L'Univers de Yuimen déménage !


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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Sam 2 Avr 2011 13:40 
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Là la situation m'inquiétais vraiment, jusqu'à là je pensais que tout peut arriver avec cet individu, mais bien encore une fois on me montre que je n'étais jamais au bout de mes surprises.

C'est en fait lorsque j'ai vu la chose partir un instant, que j'essayai de me détacher les poignets, plusieurs moyens étaient possible ... Tout d'abord j'aurai pu grignoter les attaches au niveau des poignets, mais cela n'a rien donné.

Mais trop tard pour penser à un autre moyens, le voila qu'il revenait.
Au passage j'avais entendu un bruit que ne me rassurais pas du tout. Pour la première fois de ma vie, j'étais apeuré, stressé, angoissé .... J'avais peur que tout s'arrête maintenant pour moi en somme.
Mon rythme s'était comment dire ... affolé, je n'arrivais plus à réfléchir correctement, j'étais paralysé par le fait que j'avais un nœud de huit à la place d'un estomac.

Néanmoins, une dernière tentative se présenta à moi.
En effet, à mon avis lorsque là scie était au-dessus de mes jambes, cela avait du provoquer quelque chose chez moi qui m'a donné cette idée.
Peut-être que les "négociations" pouvaient me sortir de là :


"Bon écoutez-moi ! Je ne veux pas mourir maintenant !"
"J'ai pas envi de dire 'je vous en prie' donc je vous demande d'arrêter tout de suite !"
"Y'a certainement un moyen de s'arranger ... Si vous me disiez déjà ce que vous voulez ???"
"Je peux peut-être vous aidez (même si j'ai pas que ça à faire ...), vous devriez correctement revoir votre 'plan' ... Mais poser cette scie avant tout ! ... Et pas sur mes jambes de préférence."


Bon c'est sûr j'avais gagné un peu de temps, mais cela avait t'il était suffisent ? Je ne tarda certainement pas à le découvrir.
Le temps qu'il me mit à me répondre semblait très, très long ... Mais après tout que pouvais-je faire d'autre pour le moment ?

N'oublions pas que j'étais terrifié, bien que ce n'était pas dans mes habitudes. Voila comment je percevais la scène ; Moi un gars très foncièrement mauvais se fait terrifié et "mettre à terre" par un fou, un dégénéré, un malade ....
Mais pendant ces derniers temps, fallait dire que cela m'arrivais souvent en même temps.

La journée avait commencée par la garde de Tulorim, après d'autres gardes,
puis "Gramorh" pour finir par être assommé par quelqu'un ... Et je me retrouva ici.

Bref, je ne su plus quoi faire maintenant, j'avais abaissé ma dernière carte,
la voix de la "diplomatie", il fallait maintenant voir comment cette personne allait réagir.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Dim 3 Avr 2011 23:17 
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[[[suite du rp avec Kelan( beaucoup en retard, veuillez me pardonner...]]]

Nous arrivâmes dans une ruelle abandonnée. Kelan s’arrêta. Pourquoi ? Nous ne devrions pas fuir au plus vite cette ville qui me semblait déjà à l’image d’une cage, d’une prison truffée de pièges ? On nous poursuivait…
Je ne crus pas mes yeux lorsque je vis Kelan sortir de son sac… un grappin. Et il me le tendit.
Deux pensées surgirent dans ma tête, à cet instant :
Un : que faisait-il avec cela. Un grappin. Au beau milieu d’une ville. Et dans son sac. Étais-ce une nouvelle mode de trimballer partout avec soi un grappin ?
Deux : MAIS POURQUOI ME LE DONNAIS-T-IL ?
J’avais ma dague. Cela ne me servirait donc pas d’arme –une chance… Donc…
''garde la, tu en auras besoin quand tu viendra avec moi''
Donc… Je devrai avoir l’air d’une pure idiote en me promenant avec un grappin dans une ville. Et pourquoi ne le gardait-il pas, ce grappin ? Rah, je pensais à n’importe quoi ! Mes pensées s’emmêlaient, je n’arrivais pas à m’extraire de ces enchevêtrements…Je pris une grande respiration et serrai les dents. Il avait dis «quand», au lieu de «si». Une petite nuance, mais bien présente. Cherchait-il à me rappeler que j’avais une dette envers lui ?
Des bruits de courses résonnèrent au loin. Kelan s’exclama : ''le revoila''
Mes pupilles se dilatèrent. Déjà ? Mais comment nous avaient-ils retrouvés ? Flammes et cendres… Pourquoi nous étions-nous arrêtés ?
Kelan se retourna vers moi, me regarda dans les yeux et sembla prendre une décision. Il sorti son poignard et une carte qu’il me tendit.
'fuis, va a l'endroit marquer, retrouve une fille de mon age environ, elle sappelle mira. dit que je suis en danger et que tu me connais, ele sauras quoi faire et ...''
Idiot… Je lui saisis le bras et parti en courant, dans le sens inverse d’où mon père venait, entrainant Kelan à ma suite.
J’avais plusieurs raisons de faire cela. Premièrement, il voulait se battre. Contre mon père. Je ne voulais pas avoir à rembourser une dette auprès d’un cadavre… Deuxièmement, même si je savais à peu-près m’orienter, j’avais vraiment des difficultés à lire une carte et à aller à un point donné. Et le temps que mon cher père tabasse joyeusement Kelan, je ne me serais pas rendue loin et il saurait comment me retrouver. Il arrive toujours à me retrouver. Je crois qu’il a un sixième sens. Finalement… Si j’arrivais en un seul morceau chez cette «Mira»… Qu’est-ce que je lui dirais ? «Bonjour, je suis une courge que Kelan a sauvé. Il m’a donné une carte… Il est où ? Ah, surement en bouillie dans le coin d’une rue… Oui, je sais je l’ai abandonné…»
Donc, je ne devais pas laisser Kelan là. Nous courûmes et je crus que je n’avais pas besoin de continuer à le tenir, qu’il avait compris qu’il ne devait pas rester là à se faire charcuter. Je lâchai son bras et Il me dépassa, pour ensuite prendre le mien et m’entraîner plus vite. Se pensait-il meilleur que moi ? J’arrêtai immédiatement ces pensées négatives et me concentrai sur la course. J’avais relativement une bonne endurance, mais je sais que je ne pourrais pas continuer longtemps à rythme là. Je concentrai donc toutes mes énergies sur la course. Je me vidai l’esprit. Il n’existait plus rien à part mon corps, la route devant moi et la régulation de ma respiration.
Puis, une crevasse apparut au loin, devant nous. Kelan me dit qu’il fallait sauter. Je l’entendis vaguement parler de son plan. Ma tête était vide. Les mots entraient, tournoyaient un bref instant, puis ressortaient. Je compris vaguement qu’il fallait sauter, puis lancer le grappin. Je ne réalisai pas sur le coup qu’il s’agissait d’un plan suicidaire. Je ne pensais à rien, tant ma concentration était totale. Nous courûmes et nous sautâmes. Haut, loin. Je n’avais jamais sauté comme ça… l’adrénaline, surement. Le temps se ralenti. Kelan lance le grappin. Ce dernier arrive à atteindre son but. S’appuie sur une de ses petites branches. Vacille. Tiens bon.
Nous nous balançons le long de la corde tendue.
Un sifflement se fait entendre. Le sifflement caractéristique d’un poignard lancé à toute vitesse. Je ne tourne pas la tête. Je sais que ce poignard appartient à mon paternel. Il s’entraînait toujours et ne manquait quasiment jamais sa cible. Encore une fois, le lancé atteignit son but. Avec horreur, je sentis la corde subir un choc, puis la tension se relâcher.
La corde était coupée.
Heureusement, notre élan nous fait continuer au dessus de l’abîme. Le lancer avait été effectué un quart de seconde trop tard. Comme quoi le hasard aimait se jouer de nous…
Kelan arqua son corps pour mieux se réceptionner. Il réussi à atteindre le sol, de l’autre côté. Il se réceptionna en faisant une roulade.
Moi, je n’étais pas habituée à sauter comme une suicidaire et à me réceptionner. Je heurtais donc le bord du trou et réussi à m’accrocher au bord. Je hissai mon corps meurtri sur le sol horizontal tant bien que mal.
Nouveau sifflement. Un réflexe me fit me retourner et cela me sauva la vie. Le couteau ne fit qu’érafler mon front, laissant derrière lui une grosse estafilade. Il continua sur sa lancée et alla se ficher dans le mur. Je grimaçai en sentant le sang couler. Cette estafilade ne resterais pas longtemps et ne devrais pas laisser de cicatrices, mais les blessures au visage saignaient toujours abondamment. Je me retournai et récupérai le poignard taché de mon sang fiché dans le mur.
Nous grimpâmes sur un muret, tout de même assez haut. Ce mur était grossier, s’un empilage de pierre disparates, ce qui facilitait son ascension. Une fois en haut, Kelan sauta de l’autre côté. Moi, je me retournai. Mon père était là. Il ne devait plus avoir de couteau, car il restait là, à me fixer. Je plantai mon regard froid dans le sien, encore plus glacial. Nous restâmes une éternité à nous fixer ainsi. Je le surplombais, mais il semblait être à ma hauteur. Son visage n’exprimait rien. Ni haine, ni rage, ni contentement. Seulement un masque froid. Tout comme moi. Que pensait-il ? Moi, je ne savais quoi penser. Que faire. Devais-je le narguer ? L’attaquer ? Attendre qu’il détourne le regard ?
Finalement, ce ne fut ni lui ni moi qui mis fin à cette joute oculaire. Kelan dit, en bas de muret :
-Qu’est-ce que tu fais ? Dépêche-toi !
Je consentis enfin à détournai le regard. Je me tournai vivement en faisant involontairement claquer ma cape et sautai en bas du muret.
Au moment où je touchai terre, je sentis que quelque chose ne tournais pas rond. Je me retournai et constatai que le mur, grossier de l’autre bord était impeccablement lisse et sans aucune prise. De chaque côté de l’impasse, le mur semblaient luire. Ils étaient recouverts d’une substance graisseuse. Surement du gras, ou quelque chose d’autre… Cette ruelle n’avait qu’une seule sortie. Il s’agissait d’un cul-de-sac. Autrement dit, d’un guet-à-pan.
Flammes et cendres….
Mon père avait tout prévu. Tout. Il avait prévu quel chemin nous allions prendre, que nous passerions la faille, que nous escaladerions le muret. Cet homme était un géni. Et il avait fallu qu’il veuille à tout pris me tuer.
Déjà des silhouettes apparaissaient au bout de l’allée. Des silhouettes armées.
Je vis qu’ils avançaient lentement. Je remarquai que les rayons de soleils les frappaient en plein visage, les obligeants à plisser des yeux. Maigre avantage, mais un avantage pour nous quand même. Je pus les distinguer totalement et les identifiai en tant que chasseurs de primes de la région. Je n’en avais jamais eut contre eux, mais maintenant, ils en avaient contre moi…
Ils avaient à la main des affiches… Des affiches représentant Kelan. Ah, lui aussi était recherché… Mon père avait dut les recruter dans le but de faire une pierre deux coups.
Bon. Que faire. La fuite n’était pas envisageable. Kelan n’était pas en état de se battre, et j’étais même impressionnée qu’il fut arrivé jusqu’ici. Il ne restait qu’à…
Quelque chose remua en moi.
Mes yeux s’agrandirent. Pas… déjà ! La rage de sang… Je l’avais pourtant étanchée, hier soir ! C’était impossible qu’elle soit déjà éveillée !
Avec une forte nausée, je crus entendre Kelan me dire de rester derrière lui. Idiot… Il n’était juste pas en état de se battre…
Dans un état nauséeux et second, je le pris par le bras et le repoussai derrière moi, maugréant quelque chose comme : «surveille mes arrières».
Je me mis au milieu de l’allée déserte, exempte de passant mais pleine de combattants. Je sortis ma dague et le poignard que j’avais ramassé dans le mur.
Je baissai ma tête et essuyai le sang qui coulait sur mon front et menaçait d’inonder mes sourcils.
Lorsque ma main se retira, je souriais, d’un sourire presque sardonique.
Je libérai ma Rage de Sang.


[[It's your turn, kelan! :)]]

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Lun 4 Avr 2011 23:48 
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L'homme ne semble pas t'écouter et est apparemment fermement décidé à te priver d'une de tes jambes. Mais au moment où tu sens le contact sur métal froid et rouillé de la scie, aucune douleur ne survient. L'homme hideux s'effondre et une vieille connaissance s'approche: Gramorh. Il vient d'assommer ton bourreau et détache maintenant les chaines qui te retiennent. Il s'éloigne un peu, boitant, le bruit de son énorme armure résonnant dans la pièce. Sans même se retourner il te dit:

" Tu vas me suivre...Surtout si tu veux vivre ."

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Mar 5 Avr 2011 16:01 
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J'avais fermé mes yeux tellement que lorsque le vieux fou était bien décidé à me couper un membre.
Une réaction de peureux aux premiers abords, mais si on analyse bien c'est plus une manière de canaliser la douleur que j'allais ressentir au moment où la lame allait cisailler la chair.

Plusieurs secondes passèrent, j'avais toujours les yeux fermés, et rien ne se passa. J'en ouvrit un légèrement, et je fût surpris.
Le vieux malade s'était effondré par terre comme un vieux sac de fumier et j'étais intact !

Mais bon, une bonne surprise en cache une mauvaise, en réalité ce fût quelqu'un de bien précis et que je n'appréciais pas particulièrement, c'était Gramorh.
Apparemment il n'avait pas oublié ses bonnes traditions d'être "direct" dans ses propos.

C'était bien repartit pour qu'à nouveau je vais devoir le suivre, pour ma survie. Mais là un petit détail m'interpella, c'était le fait qu'il boite. Ma nature mauvaise et critique lui aurait bien dit "Bien fait !" mais je ne pense pas que cela aurait été le bon moment pour lui dire ça.

Je le suivis donc, comme avant qu'on se retrouve ici. Mon manque d'air frais et ma claustrophobie refirent surface, j'essayai à tout prix de le devancer pour sortir en premier ...
Qui sais ce qu'il avait dans sa tête, mais qu'importe, il n'allait surtout pas me cisailler une jambe lui .... Quoique on est jamais trop sur ...


A vrai dire, je ne me souvenais même plus comment j'étais arrivé à un tel désastre. Comment ce type était apparu, comment le vieux m'avait capturé, tout s'était enchainé tellement rapidement.
J'avais bien l'impression d'être "Le dindon de la farce" dans toute cette histoire ....


"Ok vous avez assommé ou tué le vieux ... Mais avant que je m'engage dans je ne sais quoi ... Pourriez-vous enfin m'expliquer ce qui se passe depuis le début de cette sombre affaire ?!"
"Je ne sais rien ! Je ne sais même pas où on va ni pourquoi je dois absolument vous suivre !"
"M'expliquer la situation serait un minimum ! Et si c'est pour me mettre un coup dans la face, n'essayez même pas ..."


Mes nerfs commençaient à lâcher au bout de tout cela ... Eh, j'était pas l'homme de fer, du moins je ne l'était pas encore (.....)
J'espérais sincèrement qu'il me dit enfin ce qu'il se passe, pourquoi j'étais là dans une pièce plus qu'oppressante, a avoir failli me faire découper par un fou ...

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Mer 6 Avr 2011 02:53 
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l'homme a reussi, d'un tire parfait, a couper la corde. pour un atterissage en douceur, je me prepara a une reception avec roulade. se qui ce fut reussi très bien. je vue orydianne secraser violament au sol, elle se releva avec difficuleter. apret un petit moment, tous etais flou acose de la blesure a l'épaule qui me fesait perdre ma concentration. tous ce que je me souvien sest davoir crier a orydianne et que nous somme pieger. des homme dague a la main, avis de recher dans l'autre, saprochat avec l'aire menacent. et voila, un autre combat va eclater

''reste derrière''

je me placa devent orydianne, mon poignare pret pour trancher ses fous. mais au moment ou je mis attendais pas, je me fait tirer par le bras et projeter au sol par la jeune femme, qui avait laire d'etre rendu instable, elle me donna l'orde de surveiller ses arrières. elle se reveille enfin la guerrière en elle.

(bon laissont la se battre, on va voir si je me fait des illusion sur elle)

je remis mon arme dans son fourreaux, et aulieu de me relever comme se que les gens s'attendais, je massi en -indien- et ecouta se qui se dit.

''eille, le masquer, tes lache ou quoi
-et vous, vous attaquer a plusieur
-mais nous on s'assie pas pour laisser une salo...''

l'homme ressu un puissant coup porter par orydianne, la force est t'el que l'homme en cracha du sang. elle est puissante la petite. une petite echange d'insulte et menace se fit entendre.Une baittaille violente eclata, la ou tous les homme se font mettre au sol pour l'éternité. j'ai pus comprendre pendant cette afrontement que setais pas un chasseur de primederriere nous, mais son pere. les plusieur chasseur de prime non eu aucune chance contre la jeune femme

(suis-je tomber sur un deuxieme moi, elle est comme moi. probleme familliaux, aucun interret de vivre. que se passe t'il)

orydianne tentas de masseigner un coup de talon, mais j'ai le temp de faire une roulade arrière qui me permis d'éviter et de me relever en un mouvement. je me retrouve coller dos au mur. avent meme de pouvoir parler, elle tentas un coup de poing dirrecte, avec deux doigt, avec un mouvement sans force, je devie son coup pour qu'il passe juste au dessu de mon epaule gauche. je suis donc a l'exterieure d'elle. le coup a meme faire un trou dans le mur. elle tentas de l'autre main, sans enlever son bras, un crochet au visage. j'ai reussi de bloquer son coup avec ma main, j'ai senti une enorme energie dans se bras. pas mal pour une femme. mon regard plongea dans le sien, mes yeux noir profond a l'aire de la faire reagir. je vue qu'elle tomba dans un etat de confusion.je ne bougeait plus, j'étais perdu dans mes penser. orydianne etais asser belle, pour un personne comme moi. ses yeux etais special. mon coeur battais très vite, etaisse l'adrénaline ou quelque chose d'autre. mes penser ce dissipa quand elle se separa et se retourna. je me mis a son niveau et lui dit quelque cjhose qui ressemblais a

''tu me ressemble beaucoup trop pour etre vrai, tous ceci est pourtant reel. reste avec moi, tes la seul qui puissent me comprendre''

je prit son poignet d'un coup sec, et la tiras pour la tasser l'autre coté de mon corp. deux couteau de lancer atterissait directe a sa place.

''et l'idiot, tu te permet de t'occuper de ma fille sans permiion''

il a un sourire a la fois sadique, et a la foi interrogateur.

''je moccupe d'elle? tous se que j'ai fait, sest de refuser de la laisser crever comme une chienne. je la connais très peu, mais je peux voire que tu merite meme pas d'avoir quelqu'un comme elle. et si tu veux la tuer, TU DEVRAS ME PASSER SUR LE CORP''

dans ces dernier mots, je lui lanca d'une vitesse ettonante un couteaux de lancer que j'ai recuperer au sol. il l'évita sans trop de difficuleté. se qui voie pas bien, sest le fumigene accrocher au manche. il eclata un nuage de fumer epais autour de lui. je prit le bras a orydianne et me mis a courrire en la tirant. l'adrenaline a flot dans mon sang, je courrus vite et donc tres dure pour une non-entrainer comme elle.

(elle devien une gêne, on peux pas continuer comme sa)

elle etais fatiguer et ne pouvait donc plus courrire aussi vite. je surmonta l'impossible, jamais jaurait faite sa avent. je fit un tour sur moi meme, la soulevent de sol, et l'acrocha a mon dos. je parti un -sprinte'' incroyable. on avait l'aire fous, les gens nous regardais bizzarement. je ne pourrait pas tenir indefiniment comme sa. apret environ 30 minute, je la deposa au sol d'une petite ruelle. 2 heure secroula pendant que orydianne m'explique un peu tous ce qui se passe. apret les deux heure, nous arrivont enfin a sortir de la ville. et voila, on saprete a partir de cette endroit de fous.

'' le voyage est de 3 jours a pied. a mon souvenir, ya un marécage tres difficile a traverser, ensuite on seras a yarthiss. rendu la, tu seras libre de aire se que tu veux. se voyage seras dangereux, l'un sans l'autre, on serait foutu. tes toujours partante''

tous ce que je pensait setais que je voulais qu'elle reste. sest la seul qui peux me comprendre, et je suis le seul qui peux la comprendre. alors jenchainais avec une autre phrase

''je te promets de t'aider jusqua se que tu soit en securiter. mais je te previen, etre avec moi va augmenter tes chance de vie, mais aussi augmenter les risque de te faire attaquer.''

je garda un certin silence avent de traverser la muraille de tulorim, en subtilisant la bourse de deux personne qui passent. on auras un peu d'argent pour vivre.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Dim 10 Avr 2011 13:40 
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Gramorh se tourne alors vers toi.

" Soit, si tu veux tout savoir."

Mais avant qu'il n'ait le temps de poursuivre, des bruits se font entendre derrière la porte en face de vous. Quelques secondes plus tard, cinq hommes armés de sabre, tous identiques font leur apparition. Quatre d'entre eux fonce sur Gramorh et le dernier, sans crier gare fonce sur toi. Sur ta droite, contre la table où tu étais attaché, tu peux voir ton épée. Le combat est inévitable.

(((HRP: Comme je suis pas très présent en ce moment, voici un combat libre que tu pourras faire en autant de post que tu veux et qui sera corrigé à part entière. Gramorh se bat férocement contre se quatre adversaires et ne pourra pas te prêter main forte. Tu n'es pas obligé de décrire les actions de Gramorh. Ton adversaire est vraiment très agile, précis et rapide, mais peu puissant, tu sera capable de le tuer en 5 ou 6 coups. Attention, ce n'est pas un combat simple pour autant, bien au contraire. A toi de jouer, bon RP)))

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Dim 10 Avr 2011 15:02 
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Quelle joie d’avoir enfin des réponses je me suis dis quand Gramorh semblait disposé à me les donner.
Je m'attendais à tout de sa part, j'étais prêt à tout entendre (Dans une certaine limite bien sur ...).
Ah mais ..... Mais quel idiot j'ai été pour penser que la poisse qui me colle au dos depuis le début me lâcherai pour ce moment.

A peine je venais de sortir du calvaire du vieux chnoque fou psychopathe à tendance meurtrières, que une autre épreuve m'attendait. Quand Gramorh s'apprêta à me dire la vérité, j'entendis des bruits au niveau de la porte.

Je voyais la serrure se faire violemment secouer avec des bruits de coups. Et au bout de quelques minables secondes, la porte vola littéralement et voila que 5 gros bras armés débarquèrent.
Là, je sentis bien la baston se profiler à l'horizon.
J'aimais bien me battre, surtout avec de gros malabares équipés comme des jardiniers, mais 5 me paraissais un peu trop pour moi.

Mais pour une fois, un semblant de chance semblait me sourire, puisque 4 d’entre eux se chargèrent de Gramorh.
1 seul s'occupa de moi et fonça sans rien dire.
Je scruta l’environnement tout autour de moi pour trouve une quelconque arme pour me défendre, et je vu ma bonne vieille épée en mousse posée contre une table.

J'attendis que le mec fût assez proche pour sauter sur le coté pour qu'il aille dans plus loin ....
et gagner du temps pour saisir mon épée.
Je me releva et craqua mon cou.


"Très bien, tu veux te la jouer à la connard ? Ça tombe bien, j'en suis un aussi !"

Le combat s'engagea alors entre lui et moi.
Autant vous dire que je suis plutôt habile à l'épée, mais celui d'en face semblait un tantinet au dessus ....
Je me démena comme je peux pour esquiver ses coup dans un premier temps, mais j'étais plutôt crevé et je m'en pris plein la gueule.


"Sale c*n ! Tu l’emmènera en enfer celle-là !"

Sur cette gentille phrase je décida de donner une énième riposte (Toutes celles que j'avais donnés jusqu'à présent n'avaient pas abouties.)
Bingo ! Celle là fut réussite et mon épée lui donna un violent coup sur le coté de son bras droit.

Mais moi j'avais mes deux bras, ma jambe gauche et ma cote droite qui s'en étaient prit .....
Le combat dura longtemps. A un moment donné, la fatigue et la douleur de mes blessures infligées par lui commencèrent sérieusement à m'affaiblir.

Depuis le début du combat, c'est moi qui prenais les coups sans arrêt et c'est lui qui avait le pas (D’ailleurs je ne l'avais pas du tout.)

Il me donna un coup de poing en plein dans la face et m'envoya directement sur la table en bois (Wood .....).
Cette dernière se cassa en morceaux lorsque mon poids la percuta de plein de fouet.
Tout ce qui se trouvait là-dessus atterrit sur les cotés et sur ma tête.
Je fus sonné par le choc. Mon adversaire sûr de lui avança à pas lent vers moi avec une expression bien marqué, la méchanceté et le sadisme.

J'essayais de reprendre mes esprits le plus tôt possible. Jusqu'à ce qu'un vieux réflexe me fit bouger le bras, pour saisir une petite boîte rempli de vis et de punaises qui appartenait au vieux fou, et je lui balança tout ceci sur son visage.
Je supposais alors qu'un clou avait du se planter puisque le bonhomme a lancer un cri de douleur.

Je saisis l'opportunité d'attraper mon épée et de foncer à mon tour sur lui pour lui asséner un coup.
A ce moment là, je ne vis plus que mon épée qui alla se planter sur le poignet gauche du type pour la couper. Oui, je lui avais coupé sa main gauche ....

Je pensais alors que c'était fini, mais non, ce gars là est un véritable roc et se remit à m'attaquer même en ayant la main couper.
Comment ? J'avais juste mal visé, j'ai couper la mauvaise main, celle qui justement NE TENAIT pas l'épée.

Le combat reprit .....



(((HRP : Je vais faire un second RP de combat, là c'était la première partie.)))

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Mar 12 Avr 2011 09:14 
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Je ne pris pas le temps de regarder avec nostalgie la Maison d’Abandon. Je partis sans me retourner et sans prendre le temps de savoir si quelqu’un se trouvait derrière moi. Je pouvais enfin souffler. Toute cette pression m’avait épuisée et je me serais bien reposée quelque part mais je n’avais pas le temps pour ça. Je voulais quitter au plus vite cette ville de malheur. J’avais appris tant de chose immonde sur ma vie que je doutais de vouloir continuer à la mener.

...je t’attendrais toujours...

Oui! Il ne fallait pas que je me laisse aller à la déprime, pas maintenant. Amhalak m’attendait et comptait me revoir. On se l’était juré ce jour là, sur le port de Kendra Kâr avant mon embarquement sur l’Allégresse. Cela me fit alors pensé à Logan et l’agréable voyage qu’il m’avait fait vivre. Allais-je reprendre la voie maritime pour me rendre à Kendra Kâr? Tout en marchant je réfléchissais à mes possibilités de déplacement mais pas seulement.

La peau blanche avait raison sur un point. Je n’était pas assez forte. En revanche je ne comprenais pas pourquoi ignorer mon passé représentait un danger pour mes camarades. Au contraire, ils avaient une chance folle de ne pas être impliqué personnellement dans ce conflit. Autre point sur lequel Oryash avait raison. Être trop touché, ne pas avoir assez de recul était un danger, autant pour moi que pour ceux qui m’entoureraient. Je ne pouvais pas me le permettre.

Il fallait que je m’endurcisse et que j’arrêtes de laisser mes émotions prendre le dessus sur moi même si dans mon cas, elles étaient ma force. De plus je ne maîtrisais pas le combat au corps à corps et je ne possédais pas d’arme hormis mon bâton. Mes pensées se dirigèrent directement vers Yrahùm, mon meilleur ami qui était devenu un puissant guerrier, il pourrait sans doute m’aider. Je le trouverais avant de me rendre au Temple des Plaisirs. Restait ma magie. Si la quête que nous allions mener, était aussi dangereuse que Zarnam venait de nous le révéler, il fallait aussi que je renforce ma magie.

"Allez! Il est temps de ne plus te laisser faire ma fille. Deviens une battante!"

Sur cette décision, comme je n’avais pas cessé une seule seconde de marcher, je me dirigeais vers l’endroit de Tulorim où je pourrais trouver ce que je cherchais : le marché nauséabond.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Mar 12 Avr 2011 20:17 
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En sortant de la maison d’Abandon Oryasha pensa que c’était une bonne chose de faite. La mission était bouclée et avait été des plus simple. Oryash soupira d'aise et après avoir choisi dans quelle direction partir. Elle disparut dans les ruelles à la recherche d'une proie. La prédatrice était en chasse, restait à savoir si elle allait trouver de quoi se contenter?

Elle se mit alors à agir comme elle le faisait naguère tel un loup. Les loups qui de tout temps avaient accompagné son peuple et les accompagnaient encore.
Depuis quand n'avait-elle pas vu un tel animal? Des lunes et des lunes et cette constatation la mortifia. Elle se rappela avoir laissé derrière elle un de ces animaux auquel elle était particulièrement attaché mais l'idée de devoir le mener dans des contrées plus peuplés signifiait aussi ça fin.
Les hommes en règles générales préféraient de loin les tuer plutôt que de les comprendre et de cohabiter avec.
Et à la seule idée de voir un animal si noble dépecé comme un lapin pour sa peau eut pour effet de la mettre en rage.
Il fallait à tout prit qu'elle libère la tension qu'elle venait d'accumuler ses derniers temps et le seul moyen était de tuer, de se faire plaisir et de savourer cet instant.

Alors qu'elle passait près d'une masure un bruit furtif attira son attention. Elle huma l'air ambiant et sentit l'odeur caractéristique d'un rat. Elle fit la grimace, préférant de loin le fumet d'un chat à celui d'un rongeur. Aussi passa-t-elle son chemin.
Son estomac lui rappela combien elle avait faim et chasser signifiait aussi devoir attendre pour se restaurer. Et attendre elle en avait assez aussi décida-t-elle de trouver une taverne. Pour une fois elle serait un rien plus civilisée.

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Dernière édition par Oryash le Dim 17 Avr 2011 12:30, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Mar 12 Avr 2011 21:47 
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(((Suite du RP de combat ...)))

Tout ce je pouvais dire à propos de cette scène, c'est violence, un début de gore et surtout de la perte de temps précieux.
De temps en temps, en éclair je jeta un coup d’œil sur l'autre coté, c'est à dire sur le combat de Gramorh. Ce n'était pas du tout pour savoir si il s'en sortait, loin de là !
C'était simplement pour voir comment il fait pour se débrouiller, copier ce qu'il fait en gros ...

La grande différence fût que LUI avait les équipements appropriés, et MOI j'avais juste un cure-dent pour me défendre. Et encore plus le combat avançait, plus je me le faisais tailler en plusieurs bouts ...
J'arrivais même à me demander comment j'arrive à tenir aussi longtemps.

Bref, tout ceci pour dire que le combat était toujours d'actualité, et que je n'étais pas prêt de m'en sortir. Ma seule roue de secoure en fait ... C'était quelque chose de complètement futile en apparence, mais qui pouvait bien me servir à pencher la balance dans cette situation. Je me prenais des coups de poings, de lame partout, pratiquement pendant tout le combat c'était moi qui en recevais bien plus que j'en donnais.

J'étais épuisé, fatigué, usé, tout les mots pouvaient convenir à ce moment ... Jusqu'à un dernier poing dans la figure de la part de mon adversaire qui me projeta droit sur la table en pierre.
Je ne bougeais plus, je n'arrivais presque plus à me relever. Cela sentait la fin sérieuse pour moi.
Mais cette fois-ci, il eu quelque chose. Comme ci quelqu'un me poussa la main vers un objet, à coté de moi.

Le bonhomme qui le lattais depuis le début semblait profiter de ce moment pour rependre un peu son
souffle. Ma main se dirigeait vers se qui ressemblait de la pierre taillé. Je la saisi et la cache discrètement.
La trêve était terminé ! L'homme au sabre s'apprêta à me couper en deux parties littéralement, sa rapidité était fulgurante.

C'était un énorme coup de chance que je réussis à me tirer sur le coté et me relever très difficilement. Là je n'attendis pas qu'il se ramena, je fonça immédiatement vers lui. C'était moi qui ré-engagea le duel à présent. Je concentra le reste de ce qu'il me resta de force dans mes bras et leva mon épée pour l’abattre du mieux que je peux sur le crâne de mon adversaire.

Manque de bol sa rapidité lui sauva sa vie, il se protégea avec son arme. Les deux lames se cognèrent donc et la situation bascula. Ce fût maintenant le duel de force physique, car mon épée était tout juste au dessus de sa tête bloquée par son épée à lui. Je devais 'pousser' du plus fort que je pouvais pour écraser sa défense.

Certainement que de son coté lui aussi poussa pour repousser ma lame. 20 secondes passèrent et voila que je commença à céder. Quel pitoyable guerrier j'étais ... Mais cela devait bien s'arranger.
Et dès le moment d’ailleurs. Lorsque je vu que mes bras commencèrent à faiblir, une idée me traversa la tête.


"J'espère que tu as mis une coquille gus !"

Je lui mis un coup de genou dans le bas ventre, soudainement, au dernier moment pour qu'il ne pare pas mon coup. Les deux lames se quittèrent l'une de l'autre et on recula chacun.
Mon instinct sauvage et violent fît bouger mon corps et ma tête précisément là !

Je pris la pierre taillé que j'avais caché tout à l'heure, et j’avançai rapidement vers lui afin de ne pas donner de chance d'échappatoire. Ma main se balança en l'air et atterrit avec la pointe de cette pierre droit sur la poitrine de l'adversaire. Je lui planta cette vicieuse lame dans son organe le plus important : "La pompe".

Son sang gicla sous la déchirure de sa chair.

J'étais essoufflé, épuisé et par dessus tout déçus ... Puisque j'avais vu Gramorh se battre avec 4 ennemies en même temps sans flancher ou s’épuiser.
Alors que moi Jack, un seul me faisait venir à bout de moi-même ...

Je supposais que là Gramorh en avait finit depuis longtemps déjà.




(((HRp : Le RP de combat est fini :) )))

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Dernière édition par Jack Wood le Mer 13 Avr 2011 14:00, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Mer 13 Avr 2011 13:55 
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<< Le Temple de Yuimen et de Gaïa

(Qu'est-ce que les mages peuvent bien me vouloir ?)

L'Université de Magie se situe à quelques pas du temple mais je ne m'y suis jamais rendue, les arts ésotériques ne m'intéressant en aucun cas. Je dois bien avoir dans mes connaissances quelques pratiquants, mais je n'ai pas souvenir d'avoir évoqué ce lieu avec eux. Et ces derniers n'étant pas toujours des plus fréquentables, je ne conçois pas qu'ils puissent me faire parvenir un courrier de la sorte.

Évitant de marcher sur les gros rats qui prolifèrent depuis plusieurs mois, je tourne au coin de la rue pour parvenir à l'une des artères principales de la cité. Quelques nuages se sont amassés dans le ciel depuis ce matin, mais le soleil éclaire toujours la foule qui se presse dans toutes les directions, battant le pavé tulorien entre le marché et le parc. Mes pas me guidant instinctivement vers mon but, je peux observer le peuple à loisir et c'est à la bordure du foirail que j'aperçois une tête connue. Le petit Krysto se coule entre chalands et commerçants, ses doigts furetant dans les replis des tuniques à la recherche de bourses bien remplies. Je le vois aviser une assemblée de jeunes nantis et m'approche en même temps que lui, sortant de ma ceinture un os taillé, jauni par les années. J'entame un air joyeux pour attirer l'attention et le transforme doucement en une classique mélodie que je sais être appréciée de la haute. Mon leurre fonctionne à merveille : la petite troupe a interrompu toute discussion pour écouter mon interprétation, laissant la voie dégagée au fripon Krysto.

Ce n'est pas la première fois que nous travaillons ainsi de concert et notre combine a souvent payé, car lorsque mon compère se fait prendre je vole aussitôt à son secours, une fois en artiste outrée, une autre en ancienne victime. Mais si notre manège réussi, nous nous retrouvons un peu plus tard pour partager le magot.

Les yeux à demi-fermés, je poursuis mon récital improvisé le temps de quelques ritournelles bien connues...

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Jeu 14 Avr 2011 21:20 
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vol : 61 réussite

Le petit Krysto te remercie d'un clin d'œil amusé et se retire dans une ruelle. Tu t'apprêtes à le suivre quand tu remarques deux adolescent le suivre. Apparemment, ils ont remarqué votre petit jeu et ils semblent intéressés par le butin de Krysto.

Edit GM2 : Tu reçois 15yus que tu as réussis à voler ! J'ajoute cela sur ta fiche !

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Ven 15 Avr 2011 14:30 
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Sous mes cils je vois la petit silhouette de Krysto disparaître vers des recoins plus sombres. Satisfaite, je décide de jouer encore un ou deux morceaux pour ne pas décevoir mon auditoire ; mais alors que je reprends un refrain plus allègre, deux nouveaux protagonistes se joignent à notre intrigue sans y avoir été invité. Délaissant le dernier couplet, j'achève mon concert promptement et salue les spectateurs, abaissant ma révérence jusqu'au sol lorsque certains d'entre eux me concèdent quelques acclamations distinguées.

"Recevez mes seigneurs, amples remerciements,
Pour vos larges faveurs à mon amusement."


(Si ces hobereaux daignent m'abandonner quelques Yus pour ma prestation, notre fortune ne sera que plus grande.)

Lorsque nous travaillons de cette façon mon acolyte ne déleste les bourses que de leur superflu, laissant à leur possesseur l'impression qu'elles sont pleines, pour me permettre de jouer mon rôle jusqu'au dernier instant. Plus la foule est nombreuse, mieux le stratagème fonctionne.

Affichant un sourire que je sais désarmant, je me redresse, glisse ma flûte dans ma musette et m'apprête à laisser la place pour retrouver Krysto, emportant les quelques pièces qui couvrent le pavé. Mais l'un des jeunes nobliaux s'approche de moi le visage troublé.

"Puis-je me permettre damoiselle de vous remercier de vive voix pour la performance dont vous venez de faire preuve ?
- N'est-ce pas ce que vous êtes en train de faire messire ?
- dis-je dans un sourire charmeur.
- Hum... Oui. - Bredouille-t-il. - C'est que j'aimerai vous entendre jouer à nouveau. Mon père organise parfois des banquets et nous y invitons souvent des troubadours."

Évoquant son père, le gentilhomme retrouve un peu de sa contenance, mais continue de me regarder les yeux plein d'espoir. Je ne doute pas un instant de ses réelles intentions, par "vous entendre jouer à nouveau" je comprends sans hésitation qu'il aimerait me revoir, même sans mon instrument.

"Ce serait un honneur sire ! Si vous me cherchez, demandez moi donc au temple de Yuimen et Gaïa, mais pour l'heure je suis attendue. Mes hommages."

Sans plus de respect pour son rang et sans lui donner mon nom, je l'abandonne là et pars en courant vers une rue parallèle à celle empruntée par Krysto, accordant un dernier signe de la main au petit seigneur.

(S'il est arrivé malheur à Krysto, ce noblaillon pourra toujours m'attendre !)

Rasant les murs de la ruelle, je parviens à une intersection que je sais revenir vers l'artère où doit se trouver mon complice. En quelques pas, je parcours la venelle et me retrouve à faible distance du trio. Du haut de ses neuf ans, Krysto tient encore tête aux deux jouvenceaux.

"De quoi parlez-vous ? Laissez moi tranquille, il faut que je rentre.
- Allons l'chérubin, mon frère et moi t'avons vu faire.
- C'est bien vrai. Et nous ne te voulons rien si ce n'est une part du butin."


Les deux garçons ne semblent pas réellement dangereux, sans doute de simples garnements qui pensent pouvoir profiter de leur supériorité numérique et physique. D'où je suis je ne vois que leur dos couvert par une masse de cheveux blonds : ils cachent Krysto à ma vue. Sans rien faire pour me dissimuler, je me compose une posture d'adulte et avance vers eux d'un pas sûr.

"Alors la marmaille ? Encore à lambiner ? Les enfants de cette cité sont décidément indécrottables !"

Le duo se tourne vers moi d'un seul homme : aucun doute, ils sont frères. Les mêmes sourcils broussailleux au dessus d'une paire d'yeux d'un bleu limpide, séparés par un identique nez en trompette et couvert de tâches de rousseur. Autour d'une bouche qu'ils ont grandes ouvertes, leurs joues semblent encore potelées. Ils s'apprêtent à rétorquer, mais Krysto est plus rapide.

"M'dame s'il vous plait aidez-moi, ils n'arrêtent pas de m'embêter depuis tout à l'heure !
- Et bien jeunes gens, est-ce une façon de se comporter avec plus petit que soi ?"


Déconcertés par tant d'assurance, ils tentent alors de se justifier plutôt que de m'envoyer au diable vauvert.

"Mais m'dame, c'est que cet enfançon est en réalité un escroc ! Nous l'avons vu alléger les bourses des passants.
- Disent-ils vrai petit ?"


Mains sur les hanches et sourcils froncés, j'observe Krysto de mon air le plus autoritaire. Jouant le jeu, il se recroqueville sur lui-même et bafouille une réponse.

"Mais... Et bien, enfin non... M'dame, c'est eux... Oui c'est eux qui voulaient...
- Tu me sembles bien peu sûr de toi tout à coup. Et puis maintenant que j'y pense, ton visage ne m'est pas inconnu et je crois que ces deux braves ont raison : nous avons affaire là, à un resquilleur."


Trop heureux d'éviter les foudres de mon courroux, les deux frères hochent vigoureusement la tête et pointent leurs doigts accusateurs sur mon jeune ami.

"C'est bien ce que nous vous disions m'dame. Et nous voulions le faire avouer.
- C'est un acte charitable mes enfants, mais ce n'est pas à vous de faire ça."


Attrapant Krsyto par l'oreille, je l'attire vers moi.

"C'est à la Milice de s'occuper d'un tel problème et je vais l'y mener de ce pas !"

Au mot "Milice", les deux compères blêmissent et remue la tête avec encore plus de conviction.

"Vous avez drôlement raison madame ! Faites ! Nous vous le laissons !"

Et sans demander leur reste, ils décampent vivement, disparaissant au bout de la rue en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Je ne bouge pas, souhaitant m'assurer qu'ils sont bien partis.

"Tylia, tu me fais mal !
- Oh désolée Krysto !"


Je relâche le garçon qui s'empresse de masser son oreille rougie par la pression de mes doigts. La douleur ne l'empêche pas de sourire comme un bienheureux.

"Tu t'améliores Tylia ! Même moi j'ai failli y croire ! Tetsuo a raison, tu es faites pour les arts, et pas seulement la musique !"

Donnant une tape amicale sur la tête de l'enfant, je m'assois contre le mur, où il me rejoint. Je lui réponds après m'être de nouveau assurée qu'il n'y a plus personne autour de nous.

"Peut-être Krysto, mais tout comédien doit être rémunéré !"

Il sort de ses poches le fruit de son travail et le pose dans sa tunique, je fais de même avec les Yus ramassés sur le sol et nous comptabilisons le tout pour ensuite nous le partager en deux parts égales.

"Merci Tylia, tes interventions sont toujours les bienvenues !
- Merci à toi, sur ces coups là c'est toi qui prend le plus grand risque. Bon, ne nous attardons pas ensemble, de plus je suis attendue."


Nous saluant, nous repartons chacun de notre côté, Krysto vers d'autres larcins, moi vers l'Université de Magie.

>> L'Université de Magie

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Dernière édition par Tylia le Mar 3 Mai 2011 22:38, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Sam 16 Avr 2011 15:00 
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<-- Les alentours - Les terres autour de Tulorim

Touhor arriva aux portes de la cité. A son arrivée, un évènement fort rassurant se produisit. L'écusson de la cité, un blason noir et blanc, probablement symbole de la neutralité, se décrocha du mur d'enceinte pour venir atterrir au pied de notre nain. Un nuage de poussière s'éleva et mis quelques instants à se disperser. Était-ce le signe d'un accueil quelque peu douteux réservé à notre nain par les hommes de cette cité, un présage des dieux lui signifiant que rien de bon ne l'attendait dans cette cité, ou tout simplement l'exemple de la grande compétence des forgerons de cette cité visiblement incapable de confectionner des anneaux assez solide pour supporter le poids de cet élément.... Le nain n'en savait rien et n'était pas d'un naturel superstitieux. Il ne retint pas cet événement comme un quelconque présage de quoi que se soit. Il s'écarta de quelques pas pour contourner l'objet.

C'est alors que plusieurs gardes se précipitèrent vers lui. Dans un premier temps, Touhor pensait qu'il venait à sa rencontre afin de s'assurer qu'il ne lui était rien arrivé. Il leva alors les mains pour leur faire signe que tout allait bien, mais il les rebaissa rapidement. En effet, les soldats passèrent à côté de lui sans même se soucier de son état, voir même de sa présence.... Sa tenue vestimentaire des plus basiques ne leur avaient probablement pas inspiré un quelconque intérêt. S'il avait été vêtu de plusieurs étoffes beaucoup plus riches, les hommes se seraient très certainement arrêtés par soucis de réputation et d'entente commerciale, mais ce ne fut pas le cas.

Ils étaient en réalité beaucoup plus soucieux pour l'emblème de leur cité. Ils durent s'y reprendre à plusieurs fois pour réussir à le soulever. Pas moins de cinq hommes durent se mobiliser pour y parvenir. C'est à se moment précis que Touhor réalisa la chance qu'il venait d'avoir. A quelques instants prêt, il aurait pu se retrouver écraser. Certes, il était fort bien bâtit et cela ne l'aurait peu être pas tué sur le coup, néanmoins il ne s'en serait probablement pas sorti sans égratignure. Mais la vision de ces hommes transportant ce symbole avec tant de difficultés fut un spectacle affligeant. Dire que deux nains auraient probablement suffit pour accomplir une tache de cette envergure. Cette situation quelque peu amusante amena notre nain à laisser échapper un rictus d'amusement sur son visage.

Il les laissa passer et emboita leurs pas afin de franchir les portes de la cité. S'il devait retirer un point positif à cet événement quelque peu fâcheux, ce serait qu'il soit parvenu à traverser les mur de la cité sans encombre. Il avait souvent eu à faire à quelques gardes zélés lui demandant les raisons de sa visite, ou laissant échapper un trait d'humour concernant la taille des nains qui ne faisait rire qu'eux. Notre aventurier traversa donc l'enceinte de la cité sans obstacle....

Une fois à l'intérieur, une agitation particulière semblait envahir la cité. Les dernières lueurs du soleil commençaient à disparaitre et pourtant la cité restait bien vivante. Marins, artisans, paysans... tous arpentaient les rues d'ici et là. Mais après tout, la cité était une cité portée vers le commerce. Cela était vraisemblablement naturel. Ce qui étonna en revanche beaucoup plus notre nain était la propreté de la cité. Celle-ci était nettement remises en cause par la présence de plusieurs individus agonisant, parfois même mort. Il surprit d'ailleurs un spectacle fort affligeant. Une bande de quatre ou cinq rats étaient entrain de festoyer au coin d'une rue. Certes la présence de tels animaux, souvent porteur de maladies, en pleine rue, remettaient en cause l'hygiène des habitants du quartier mais ce qui surprit le plus notre aventurier fut l'identité du repas : il s'agissait du corps d'une femme, visiblement une elfe de ce qu'il put reconnaître de ce corps en décomposition. Comment une cité de ce renom pouvait-elle permettre une telle vision? De plus, de telles choses étaient souvent l'origine de la propagation de nombreuses maladies, voir même d'épidémies.

Touhor poursuivit sa route sans s'attarder. Les ruelles devenaient de plus en plus sombre. Déjà qu'elles ne semblaient pas très éclairées à leur habitude, l'approche de la nuit n'améliorait en rien la situation. Le nain bien que compétent dans l'art du combat ne se sentait pas très à l'aise dans ces ruelles. Des ombres semblaient se dissimuler dans l'ombre des bâtisses qui l'entouraient. Le nain se sentait épier, observer et même suivit. Pour ne pas se faire surprendre, notre aventurier décida de marcher bien au centre de la ruelle. Une dague sortie de l'ombre serait ainsi beaucoup plus prévisible.

En revanche ce qui le surprit fut le fait que les habitants ou voyageurs qu'il croisait, de moins en moins nombreux d'ailleurs, longeaient les murs. Ne se souciaient-ils pas de ces ombres étranges? Pourquoi ne préféraient-ils pas arpenter les ruelles en leurs centre? Le nain n'eut pas à attendre longtemps pour le comprendre. Sans même crier gares, une femme surgit aux deuxième étages d'une habitation, un sceau remplit d'eau à la main. Sceau qu'elle ne garda pas plein très longtemps dans ses mains d'ailleurs... En effet,la scène se déroula devant les yeux de notre nain si lentement qu'on eut pu croire que le temps s'était arrêté. La femme se pencha au rebord de la fenêtre et y versa son sceau. L'eau comme un torrent se déversa dans la rue, droit en direction de sa cible. Ces quelques secondes durant lesquelles l'eau parcourra la distance qui le séparait du deuxième étage s'écoulèrent lentement. Touhor eut le temps de voir arriver l'entendue d'eau mais il ne pouvait rien faire pour l'éviter. Le seul réflexe qu'il eut fut de fermer les yeux et d'attendre. Les premières gouttes d'eau rebondirent sur le sommet de son crane pour mieux atterrir et recouvrir ainsi l'ensemble du corps de notre nain pourtant imposant. Les litres d'eau recouvrir son corps et Touhor put entendre quelques rires s'échapper des ombres. Cela put au moins confirmer qu'il n'était pas seul dans cette ruelle. Ces bruits disparurent peu à peu comme si ses poursuivants s'étaient contentés de ce spectacle des plus grotesque.

A l'odeur, il s'agissait très certainement des eaux usées d'une lessive. En effet, le nain reconnu l'odeur du savon qui s'imprégnait sur sa cape. L'eau ruisselait maintenant sur l'ensemble de son corps et même si cela faisait quelques temps que le nain n'avait pas prit le temps de se laver, il trouva la situation fort désagréable. La femme quant à elle ne se soucia point de la scène qui venait de se dérouler devant elle. Elle saisit ses volets et les referma vigoureusement sans un regard en direction du nain.

"Bigre de fichtre de.... Après ma mésaventure aux portes de la cité, voilà maintenant celle-ci. Je me retrouve trempé comme un linge sale alors qu'il ne pleut même pas. Si j'avais su... Les dieux m'en veulent aujourd'hui, il n'y a pas d'autres explications possibles!

En plus, je déteste cette impression de vêtements collés à mon corps... On dirait que je me suis baigné tout habillé... Si cela continue ainsi je crois que je ne vais pas faire long feu dans cette cité de merd..."


Le nain arrêta de bougonner à voix haute lorsqu'un voyageur passant par là le dévisagea du regard. Il semblait le prendre pour un fou en le voyant parler tout seul. Non moins apaisé, le nain continua à ronchonner dans sa barbe et se remit en route en quête d'un endroit où passer la nuit. C'est alors qu'il arriva aux portes d'une taverne qu'il s'empressa de franchir.

--> L'Auberge du Pied Levé

_________________
Touhor - Nain - Rôdeur


Dernière édition par Touhor le Mer 4 Mai 2011 14:19, édité 3 fois.

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 Sujet du message: Re: Les Ruelles
MessagePosté: Dim 17 Avr 2011 12:21 
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Oryash à présent hors de l'auberge devait se décider quand au moyen de transport qu'elle prendrait pour rejoindre Kendar Kâr. Seulement voilà, la jeune femme n'était pas pressée de rejoindre la guilde.
Elle préférait encore traînée à Tulorin où plutôt dans ses environs. Après tout elle connaissait la ville en majeur partie quand à son extérieur il lui était encore inconnu. Aussi décida-t-elle d'aller y faire u tour, histoire d'explorer un peu les environs et qui sait peut-être trouverait-elle quelque chose d'intéressant.
Elle partit donc d'un bon pas en direction de la sortie de la ville.
En passant près d'une échoppe elle entendit une conversation qui l'intrigua. Aussi prit-elle son parti de jeter un oeil à l'étal jouxtant celle des deux hommes.

"Parait qu'on aurait vu une bête étrange à proximité de la forêt. Une sorte de loup qui n'en est pas un"

"Un loup ...ouais c'est ça et depuis quant il y aurait des loups à Tulorim? Tu gobes vraiment n'importe quoi Arel. Faudrait grandir un peu. Un loup à Tulorim....pfff...."

"Non mais je t'assure c'est pas une blague, il aurait même décimé un troupeau de mouton il y a de cela quelque jours. Plusieurs berger se sont mis en chassent pour le tuer."

"Tu m'oteras pas de l'idée que tout ça n'est qu'une vaste supercherie! Un loup à Tulorim! Allez on ferait mieux de se remettre au travail avant que le patron ne raplique."

Quand les deux hommes reprirent leur activité, Oryash quand à elle passa son chemin, repensant à la conversation qu'elle venait de surprendre.

"Un loup qui n'en est pas un.... Non cela ne se peut... il ne peut s'agir d'un Woger. Comment serait-il arrivé jusque là et avec cette chaleur comment pourrait-il survivre? Ces animaux affectionnent le froid alors un Woger...

M'empêche que cela lui paraissait bien étrange et qu'elle voulait en avoir le coeur net.
L'homme avait parlé de la forêt aussi s'y rendit-elle sans attendre.

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