longtemps et ne la force pas à avancer plus loin.
"Pourvu qu'il dise vrai" se dit Maâra à part elle avant de se recroqueviller au sol, les yeux aussi fermement clos que la bouche, un bras vainement mis contre son nez. L'air, saturé de poussière, lui brûle la gorge et l'empêche de voir si les roches au dessus d'eux tiennent bon.

Lorsque les tremblements cessent, les têtes commencent à se redresser. Aussitôt après, aliéron libère la petite de son protection et sort de son sac une chemise qu'il déchire en plusieurs morceaux. Il imbibe d'eau les morceaux, en distribue un à chacun et prend le temps d'attacher celui de Charlène lui-même avant de s'occuper de lui. Maâra suit son exemple et l'attache tant bien que mal à l'arrière de sa tête afin d'avoir elle aussi le nez et la bouche protégés des particules de poussière et du sable qui encombre encore l'air autour d'eux, les empêchant de distinguer ce qui se passe dans le reste du tunnel.

Cependant, un bruit n'échappe pas à l'attention des trois originaires du Naora. Malgré le grondement accompagnant la fin du tremblement de terre, un gémissement se fait entendre au loin, là où ils se trouvaient, et chacun d'eux se redressent vers l'espèce de sanglot, baigné dans un autre son ressemblant à de l'eau qui coule. Un bruit d'eau que Maâra ne se rappelle pas avoir entendu avant et qui lui fait pensé à un ruisseau ou le débit d'une fontaine naturelle en montagne.
Alors que les deux mâles s'avancent déjà vers la source du bruit, elle prend la main de Charlène encore sous le choc et lui essuie le visage, comme elle l'avait vu faire par des centaines de personnes, réconfortant l'un des siens. Elle reste un seconde silencieuse, cherchant les mots à lui dire, cherchant à les prononcer sur un ton qui ne lui est pourtant pas naturel, consciente que cet effort n'est que broutille à côté de ceux d'une enfant au milieu de cette aventure trompeuse, aux yeux de la Sindel.

- Ne perd pas ton courage Charlène. Tu es revenue de loin et maintenant, nous sommes là … pour t'aider à accomplir ta mission. Tu te souviens de ce que tu m'as dis ? … c'est votre mission, à vous, les enfants et à vous seuls. Je suis sûre que la Dame grise est fière de toi, et tu vas lui prouver que des enfants sont capables de miracles.

D'un geste de la tête, elle montre les deux autres, marchant en direction du bruit.

- On va rester derrière eux, ni trop prêt ni trop loin, juste assez pour voir qui se trouve là bas et si on ne craint rien. Je serais devant et Stor Varg derrière toi. Elle fait une pause, essayant de chercher dans le regard de la petite la trace d'une volonté retrouvée, avant de rajouter quelque chose, à demi-mot. J'aimerais que tu fasses quelque chose pour moi aussi. Si Caabon a vu juste à propos du lien qui se créé entre vous et les Silnogures, je voudrais que tu te caches si on en croise un, que tu te caches de lui et de son regard.
C'est d'accord ?
On y va ?



((741 mots))

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 Sujet du message: Re: L'Oasis d'Alsimura
MessagePosté: Mar 22 Sep 2015 02:13 
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Pour Maâra, Aliéron et Hawke

La petite Charlène ne pleure plus, mais sa peur est toujours présente. Elle laisse docilement Aliéron lui attacher le bout de tissus sur son visage. Elle regarde le grand homme et timidement lui répond:

"Merci "

Puis elle laisse Maâra lui prendre la main et lui essuyer le visage. Silencieuse, elle écoute la paroles rassurantes de Maâra et se contente de hocher la tête. Puis à la dernière demande, elle répondit:

"Je ferai comme vous le dites, promis ! "


Le tremblement de terre avait cessé, les poussières flottaient encore dans l'air, mais le fichu sur le nez et la bouche protégeait les quatre aventuriers.

Après plusieurs minutes, ils revinrent à l'embranchement des trois tunnels, dans un espace moins restreint pour les adultes. Le son de l'eau derrière eux fut à présent inaudible (puisqu'ils s'en éloignaient), mais le gémissement lui se faisait plus intense et semblait provenir de la pièce où ils étaient tous un peu plus tôt !

Maâra: XP:1 (post) 0,5(délai respecté) 0,5 (soutient à l'enfant)
Aliéron: 0,5(post) 0,5 (48 heures) 0,5(délai respecté) 1 (protection de l'enfant, linge imbibé) 0,5 (mot)
Hawke: 0,5 (post) 0,5(délai respecté) 0,5 (mot)

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