"Bain de minuit" au portRencontre de rueSforgia avait esquiver les quartiers de la milice mais se fut un excellent repère pour trouver l'auberge.
Il ignorai dans quelle ville il était, mais cela n'avait pas d'importance. Les gens sont tous pareils partout, il y a toujours des idiots à appâter par le gain facile et une auberge mal fréquenté possédai généralement un pourcentage élevé de crétin à alléger.
Il arriva rapidement aux abords de l'auberge en question mais il s'arrêta une rue avant. des silhouettes à la démarche chaotique semblait avoir investi l'entrée des lieux. Mais il faisait très sombre et il ne pouvait voir clairement qui ils étaient.
(c'est quoi cette affaire ??)
Il chercha autour de lui quelque chose d'utile et vit un tonneau.
Il regarda dedans, il était vide.
Il le retourna, monta dessus et sauta à pieds joints. le choc fut rude et bruyant quand le fond du tonneau alla toucher le sol.
Sforgia gémis un coup, il avait pas prévu qu'il se ferai mal. Il sauta en dehors du tonneau et se cacha. Il attendit un moment mais rien ne vint. il alla voir si les silhouettes se dirigeaient vers lui. Personne n'était dans la rue
(Personne.. il sont tous entrés à l'intérieur ou quoi ?)
"bon faisons vite, mon instinct me dit que cela sent mauvais"
(pourquoi je me tire pas tout simplement...)
"Parce que tu es une andouille curieuse et que si y a des morts ça fais des poches à fouiller"
(un point pour toi !!)
Il sépara le fond du tonneau des parois. Il démonta les parois et pris une latte de bois. Il saisi les 2 cerclage de métal et les tordit. Il en prit un et utilisa 2 rivets de fer récupérer sur les cerclages pour créer un arceau greffé sur le cercle de bois.
"Et voilà un bouclier!..... tout pourri.. bon il tiendra bien un coup, c'est déjà ca"
Il attrapa le second cerclage et le fixa à la latte de bois en lassant dépasser un autre rivet
"... Si j'arrive à blesser quelqu'un avec ça ... je suis un génie.... J'ajouterai un cri de barbare en brandissant ce truc, avec de la chance personne ne verra que ca tien à peine"
Il pris son matériel de combat de fortune, accrocha son luth dans son dos et avança vers l'entrée de l'auberge des voyageurs. Il regarda par une des fenêtre brisées et vit une silhouettes accroché au plafond avec une horde mort-vivants entrain de baver en-dessous.
(des morts-vivants, bah voilà l'explication de le façon de marcher.. attend une minute, des mort-vivants !!!!)
il baissa la tête et s'appuya contre le mur en restant accroupi.
"Moi et ma grande bouche..."
(qu'est ce que je fais ? je rentre en criant -salut !- ou je me débine ?)
Il releva doucement la tête et regarda à nouveau dans la grand pièce.
L'inconnu au plafond semblait armé mais ils était très nombreux à l'attendre en-dessous.
"Bien... c'est des morts donc la foudre ne fera que les attiré vers moi sans rien faire... par contre, le feu devrai faire un effet intéressant. Mais où trouver du feu."
(les quartiers de la milice....)
"ouh, je me fais peur moi-même tellement je suis génial !"
Il se leva discrètement et couru vers les quartiers de la milice.
Il arriva rapidement près du bâtiment, en fit le tour et vit que l'entrée était éclairée.
(2 gardes devant l'entrée... Bien, on y va au culot)
il posa son matériel et alla vers eux détendu.
"bonsoir Messieurs !"
"Ola qui va là !" cria le plus poche
"Rien qu'un homme de l'art cherchant de quoi s'éclairer"
" Comment donc ! que veux tu mendiant !" enchérit le second qui s'était avancé l'arme sortie
"Pas d'inquiétude, je ne suis point mendiant. mais musicien, et qui plus est un musicien perdu et ne connaissant pas la ville. Je souhaiterai savoir si je pouvais acheter une bougie"
(sourit et ils n'y verront que du feu !)
Sforgia sourit en écartant les bras pour montrer qu'il n'étais pas armé
"Une bougie, tu dis ! tu nous prend pour des marchants ambulants ou quoi ? allez va passe ton chemin avant que je t'engeôle simplement pour mon simple plaisir""Allez mes seigneurs, un bon geste pour démontrer que tous les on-dits sur la milices sont infondés"
Le 1er garde leva la main mais son compagnon l'arrêta
"Et que dit on sur nous ?""Vous savez les badillages habituels, il y a toujours des geignards partout et certains parlent plus que d'autres. Il m'a semblé entendre que l'on se referait à vous en comparaison de certains rejets organiques"
"Nom de ... As tu des noms pour parler ainsi !?""Point du tout, messires. Je suis en ville que depuis peu et je ne connais personne mais j'ai les oreilles vives. Allez une bougie, et je chanterai vos bonnes grâces dans une de mes chansons"
le garde le regarda, sforgia se penchait en avant se gardant bien de les regarder dans les yeux pour qu'ils ne puissent voir distinctement son visage. Il alla près d'une table qui dépassai de l'ombre du porche et y pris une bougie. Il tendit t le bras et l'alluma sur une des torches de l'entrée. Il la donna au mage.
"Tien voilà et fais attention à tes paroles à l'avenir.... aussi bien celle que tu dis, que celle que tu chante... Garde toi d'accuser sans preuve."(Sforgia, 3... les autres , 0 )
Sforgia s'éloigna sans attendre, récupéra discrètement son matériel de fortune et retourna à l'auberge.
Il se posa un peu avant d'arriver. Il mis son "bouclier", si on pouvait le nommé ainsi, au sol et se mit à écraser un petit de l'arceau improvisé à coup de botte. cela lui pris quelques instants pour faire une zone plate.
"Voilà une poignée royale"
Il ramassa le bouclier ,son arme et la bougie. il alla près de la fenêtre de l'auberge et se tint debout à coté en dehors de vue. il posa ses armes au sol et la bougie sur le rebord de la fenêtre. Il la fit bouger de droite à gauche en espérant que l'individu au plafond sera toujours là et regarderai dans sa direction. il pencha la tête et observa.