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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mar 24 Juil 2012 20:30 
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Loupsage avançais lentement dans la rue, en regardant les passants, jusqu’au moment ou il entendit un pas de course et des cris. Regardant derrière lui il ne vit rien, et se retournant pour poursuivre son chemin il eu la surprise de voire atterrir dans ses pieds, sortant d’une ruelle, un corps court mais costaud.

Inspectant rapidement le corps, pendant que son arc quitta son dos et vins se placer dans sa main, une flèche sur la corde, il se rendit compte que le crâne était pourvu d’une touffe rouge en crête, et les pieds entortiller pas des cordelettes se terminant par des poids.

Il se baissa rapidement et tenant son arc d’une main, il agrippa de l’autre une des haches qui ornait le dos de l’individu et sans réfléchir il la tira et se mit en devoir de couper les liens. Tournant le regard dans la direction d’où venait d’arriver ce corps, il vit à une bonne vingtaine de mètres des individus menaçant se rapprocher.
Les liens ne firent pas long feu, et Loupsage se redressant et posant la hache a coté de son propriètaire :


Allez petit debout, et vite, je crois que tu as des copains qui ne sont pas contents !

Il remit dans son carquois sa flèche, et avec une rapidité qui démontrait son habitude à manier cette arme il en défit la corde et pris l’arc façon bâton à la main pour accueillir le premier des hommes qui arriverais dans peu de temps sur eux. Pendant cette action il avait contourner le corps avancer de quelques pas, et se mit en travers du chemin entre les poursuivants et la victime, afin que celle-ci ai le temps de se relever :

Stop, on n’attaque pas un …..Homme a terre !

A première vue cela ne dérangeais pas les poursuivants car ils ne firent pas mine de freiner, mais avancèrent toujours vers eux. Avec un soupir, Loupsage, leva les épaules en se disant :

Tant pis, Yuimen me pardonnera !

Puis il accueillis le premier des hommes en fauchant de son bâton improviser les jambes de celui-ci. Naturellement cela eut un effet très surprenant, car l’adversaire s’attendait sûrement à un coup vers le torse, mais pas vers les jambes. Il tomba en avant et en plein milieu du chemin des suivants, qui surpris à leur tour n’eurent pas le loisir de freiner assez rapidement et se retrouvèrent à perdre l’équilibre a leur tour, formant un beau méli-mélo de bras et de jambes sur le pavé du chemin.

Loupsage recula instinctivement, se positionnant à la hauteur du poursuivi.


Alors en forme, le …Nain ?

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mar 24 Juil 2012 21:41 
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Et en plus on essayait de le dévaliser ! Araksis allait envoyer un coup de boule rageur au passant quand il vu que celui-ci avait défait ses liens et posé sa hache à côté de lui très rapidement. Il allait maintenant se battre à coup d’… arc. Le rouquin se demanda qui était cet agréable (mais dépourvu de bon sens) allié. L’idée d’en profiter pour s’enfuir et de laisser son comparse dans les ennuis lui effleura l’esprit … mais il avait été insulté.

Bon peut être bien que …

D’un coup de baton son sauveur retint ses adversaires, il avait l’air capable, l’occasion de se venger était à porté. Il saisit vivement sa hache. On s’enquit de sa santé.

COMME SUR DES ROULETTES !!


Hurla t-il en fonçant vers ses adversaires. Ses foulés étaient courtes, lourdes et frénétiques, les piécettes dans sa barbe accompagnaient le mouvement d’un joyeux tintement.

Je vais m’les faire les enflures de fils de troll !

L’archer recula à sa rencontre, Araksis ne s’arrêta pas. Un des adversaires était toujours à terre, il le chargea en oubliant toute prudence. Il prit appuis lors de son dernier pas et bondit sur l’adversaire en tenant sa hachette à deux mains !

Contrairement à ce que l’on pouvait s’attendre il ne planta pas sa hache dans le crane de l’homme à terre mais lui atterri lourdement sur la tête en donnant un coup circulaire devant lui pour repousser les trois autres ennemis. L’adversaire avec le nez brisé était encore loin. Un opposant donna un coup de taille au niveau de son cou. Il le para in extremis et entama un duel de force. Araksis était costaud mais il ne tenait plus son arme qu’à une main contre un adversaire qui tenait son épée longue à deux. Les aciers grognaient de s’appuyer ainsi l’un sur l’autre, les hommes bavaient sous l’effort, les deux qui restaient encore libre s’approchaient pour porter secoure à leur amis qui luttait.

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mar 24 Juil 2012 22:54 
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Le Nain en voulait, il ne se demanda pas si il aurait le dessus, mais fonça tète baisser dans le tas, enfin plutôt sur le tas a terre, immobilisant du coup l’adversaire d’un coup sur le crâne, mais une lame vint a sa rencontre et ce fut un duel de force.
Les deux autres pensaient venir en aide a cette lame, mais Loupsage ne l’entendait pas ainsi, trois contre un cela faisait un peu trop, aussi bondit-il en avant, dépassant du coup en quelques grandes enjambées le nain et son adversaire, laissant celui-ci se débrouiller, allant lui-même a la rencontre des deux sbires restant.


Holà, pas si vite !

Eut-il la bonté de faire savoir à ses adversaires, avant de faire un grand moulinet avec son arc détendu, ce qui eu pour effet de freiner les deux gars, vu la distance que pouvait parcourir le bâton.
Tenant celui-ci de la main gauche, sa main droite alla s’emparer d’une flèche dans le carquois sur son dos, et voila qu’il était armée de deux armes, dont une assez piquantes pour faire de sérieux dégâts.
Un des deux trouva le moyen de vouloir l’embrocher de son épée, ce qui ne plut pas du tout a l’archer, qui plus est que sa force n’était pas exceptionnelle, et qu’un coup bien porter pourrait signifier la fin de la bagarre pour lui.
Réfléchissant a toute allure, Loupsage ne vit pas de moyen de terminer le combat sans prendre le risque de blesser sérieusement ses adversaires, ce qu’il eu préférer éviter, mais l’on ne peux pas toujours faire ce qui plait, hélas.
Du coup il évita la pointe de l’épée en portant son poids sur le pied gauche, et avança le bras droit, armer de la flèche vers l’adversaire visant la cuisse, afin de ne pas lui donner une blessure mortelle.
La pointe de la flèche se planta gentiment dans la chair, tirant a l’homme un cri de douleur, mais Loupsage n’en eu que faire, il tira un coup sec sur la flèche qui fit une seconde blessure en quittant la cuisse, et la jambe du gars se déroba sous lui.
Voyant l’autre arriver, Loupsage, fit un saut en arrière, afin de se faire de la place, un corps a terre, se trouva entre lui et le deuxième adversaire.

La capuche était partie en arrière pendant la bagarre, et son tatouage était a présent visible, mais cela ne le dérangeais nullement, et retroussant les lèvres, il grogna plus qu’il ne parla en laissant a celui qui lui faisait encore face :


T’en veux aussi ? Alors viens j’ai encore un carquois plein !

Tout en parlant il montra la flèche qui dégoulinait de sang, en tenant son bâton prêt a servir pour se défendre, la main en arrière afin de pouvoir frapper, dés que l’autre avancerai.

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mer 25 Juil 2012 18:22 
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Si Arak était en difficulté ce n'était pas le cas de son sauveur qui tenait deux adversaires en respect sans trop transpirer. Lui par contre soufflait comme un phoque sous l'effort que lui demandait de contenir son adversaire. Il finit par prendre avantage de sa courte taille. En voyant que l'autre s'appuyait fortement sur lui il se désaxa du point d'appui et passa dessous. Dans cette position inconfortable il fut obligé de lâcher son arme, au moment on sa poigne céda un éclair de victoire illumina le regard ennemi, pendant un court instant du moinq. Sans plus pouvoir s'appuyer, son corps parti en avant avec l'arme du nain qui en profita pour lui envoyer un violent coup de genou dans les valseuses et faire basculer son adversaire par dessus son épaule. Celui-ci fini sur le dos en gémissant de douleur, le rouquin aux techniques peu conventionnelles le termina en lui mettant un violent coup de pied dans la tête, celle ci balança violemment de droite à gauche, l'ennemi était K.O.

Le dernier lascar quand à lui venait d'arriver, son nez était en sang et l'os de celui-ci décrivait un angle impossible. Il hurla sur ses compagnons.

Mais butez les bon sang ! Bande d'incapable ! Vous êtes pas foutu de ...

Il était fou furieux et vociférait sans retenu, son visage était rouge de colère, les veines de son cou ressortaient, il postillonnait des gerbes de sang venu de ses narines et se tut d'un coup.

L'ouragan de parole laissa place à un gargouillis ridicule, il toussa projetant à nouveau des traits vermeilles à plusieurs pas de lui, ses yeux se ternirent, son regard se figeât vers le sol. Un dague planté dans son cou laissait couler sa vie le long de sa gorge... ses jambes fléchirent, il tomba face contre terre, cherchant vainement sa respiration au milieu de l'écume rougeoyante qui s'enfuyait en s'étoilant entre les dalles de la ruelle.

Cela stoppa net les deux autres adversaires qui partirent sans demander leur reste et sans s'attendre celui blessé à la jambes claudiquant derrière l'autre.

Visiblement fébrile le nain s'approcha de l'agonisant en tirant sa deuxième hachette et la lui planta dans le crane. Un craquement mat retentit dans la ruelle, le cadavre fut pris de soubresauts avant de s'immobiliser définitivement. Araksis entrepris de le fouiller les dents serrées après avoir récupéré son arme de jet et son autre hache.

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mer 25 Juil 2012 18:51 
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Trop occupe a surveiller l’adversaire Loupsage ne put pas prendre connaissance de l’état du nain et de son adversaire, restant sur ces gardes face a son ennemi.

Un autre qui arrivât en courant le nez en sang, hurlant en plus sur ces camarades, il n’était pas question de se retourner pour voire ce qui se passait dans son dos. Loupsage perçut un léger sifflement, et avant de pouvoir se demander ce que c’était le dernier larron se tût d’un coup. Loupsage risqua un regard rapide en sa direction, et se rendit compte de la raison de son calme, apercevant le manche d’un couteau de jet dépassant du cou, ce qui eut pour effet que le dernier adversaire fit un rapide demi-tour et pris la poudre d’escampette a toutes jambes, suivi du boiteux qui ne demanda pas son reste non plus.

Loupsage fut surpris de voir le nain le dépasser et d’un coup de hache achever l’agonisant, pour le fouiller ensuite.


**Ma foi voila qui met un terme a ses souffrances, mais étais-ce vraiment utile de le tuer, **

Posant son bâton contre son ventre, il sortit un bout de tissus et essuya la pointe de sa flèche, avant de la remettre dans son carquois :

**Au moins je n’ai pas perdu de flèche. **

Puis il se mit en devoir de remettre la corde a son arc, d’abord une boucle d’un coté, puis callant ce coté contre son pied, il s’efforça de plier le bâton afin de positionner l’autre boucle a l’autre bout du bâton. Ceci fait il leva l’arc devant son visage et le contempla un instant avant de le tendre au maximum sans y encocher de flèche, et lâchant la corde, afin de contrôler sa puissance. Content du résultat, il remit son arc sur son dos, et se tourna vers le nain.

Fallait-il vraiment le tuer ? As-tu fait des trouvailles ?

Pendant qu’il parlait il approcha du nain :

Au fait pourquoi ils t’en voulaient ?

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Dernière édition par Loupsage le Lun 20 Aoû 2012 21:00, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mer 25 Juil 2012 19:05 
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Non il ne fallait pas le tuer ! Il dit cela sur un ton un peu plus agressif qu'il le voulait mais visiblement il était fébrile, ses mouvements étaient secs et impulsifs. Il pris la bourse de l'homme et la passa à sa propre ceinture avant de se diriger vers les deux inconscients.

J'ai perdu mon sang froid ! Il m'ont juste emmerdé à la taverne, j'ai cassé le nez du grand et ses petits copains m'ont poursuivit.

Machinalement il prit les autres bourses et se releva.

Maintenant il est temps de s'éclipser. La garde va arriver avec tout ce boucan et si on veut éviter les ennuis il vaut mieux être loin lorsqu'ils seront là.


Sans attendre la réponse de l'encapuchonné le nain se dirigea d'un pas vif vers les portes de la ville. L'archer pouvait le suivre ou non, lui était bien décidé à décamper de cette ville.

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mer 25 Juil 2012 19:34 
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**Et bien cette cité n'est a première vue pas aussi calme que je le pensais, mais j'aimerai quand même en savoir un peu plus sur nain**

Il enregistra les geste du nain, et le fait que celui-ci trouva tout naturel de s'abroger les bourses des victimes, mais qu'a cela ne tienne, Loupsage était pas a cela près.

Passe donc devant!

Lança-t-il simplement, avant d'emboîter le pas au nain, mais pas avant de se servir sur le cadavre et de prendre rapidement les bottes de celui-ci. La vitesse du nain due a ses courtes jambes força Loupsage a freiner ses pas pour ne pas le dépasser, et tout en marchant il rajusta sa capuche afin de dissimuler son tatouage. Au bout de quelques pas:

Dis donc le nain, pourrais-je savoir a qui j'ai porter assistance?

Il ne se nomma pas en attendant la réponse du nain, puisque c'est lui qui avait porter secours au rouquin, il estimait qu'il était normal que ce soit celui-ci qui se présente en premier.

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Dim 29 Juil 2012 05:16 
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Me déplacent discretement dans la foule, j'arrive près de l'auberge de l'au-dela. Il étais m'intenant le temp de rechercher un soigneur discretement et rapidement. cela faisait déja 45 minute que cydia étais seul et blesser.

(je vais faire le détour de l'auberge et aller voir si certainne personne étais au courant des nouvelle)

je vérifie d'abord si je suis rechercher dans se coin, les avis ne sont pas trop nombreux alors je me sens a l'aise. Je passent donc directement a la phase recherche du soigneur. Je m'adressa a pres de 30 personne differente sans aucune reponse concluante. J'abandonne l'idée de trouver ici, deplus que les patrouille se font de plus en plus nombreuse a cette periode de la journée

(allons au port, je devrait trouver)

je me mis a courrir et traversa un pont pour me rendre l'autre coté et aller au port. sur le pont j'heurta un homme violament, se qui m'étourdit un instant. J'observa enuite l'homme toute en m'excusant. Un homme de bonne stature, d'une 60 ene d'anné. il avait des tendance elfique mais sont visage et ses yeux prouve qu'il est humain aussi.

(semi elfe...peut-etre qui connait un soigneur)

Après m'être assurer que tous va bien, je lui demanda, sans grande conviction, si il connaissait un soigneur dans le coin. Vue sa reaction, sa risque d'être positif comme réponse.

''monsieur, je serais incroyablement reconnaissant de savoir qui est ce soigneur. mon amie a une blessur importante et elle est seul en ce moment. Sauver la s'il vous plait...je trouverais de quoi payer''

j'attendis sa réponse avec impatience, comme un enfant attendans un cadeau.

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daraka / humain / voleur


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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Dim 29 Juil 2012 10:13 
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Shenish pris plaisir a contempler les barques et les navires marchands, aller et venir sur le fleuve, il était tout absorber par ce qui se passait sur l’eau, qu’il ne s’occupait plus trop de ce qui se passait sur la terre ferme.

**Yarthiss doit être une ville riche, vu tout ce trafic. Faut espérer qu’un guérisseur puisse y être utile.**

Il était ainsi plongé dans ses pensées, en observant un bateau de pêcheur qui venait d’entrer au port. Les marins avaient a peine accoster, que déjà cela grouillait sur le pont, et plusieurs matelots se mirent en devoir de décharger leur prise, sur la charrette d’un marchand, sûrement que le pêcheur avait un contrat avec ce marchand afin d’écouler toute sa pêche, car un gars se trouvait a coté de la charrette et inspectait scrupuleusement la marchandise avant d’autoriser de la poser sur le véhicule. Dés que le tout fut chargé, une bourse changea de propriétaire, et la charrette quitta les lieux.

Shenish fut bousculé par quelqu’un, et faillit tomber, il eut juste le temps de se tenir au parapet du pont. Tournant la tête il aperçut un jeune humain tout vêtu de noire, qui a première vue avait lui aussi accuser le coup, de sa rencontre impromptue.

A peine remis de sa surprise, l’humain s’enquit de l’état de Shenish, mais aussi posa une question, a laquelle il eut une réponse affirmative, en effet Shenish connaissait un guérisseur :


Pour le paiement, nous verrons cela plus tard, mène-moi à ton amie que je vois ce que je peux faire pour elle ! Ne perdant pas de temps.

Les présentations devrons attendre, car pour Shenish, les soins étaient plus urgent que de savoir a qui il avait a faire.

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Dim 2 Sep 2012 14:56 
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Localisation: Yarthiss
Voilà maintenant dix bonnes minutes que j'étais arrivée à Yarthiss ... Je ne savais pas vraiment où aller , à qui demander la réponse à ma question , qui elle trottait dans ma tête depuis bien des semaines ... Je m'enfonçais toujours un peu plus dans les ruelles animées de cette ville , quelques étalages jonchaient le bord des ruelles , des apothicaires , des marchands de cuir et même des personnes aux activités plutôt louches , à mon goût , vendaient leur marchandises à qui le voulait . Mais je ne suis pas ici pour faire du tourisme , je dois le trouver ! J'avançais d'une démarche qui se voulait assurée , la tête haute et le regard arrogant à souhait , faisant reculer les personnes qui souhaitaient m'aborder .

( Ce n'est pas comme ça que je vais le trouver ... )

A chaque pas que je faisais , ma patience diminuait un peu plus . Mais je savais garder mon sang-froid , il ne fallait pas que j'abandonne si vite ou que je me mette à faire une crise de nerfs ici .... Je continuais donc mon chemin , mon objectif en tête . Je passais devant une taverne , j'y jeta un coup d'oeil furtif , rien , il n'y était pas . Mais au fait ... Je ne savais même pas à quoi ressemblait l'homme que je recherchais ou plutôt le sage barbu et fripé ... Ma tête commençait à s'embrouiller , ma bouche à former une grimace et mes poings se serrant , plantant mes ongles dans la paume de mes mains . S'en était trop ! Qu'avait donc but cet homme à qui j'avais posé ma question lorsqu'il m'avait simplement répondu :

" Tu le trouveras lorsque ta question tu oublieras . "

( Oublier ma question ? Comment le pourrais-je ? )

Cela faisait maintenant une bonne heure que je tournais en rond comme un lion en cage. Soudain , je vis un garde je me dirigea vers lui , prudemment on ne sait jamais , et l'interpella :

-" Excusez-moi , je suis désolée de vous ennuyer ainsi , mais voyez-vous , je recherche un homme , de petite taille , barbu et assez marqué par le temps . Sauriez-vous me dire s'il est ici ?

- Hum ... Vous cherchez votre grand-père ? Se serai-il perdu parmis la foule ?

- Non , non , je recherche un sage qui apparemment aurait vécu ici ou fait escale ici même et aujourd'hui même .

- Un sage ? Il y en a beaucoup ici mademoiselle , tous se ressembles , je ne pourrais vous dire dequel sage il s'agit , vous m'en voyez navré ...

- Bien , merci tout de même ! "

Je repartis donc sur mes pas , ma recherche n'avait pas plus avancée ...

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Lun 10 Sep 2012 23:05 
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Localisation: Yarthiss sur le continent Imiftil
Le soleil était bien trop fort, bien trop lumineux. Tant et tant entêtant que Mereimm dut attendre la tombée de la nuit, impatient, pour sortir enfin de la cave dans laquelle il s'était ré enterré dés sa sortie de prison.

Mais il avait retrouvé bien avant l'odeur de Yarthiss , sa ville, il ne l'avait pas quittée mais les geôles, leurs pensionnaires et les tonnes de chiasse qu'ils produisaient par an avaient empêchées les effluves connues des pains du père Trouillot, des tourtes de la Bérangère, des épices du marché couvert, du poisson saure séchant sur les quais.... de venir chatouiller ses narines mais désormais, il pouvait sentir et bientôt il gouterait....

Deux ans de prison, précédés de deux autres années sans être passé voir sa mère , elle savait bien la vie qui était la sienne et connaissait bien plus de monde que lui en ville, elle devait avoir toujours su où il était et ce qu'il y faisait. Il devait quitter cette ville, il en était plus que sur mais partir sans lui dire au revoir semblait impossible... Elle m'aurait fait rechercher...mais quelle serait sa réaction...?

Mise à part quelques enseignes, les rue n'avaient bien évidement pas changées de son absence, mais la nostalgie faisant, Mereimm sinua dans ses souvenirs avant de rejoindre l’arrière cour du bordel "les bourses molles" . L'heure n'étant pas avancés, plusieurs des "amies" de sa mère profitaient des dernières minutes de tranquillité avant l'arrivée de clients, Mereimm s'approcha de l'une d'entre elle et la héla...

-" Myrthre, c'est Merreim tu pourrais appeler Yosda, il faut que je lui parle..."

-"Mereimm mon petit! par mon troisièmement téton!!!, elle va être folle de joie de te voir,... ne lui dit pas que je t'ai dit cela...." se retournant vers une autre fille bien plus jeune
" Cyguièle va dire à la patronne que son fils est dans la cour et dépêche toi...."
lui souriant de nouveau
" ce n'est pas très gentil d'avoir disparu si longtemps, elle risque de tenter de paraitre en colère mais elle va être très heureuse de te voir, même si elle tente de le cacher..."


Plusieurs anciennes se levèrent pour venir cajoler Mereimm mais sa réaction de rejets les arrêta rapidement, il avait grandi et il fallait qu'il le montre... la sortie de yosda dans la cour fit l'effet d'un caillou jeté dans une volée de pigeons, en quelques secondes ils étaient seul...Yosda attendit que tout le monde ait disparu puis s'approcha de son fils qu'elle prit doucement dans ses bras...elle n'avait pas changé spécialement de rondelette elle était passée à plantureuse mais son regard vif autoritaire et direct devait toujours être son arme commerciale, quelques mèches grises et l'emprunte du temps au coin de ses yeux remémorèrent à Mereimm les années d'absences et d’inattention du fils envers sa mère...c'est bienheureux qu'il se blotti dans ses bras affectueux...

-" Tu fouettes autant que dix filles qui se négligent,...SORIA, ELDORIA, MYRTILLE !!! PLONGEZ MOI CE PUANT AU BAIN ...." Trois jeunes filles accoururent dans les cinq secondes
" j'veux voir sa peau rouge d'avoir été frottées, vous le rasez de la tête aux pieds, il est couvert de merde et de bestioles et vous le videz jusqu’à que ces raisins soient flétris...celle qui le fini pourra prendre sa soirée....ALLEZ VOUS AVEZ VINGT MINUTES !!!!!"

Trois minutes pour les raisins et vingt de plus pour le bain et Mereimm sortit du grand bac propre et rasé comme on peut l’être entre six mains travailleuses....

Sa mère attendait toujours dans la cour, un repas avait été livré par un des serviteurs de la Bérengère et un pichet de cidre amer moussait encore quand il s'assit devant elle...

-" Voila, tu ressembles à quelquechose ...mange, on parlera après, tu as perdu au moins dix kilos, tu es famélique, dans une semaine ça ira mieux....et quoique tu décides ce sera pas avant une semaine, c'est comprit..?"

Le ton ne laissait pas de place à la discussion maintenant qu'il était de retour elle ne comptait pas le laisser partir avant d'avoir retrouvé son fils...

et c'est ce qu'il fit durant dix jours: manger, boire et raisins secs....

<<déplacement vers le-port-de-commerce-t194.html>>

_________________
(Ce qui est mien le restera, ce qui est votre, sous peu, disparaitra ,
ce que vous recherchez bientôt sera à moi ,
résistez et sur votre cadavre erreront mes doigts.)


mereimm-voleur-niv-1-t5121.html#p318519

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Jeu 13 Sep 2012 11:21 
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Localisation: Yarthiss (et ses ruelles)
(Cela fait dix ans que je suis arrivé à Yarthiss)
En effet Dayseen est arrivé il y a exactement dix ans. Ayant jusqu'à présent vécu en tant que voleur il n'a pas de toit et dors dans les égouts ou dans les arbres à coté de la ville...
(L'ancien Yarthiss qui est maintenant occupé par des voleurs est trop dangereux... cela fait quelque jours que je cherche un abri loin de cet endroit invivable et surtout ou me cacher car...)
Dayseen, à force de marcher se retrouve en face de l'auberge de l'Au-Delà.
(...je n'aurais pas du profiter que certain laisses leurs portes ouverte car vu la belle pierre bien brillante que j'ai "trouvé" la milice risque de se montrer et surtout... de me trouver !)
Dayseen réfléchit lorsque soudain certains des soi-disant passant se mirent à courir et à le suivre.
"Zut !"
(Je me doutait bien que je ne passerais pas inaperçu !)
Se mettant à courir, Dayseen parcoure les ruelles à une vitesse impressionnante.
Soudainement, il s’arrête et se retourne. Les passant regardent ses poursuivants arriver en face de lui et s’arrêter.
"Qu'ai-je fait pour me faire poursuivre ? Pourquoi les voleurs n'attaquent que les plus faibles ? Pourquoi n'attaquez-vous pas quelqu'un en face à face, quelqu'un de votre niveau !!"
Ces paroles attirèrent l'attention de la foule qui se mit à insulter les trois poursuivants, car ils était trois, de Dayseen.
(Je m'adore !!)
L'un des trois poursuivants qui était bel et bien un voleur se mit à crier pour se défendre tout en chargeant en direction de Dayseen.
"Et vous le croyez ?! Il est armé vous le prenez vraiment pour un inno..."
Il ne put finir sa phrase. Dayseen lui asséna un violent coup de pied dans les jambes et partit en courant.
(Bien fait ! Mais cela m'étonnes, ou plutôt m'inquiète, que seulement trois voleur comprennent ce qu'il s'est passé)
A ce moment précis, quelqu'un saute d'un toit sur Dayseen ! Dayssen l'évite de justesse et se remet à courir.
"Je suis vraiment dans une mauvaise situation !!"
Les autres voleurs se remirent à sa poursuite...

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Sam 15 Sep 2012 20:39 
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Inscription: Dim 3 Juil 2011 02:41
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En voyant sa réaction, je compris qu'il étais lui-même un soigneur. En le regardant un peu, je me demandais vraiment si s'étais un incompétent.

(Bon, ça va faire l'affaire, pas le temps de rechigner)

Ji fit signe de me suivre et me mis a courir à une vitesse plus lente. J'èspèrais ne pas avoir perdu trop de temp pour eviter une blessur permanente. En reflechissant, je m'imaginais la peur qu'elle doit subir seul en ce moment. Une discussion entre cet inconnu et moi éclata. J'appris donc son nom, son âge, sa race et quelque truc comme ça. La course parut plus longue puisque je courrais beaucoup moins vite. Ce qui m'a pris 40 minutes en courant très vite allais me prendre des heures selon moi. Pour une rare fois je commence à sentir la fatigue. De grâce on arrive enfin au point de repère. Il me demanda évidemment comment entrer.

''je vais passer par la fenêtre et te la ramener, reste ici.''

Je grimpe le mur et passe par la fenêtre, pour constater que la pièce est vide. La panique m'envahissait subitement et je me mis donc à fouiller dans toute la pièce, poussant et balançant des meuble pour me faire de la place. Cinq minutes s'écoula dans ma recherche alors que je crue que des heures viens de passer. Je finis par trouver un message assé bien écrit. J'avais donc affaire a un éduquer.

//nous avons la fille. Ramenez-nous cette dague et on la libèrera, autrement, les tortures seras desastreuse.//

J'enfouis ce message au fond de ma poche, saisit ma cape que j'avais laisser dans la salle et sortis du bâtiment en descendant le mur. Je remarque le soigneur qui m'attandais comme demander. Je le regarde d'un aire meurtrier.

''ils ont kidnappé mon amie, tu dois m'aider à la retrouver, sinon ils vont la torturer et la tuer.''

Malgré le fait qu'elle en sait trop, je ressent autre chose que de la simple protection. Pourquoi voulais-je la sauver autant, je n'en sait rien. Tous ce que je sais s'est que l'on doit la sauver au plus vite.

(s'il refuse, il verra qui je suis vraiment)

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Sam 15 Sep 2012 21:13 
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Inscription: Sam 7 Juil 2012 14:23
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Comme mon interlocuteur partis en courant je me mis à le suivre, mais du retenir mes pas, je me demandais bien pourquoi il n’allait pas plus vite, mais je le laissais faire, c’était son amie qu’on devait secourir après tout, et cela me laissa penser que la blessure ne devait pas être très grave.
Arrive le moment où il s’arrête et me fait patienter, pendant que lui disparait une bonne dizaine de minutes, je m’adosse a un mur pour l’attendre.


*Pourquoi donc doit-il entrer par la fenêtre ? Il ne doit pas être chez lui, vas falloir que je reste sur mes gardes.*

Le voilà enfin, et de but en blanc il m’annonce un enlèvement, et une obligation de l’aider, pour éviter des tortures a son amie.

"Doucement, d’abord j’aimerai plus de renseignements. »ILS », c’est qui ? Et pourquoi » ILS » l’ont enlevé ? Si tu veux mon aide vas falloir m’en dire un peu plus."

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Dim 16 Sep 2012 22:21 
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Inscription: Dim 3 Juil 2011 02:41
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Il me demande plus de renseignement. Il n'est pas stupide et sait qu'il se trame quelque chose et que je risque de l'embarquer la dedans. Mais s'est question me fit maintenant réfléchir sérieusement, qui la capturé...Les gardes ou ses criminels? Je réalise alors que je part de loin pour très peu de temps. Au lieu de lui répondre, je sort une dague de ma ceinture en m'approchant de lui. Malgré le fait qui m'a l'aire inoffensif, je préférais rester près. Je lui tend cette dague en disant


''prend ça et suis moi, le temps nous est compté, je t'expliquerais en chemin''


Je me mets à marcher et à lui expliquer ce qui s'est passer à l'auberge, les morts et les gardes me poursuivant


''Tu peux donc t'imaginer que stu risque de voir ma tête sur des affiches. les gardes me prenne pour responsable de cette acte et moi je sais qui en est réellement les responsable. Cette fille est innocente aussi, je l'ai secourut dans ma fuite.Elle s'est casser la jambe dans cette maison abandonné en traversant le plancher par accident. Je ne croyais pas que sa se renderais jusque la. Il vont essayer de la faire parler et la tuer finalement quand ils verront qu'elle ne sais rien. Si tu ne m'aides pas pour la sauver, fait le au moins pour les arrêter et les livrer au gardes''


Évidemment je préfère me taire à propos de mon ancien clan, de cette dague que je possède et de mes réel intention envers ces terroristes. Puisqu'il me suivais, je savais qui avais des chances qui accepte, mais oseras t'il vraiment entrer la dedans. Pour le convaincre, je finit ce discours en lui expliquant ma formation en art martiaux incroyable. J'attendit sa reponse pendant que l'on allais sur les routes vers notre quete d'indice, la ou je surveille le moindre signe.

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