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 Sujet du message: Coffre Nocturne Partie 2
MessagePosté: Mar 8 Fév 2011 21:46 
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Après s'être enfuit en catimini de l'Auberge, le groupe de mercenaire était maintenant seul, face à la rue, et aux gardes locales à leur recherche.




"Faisons-nous le plus discret possible ..... Nous devons absolument atteindre la bibliothèque sain et sauf ... je ne voudrai avoir le feu au pion durant ce qu'on cherchera une fois arriver."

Ils se mirent en route, au travers des sombres et froides ruelles. Étant habillés en civil, cela diminuer fortement le risque de se faire pincer par la garde, mais on est jamais trop prudent.

"Parfait. Écoutez-moi maintenant, cette mission est capitale ! Vous vous rappelez tous de ce que l'on veut ?"
"Oui."

Ils se dispersèrent dans les plus profondes veines des rues environnantes, afin de mettre toutes les chances de succès de leur coté.
Wood choisi de rester seul, son petit groupe s'était divisé par équipes de 2.
Des souvenirs, lointains remontèrent dans la tête de Jack, car après tout c'est la ville où il a grandit et vécu la plus grande partie de sa vie.

Mais le simple fait de repenser à son exil, lui fit replonger dans le sérieux de l'enjeu.
Après de nombreuses longues minutes, Jack failli de justesse tomber nez-à-nez avec une poignée de soldat, simple, mais bien armé.
Il se dissimula dans l'ombre crée par une étroite rue parallèle.



(Toujours des bâtons dans les roues ....)

La garde passa tranquillement et il pu sortir de sa cachette de fortune.
Étrangement, c'était trop calme ... Même pas un chat trainait dehors.
Il finit par arriver au pied de l'escalier de la bibliothèque, il leva la tête pour regarder l'immensité de la chose.


Ça avait bien changé depuis son départ, mais il espérait surtout que ce ne soit que l'extérieur qui est changé .......
Le problème fut la porte, car aussi grande qu'elle est, celle-ci était fermée.
Il est aucunement question de la détruire, ou de faire des dégâts, simple question de bruit.


(Bon sang, la bibliothèque s'y met aussi .....)

Jack s'écarta légèrement de la porte et releva sa tête vers le haut du bâtiment.
Une idée lui traversa l'esprit, mais fut vite oubliée, par faute de moyens.



(Que cela ne tienne, il y a forcement un moyen d'y pénétrer autre que part le portail principal.)


Il se souvenu que de vieux passages menant dans un vestibule abandonné.
Avant de commencer à trouver l'entrée du passage, deux de ses camarades le rejoignit avec un air à la fois essoufflé et aussi ... Affligé.


"Où sont les autres ?"

"......"
"Où ?!"
Ils se sont fait attraper par les soldats en patrouilles. Devant l'entrée des égouts, ils pensaient que ce serai un bon moyen de s'infiltrer dans la bibliothèque sans se faire remarquer mais ....."
"Bande d'incapable ....."
"Ils n'ont pas eu le temps de réagir, qu'ils se sont fait ouvert de 5 flèches chacun."

Jack souffla un coup, ses acolytes croyant qu'il est désolé pour leur mort, ils furent un peu surpris.

"Tourmente à leur âme corrompu .... Comme la votre."
"On continue."

Ils procédèrent dans les conduits qui les mènera droit dans cette vieille pièce désaffectée.




(((J'ai essayé de la faire infiltration, mais je pense que c'est assez basique. Mais je préfère ça qu'au risque d'essayé de faire trop compliqué et de raté :D )))

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Dernière édition par Jack Wood le Jeu 10 Fév 2011 14:25, édité 3 fois.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Mar 8 Fév 2011 23:13 
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Depuis que l'auberge du Pied-Levé avait disparut dans le dédale de rues, le soleil continuait son éternelle course dans le ciel, plongeant lentement vers l'horizon tandis que les heures s'égrenaient. Les ombres étiraient leurs formes torturés dans les ruelles étroites, jouant avec l'imagination des passants, qui se hâtaient de chercher un refuge où la lumière d'une flamme chasseraient ces formes malsaines.
Notre héros vagabond allait à contre-sens de ces hommes et femmes, les croisant dans les ruelles et observant le regard craintif qu'ils lui lançaient, celui des gens qui ont vite envie de partir sans embrouille. Surtout quand la personne qu'on croise est armé jusqu'aux dents. Ainsi avançait Ssar, flânant auprès des boutiques et découvrant la ville.

(N'y a t'il point de meilleur endroit pour vider son esprit des bêtises qu'il engendre qu'une promenade sans but?)
Cette question rhétorique silencieuse fit s'esquisser un sourire sur le visage barbu de l'homme. Tout à sa paix intérieure et à ses pensées sereine, il ne vit qu'au dernier instant le jeune homme qui le percuta. Ssar faillit tomber à la renverse, et rétablit son équilibre avant, avant de lancer un regard à la source de sa collision.
Dans les 15 ans, brun, un début de barbe, le regard craintif à son encombre, le jeune homme était vêtu avec des habits au patchwork multicolore, mille fois rapiécé.

"Tu vas bien?"
Le jeune garçon se contenta de murmurer un "pardon" en rasant littéralement les murs pour s'éloigner d'un pas vif derrière Ssar.
(Plus de peur que de mal pour lui, dirait-on...)
Ssar se remit en marche, et retrouva rapidement sa sérénité. Sa marche dériva dans les rues tandis que son esprit dériva dans ses souveniris.
(ça me rappelle une vieille histoire que m'avait raconté mon Maître... Un jour qu'il se promenait en ville, il avait été percuté par un homme lui aussi. Il m'avait dit quelque chose par rapport à ça, mais je me souviens pl...)
Le souvenir revient soudain, fracassant la porte de la sérénité et instaurant un règne d'incrédulité et de surprise rageuse dans son esprit.
"Ma bourse!"
Portant ses mains à sa ceinture, il ne sentit pas sous ses doigts le tissu aux formes changeantes trahissant son contenu métallique.
"Par tout les dieux, il s'est bien payé ma tête. Allons donc le faire danser pour me faire rembourser..."
Le ton glacial que Ssar avait employé était tout aussi terrifiant que la plus folle des rages.
Remontant sur le lieu de la rencontre, Ssar commença ses recherches. Les pauvres passants subirent malgré eux un interrogatoire poussée sur les personnes qu'ils avaient croisés, et c'est quand la nuit tombant et après bien des personnes traumatisés par un regard noir de colère sourde que Ssar arriva devant une maison abandonnée, véritable lèpre de la ville. Poussant le battant pourris et sortant son épée, Ssar s'enfonça dans la bâtisse, s'accroupissant dans un désir de discrétion.
La pièce semblait être une ancienne salle de taverne : un comptoir au bois désagrégé supportait difficilement quelques bouteilles encore debout, tandis que de nombreuses tables et chaises étaient boiteuses, voire cassés. Ce qui attira l'attention de Ssar, ce fut le bois du sol : pourris par les ans, il craquait horriblement sous les pas. Difficile d'être discret, mais aussi de dissimuler les va-et-vient d'éventuels occupants: le sol s'enfonçait de façons permanente là où devait passer fréquemment des gens. Et une trace de ce genre relié la porte d'entrée et la trappe du cellier, qui était grande ouverte.
Ssar sourit de toutes ses dents, une lueur amusé dans le regard.

(voyons jusqu'où je peux aller...)
S'emmitouflant dans sa cape aux reflets changeant, il avança précautionneusement, en rasant les murs.
Un pas. Et l'odeur de bois moisie fut plus prenante.
Deux pas. Et le bois gémit sous son poids, faiblement.
Trois pas. Et Ssar souleva de la poussière.
Quatre pas. Mais alors que Ssar avait pratiquement fait la moitié du chemin, des voix lui parvinrent du cellier, qui venaient vers lui. Ssar se jeta sous une table dans un coin, ajustant sa cape une nouvelle fois et guettant l'arrivée des habitants.
Deux jeunes enfants sortirent du cellier. Une petit garçons et une petite fille. Une dizaine d'années chacun.
Ils bavardaient à voix basses en gagnant la porte d'entrée.

"Tu as vu tout cet or? Gilbert a vraiment été splendide sur ce coup-là!", s'exclamait la jeune fille, visiblement enthousiaste.
"Bah, il a juste eu de la chance. Pas de quoi en faire un plat."[i], répliqua le garçons, visiblement en rogne.

Ssar les voyaient se rapprocher de lui, et eut une idée...
"Dis moi, tu serais pas jaloux?"
"Jaloux moi? De Gilbert? Jamais!"
Le rire cristallin de la jeune fille fissura le coeur de Ssar. A la vue de leur habits, du même genre que ceux de ce gilbert qui était visiblement son voleur, il ne faisait aucun doute sur la nature de ces enfants: des enfants de la rue. C'est toujours un triste spectacle que de voir les enfants ainsi livrés à eux-même.
Mais il avait besoin de cet argent.
Alors que le garçon passait de la table où Ssar se cachait, ne se doutant pas de sa présence, ce dernier bondit soudainement et fit trébucher le garçon, qui n'eut même pas le temps de crier avant de tomber au sol et d'y perdre son souffle. Ssar apposa la lame froide de son arme d'acier sur le cou de sa victime, la faisant se raidir de peur.

"Si l'un de vous fait le moindre bruit, vous pourrez continuer à rire... Mais dans l'au-delà."
Message visiblement compris. La jeune fille se couvrait la bouche des mains, paralysé de peur.
"Ce gilbert, où puis-je le trouver?"
"Vous...Vous êtes celui qu'il a volé?"
"Pas de question petite. Va le chercher. Avec mon or. Je garde le petit en otage ici."
La petite partit en courant, redescendant au cellier sans demander son reste. Ssar soupira. Il commença à regretter cette idée stupide d'otage. C'est une astuce de malfrat ça...
La petite fille remonta et se cacha derrière le comptoir, tandis que le fameux Gilbert, mon voleur, approchait de moi, ma bourse en main, tâchant de garder l'air fier malgré sa peur évidente.

"Voilà votre or. Relâchez mon ami."
"Tu n'es pas du genre à abandonner tes amis. C'est bien."
Une idée pour racheter son comportement pendable germa dans l'esprit de Ssar.
"Verse le contenu de la bourse sur le sol. Je veux vérifier que ce sont bien mes pièces."
A contrecoeur, Gilbert obéit, délivra une pluie de piécette sur le sol, qu'il mit en petit tas.
"Voilà, vous êtes content?"
"Très. Et maintenant, fait deux tas avec les pièces. Moitié moitié.
La demande choqua vraiment Gilbert, mais devant la vue de son ami en larme, se mordant les lèvres pour ne pas pleurer, une lame tranchant le long du cou, il entreprit de séparer le tas sans trop poser de question.
"Bien. Met un des tas dans ma bourse et fait la glisser jusque moi."
Le bruit des pièces retentit dans le sac, puis Gilbert le jeta à ses pieds. De sa main libre, Ssar se saisit de sa bourse et se releva, relevant l'épée de Damoclès qui pendait sur le cou de l'enfant. Celui-ci partit vite rejoindre ses amis, laissant éclater ses pleurs.
Ssar faisait déjà mine de repartir vers la porte, quand la voix de Gilbert l'interpella:

"Mais... Et ces pièces là?"
"Gardez-les, je vous les donne. Offrez vous un bon repas, un vrai lit et de vrais habits. Et trouvez vous une famille. La rue n'apporte rien que la souffrance aux enfants."
Quittant la cabane et remontant le chemin jusqu'à la taverne, Ssar se sentait encore mieux que pendant l'après-midi, et se laissa même aller à chantonner un petit air.

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Ssar, Varrockien, rôdeur flâneur et chasseur de trésor

Ssar : #404080


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 Sujet du message: Coffre Nocturne partie 5
MessagePosté: Jeu 10 Fév 2011 14:22 
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Ils coururent dans les ruelles, tout droit en direction des portes de la ville. Maintenant, avec l'histoire de la bibliothèque, toute la garde de la ville est à leur recherche. Ils se sont fait repérer, mais ils ne s'arrête pas pur autant, toujours en essayant de couper par des raccourcis, ou en se dispersant.

Mais cette dernière ruse ne marche pas.


"Ils vont finir par nous avoir !"
"Non ! Nous sommes bientôt hors de la ville ! On ne lâche pas maintenant !"
"Ils sont plusieurs dizaines et nous que trois !"
"...... On doit aller plus vite qu'eux ....."

C'est là qu'un idée traversa l'esprit de Interitus.

"Il nous faut des montures .... En part en direction de l'écurie, j'ai une idée."

C'est sur, le chemin est très dangereux, des rues remplies de gardes de sécurité, il fait nuit, juste des torches pour éclairer la ville .....
Le groupe arrivé au niveau de l'arrière de l'endroit voulu, ils s'arrêtèrent et commencèrent à entrer dans le bâtiment ..... Sauf que un des trois, Kosr (Le troisième) se reçu une flèche d'arbalète en pleine poitrine.

Igor, ne voulant pas le laisser là ;

"Il faut faire quelque chose pour lui !"
"Cela ne servira à rien, il est mort, tampis."
"Mais !"
"Pas de temps à perdre !"


Ils pressèrent le pas vers le cœur de la structure, là où les chevaux sont gardés.
Heureusement, Jack et Igor savent comment les chevaucher, et ne tardèrent pas.
Mais Wood semblait vouloir aussi autre chose ;


"Attends, si nous on a pu, les gardes vont certainement aussi s'en servir pour nous rattraper."
"On fais comment ?"


Il scruta tout autour de lui, en entendant les soldats arriver, puis fixa la torche servant de source de lumière de l'écurie.


"Voila notre bon de garantie !"

Il saisit la torche puis prit une belote de foin et l'enroula autour d'un bâton de bois.


"Vous n'y pensez pas sir ?!
"..... J'admire les grands spectacles ....."


Jack remonta sur le cheval, puis attendit que les gardes arrivent pour jeter la torche des les bottes de foin environnantes.


"On se revoit tout en bas, chiens galeux !"


L'incendie provoqué, les deux sortirent aussi tôt de l'écurie, à dos de cheval, laissant les quelques soldats prit dans les flammes ardentes de l'incendie.
La véritable raison de cette action de la part de Jack, c'est simplement que leur "Chasseurs" seront bien plus préoccupés à éteindre l'incendie que de rattraper deux pauvres fugitifs.

Ils ouvrirent les portes de la ville, et s'enfuirent de cette ville dans l'ombre de la nuit pour les couvrir.





((( Y'a des passages un peu "irréels", mais bon ...... Pour les montures, ils vont les perdres, pour pas qu'il y a d'histoire. :) )))

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Ven 25 Fév 2011 17:16 
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Igor et Jack galopent tous deux aussi vite que possible dans les rues de Tulorim essayant de distancer leurs poursuivants et comme il le pensait, ces derniers sont maintenant bien plus occupés à essayer de maitriser l'incendie. Mais un obstacle apparait sur leur chemin. Une grande silhouette, une homme, immense, le corps entièrement recouvert d'une lourde armure noire, tenant fermement deux énormes épées. Sans un mot, l'homme s'avance et au moment ou les chevaux passent à proximité, il abat ses deux lames, tranchant net les pattes des équidés. La chute est inévitable. Igor sombre dans l'inconscience, mais Jack, lui reste éveillé, le corps endolori et la vue légèrement troublé par le choc.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Ven 25 Fév 2011 18:40 
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C'est en essayant de fuir les gardes que je me suis engagé dans une longue course dans les ruelles étroites de Tulorim.
Fort heureusement je n'était pas seul à ce moment, Igor aussi s'en était engagé.
Mais au bout de quelque temps, une étrangeté nous est apparu devant nous .....
Sans aucune peur apparente ni mot provenant de cet homme, ensevelis de la tête aux pieds d'armure s'avança vers nous encore en chevaux ......

Je suis à présent à même le sol, n'ayant pas su cerner sur l'instant la situation du à la rapidité de celle-ci.
Mon corps en entier semble insensible aux efforts que je tente de déployer pour bouger.
Même mes yeux me jouent des misères, la vue semble "perturbée".


(Qu'est-ce qui se passe ..... Je dois absolument me rele ..ver ....)


Usant de tout ce que j'ai comme force, je parvint juste à me mettre à me mettre à cheval sur les genoux et les bras. Toute mon attention est dirigée vers cette personne, responsable de l'état actuel de la situation. Tentant bien que mal de me hisser vers ce qui semble être Igor, je l'aperçu inconscient. C'est ainsi en tournant vers inconnu qu'étais cet individu que j'attendais qu'il se rapproche.

"Qu ... qui êtes-vous ?!"
"Montrez-vo .. vous !"
"Vous allez regretter amè .....amèrement de vous être pla..cer sur ma route !"


Les mots sortent difficilement de ma bouche, bouger, ou plutôt ramper est le maximum de ce que je peux faire à l'heure actuelle. Et lorsqu'il s'agit de parler ......
La situation me parait plus humiliante que apeurante. Se retrouver ainsi, suite en quelques sortes à une chute de cheval un peu violente, le corps pratiquement en sommeil, est très humiliant pour moi. Mais je garde ce mal pour le bon moment .......

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Ven 25 Fév 2011 23:55 
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L'homme range une de ses épées dans son dos et avec l'autre, sans scrupule, tranche la tête d'Igor. Le liquide vital de ce dernier coule abondamment, mais tu n'as même pas le temps d'entrer en contact avec la substance rouge. De sa main libre, l'homme en armure te saisit à la gorge et te soulève de terre, aussi facilement que l'on cueille une fleure. Il point son épée sur ton visage et pour la première fois, prononce quelques mots de sa voix caverneuse raisonnant à l'intérieur de sa cuirasse.

" Maintenant, prie pour ta survie ."

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Sam 26 Fév 2011 13:46 
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A peine j'ai le temps de voir ce Igor se faire trancher, je vu une main m'attraper par la gorge et me soulevant avec facilité.
C'est à la limite si je ne dis pas "Bien fait" à Igor .....
Une épée se point en face de mon visage, et une sombre voix retentit.


A l'instant je ne peux m'empêcher de penser que quelque part j'ai déjà fais la même chose .... Maintenant j'en subit la même.
Mais, il n'est pas dans mon genre, même en cas de situation où je suis la cible, de me laisser impressionner. Car après tout, il existe bien plus pire situation que celle-ci.


"Prier pour ma survie ne me servira à rien, l'avenir est déjà écrit à l'avance ......"
"Je peux seulement prier pour qu'on me donne une chance de vous le faire payer ...."


Il est vrai quand même qu'une masse de métaux, imposante, avec une telle puissance pourrai me tuer en moins de temps qu'il faut pour le dire, je devrai être normalement terrorisé.
Mais cela reviendrai à dire que j'ai peur des personnes du même type que moi .....

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Sam 26 Fév 2011 23:30 
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L'homme resserre sa pression sur la gorge de Jack et, d'un geste lent, lui entaille la joue de la pointe de son épée.

" Prie ."

Ces mots sont prononcés calmement, sans la moindre colère.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Dim 27 Fév 2011 00:19 
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Je ressent une douleur lente et mon sang couler sur ma joue.
Cet personne ne semble pas vouloir plaisanter ou négocier.
Si mon corps est sans défense, il n'en est pas de même pour mon esprit ....


"...... Thimoros ........ C'est tout ce que je peux dire ....... C'est à lui de décider de mon sort .... Et j'espère qu'il le gardera en bon destin ..... Il sait ce que je veux ....."

Cette situation était de plus en plus pesante, humiliante, et commençait progressivement à devenir dangereuse.
Par un geste de "fierté", ne supportant pas me faire mener ainsi, un crachat sort de ma bouche involontairement directement sur la face du casque de cet individu.


"Vous êtes vraiment qu'un fumier ......"

A cet instant, en vérité, j'ai un présentiment très mauvais pour dire, mais qu'importe après tout.
La mort m'est un glorieux ami ....

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Dim 27 Fév 2011 12:44 
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Quelle fut l'excitation de Sag-nilroë tout le temps que dura sa lente marche dans les Ruelles. Il apercevait déjà les voiles imaculées des navires au dessus des toits des maisons et il lui semblait que les mouettes volaient à sa rencontre. Le chant des oiseaux et le bruit de l'eau qui rit le bercèrent jusqu'à qu'au détour d'un virage lui apparaisse le port dans toute sa splendeur.

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Sag-nilroë, Semi-Elfe, Rôdeur


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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Dim 27 Fév 2011 19:06 
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L'homme, étrangement te repose à terre, ou plutôt te lâche et te laisse t'écraser au sol.

" Thimoros hein....Tu vas travailler pour moi....Ou rejoindre le royaume du frère de notre dieu ."

Il t'écrase alors la main gauche de son lourd pied, chaussé d'une imposante botte en métal noir.

" Et ne t'avises plus de manquer de respect à un supérieur religieux ."

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Dim 27 Fév 2011 20:33 
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Cet énorme mastodonte finit par stopper son étreinte de ma gorge et me lâcha enfin, même si je suis parti en vrac au sol.
Mais à peine le temps de souffler 3 secondes, une nouvelles atroce douleur me lance au niveau de ma main gauche.
Contenant mon crie à l'intérieur, je tourne ma tête et m'aperçoit que sa botte métallique s'est lâchement appuyée sur mon membre.
Néanmoins, suite à sa révélation sur une partie de son identité, le "supérieur religieux", je ne dois plus aviser d'utiliser la défense verbale.


"J'ai toujours eu du mal avec les règles de subordination ....."
"Cependant vous devriez aussi prendre en compte que vous êtes en train de brutaliser l'un des plus fervent adepte de Thimoros ....."


Cela dit, j'essaie de pousser du mieux que je peux sa botte qui me réduit ma main en panade rapidement.
"Que voulez-vous de moi ? Que mentionnez-vous par "Travail" et de cet autre royaume ?"

Je pense à l'instant à qu'est-ce qui m'a conduit ici.

" ........ La milice ne tardera pas plus longtemps à me mettre la main dessus si je ne fuis pas rapidement ....... Je dois partir d'ici le plus tôt possible !"

J'espère seulement qu'il comprend au moins la situation dans laquelle je suis depuis de nombreuses heures ........
Car oui j'avais certainement un supérieur devant moi, mais ma vie vaut à mes yeux bien plus que de l'insubordination.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Dim 27 Fév 2011 20:47 
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Malgré tes propos, il ne retire pas son pied et appuie encore un peu plus.

" Un fervent de Thimoros qui ne connait rien de son dieu et des pratiques propre à son culte. Tu es pitoyable. Un misérable vers. Tu devrais être en train de prier, tu salis le nom de notre dieu par ta simple existence. Mets toi à genoux et implore son pardon, accepte la souffrance et remercie notre dieu ."

Il retire son pied de ta main et pointe de nouveau son épée sur toi.

" La milice...Elle est inutile...Prie notre dieu, soumet toi et ils ne t'auront pas ."

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Dim 27 Fév 2011 21:12 
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Je suis répugné par les paroles dites ainsi, surtout le "ver".
Un sentiment de colère m'envahis alors.


"Je n'ai nul besoin de me mettre à genoux ou de faire de la démonstration devant vous. Je le prie en mon intérieur, l'implore et le remercie ...... Je n'ai pas la choix après tout."


Il me rabaisse, m'humilie ..... Devant qui ? Il n'y a que lui et moi.
C'est simplement l'orgueil naturel que je possède qui prend place ....
Peut-être est-ce une épreuve de Thimoros qui m'a été envoyé ? Je n'en sais rien.


"Je suis déjà arriver à ce point grâce à Thimoros, si j'ai pu infiltrer et voler ces archives de la bibliothèque c'est uniquement par sa volonté."
"Alors je suis déjà soumis à lui, c'est ce qui me donne la force pour rester "debout" ...... Et le courage pour continuer ....."


M'aidant de mon autre main en état, je me releva difficilement, mais cette fois-ci je le resterai ......
Expliquer mon idée et les archives serai mal placé en vue de mon statut actuel.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Lun 28 Fév 2011 02:30 
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enfin arriver dans la ruelle abendonné, je depose mon sac au sol pour en retirer une longue corde avec un crochet geant au bout, se crochet de metal servait un peu comme un grappin pour se racrocher en cas de chute ou se hisser sur les toits. elle mesurait 6 metre environ et etais asser solide pour suporter environ 700 kg qui se balance dessu. je regarda alors orydianne qui m'avait l'aire tres preocuper. je tendis la corde et lui dit

''garde la, tu en auras besoin quand tu viendra avec moi''

mon ton de voix etais presque neutre, presque, parce qu'il garda un soupcson d'encouragement a me suivre dans ma voix. javais dailleur dit QUAND tu me suiveras et non SI tu me suis.

(elle est pas mal, avec elle, je suis sur que ma vie seras plus intense)

pas le temp de trop i penser, quand un bruit effroyable se fit retentire pres de nous. discretement, je vis le mercenaire doncer droit vers nous.

''le revoila''

m'exclama a voix basse, il nous avait donc vue... non impossible. je me retourna vers orydianne pour i voir la detresse dans ses yeux. en voyant se que je voie, le courage remonta en moi, pourquoi la proteger, aucune idée. je lui dit, toute en deguainant mon poignard et sortant une carte que je lui tend

''fuis, va a l'endroit marquer, retrouve une fille de mon age environ, elle sappelle mira. dit que je suis en danger et que tu me connais, ele sauras quoi faire et ...''

avent de finir ma phrase, orydianne me pris le bras et me tira en courant, elle refusait donc de me laisser seul? bon apret tous, je vai tout de meme pas me suicider aujourd'huis, je me mis a courire a toute allure, la jeune femme me lacha le bras, sest moi qui pris le sien pour l'aider a courire plus vite. l'homme courrait tres vite et risquait de nous ratrapper vue la vitesse qui allait. la sorti des toits etais inconsiderable, sa signifirait que je laisserais la jeune fille mourire seul. on arriva dans un impasse etrange. une grande crevasse dont on ne voie pas le fond etais face a nous et arrivais des bor de la ruelle, qui etais delimiter par deux mur super lisse avec aucune corniche ou m'acrocher. mon coeur battais a toute allure, avent de realiser qua environs 7 metre du sol (((pas celui de la crevasse))) se trouvait au millieu de la crevasse. il etais trop loin et trop haut pour l'attraper du sol, fallait sauter avent de la lancer. je dit donc a orydianne d'un ton serieux

''on a pas vraiment le choix, on saute''

elle me regarda comme si jetais un fous

''ecoute, notre taille plus la hauteur atteind de notre saut vas etre suffisant pour attraper l;a poutre avec la corde. pour atteindre la bonne longueure, puisque comme ta pus voir, elle est trop eligner pour nous, on va se lancer le corp a l'honrizontal avent de l'ancer la corde pour quel si acroche. oon la lance au dernier moment pour maximiser nos chance minuscule. une fois que l'on si auras acrocher, on se laisse balancer un peu comme un arreigner pour une fos rendu de lautre coté, se laisser progeter pour atterrire au sol l'autre coté. s'est pas dessai, ou bien on reussi ou bien on meurt. enplus pour ouvoir passer les deux, on suate emsemble, sinon on passeras pas les deux et un de nous mourrerras. alors sest simple, courage ou reste, mais si tu reste, tu meurt''

l'adrenaline coulait a flaut dans mon corp. je le laissa pas paretre comme a l'habitude, mais si on rate, on meurt. tres peu encouragent disont. je regarda la jeune femme et empoigna le bout de la corde, juste a coté de ses mains. je compta

''1...2...3 ........SAUTE''

une petite course et ...

(((A SUIVRE)))
(((a toi de jouer orydianne)))

_________________
kelan/voleur/humain


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