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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mer 27 Juil 2011 16:52 
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<--- Comme je venais de passer chez Niran, il me fallait maintenant me rendre à la milice. Mais je me demandais si je devais apprendre le sort tout de suite ou plus tard... Quelque chose me souffla que je ferais mieux d'économiser mes pouvoirs pour le moment. Et puis, après tout, ce n'était pas si pressé que cela. Il me fut plus facile de trouver la milice, car je n'avais qu'à lever les yeux pour voir flotter son étendard. Très rapidement, j'y fus arriver. --->

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Jeu 28 Juil 2011 18:19 
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Je me réveille après une longue nuit de sommeille, dans cette maudite prison froide. Mes yeux voie Ce que je voie depuis maintenant 2 mois sans arrêt, des 4 mur de pierre toute décrépit ainsi qu’une fenêtre et une porte bloquer par des barreau de prison. le sol est froid et inconfortable, mais j’avais pas dormi depuis près de 3 jours donc je me suis assoupit tous de même. l’homme a mes cotés étais mon compagnon de cellule, étant plus grand et plus large que moi, nous avons quelque diffèrent au début, au moment ou je l’ai battu. l’homme avait presque 22 ans et était marquer d’une cicatrice au niveau de l'oeil droit, ainsi qu’une brûlure sur l’épaule du même coté. ce dernier s’est faite de telle blessure pendant une guerre de guilde ou il se trouvais. nous somme deux humain et préparons notre évasion, ne voulant pas passer 7 ans de ma vie ici. les garde m’avais laissé ma cape mais retirer mais deux seul armes, mais nous avons repérer ou il se trouvait. les gardes étais disperser au point de ne pas bien se voir quand le gardien de notre cellule passe, de plus nous arrivons a l’heure de la pause, la ou il na que 3 garde par étage., ce qui rendait la tache drôlement plus facile.

‘’écoute, dans 10 minute s’est la pause de 6 minute, on a donc 6 minute pour agir et ensuite on suit le plan, éviter de se faire remarquer tant que nous récupérons pas ni ton épée ni mes armes.’’

il me fit un signe De tête signifiant que tout étais correcte et que je pourrais passer a l’action dès que prévus.

(étant Au 3em étage, sa va être difficile de sortir d’ici)

10 minute s'écroula avant que les gardes sorti et laissa les 3 pauvre garde qui détestais et se plaignait toujours d'être celui qui est pris a attendre, se qui fit baisser encore plus leur garde. quand notre cher ami le gardien passa près de notre cellule, je fit semblant je souffrir au torse en crachant du sang, enfaîte une mixture qui reproduit le sang humain parfaitement, se qui fit que le garde débarra la cellule et entre sans se poser de question en se précipitant vers moi. mon compagnon de cellule sorti et referma la cellule, de loin les eux autre garde le pris pour un garde normale. le garde à mes cotés se retourna et compris qu’il venait de tomber dans un piège mais bien trop tard. je lui pris la gorge dans le creux de mon coude et me mis a l’étrangler, l'empêchant de crier mais il pouvait parler difficilement. mon sourire démontra très bien que jetais près a le tuer si il refusait de répondre a mes questions. j'approchai ma bouche de son oreille et lui murmure cruellement

’si tu refuse de répondre, je te casse le coup directement ici, s tu répond je ne te ferais aucun mal

-quesque tu veux...

-Les plans pour sortir d’ici sans avoir a ce battre et ta interrais a me dire les vrai sinon je te retrouverais et te tuerais de mes mains pendant ton sommeil.’’

l’homme éffrayer me donna un plan détaille de comment sortir d’ici. je lui casse le cou malgrés ma promesse et je saisit la clé a la ceinture du garde et le lança a mon équipier qui me débarra la cellule. en sortant nous arrivions dans un couloir ou il une porte que nous entrouvrons. pour réaliser qu'un garde se retrouvait l’autre coté. alors je donne un coup si fort sur la porte qu’elle assommât l’homme derrière. nous saisis son nos arme et je murmuras

‘’reste que 4 minute, on doit se dépêcher’’

je traversait le bâtiment par le chemin donner et je n’ai rencontrer aucun garde heureusement. En 3 minute et 30 seconde nous somme sorti. voyant la relève arriver devant la porte nous nous cachons et réfugions dans les ruelles, la ou on passe et nous enferma dans la taverne. quelque heure plus tard nous ressortons pis allons vers les porte de la cité pis nous nous séparons.

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Ven 29 Juil 2011 16:21 
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<---
Ambre courait à perdre haleine. Elle avait l'impression que toute l'auberge la suivait en hurlant.

Elle tourna à droite, à gauche, puis encore à droite, jusqu'à ce qu'elle soit complètement perdue. Elle s'arréta alors, les poumons en feu, la tête sur le point d'exploser. Elle tomba à genoux sur le sol et tenta de reprendre son souffle.

Elle risqua un coup d'oeil derrière elle, et vit qu'il n'y avait personne. Elle prit amoureusement son sac à pièces et lui sussurra doucement :

"Tu as vu? On l'a fait!"

Puis elle se releva.

*Plus sérieusement, je vais pas trop rester dans cette ville, je pense que je suis déjà fichée par l'aubergiste. Je pense que je vais partir sur les routes, comme je le voulais. Je vivrai de petites rapines, ce sera la belle vie! Ou alors je pourrais directement partir à la belle aventure... Sur une autre terre... Prendre le large...*

Elle se mit à marcher vers les portes de la ville, soudain confiante.

*Advienne que pourra, je vais quitter cette ville et suivre une route au hasard. Et je verrai ou ma chance légendaire me mènera!*

Toute fière, elle bomba la poitrine et mit ses mains à sa ceinture, se sentant pousser des ailes, et se donnant des airs important. C'est à ce moment qu'elle se rendit compte que sa dague n'y était plus... --->

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Sam 6 Aoû 2011 16:19 
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2- Entrer dans Yarthiss



Onicron déambulait au hasard dans les rues, à la recherche de l'auberge, mais ne la trouvant pas il dû se résigner à demander à une passante.

Euh bonjour... excusez-moi, mais euh... Où se trouve l'auberge ?

Tien, un elfe vert ! qu'est-ce qui t'éloigne autant de tes chères forêts ? lui répondit la femme avec mépris.

Je... Je veux juste savoir ou est l'auberge... S'il vous plait...

Mais c'est qu'il n'est pas pas très à l'aise avec les gens on dirait, le pauvre ! dit-elle en éclatant de rire. Prend cette rue, l'auberge est dans trois cents mètres. lui expliqua-t-elle en montrant une direction.

Puis la femme s'en alla, laissant Onicron seul dans la rue.

(Je crois qu'elle se moquait de moi... Il faudra que j'essaye de moins montrer mon malaise.)


Il se remit à marcher, suivant la direction que lui avait indiqué la passante. Après quelques minutes de marche, il se rendit compte que la nuit était totalement tombée.
Il s’arrêta et prit le temps d'observer ce qui l'entourait ; des petites maisons de pierres, toutes alignés sur chaque bords de la rue, l'absence du bruits du vent dans les arbres et du chant des oiseaux, les passants occupés à discuter en marchant ou en allant d'échoppes en échoppes, l'homme drapé dans une cape, devant lui, et qui tenait une bourse identique à la sienne... En mettant machinalement sa main à sa ceinture, Onicron se rendit compte que l'homme devant lui avait volé sa bourse.

Eh, vous ! Rendez-moi ma bourse !

L'homme se retourna, et voyant que son larcin était percé à jour, il se mit à courir dans un bruissement, et Onicron se jeta à sa poursuite. Mais n'arrivant pas à le rattraper, il décida d’arrêter de courir inutilement. Il chercha autour de lui, et fini par voir ce qu'il cherchait : une gouttière, qui devrait lui permettre de monter sur les toits.

(Je n'ai plus qu'à espérer qu'elle résiste à mon poids !)

Il grimpa avec précaution, manquant deux fois de tomber, mais atteint finalement le toit de la bâtisse. Il fit quelques pas, puis s’accroupit, immobile. Son regard se posait sur toutes les personnes dotées d'une cape, et fini par repérer le voleur. ce dernier avait certainement remarqué qu'Onicron n'était plus derrière lui, et marchait tranquillement dans la rue. Onicron sortit son arc, encocha une flèche et le banda. Il voulait récupérer sa bourse, plus parce qu’elle lui plaisaient que par son contenu. L’homme s'approcha d'une porte et s’arrêta, et en approchait sa main pour l'ouvrir ; c'est ce moment-là que choisi Onicron pour décocher sa flèche. Cette dernière traversa la main du voleur et se planta dans la porte.

(Je ne m'attendais pas à cela ! Mais ce sera certainement plus pratique pour récupérer ce qui m'appartient.)

Onicron sauta avec grâce du toit, pour atterrir cinq mètre plus bas... mais il glissa en se réceptionnant et s’étala par terre.

(Je finirai par arriver à le faire, ce saut !)

Il se releva, et repartit comme si de rien n'était. L'homme était encore là, la flèche toujours plantée dans la main. Onicron ramassa sa bourse et l'attacha bien à sa ceinture, et récupéra sa flèche laissant libre le voleur qui s'enfuit en courant.
Ne sachant plus où il était, il dû à nouveau demander à un passant la direction de l'auberge. Ce dernier lui indiqua plutôt courtoisement qu'il avait juste à marcher une vingtaine de mètres en continuant dans cette rue. Onicron suivit ce conseil, et finit par arriver enfin devant l'auberge.

(Ce n'est pas trop tôt ! Aujourd'hui, j'ai couru plus que pendant tous le mois dernier !)

Il ouvrit la porte et fut surpris par le bruit qui s'en dégageait, puis il entra.



4- Un repos bien mérité

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Sam 13 Aoû 2011 02:50 
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Depuis maintenant 2 heure je suis seul dans cette cité. Me déplacent de toit en toit, sachant que les gardes me recherche. Je décida de rester tranquille un moment, alors je rentrait tranquillement dans une maison que je crue abandonner et me reposa coucher dans le sous sol. Les heures s’écroulait alors que le calme fut brisé par des bruit de pas. S’est alors que je vue quelqu’un s'approcher de moi, et me dire d’une voix assuré

‘’Daraka mon frère, te revoilà après autant d’année. Il est maintenant leurs de ta mort et tu sait très bien que je suis mieux entraîner que toi’’

Cette homme avait mon âge, je le reconnu puisqu’il fessait parti de mon clan que j’ai déserté. Il étais assuré de me battre vue l'entraînement de plus qu’il a suivie en art martiaux, même moi na pas le niveau de le battre. surtout que ma spécialité est la dissimulation, la disparition et l’assassinat par derrière. Je saisit une tasse au sol que je cacha derrière mon dos, toujours assis je regarda ce type dans les yeux et dit

’Tes peut-être mieux entraine en dojo, mais il te manque un entraînement essentiel

-Le quelle

-LA VRAI VIE’’

Je balanças ma tasse en pleine figure de mon ennemi, se qui a pour effet de le faire sursauté et me donnant le temps de sauter et rouler derrière un meuble. Me dissimulant parfaitement dans la pièce toute en me déplaçant pour l'empêcher de tracer mon odeur. je vue qu’il me cherchait mais je n'avait aucune chance de survie face à une machine a tuer de se genre. j'empoignai mon arme que je sorti de son étui prêt a me défende. J'hésitais sérieusement entre tenter de fuir ou tenter un assassinat pour empêcher d’autre personne de mourir de ses mains. je trouva une lance au sol et choisit l’assassinat. sachant qu’il ne me laisserais pas fuir. je sorti d’un coup et envoya ma lance transpercer son dos, le ressorti et le poignarda 4 fois de plus avec ma lance pour le tuer. Il s'écroula au sol, mais connaissant leur résistance, j'envoyai de nouveau ma lance se planter dans la tête de l’homme mes il roula pour se relever et l’éviter. Le sang coulait a flau de son torse mais il n’en semblait pas le moindrement affecter.

‘’Dit donc, sa chatouille ton truc’’

Il sautas vers moi, je crue alors que la fin arrivais mais ma mains parti seul et coupa violemment la gorge de l’adolescent. sachant qu’il ne mourrait peut-être pas de sa, je prit la fuite pendant qui en étais temps. laissant cette machine a tuer mourir au bout de son sang. Je courut dans les rue a toute vitesse avec peur de rencontrer de nouveau un membre u clan ou même un garde. alors je fonças vers les habitations abandonné pour mis refugier. passant près de 5 heure a l'intérieure avant de me calmer.

(il est sûrement mort, maudit clan)

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Jeu 25 Aoû 2011 09:54 
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<--- En déambulant dans le dédale de rues qui séparait la milice de mon auberge, je réfléchissais à l'origine de ces nuisances : humaine ? Animale ? Ou tout simplement végétale ?
Seule une investigation pourrait trancher. Mais le sergent m'a dit de me reposer avant. Il n'a pas tort. Pas de nuit, pas de magie. Pas de magie, pas de survie. Demain je commencerai par interroger tout le camp de bucheron et puis les habitations alentours. Après seulement, j'irais voir et peut-être même régler le problème. Ah, voilà l'auberge. --->

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mar 13 Sep 2011 22:59 
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après être totalement sur de la mort de l’adolescent, je retourna dans les rue de la cité et s’est alors seulement là je réalisa qu’il faisait nuit et que les rues étais déserté, normale vue le niveau de criminalité élevé. je marcha tranquillement, regardant souvent autour de moi pour m’assurer que rien ni personne ne suivait mes pas. malheureusement comme il es impossible que tout ce passe bien, un groupe de 7 personne, foulard a la figure et dague a la main, me fit face et celui qui avait l’aire d’en être le chef, ce mis a l’avant a près de 10 centimètre de moi, et cria pour avoir l’aire imposant, de lui donner tous l’argent que je possédai. Je me mis à analyser la situation, moi face a 7 personne sûrement amateur Au combat. je me questionne alors au niveau de mes compétence au combat

(suis-je asser puissant pour tous les battre)

tous cela se passant en ne à peine quelque seconde, l’homme tentas de me piquer au ventre, je fit une rotation de 45 degré sur moi même en fessant dévier la main de l’homme vers l'extérieur, le rendant inoffensif quelque seconde. je profita de cette vulnérabilité passagère pour passer a une offensive direct, un coup de paume de main directement en dessous du nez, ce qui bien sur le cassa. je saisit le poignet de l’homme blesser et sauta par dessus en faisant un flip avant, cassant le bras et me permettant de récupérer l’arme blanche qu’il tenait. me redressant, par réflexe je bloqua le bras d’un deuxième homme qui voulais me trancher la gorge, et lui tords le poignet, suivi d’un puissant coup de genoux dans le ventre, le laissant s'effondrer au sol douloureusement.

(bon, les prochains)

regardant les 5 autres, tremblant sachant que je savait me défendre, décide de fuir, laissant leurs amis agonisant au sol. je laissa tomber le couteau au sol, me retourna et continue ma route.

(il fait trop noir pour aller de l’autre coté de la ville. je vais me reposer a l’aubrge tous pret, apret tous, avec la ourse de cette victime, j’ai asser pour au minimum 3 jours)

bien sur, l’idée de passer 3 jours dans un vrai lit me rejouissait bien plus que le sol dur et froid auquel j’étais habituer. alors j pénétra dans ce royaume a mes yeux, et me senti finalement si bien.

(3 bonne journée ici, sa tombe bien sa fait 2 jours j’ai pas dormi, sa va faire du bien)

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mar 20 Sep 2011 16:31 
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<--- Les Portes de la Cité --->

Bentaro marchait d'un bon pas vers le bâtiment que lui avait indiqué le garde, mais n'en oubliait pas moins d'observer les habitants et demeures alentours. Il avait l'impression que des mois étaient passés depuis qu'il avait quitté Eniod, et il s’enivrait de tous les sons et de toutes les odeurs qu'il captait. En cette heure avancée le soleil était haut et les seuls habitants qui défiait la chaleur étaient les travailleurs qui n'avaient guère le choix.

Il arriva enfin devant la forge. De loin, rien ne distinguait celle-ci des habitations environnantes, si ce n'est la grosse cheminée fumante sur son toit qui jurait avec la chaleur extérieure. De près, la différence n'était pas bien frappante non plus, si ce n'est la vitrine présentant quelques armes et armures diverses et la pancarte "Forge d’Agiend" au dessus de la porte.

Bentaro en poussa la porte.

<--- La Forge d'Agiend --->

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mer 21 Sep 2011 09:50 
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Localisation: Yarthiss
<--- Forge d'Agiend --->

Maintenant que sa tâche était accomplie, Bentaro sentait la fatigue qui pesait sur son corps. Il avait l'impression qu'il pourrait dormir des jours et des jours. Sa priorité était donc de trouver une auberge, mais pour la suite il n'avait encore rien décidé. Il devait absolument chercher une autre tâche à effectuer, quelle qu'elle soit, car non seulement ses fonds étaient insuffisants pour se permettre de ne rien faire, mais surtout il détestait être inactif, l'aventure et la découverte l'ayant toujours attiré. C'est d'un pas décidé qu'il s'approcha à nouveau des portes de la ville.

<--- Portes de la Cité --->

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Jeu 6 Oct 2011 19:13 
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<--- Comme le camp des bûcherons se trouvait à l'opposé de la ville, j'eus largement le temps de réfléchir.

( Un ours ? Peu probable, pas seulement de nuit. Un homme ? Pourquoi ? Comment ? Non plus... Alors, il reste quoi ? Si ce n'est ni une bête, ni un homme, qu'est-ce que c'est ? Une chimère ? Non, j'ai trop d'imagination et puis de toute façon, je verrai en arrivant sur place. )

Mais aussi, je me suis demandé comment m'accueillerais les bûcherons. Me seront-ils reconnaissants ? Content de mon aide ? Ou au contraire détesteront-ils ma présence et seront contre la milice ? Encore une fois, je verrai. Et puis, de toute façon, c'est ma mission, je ne choisis pas. De plus, c'est ma première alors je n'ai pas le droit à l'erreur.

Au bout du chemin, j'aperçus les maisons. --->

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Dim 9 Oct 2011 21:37 
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<--- Les gens se retournaient sur notre passage, nous regardaient avec amusement, mais, nous nous en fichions. Nous étions en vie. Certain du moins. Une vaillante louve avait du y laisser la vie pour que son chef la garde. Une bravoure digne d'une grande héroïne !
Pas un mot ne fut échangé pendant le trajet. Pas un regard. --->

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Jeu 13 Oct 2011 18:05 
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<--- Ma mission terminée et Nolan reparti voir sa famille et sa meute, je commençais déjà à m'ennuyer profondément. Que faire alors ? Je marchais, je marchais, jusqu'au moment où je passai devant la boutique de magie de Niran. Je marquai un arrêt et réfléchis quelques secondes. Peut être serait-ce l'occasion de pallier à mon problème de magie ?

(Allons voir cela. Je viens de gagner de l'argent, autant l'utiliser.)


Laissant derrière moi, rustres, puanteurs et saletés, je rentrai dans ce havre de paix. --->

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Jeu 3 Nov 2011 17:16 
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Localisation: Yarthiss
Une chaude après-midi s’annonçait le soleil était haut dans le ciel dégagé, une journée magnifique pour partir à la chasse pensa Icar en esquissant un faible sourire. Les rues de Yarthiss étaient bondées, c’était probablement l’heure la plus critique en matière de trafic de toute la journée, la plupart des gens évoluaient avec difficultés à travers la cohue, Icar ne faisait pas partie de ces gens-là, savoir se déplacer à travers une foule dense faisait partie intégrante de ses capacités, à vrai dire, il avait eu de nombreuses années pour s’entraîner. Quand un voleur est trop lent pour semer ses poursuivants dans Yarthiss, il est fort probable que sa survie soit de courte durée, heureusement pour lui, le jeune homme avait rapidement compris comment contourner cette difficulté. Cependant, aujourd’hui, le voleur n’était pas pressé, il se rendait aux docks pour y rencontrer un ami, ou plutôt une connaissance qui allait l’aider en remboursement d’une dette passée. Tout en marchant d’un pas tranquille, Icar se remémora sa rencontre avec cet homme, il y a de cela quelques années …

Le jeune voleur se baladait de nuit en repérage d’un navire qu’il devait infiltrer pour un client, et entendit des bruits de poursuites alors qu’il se trouvait à proximité des docks, puis vit soudainement un homme, dont la caractéristique première était l’épaisse couche de gras recouvrant son abdomen, jaillir d’une ruelle dans sa direction. L’individu était suivi de près par quatre personnes, drapées de capes noires et armés de dagues, vociférant des insultes à l’encontre du fuyard. Bérik, car s’est ainsi que s’appelait l’homme en question, se rendit compte de la présence d’Icar devant lui et le prit pour un autre assassin, pesant alors le pour et le contre, le fuyard fit volte-face brusquement, surprenant ainsi ses poursuivant, qui dans leur surprise se bousculèrent l’un l’autre pour finalement tous finir face contre terre. Bérik en profita pour sortir prestement un sabre d’abordage de sous sa longue pèlerine verdâtre et charger les assassins courageusement.

Sur le coup, la pitié se disputait à l’amusement chez Icar, voir ainsi ce gras personnage charger une bande d’assassins gesticulants pour se relever, avec un sabre d’abordage et en pleine nuit, avait quelque chose d’extrêmement comique. Le voleur remercia Zewer pour ce spectacle cocasse et s’adossa calmement à un mur pour suivre la suite de cet affrontement surprenant. Contre toute attente, Bérik réussi à éventrer un de ses opposants d’un grand coup de sabre horizontale, l’homme s’effondra au sol en essayant vainement d’empêcher ses entrailles de se déverser sur le sol sablonneux. Durant ce laps de temps, les trois assassins restants avaient amorcé une manœuvre d’encerclement autour du gras personnage qui effectuait de nombreux moulinets de son arme pour maintenir ses adversaires à distances. Icar pouffa en observant les piètres capacités des combattants des deux camps, entre l’obèse maniant le sabre comme un vulgaire couteau et ses trois opposants dont le seul nombre suffisait à prouver leur inaptitude totale en matière de meurtre. Le voleur se décida à intervenir pour rétablir l’honneur des vrais assassins, ceux n’ayant nullement besoin d’aide pour s’occuper d’un simple marin doté du sabre symbolique de sa profession.

Certains hommes de la mer savaient se servir de manière redoutable de cette arme légèrement courbe à la poignée caractéristique, Bérik n’en faisait visiblement pas partie se dit Icar en dégainant calmement son couteau dentée et sa dague, de façon à ne pas attirer l’attention des belligérants déjà bien occupés, puis il se mit à crier :


« Milice !! A l’aide ! »

Les quatre hommes sursautèrent, un des assassins pris peur et commença à s’enfuir en courant, il glissa quelques mètres plus loin sur les viscères de son compagnon, un craquement retentit et l’homme ne bougea plus. L’assassin le plus proche d’Icar se mit rapidement en garde pour parer difficilement les premiers coups violents du jeune voleur, pendant ce temps son compagnon engagea un duel des plus rapides avec le marin qui, surpris de voir un étranger rallier sa cause subit une chute de tension et s’évanouit lamentablement laissant échapper son sabre qui tinta probablement en touchant le sol, cependant le bruit mat de son maître s’écroulant de toute sa masse importante couvrit totalement ce son. Icar soupira, se demandant sincèrement si Zewer lui jouait un mauvais tour, tout en continuant à accabler de coups son opposant.

L’adversaire de Bérik gloussa et s’approcha du corps inconscient dans l’attention de l’endormir à jamais, intention qui fut vite anéanti par le cri de son collègue subissant des assauts de plus en plus dangereux : « Viens m’aider imbécile, c’est moi qui te paie ! » A l’écoute de cette injonction, l’homme s’éloigna du marin dans les vapes pour tenter de passer dans le dos de l’étranger qui attaquait son chef. Icar rompit le combat contre son adversaire, effectua une roulade rapide pour garder ses deux adversaires en face de lui, puis se releva rapidement pour faire face aux attaques simultanées des deux assassins. Le voleur para une frappe visant son épaule gauche en remontant brutalement sa dague, puis voulut contre-attaquer avec son poignard mais l’homme à sa droite ne le lui permit pas, attaquant sans technique mais avec une certaine volonté, occupant ainsi sa main droite dans une parade transverse. Icar reculait lentement, mais inévitablement son dos se rapprochait du mur.

Tout d’un coup, le moins doué des assassins, celui qui semblait être le chef amorça un coup en direction du ventre d’Icar, le voyant armer son bras en arrière, le voleur se décala vivement sur sa droite, laissant la lame de son adversaire passer à quelque centimètre de ses côtes, déséquilibrant ainsi son ennemi. Le jeune homme en profita, lâcha sa dague et de sa main gauche saisit le poignet de son ennemi vacillant, puis il le tira vivement en arrière, envoyant ainsi la tête de son ennemi se fracasser contre le mur. Sans prêter attention au bruit légèrement écœurant, le dernier assassin s’engouffra dans la brèche laissée par le voleur en attaquant son côté gauche sans relâche ; habitué au combat ambidextre, Icar subit les premiers enchaînements sans réussir à reprendre le dessus. Puis, sur une frappe hasardeuse, son adversaire réussit à passer sous la défense du voleur et lui égratigna le bras gauche sur toute sa longueur, une blessure superficielle mais assez riche en hémoglobine, Icar saisit l’occasion et fit mine d’être touché gravement. L’assassin, trop heureux d’en finir, tomba dans le piège et découvrit son flanc droit convaincu d’achever son opposant, le voleur pivota légèrement pour contrer l’offensive et, dans le même temps, projeter son pied gauche dans les côtes de son adversaire. Déséquilibré, l’homme vacilla sur la droite pour recevoir un coup de coude violent au milieu du visage, son nez craqua violemment et après quelques soubresauts, il s’écroula lourdement.

Icar prit quelques secondes pour vérifier que tous les assassins étaient bien morts, il les délesta de leurs biens, récupéra sa dague laissée au sol avant de se diriger hâtivement vers le corps du marin en entendant les cris des miliciens. Il administra trois gifles violentes à l’homme qui émergea de son inconscience en grommelant d’une voix sourde
:

« Silence ! J’ai éliminé vos poursuivants mais la milice arrive et je n’ai aucune envie de leur expliquer ce qui s’est passé ici … Et vous feriez tout aussi bien de bouger aussi ! » expliqua-t-il briévement.

« Aaa …. Attends ! Tu m’as sauvé d’ la vengeance d’un cocu … c’est l’genre d’truc qui crée des liens … Désormais je t’suis redevable p’tit, si jamais t’as besoin du vieux Bérik, j’srais ravi de t’rendre la monnaie de ta pièce. J’vais m’débrouiller maintenant, ‘cor merci p’tiot ! » affirma Bérik.

« Je serais m’en souvenir l’ancêtre, maintenant, je te conseille de mettre les voiles et oublie pas ton sabre ! Ah, et si tu veux m’aider un jour, il faudra que tu fasses un régime, dans l’état actuel des choses, la seule chose que tu pourrais faire, c’est me nourrir avec ton gras si jamais je crevai la dalle ! » dit Icar le sourire aux lèvres.

Puis le jeune homme s’enfonça dans les ombres de la nuit.

Encore aujourd’hui, après qu’il eut revu Bérik quelques fois pour boire un verre, Icar se demandait comment l’imposant marin avait pu cocufier qui que ce soit. Le jeune homme secoua la tête, l’heure n’était pas aux rêveries et aux songes, il hâta le pas et entra dans les docks.

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Lun 7 Nov 2011 19:15 
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« Alors, j’ai maigri hein ? Elles le disent toutes ! Ne nie pas ptiot ! » crâna le marin avant de rougir légèrement sur le dessus du crâne.

« Bérik … Ne me dis pas que tu te mets encore dans de mauvaises coups avec des jeunes femmes mariées ! Tu m’avais promis de faire des efforts … M’enfin pour ce que valent tes promesses … Tu avais juré d‘arrêter de boire comme un trou, et de fourrer tous ceux qui passaient devant toi, entre autres bien sûr … Qu’as-tu as dire pour ta défense ? " dit Icar sans colère mais avec résignation.

« Meuh … Eh bien pour commencer, je ne me met jamais « dans » des mauvais coups » dit le marin en esquissant un sourire lubrique.« Et puis pour la boisson, j’ai arrêté la bière ! Mais un ami de l’océan m’a fait connaître les joies de l’alcool de riz, c’est entièrement sa faute si j’ai replongé !» déclara Bérik.

Icar fixa son regard sur le crâne dégarni de son compagnon, curieusement, ce dernier ne rougit pas au début de la phrase, ce qui surprit le jeune homme, mais ce dernier fut vite rassuré et sourit lorsqu’enfin sa calvitie trahit le marin sur la fin de sa tirade.

« Ah bon ? J’aurais juré que tu avais arrêté la bière le même jour que ta rencontre avec ce fameux alcool de riz … Ce fut sans doute un sevrage un peu court pour te sauver, non ? » demanda le jeune homme en souriant franchement à son ami.

« Il serais temps que tu m’expliques pourquoi t’as besoin de moi petit ? Et puis, la Porte des Enfers est un endroit mal famé, beaucoup de brigands y tiennent leur rendez-vous ! » dit précipitamment le marin en rougissant vivement.

« Avant que tu te marres, saches que ce ne sont pas tes talents de protecteur guerrier dont j’ai besoin ! » pouffa Icar.

Le marin se détendit visiblement, son regard se fit plus calme et sa démarche s’assouplit, son corps tout entier clamait une sérénité qu’il n’éprouvait pas jusqu’à il y a peu.

« Mouais, bah t’as tort de penser que je me suis pas amélioré ! Je suis drôlement doué avec mon épée maintenant ! » fanfaronna le marin.

« Moui … Je n’en doute pas, c’est un sabre pas une épée mais je te crois … Bref, revenons-en à ce qui nous occupe. J’ai un rendez-vous avec un homme dans deux bonnes heures, et je compte sur toi pour distraire l’attention de l’homme qu’il doit rencontrer, je m’explique. Le contact se fait appeler Wayne, et je souhaite décrocher le job qu’il propose » Icar ignora le haussement de sourcil désapprobateur du marin, et continua son exposé. « Je sais de source sûr que Wayne doit rencontrer Karin, un voleur disposant d’une certaine renommée dans le milieu, mon objectif est de dérober son contrat à Karin dans le but de bénéficier d’une bonne expérience dans le milieu de la haute société. Ce pourrait être un tremplin pour ma carrière. As-tu des questions avant que je ne t’explique précisément quel sera ton travail à toi ? »

« Euh … je … si … enfin non … mais ? Tu vas t’attirer des représailles de cet homme Karin si tu fais ça, non ? » demanda Bérik. « Ne crois pas que je ne tiendrai pas ma promesse, je veux juste être sûr que te ne fais pas de choses dang’reuses ptit ! »

Icar esquissa un sourire désinvolte avant de rassurer le marin inquiet :

« Ne t’en fais pas vieil branche, tout est pensé et planifié de façon à ce que l’ensemble soit sans risque ! Maintenant, laisses-moi t‘expliquer en détail quel sera ton rôle … »

Le jeune homme prit le temps de tout préciser à Bérik, ce dernier sourit et rigola pendant l’exposition du plan. Icar le calma d’un regard noir, ils approchaient de la taverne, ce n’était pas le moment de trop attirer l’attention. Le jeune voleur prit quelques secondes pour vérifier que son compagnon avait bien saisi toutes les subtilités de son rôle, puis il hocha la tête, satisfait, et s’avança en direction de la taverne. Bérik quant à lui s’adossa à un mur proche de lui, puis fit semblant de se passionner pour l’étale d’un vendeur de légumes ambulant. Après quelques minutes, le marin entra dans la Porte des Enfers à son tour, rentrant dans son rôle.

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 Sujet du message: Re: Les Rues de la Cité
MessagePosté: Mar 15 Nov 2011 23:16 
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Tomak descendit une petite pente et se trouva dans une rue assez large, il suivit les conseil du garde et avança jusqu'à se trouver près d'un port fluvial. Il traversa le pont qu'il trouva en face de lui et qui enjambait le fleuve, il était large de plusieurs mètres et la passerelle vibrait en raison de sa fréquentation. En effet, malgré l'heure tardive, plusieurs chariots, des pêcheurs et quelques rôdeurs le traversaient. Le jeune homme avait entendu parler du clivage entre les rives droites et le rives gauches des villes traversées par un fleuve. Une sorte de clivage entre les riches et les pauvres. Il n'y avait de toute façon pas besoin d'un fleuve pour qu'il y ait une telle séparation.
Lorsqu'il quitta le pont, le jeune homme se retrouva en face du château, le château du roi de Yarthiss. Il s'arrêta un moment devant, pour regarder l'immensité du bâtiment avant de continuer sa route dans les rues sombres, avant que le soleil ne soit totalement couché. Il prit la rue à droite en face du palais et se retrouva, au bout de quelques mètres, face à une bâtisse sur lequel était inscrit "Auberge de l'Au Delà".

(Drôle de nom pour une auberge...)

Tomak s'avança et poussa la lourde porte.

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Tomak-Wiehl-Guérisseur


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