Inscription: Dim 26 Oct 2008 16:27 Messages: 39606
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Fan-Ming et Alentours (tout le monde) Une fois de plus, les défenseurs de la cité avaient fait preuve de jugeote, d’instinct et de courage pour défendre envers et contre tout les murailles de la cité de Fan-Ming. Malgré le nombre d’ennemis, malgré la haine, malgré la menace, malgré l’épuisement et la peur. Rien ne semblait pouvoir les arrêter dans ce combat qu’ils avaient fait leur. Ils portaient à eux seuls le courage des guerriers ynoriens, qu’ils soient sur les murs ou au beau milieu de la Plaine, sentiment superbe, mais fragile comme une rose fleurissant au beau milieu d’un rude hiver, perçant la neige de ses rouges coroles.
Mathis était de ceux-là, défendant ardemment d’audacieuses techniques son pan de muraille alors que déjà, Eva semblait avoir jeté l’éponge. Il était parvenu, par son astuce, à rendre inutilisable la porte supérieure de l’une des tours de siège menaçant l’enceinte. Et alors que sa pique était coincée dans le mécanisme, et que le temps reprenait son cours pour tout le monde, il réapparut près d’Arthès sur son cheval ailé, qui disparut sitôt qu’il fut à l’abri. À l’instar des deux puissants sorciers de feu, sur la muraille Est, qui répondant aux ordres de Charis venaient de porter un nouveau coup puissant pour retarder leurs ennemis, le grand Ibn Al Sabbar enflammant de l’intérieur la seconde tour menacée, et Zaria chauffant à blanc les échelles menaçant la muraille Sud-Est dont les défenseurs n’avaient pu s’occuper, empêchant quiconque de s’y jucher. Endar aussi, au sud-ouest ne dérogeait pas à la règle, son nuage toxique empêchant toujours quiconque de monter, et ses flèches et celles des archers l’entourant perçant les cuirasses des ennemis incapables de les rejoindre. Azra, enfin, qui prenait finalement à cœur son rôle de nécromancien, et invoquait les nombreux morts tombés au combat dans une seconde vie, les faisant sien, répondant à sa propre volonté. SI bien que Tilinn, mandé ici pour l’aider, dut seulement constater son inutilité.
« Ces âmes sont… amères, rancunières, énervées que vous ayez pris leur corps et les dressiez maintenant contre leurs anciens alliés. Mais elles ne peuvent agir, j’entends seulement leurs cris. »
Avant que Charis put quitter sa parcelle de muraille, Belliand et Ibn répondirent par la négative à sa question inquiète, secouant la tête pour avouer leur ignorance. Belliand, impressionné par le dragon menaçant la cité, bégaya quelques bribes incompréhensibles.
« Les… les miens ont un autre plan. Ce dragon en est la clé. »
À côté, Serpent ne reçut nulle réponse à son appel de détresse. Sans doute le Conseiller avait-il reçu son message indiquant de préparer la fuite vers Oranan, une retraite générale, mais sans lui apporter la moindre contribution.
Et puis, il y eut cette action commune d’une heureuse incidence, au niveau de la porte. Une action conjuguée sans s’être concertés, guidée seulement par la rage de vaincre, l’instinct de survie. À l’instant où le cheval ailé de Charis atterrit sur la muraille juste au-dessus de la porte, le dragon parut soudainement confus, secouant la tête de gauche à droite. Au même instant, par le pouvoir de Finarfin commandé par Xël, une échelle où plusieurs orques s’entassaient atterrit sur le dos de la créature volante, lui faisant pousser un rugissement rageur. Rugissement qui ne dura guère, puisqu’un puissant sortilège venteux vint s’abattre sur son crâne, alors que Gleen parcourait son corps de faisceaux électrisés. Le tout força le monstre violet à se poser sur la plaine, à l’endroit où Loona avait créé une immense zone d’ombre. Car elle ne pouvait en créer qu’une à la fois. Une qui masqua temporairement la charge d’Alistair et de ses nombreux doubles, créés en pure illusion par la puissante Glanaë. Le dragon, groggy au sol, releva à peine la tête avant que l’assassin ne s’abatte sur celle-ci, s’agrippant tant bien que mal à ses lames prises entre deux écailles sans être parvenu à les faire céder cependant. Siiwih, elle, hurla dans les airs une menace au dragon, mais sans parvenir à reprendre sa forme volante. Elle s’écrasa sur le dos du saurien violet, entre ses ailes qui se mirent subitement à s’agiter frénétiquement. Ramené au sol, étourdi un instant, Naral Shaam n’était pas vaincu pour autant, et il se débattait maintenant pour reprendre son envol, sous les assauts de tous à portée. De sa voix grondante, il hurla :
« Maintenant, Ouessiens ! »
Un message curieux, qui ne trouva écho que lorsque les golems s’animèrent, non pas sous l’ordre d’Alistair, mais sous celui de Naral. Car au lieu d’ouvrir les portes, les deux immenses créatures de roc et de magie brisèrent celles-ci d’un seul coup de poing, qui envoya sur les garzoks de l’autre côté d’épais débris de bois.
De même, derrière le pan de muraille affaibli bien plus tôt par Sirat, et reconstruit comme une large palissade de bois, les trois golems présents là s’animèrent de mauvaises intentions, et frappèrent plusieurs fois sur l’échafaud de bois jusqu’à ce que celui-ci cède totalement sous leurs assauts terribles. Le temps qu’il fallut pour les défenseurs de la zone sud-est pour se projeter à l’abri de l’effondrement, sur les parties de murailles encore en dur. Défaits, ils ne purent assister qu’impuissants à l’effondrement de ce parapet trop peu solide pour résister à une telle force. Les armées de peaux-vertes avaient désormais une entrée. Mais était-ce vraiment le but de Naral Shaam ? Car les piquiers ouessiens, ceux qui avaient survécu, s’étaient amassés devant les portes et devant ce trou de muraille, en un double rang, l’un se tournant vers l’intérieur et avançant vers les défenseurs ynoriens, piques en avant, l’autre tourné vers les garzoks pour les maintenir à distance, tout en reculant dans la cité de Fan-Ming. Un cordon de sécurité séparant les deux armées, comme si elles ne pouvaient plus se battre, mais quand même pénétrer la ville.
Au milieu de toute cette masse grouillante, une troupe restait immobile. Celle des créatures noires immondes et indestructibles, cernant toujours un Vallel sûr de lui, conquérant. Il regardait l’œuvre du dragon avec un sourire mauvais, mais non sans une lueur inquiète dans le regard, sous ce casque argenté.
Les âmes conjointes de Lothindil et d’Astinor choisirent cet instant pour pénétrer dans son esprit de force, pour en voler le corps. Une tâche qui n’allait pas être si simple. Sitôt qu’elles furent à l’intérieur, elles furent plongées dans des ténèbres épaisses, les rendant aveugles à tout. Une voix sévère s’adressa à elles, qui résonna dans cet esprit vide.
(Lothindil, éveilleuse de Titans. Morte pour faire choir mon monde dans les limbes du chaos, et tentant maintenant de me voler mon corps !? Qu’espères-tu, créature ? Me vaincre sur mon monde ? Dans un endroit qui n’a nul secret pour moi ? Cette victoire, je ne te la concèderai pas.)
Sans qu’elle eut accès au moindre de ses souvenirs, il lui sembla se faire arracher l’âme de l’intérieur. Une douleur puissante, plus forte que jamais elle n’en avait ressentie. Une douleur qui lui déchirait l’âme, littéralement, et dont le manieur de chair était la cause. Mais subitement, cela cessa, et elle eut une autre sensation. L’accès, finalement, aux émotions brutes qui prenaient possession du corps du puissant lieutenant. La peur. La rage d’être vaincu. Et par ses yeux, elle en vit la raison : les créatures noires tout autour de lui s’étaient retournées vers lui, et de leurs nombreux doigts tranchants comme des lames, avaient transpercé le corps de Vallel comme un vulgaire fétu de paille. Le rouge supplanta le noir, et elle fut chassée du corps en même temps que l’âme de Vallel, alors que celui-ci, dressé sur son cheval, s’affaissait sur les lames qui l’avaient transpercé. Il n’avait pas vu le coup venir, ni n’avait pu contrôler la main de ces assassins. Ils n’étaient pas de chairs. Mais à qui obéissaient-ils, du coup ? Un mystère qu’il faudrait révéler.
Dans la Plaine, Heartless agitait pour rien son drapeau blanc. De loin, il avait vu la scène, le chef ennemi se faire massacrer par son escorte. Kiyoheïki aussi, qui avait tenté de rejoindre le Titan de Magie, s’était simplement vu grimper plus haut dans les cieux, de sorte qu’il avait une vue générale sur tout le champ de bataille. Qu’est-ce que cela signifiait ? Que le titan de magie n’était, en ce moment, pas incarné ? Qu’il était partout ? Ou que le cheval ne pouvait, ou ne voulait, le trouver ? Quoiqu’il en soit, il eut une vue d’ensemble sur tout ce qui se passait, les actes du dragon mauve, des golems et des créatures noires contre Vallel.
Au Sud des Plaines, Karz était parvenu à libérer l’épée de Lothindil du sol de terre, s’en emparant comme d’un trophée alors qu’elle sortait de sa gangue où l’elfe grise l’avait laissée. Simaya, voyant cela, fit cesser son pouvoir, et se laissa choir au sol, à genoux. Ses yeux étaient redevenus normaux, d’un bleu céruléen froid. Ils étaient mi-clos, cependant, et les stigmates d’une douleur profonde marquaient ses traits. La tentative de Sirat ne donna hélas rien. Tout était trop confus ici, et la vision qu’il eut alors n’était guère le passé, mais le présent. Lui aussi vit ce qu’il se passait près des portes, ou ce qui arrivait à Vallel. Et puis, il vit, au centre de la Plaine, là où Heartless et les armées de renfort étaient amassées, le sol de fendre. Se fendre de plus en plus, en d’immenses failles qui rongèrent la Plaine.
Un grondement retentit si fort que l’instant d’après, toute la scène était plongée dans un inquiétant silence. Tous les regards étaient tournés, ennemis comme alliés, vers le centre de cette plaine, où une forme vague montait. Des tentacules immenses sortaient de terre et s’accrochaient à celle-ci, écrasant quelques orques et gobelin de l’armée venant à la rencontre des renforts ynoriens, pâles et elfes. Et tous purent voir, plus ou moins nettement en fonction de leur placement, l’être tant redouté sortir de terre comme si elle accouchait de lui. Dans un vacarme horrible, un être gigantesque grimpa vers les cieux sans quitter le sol, comme s’il en poussait tel une plante, arrachant des blocs entier de terre et de pierre enneigée du terrain, qui retombaient lourdement en faisant trembler la plaine. Bien vite, trop vite, il fut si haut que tous purent l’admirer désormais, le contemplant dans les cieux, statue de roc sans visage aux bras dotés de griffes immenses, et au corps sans jambe dénoué à sa base en de multiples et monstrueuses tentacules.
De la formation des pâles, elfes et ynoriens de la troupe Omega, aux premières loges, le consensus se fit vite. Ejude et Honoka parlèrent d’une même voix :
« Fuyez ! Courez pour vos vies ! »
Et la formation se dispersa, cavaliers fuyant éperdument vers le Sud, l’Est ou l’Ouest, et les fantassins tentant de les rejoindre. Heartless, bousculé dans la déroute, tomba au sol, groggy, et se retrouva dernier sur les lieux, cerné de tentacules géants qui l’avaient jusque-là épargné.
Au même instant, tel que l’avait commandé Mathis, le bouclier d’anti-magie se recréa autour de la cité de Fan-Ming. Le conseiller l’avait écouté, et œuvré en son sens. Les protégerait-il de la colère du Titan ? Rien n’était moins sûr. Mais une chose était certaine cependant : la magie ne fonctionnait plus au sein de la cité, et à ses abords directs. Ce qui ne sembla pas affecter les golems ou les piquiers de Nagorin, armures animées sans âme. Sur les plaines, les peaux-vertes acculées et effrayées se ruaient sans ordre vers la cité de Fan-Ming. Un assaut aussi brutal qu’inattendu, terrible, qui ferait énormément de morts parmi leurs propres troupes avant même qu’ils aient atteints la cité, les plus faibles se faisant écraser sans pitié par ceux qui avaient plus de force, de rapidité ou de rage de survivre. Car il s’agissait bien de cela, désormais : survivre. Cette marée verte massacrerait certainement tous ceux qui se dresseraient contre elle. Sans aucun doute. Tous ceux qui tenteraient d’empêcher leur fuite.
Toute magie ayant disparu, Naral Shaam retrouva ses esprits, au grand dam d’Alistair se trouvant toujours juché sur sa tête, ayant toutefois réussi à l’escalader pour retrouver un équilibre précaire, mais correct, et de Silma, toujours posée entre ses grandes ailes mouvementées. Le dragon mauve trouva la force de s’arracher de terre et de prendre son envol face à la cité avant de se faire écraser par les furieuses troupes orques. D’un rugissement plus puissant que ceux qu’il avait poussés jusque-là, il hurla tout en prenant de la hauteur dans les cieux, puis de sa voix de stentor, audible depuis toutes les murailles, jusqu’au milieu de la plaine, il hurla, rieur :
« Ahahahah. La magie. Celle qui éveille les titans, celle que vous avez déchainée aujourd’hui pour éveiller leur maître. Esprits faibles que vous êtes, je vous ai manipulés sans que quiconque ne se doute de quoique ce soit. Pas même le Grrraaand Vallel, agonisant désormais dans son sang. Hihihi. »
Il fit une pause, et sembla regarder un instant vers les cieux, comme s’il attendait quelque chose. Puis, il reprit.
« Fi de la guerre, à présent, car voici venu l’avènement des titans, qui rétabliront l’ordre sur ce monde et destitueront le traitre qui pensait les dominer. Aliaénon redeviendra ce qu’elle fut ! Maiiiis je suis magnanime : vous m’avez aidé, et à mon tour je vais faire en sorte que vous surviviez à ce qui arrive, avec votre aide. »
Il secoua la tête jusqu’à ce qu’Alistair glisse sur son dos, aux côtés de Silma, la bousculant en lui atterrissant à moitié dessus, mais sans qu’ils ne choient ni l’un ni l’autre. Et les regards fuyant le Titan se tournèrent vers d’autres grognements. De la haute falaise menant aux terres inexplorées, loin au-delà de Fan-Ming, le ciel se noircissait de nouvelles créatures. Des dragons, par dizaines, déferlaient vers la plaine, majestueux, leurs ailes grandes ouvertes.
Ils passèrent au-dessus de Fan-Ming, et se ruèrent vers le titan qui s’éveillait, grondant en s’étendant comme après un long sommeil. Certains plongèrent pourtant vers la cité, enlevant dans leurs crocs les divers aventuriers. Mathis, Eva, Serpent, Azra et Xël, Charis, Endar. De ces serres, ils furent posés sur le dos d’autres dragons. Chacun le leur, qui fonçaient droit vers l’immense créature au centre de la plaine. C’était à eux d’agir, dans ce dernier envol. Chasser le Titan loin de la cité. Le vaincre, pourquoi pas. Lui montrer la force des êtres dominant ce monde. Naral, montés par Silma et Alistair, était à leur tête, grognant de toute sa puissance, volant de toute sa grâce. C’était à eux de jouer.
Kiyoheïki, de ces cieux où il se trouvait, sentit un changement en lui. Une capacité venue de son courage, de sa loyauté, de sa force de caractère, de son honneur. Une capacité lui permettant lui aussi de voler vers ce titan si proche. Une capacité lui permettant de se changer… Mais en quoi ?
Sirat avait vu tous les détails de la scène dans sa vision. Tous sans exception. Mais pas Karz, Thensoor ou Simaya, qui n’avaient cependant pas loupé, même à cette distance, l’éveil du titan et l’envol des dragons s’approchant de ce dernier. À lui de décider s’il leur donnait les détails du discours de Naral. À eux, tous, de décider s’ils allaient agir, par la force des charges qui leur restaient dans leur sifflet d’argent. [Azra : 0,5 (introspection) + 0,5 (l’attaque des morts-vivants) + 0,5 (ordre non respecté) + 0,5 (bonus longueur). Mot : 0. – rouet. Lothindil : 0,5 (introspection) + 0,5 (horreur de la guerre) + 0,5 (visite de courtoisie) + 1 (bonus longueur). Mot : 0. – derechef. Sirat : 0,5 (introspection) + 0,5 (archéologie du futur passé) + 0,5 (bonus longueur). Mot : 1 bon ! – équarrir. Kiyo : 0,5 (introspection) + 0,5 (conseils avisés) + 0,5 (siffler sur la colline) + 1 (bonus longueur). Mot : 1 bon ! – nutation. Xël : 0,5 (introspection) + 0,5 (service friture) + 0,5 (discussion) + 0,5 (message à Alistair) + 0,5 (uppercut venteux) + 0,5 (dragon au tapis – ding ding ding) + 1 (bonus longueur). Mot : 0. – circonvenir. Charis : 0,5 (introspection) + 0,5 (dragon troublé) + 0,5 (organisation des troupes) + 1 (exploit : annihilation d’une seconde tour) + 1 (exploit : suppression temporaire des échelles de la zone 3) + 0,5 (voyage voyage) + 1 (bonus longueur). Mot : 1 bon ! – épure. Siiwih : 0,5 (introspection) + 0,5 (rodéo sur dragon) + 0,5 (belles descriptions) + 1 (bonus longueur). Mot : 0. – édicule. Endar : 0,5 (introspection) + 0,5 (organisation des troupes) + 0,5 (meurtre) + 0,5 (bonus longueur). Mot : 0. – turgide. Alistair : 0,5 (introspection) + 0,5 (horreurs de la guerre) + 0,5 (message de repli) + 0,5 (ordre aux ouessiens) + 0,5 (organisation des « troupes ») + 1 (exploit : plan suicidaire) + 2 (bonus longueur). Mot : 0. – hiératique. Mathis : 0,5 (introspection) + 0,5 (organisation des troupes) + +0,5 (protection de Derana) + 0,5 (mise en place du bouclier) + 1 (exploit : annihilation d’une tour) + 0,5 (utilisation pertinente du sifflet) + 1 (bonus longueur). Mot : 0. – foucade. Karz : 0,5 (introspection) + 0,5 (intensité) + 0,5 (récupération de l’épée) + 0,5 (bonus longueur). Mot : 0. – pilori. Heartless : 0,5 (introspection) + 0,5 (proposition d’alliance et de pourparlers) + 0,5 (bonus longueur). Mot : 0. – pommelé. Eva : - 0,5 (retard). Mot : doxa. Serpent : - 0,5 (retard) + 0,5 (message général d’évacuation) + 0,5 (introspection). Mot : 0. - pulvérulence.] [HJ : Bon sang, ça fait du bien de vous lire ! Nombre d’entre vous se sont surpassés, tant le joueur que le personnage, dans cette semaine de RP. Je tenais à vous en féliciter : c’est ça que je veux voir !]
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