Cette semaine, Leoj fanatique de niveau 4 est à l'honneur dans le journal.

The Journalist : Cette semaine tu es à l'honneur dans le journal, qu'est-ce que cela te fait ?

Leoj : Tout d’abord et à titre personnel, j’en suis ravis. De plus, avec un peu de recul, cette demande d’interview vient de casser une routine des plus ennuyeuses. Et a eu pour effet secondaire de raviver mon intérêt pour mon rp, qui avait tendance à s’essouffler dernièrement. Aussi, je vous en remercie.

The Journalist : Qui se cache derrière le personnage de Leoj ?

Leoj : Joël (et oui, Leoj est juste mon prénom à l’envers, mais je n’aime pas me fouler ^^), 22 ans, ex-étudiant en informatique qui c’était retrouvé là par hasard, qui a eu le diplôme mais qui ne souhaite pas poursuivre dans cette voie (je n’suis pas assez geek je pense).

Feignant d’1m80 aux longs cheveux noirs, habitant dans la brousse picarde et cherchant une formation de forgeron médiéval.

Je crois que c’est bien résumé, … Ah oui, tous ceux qui me connaissent me considèrent comme fou mais ce n’est qu’un détail, … enfin je crois.

The Journalist : Tu as choisi de jouer un fanatique, peux-tu nous en dire plus sur les raisons de ce choix ?

Leoj : Je souhaitais pouvoir me servir de magie, 3 choix s’offraient donc à moi. Ne voulant pas que mon personnage ai recourt aux arcanes pour la moindre broutille, j’ai logiquement évincé le mage. C’est alors posé la question de la nature de la magie, soit d’ombre soit de lumière. Imaginant mon personnage plus offensif que défensif, mon choix s’est finalement porté sur le fanatique.

The Journalist : Actuellement, tu es au niveau 4 et non loin du prochain level. As-tu déjà pensé à ta classe secondaire ?

Leoj : Oui, je pense le mener à suivre la voie de l’errant qui me semble parfaite pour lui. C’est un vagabond qui recherche obstinément son "Graal" et ne considère plus aucun lieu comme son "chez lui". De plus, je trouve que mêler les magies d’ombre et de terre aussi étroitement pourrait le conduire à davantage d’options rp possibles en cas de dirigé avec ces sadiques de Gms (comment cela y’a redondance ?).

The Journalist : Pourrais-tu nous en dire un peu plus sur ton personnage ou bien préfères-tu garder le mystère ?

Leoj : Que dire, que dire ? Ah oui, le caractère de mon personnage est fortement similaire au mien et gagnera, par la suite, le coté lunatique qui lui manque pour coller parfaitement à l’original. J’ai aussi eu l’approbation des Gms pour la création de quelques petits points du Bg qui se sont intégrés il y a peu, et cela ne va pas s’arrêter là. Leoj va apprendre d’autres types de magie et créer (du moins je l’espère) quelques sorts qui me trottent dans la tête depuis un petit moment déjà.

The Journalist : Pour le moment, tu as RP en solo. Aimerais-tu tenter l'expérience à plusieurs ?

Leoj : Effectivement, j’ai déjà rp un bon moment en solo, mais pas que. Aussi, je ne pense pas que Leoj ai fortement apprécié d’avoir été mêlé aux mégalomanies du très haut en couleurs Heartless, mais moi oui.

Devoir rp avec quelqu’un est un bien en soit, car ma nature est de me lasser assez rapidement de toute chose. Aussi devoir répondre au poste de quelqu’un en tenant compte de mon objectif personnel et des idées de ce dernier est un moteur pour moi. Plus il y a de contraintes plus mon imagination peut devenir créative.

Je crains que mon rp ne se soit enlisé par le manque de ce moteur car je ne ressens pas le devoir d’y travailler (je vous avais déjà prévenu que j’étais un feignant dans l’âme ^^). Aussi, une fois mon rp actuel bouclé j’espère avoir la chance de trouver des camarades d’aventures avec qui vagabonder sur Yuimen.

The Journalist : Aurais-tu envie de créer un nouveau PJ ou bien préfères-tu te concentrer sur Leoj ?

Leoj : Je n’avais jamais songé à créer un second Pj jusqu’à présent. Peut-être quand Leoj en sera arrivé à un point bien plus avancé, mais pour le moment non. Les Gms me disent déjà assez d’ajouter davantage de rebondissements dans mes écrits, ce n’est pas en divisant mon attention en deux que j’y parviendrai.

The Journalist : Es-tu un habitué des forums RPG ?

Leoj : Pas vraiment, ma seule autre expérience remonte à peu près à un an avant mon inscription à Yuimen. Il avait moins de règles et moins de Gms mais il était dans le même esprit. Je trouve juste dommage qu’il donnait trop de pouvoir au Pj. Et ce dès le début, on pouvait y être un puissant mage, grand roi ou simple manant (bien sur il y avait trois fois plus de rois que de manants).

The Journalist : Comment as-tu trouvé Yuimen et pourquoi t'y être inscrit ?

Leoj : Je me suis simplement réveillé un jour avec une envie de rp, aussi ais-je cherché sur Google un forum me correspondant et j’ai trouvé une pléiade de forum à l’abandon. A deux doigts de laisser tomber, je suis tombé sur Yuimen et son contenu aux petits oignons. J’ai lu toutes les règles et le gros du background en une journée, et le lendemain je m’inscrivais.

The Journalist : Que penses-tu de l'ambiance qui règne sur le forum ?

Leoj : Excellente. Je la qualifierai même de bon enfant, c’est du moins l’impression que j’en ai. Même si deux sadiques opèrent régulièrement sur le blabla, promettant de prendre le contrôle du monde et de réduire les hommes en esclavage (petite vengeance personnelle pendant que j’ai la parole et qu’elles ne m’ont pas encore coupé la langue ^^).

The Journalist : Notre interview arrive à sa fin. Un petit mot pour terminer ?

Leoj : Pour faire original : merci …blabla… excellent forum …blablabla… très bon travail …bla… et Viva la Revolution.

Cette semaine, un ancien joueur est à l'honneur, Rurik, phalange de Fenris de niveau 3.


The Journalist : Alors Rurik, qu’est-ce que cela te fait d’être la star du journal ?

Rurik : Qui ça ? Moi ? Moi ? C'est moi la star ? Wahouuu, je peux avoir un autographe ? ! Hum, pardon, et bien très flattée ! Il faudra me dire où vous distribuez ce papier que je puisse aller le lire une fois imprimé !

The Journalist : Qui se cache derrière le personnage de Rurik, phalange de Fenris ?

Rurik : Quelqu'un de bien moins musclé et à l'allure moins mâle, puisque c'est une femme qui tire les ficelles du grand montagnard ! Quoi que je suis itinérante comme lui, mais en camping-car, trop la flemme de marcher cheveux au vent comme Rurik le fait !

The Journalist : Tu nous as quitté un bon moment, à quoi doit-on ton retour parmi nous ?

Rurik : Un calme dans ma vie, cette dernière année a été plutôt pas mal remplie. Et le RP, c'est comme le Nutella, t'as beau essayer d'arrêter, tu n'y arrives pas ! Ça fini toujours par démanger quelque part et il faut s'y remettre. De plus Yuimen reste un pilier parmi les JdR par forum.

The Journalist : Tu vas pouvoir reprendre le RP maintenant. Peux-tu nous dire ce qui va arriver à ton perso ?

Rurik : Si seulement je savais ! Il continue sa quête du Set Élémentaire des Glaces et se dirige vers le temple de Yuia perdu dans les Duchés, sur les indications d'un fou maintenant mort. Je ne pourrai que dire : let's rock !

The Journalist : Est-ce que tu as déjà envisagé ta classe supérieure ? Tu es quasiment niveau 4, ça va venir vite !

Rurik : Non pas vraiment, le niveau 5 c'est un peu tôt pour se décider. Bien qu'il faudra que j'y passe ! Un aventurier, un soldat, un paladin... Il va falloir que j'y réfléchisse sérieusement.

The Journalist : J’ai vu que tu avais été corrigé pratiquement à chaque fois par GM5, tu as même fait un dirigé avec lui, l’aurais-tu soudoyé ?

Rurik : Argh, pris en flagrant délit ! ! Non, pas du tout, il s'est effectivement occupé de moi en dirigé pour l'acquisition d'une pièce de set. Il en a profité pour corriger les RPs libres. Mais je ne demande qu'à passer entre les mains d'autres GMs (au sens figuré, hein !).

The Journalist : Trèves de plaisanteries, est-ce que dans tes futurs écrits tu as l’intention de RP avec d’autres joueurs ou plutôt en solo ?

Rurik : Je préférerai avec d'autres joueurs (c'est un appel !), comme je disais il n'y a pas si longtemps, je fais des JdR par forum pour l'échange, si c'est pour me retrouver à écrire toute seule dans mon coin, je n'ai qu'à écrire un livre !

The Journalist : Est-ce que Yuimen représente ta première expérience de forum RPG ?

Rurik : Non, au tout début je parcourais des forums de RP entièrement libre, sans GM, sans dé. Puis j'ai commencé sur Terre de Ghaal et Arathiel. Yuimen a du être le troisième où je me suis inscrite, mais le seul qui reste aujourd'hui. Quoi qu'il soit possible qu'Arathiel ouvre de nouveau ses portes prochainement.

The Journalist : Comment as-tu découvert ce forum ?

Rurik : Je ne sais plus, soit par recherche avec notre ami Gogole, soit par le bouche à oreille sur d'autres forums. Peut-être sur Tour de Jeu tout simplement.

The Journalist : Joueur ancien, que peux-tu nous dire de l’évolution du Yuimen ?

Rurik : Fichtre, il y en a eu ! La base est toujours là, mais les couleurs ont changé, haha ! Le background du monde de Yuimen n'a fait qu'évoluer sans cesse, ses GMs et ses joueurs avec lui. Pour aujourd'hui un monde vraiment en place, des nouveautés qu'on ne retrouve pas ailleurs et des joueurs plus sérieux (ont-ils vieillis ? ^^ ). Je ne sais pas ce qu'il reste des premiers, mais le forum a grandi en même temps que nous, ce qui est plutôt agréable, parce qu'on ne joue pas à 16 ans comme on joue à 25 ! Quoi qu'il y a parfois de très bons jeunes joueurs.

The Journalist : Nous arrivons à la fin de notre interview, le mot de la fin est pour toi.

Rurik : En parlant de nouveauté, le journal en est une ! Quand je suis souvent présente, je suis les RPs de tout le monde (de près ou de loin suivant la taille des messages !), mais le journal est une super idée qui facilite la tâche ! Comme je le disais, c'est le partage qui m'intéresse, quoi de plus exemplaire qu'un journal ! Merci à toi.

Cette semaine un nouveau joueur prometteur est à l'honneur, Baltron Enedarr, mage de feu humain.

The Journalist : Alors qu'est-ce que cela te fait d'être la star du journal de la semaine ?

Plaisir! Ça me donne envie de tout cramer pour montrer que je suis content.

The Journalist : Qui se cache derrière le personnage de Baltron Enedarr ?

Un geek de 17 ans aux cheveux longs en terminale S mais également un grand fan de jeux de rôles, d'heroic fantasy, de science fictions, 'fin bref, un nerdz. Petit cadeau: je m'appelle Clément

The Journalist : Tu as choisi de jouer un mage de feu, assez répandu sur le forum. J'ai également vu que tu avais un fluide de foudre, dois-ton voir la dedans une évolution de ton personnage ?

Et bien, ce fluide m'a été donné par GM2 en récompense par un RP et je suis actuellement en train de le vendre (au moment ou j'écrit ces lignes, ce doit être une question de minutes avant que l'achat soit validé) donc pour le moment, pas d'évolution de mon personnage vers les autres types de magie. Mais qui sait, a un moment ou l'autre, je serait sans doute obligé de me diversifier, mon personnage manie la magie du feu car il pense que c'est le type de magie le plus efficace pour donner la mort (rien a voir avec la pyromanie ) donc si à un moment il se retrouve limité par la magie du feu, rien de l’empêchera d'aller voir les sorts de foudre.

The Journalist : Tu es encore un jeune joueur sur le forum mais peux-tu nous en dire plus sur ton personnage et son avenir ?

Et bien mon personnage a été marqué dès son enfance par les raids des Orques sur Bouhen, il en a lui même fais les frais d'où sa balafre à l'oeil. Il est donc animé par un ardent désir de vengeance, ce qu'il refuse d'accepter : Baltron est un fervent croyant de Meno or le culte du dieu du feu est formel, le feu ne doit servir qu'à purifier, pas à la vangeance.
Baltron est un être partagé: une partie de son âme est en colère et brûle alors que l'autre tente de raisonner par la logique. Ces deux parties de son âme resurgissent à tour de rôle, Baltron est un personnage lunatique mais c'est aussi ce qui fait de lui un mage de feu: son côté rationnel et bouillant.
Pour ce qui est de son avenir... pour le moment, je n'ai pas trop de plan, je vais sans doute rester un peu à la faculté pour perfectionner mes talents mais ensuite, je ne sais pas trop. J'ai bien une idée mais ce n'est pas pour tout de suite et je garde le secret!

The Journalist : Tu as rejoins la guilde de notre chère Isulka, pourquoi ce choix ?

Encore une fois, c'est une question d'efficacité: Baltron est encore novice, il ne connait que les grandes lignes de la magie, il cherche donc à en apprendre d'avantage en rejoignant l'Obédience toujours dans l'optique de sa quête de pouvoir. C'est un quelques sortes ses "études superieures".
Sinon, d'un point de vue personnel, j'ai rejoins la communauté de Yuimen pour faire du RP avec d'autres personnes, je ne suis pas solitaire de nature d'où mon adhésion à une guilde, même si pour le moment, je suis dans une phase d'apprentissage en solo. Alors au passage, avis aux lecteurs, si quelqu'un cherche un mage de feu je ne suis pas fermé aux propositions!

The Journalist : Tu as déjà fini ton intégration dans la guilde, est-ce que tu envisages de RP avec d'autres joueurs maintenant ou même de faire un dirigé avec un GM par la suite ?

Et bien j'ai déjà répondu en partie à cette question: même si pour le moment, la situation ne s'y prête pas, je suis ici pour faire du RP avec d'autres joueurs, de la guilde ou non d'ailleurs.
Le dirigé avec GM m’intéresse un peu moins pour le moment mais je ne suis pas contre l'idée si jamais j'ai un creux dans mon histoire, ça permettrais de me relancer plus facilement.

The Journalist : Comment as-tu découvert Yuimen ?

Le coupable de cette odieuse infamie est un vil orque répondant au nom de Krochar (ou Barelfe pour les intimes). Une soirée de trop sur skype et c'est le dérapage, tout s'emballe et vous vous retrouvez avec un nouveau cinglé sur les bras

The Journalist : Pourquoi avoir choisi de t'inscrire sur ce forum plus qu'un autre ?

Et bien j'ai déjà fais pas mal de forums RP mais j'avais plus ou moins arrête depuis deux, trois ans. Ce qui m'a motivé, c'est en premier lieu, ne le cachons pas, la présence de Barelfe, au moins, j'était assuré de ne pas être seul et cela prévoyait de bons délires par la suite, mais c'est également le coté libre de Yuimen. C'est là toute le paradoxe de ce forum selon moi, tout y est libre mais surveillé, contrairement à d'autres forums ou tout y est permis sans surveillance et sans jets ou encore a des forums trop surveillés ou la moindre action requiers 25 lancers de dés. Là, on choisis selon ce que l'on désire, on fais avancer son personnage comme bon nous semble et on passe soudain à un RP dirigé où l'on s'en remet au hasard.

The Journalist : Est-ce ta première expérience sur un forum de RPG ?

Encore un fois j'ai anticipé ta question, toutes mes excuses (lire toutes les questions avant d'y répondre, pourtant les professeurs me le rabâchent souvent!). Donc pas de suspens, oui j'ai déjà joué sur des forums RPG, j'ai même tenté d'en créer deux ou trois moi même avec quelques amis (autant d'échecs).

The Journalist : Que penses-tu de l'ambiance qui règne sur le forum entre les joueurs et les GMs ?

Bien je trouve que l'ambiance est très bonne, tout le monde semble s'entendre et j'ai été accueilli très chaleureusement, par GM8 notamment et surtout Isulka qui a sur avec patience répondre à toute mes questions sur la guilde (je l'en remercie encore d'ailleurs!). Ensuite, l'humour est omniprésent dans ce forum, soit dans la partie libre soit dans le RP de quelques un et enfin, les GM restent justes dans leurs corrections et les joueurs savent reconnaître leurs erreurs en tentent de les corriger pour s’améliorer. Si le monde pouvais marcher aussi bien

The Journalist : Je te laisse le mot de la fin, jeune padawan.

Chaise!

Saviez-vous qu'un roman avait prédit le naufrage du Titanic une décennie avant son arrivée ?

En effet , "Le Naufrage du Titan" (The Wreck of the Titan) est un roman écrit par Morgan Robertson et publié en 1898 sous le titre "Futility" (en français Futilité). Il raconte l'histoire d'un paquebot, le Titan, plus grand navire de son époque, qui sombre dans l'océan Atlantique après avoir heurté un iceberg. Le naufrage cause de nombreuses morts à cause du manque de canots de sauvetage à bord.

Le roman, peu notable lors de sa sortie, connaît un succès imprévu après le naufrage du Titanic, qui survient le 15 avril 1912. En effet, un certain nombre de similitudes frappantes touchent les deux navires.
Le Titan mesure un peu plus de 240 mètres là où le Titanic en atteint 269, tous deux atteignent la vitesse de 25 nœuds, voyagent dans l'Atlantique nord au mois d'avril, et sombrent en heurtant un iceberg, cause de naufrage peu répandue. De plus, les deux navires sont réputés comme étant très sûrs grâce à leurs compartiments étanches, et transportent un nombre insuffisant d'embarcations de sauvetage. Les deux heurtent également l'iceberg par tribord.

Ces similarités entre les deux événements poussent certains à parler de prémonition, et du fait que Robertson aurait "vu" le naufrage avant qu'il ne se produise. Toutefois, si le livre comprend d'étonnantes coïncidences, il contient également d'énormes différences, notamment en ce qui concerne le déroulement du naufrage. Cependant, l'explication la plus retenue concernant ces coïncidences vient du fait que Morgan Robertson connaissait bien la marine de son époque, et qu'il pouvait de fait anticiper les possibles évolutions que vivraient les paquebots dans les décennies suivantes concernant la sécurité et le luxe. De fait, l'auteur pouvait supposer qu'un accident arriverait tôt ou tard, la question du nombre de canots de sauvetage à bord des navires prêtant déjà à polémique à l'époque.

Cette semaine, un membre de la Nouvelle Obédience est à l'honneur, Adeim.

The Journalist : Bonjour Adeim, heureux d'être à l'honneur ?

Ça fait toujours plaisir de voir que l'on est remarqué. Pour tout dire je ne m'y attendais vraiment pas. Quand j'ai reçu le message me demandant si je voulais être l'interviewé de la semaine j'ai sauté sur l'occasion. Donc oui on peut dire que je suis heureux

The Journalist : Qui se cache derrière le personnage d'Adeim ?

Alors je m'appelle Marie, je suis étudiante en droit dans le sud de la france. Je vis ma vie au jour le jour sans trop me prendre la tête. J'ai connu Yuimen grâce à un ami mais il n'est pas encore inscrit sur le forum. Il voulait un avis, on peut dire que je suis son éclaireuse et j'en suis ravie ^^

The Journalist : Tu as choisi de jouer un humain des peuples du désert, ce qui est peu répandu, est-ce que cela a motivé ton choix ?

Non pas le moins du monde. En fait c'est plus l'avatar que j'avais trouvé qui a guidé on choix. Je me suis penchée sérieusement sur toutes les races possibles sur Yuimen et je trouvais que celle des humains des peuples du désert était celle qui allait le mieux avec. Et puis elle collait aussi avec ce que je voulais faire de ce PJ.

The Journalist : Tu as choisi de jouer un fanatique, quel intérêt as-tu trouvé à cela pour ton RP ?

Ce qui a le plus motivé mon choix était le fait que le fanatique était une classe semi-magique. J'avais déjà prévu beaucoup de choses pour mon PJ et il avait besoin de pouvoir bien manier les armes mais aussi de pouvoir manier la magie. La classe fanatique c'est donc rapidement imposé comme un choix idéal. Bien sûr il y a d'autres classes semi-magique mais celle du fanatique était celle qui correspondait le mieux pour mes plans

The Journalist : Tu es actuellement niveau 4, bientôt niveau 5. As-tu déjà pensé à ta classe secondaire ?

En effet j'ai déjà une petite idée sur la classe secondaire que je souhaite donner à Adeim. Je pense demander la classe de Chevalier du Chaos. Sur ça, je ne me suis pas intéressée pour savoir si c'était une classe répandue ou pas. Tout ce qui compte pour moi c'est qu'elle soit en accord avec le BG d'Adeim ^^

The Journalist : Récemment, tu as fait un RP d'intégration dans la guilde de la nouvelle obédience de la magie d'Isulka, peux-tu nous en dire un peu plus ?

Pour les besoins de l'histoire d'Adeim, il lui fallait un endroit où il pourrait développer au mieux sa magie. La guilde de la Nouvelle Obédience s'est donc imposée comme le choix idéal. Après je ne vais pas non plus trop en dire, Adeim a besoin qu'on l'aide, mais il s'agit d'une aide très particulière et assez complexe. La guilde, en échange de ses services, va lui apporter cette aide.

The Journalist : Sans trop nous en révéler sur l'avenir de ton perso, que lui réserves-tu pour la suite ?

Je lui réserve bien des épreuves pour apprendre correctement la magie et bien des souffrances par des visions, des combats, des pertes aussi... Après il faudra lire la suite de ses aventures pour savoir ce que je lui réserve vraiment ^^

The Journalist : Par la suite, aimerais-tu RP avec d'autres joueurs ?

Pourquoi pas si l'on m'en fait la proposition même si je suis plus d'une nature solitaire, je pense que ce serait bon pour Adeim de se sociabiliser un peu on ne peut pas dire qu'il soit le maître dans l'art de communiquer avec facilité. Cela vient de son passé et du danger qui rôde en permanence au dessus de sa tête. Pour le moment Adeim est pris à la Nouvelle Obédience mais après je ne suis pas contre un bon RP avec d'autres joueurs, voir peut être même une quête lorsqu'une nouvelle s'ouvrira qui sait ^^

The Journalist : Pourquoi avoir choisi de t'inscrire sur Yuimen ?

J'ai déjà plus ou moins répondu à la question Un ami à moi voulait savoir si le forum vallait le coup et moi j'étais à la recherche d'un échappatoire à mes études. Attention, je les adore mais parfois il est nécessaire de faire des pauses et Yuimen est un excellent moyen de me divertir et de me changer les idées, ça me fait vraiment du bien

The Journalist : L'interview arrive à son terme, le mot de la fin sera pour toi.

Alors d'abord je remercierais l'équipe Gmique qui fait vraiment un super boulot. Ensuite, les autres joueurs, même si je ne parle pas sur le blabla, dès que j'ai eu besoin j'ai souvent trouvé des joueurs qui m'ont guidés (je suis timide j'ose pas trop déranger les Gm même si ils sont là pour ça ). Et enfin, je conseille ce forum à tout le monde, il y règne une super ambiance et on peut se faire beaucoup d'amis ^^

Saviez-vous d'où vient le terme : les dés sont pipés ?

Pour un dé normal, vous le savez, la probabilité d'obtenir chacun des chiffres est la même : c'est l'équiprobabilité. Par exemple, pour un dé de six faces, il y a exactement un sixième de chances que vous tombiez sur l'une des six faces.

Seulement voilà : dans la plupart des jeux de dés, le gagnant est celui qui obtient le plus grand score. Ainsi, l'Homme, fourbe mais ingénieux, a trouvé un moyen de détourner les lois du hasard et de faire bouger les probabilités en sa faveur en créant le dé pipé.

Il y a différentes façons de piper un dé, la plus simple étant d'alourdir la face opposée à celle désirée, mais ce n'est pas le sujet. La question serait plutôt de savoir pourquoi ces dés sont dits pipés ?

L'expression provient du langage de chasse d'autrefois. À l'époque, on attirait les oiseaux en imitant leur cri avec un pipeau (que l'on appelait alors pipe ou pipet) : cette méthode de chasse était connue sous le nom de « chasse à la pipée ». C'est donc très naturellement que le verbe piper à peu à peu pris le sens de tromper : tout d'abord tromper les oiseaux, puis le terme s'est globalisé pour définir la tromperie au sens large. Des dés pipés sont donc des dés visant à tromper les autres joueurs. C'est d'ailleurs la même origine pour l'expression : "C'est du pipeau" !

Mais n'oubliez pas : tricher, c'est mal !

The Journalist : Alors Oryash, qu'est-ce que cela te fait d'être à l'honneur du journal ?

Honnêtement ça fait plaisir de voir qu'on s'intéresse à mon personnage et à la joueuse qui se cache derrière. Je n'aurais jamais pensé qu'on viendrait un jour à m'interviewer. On se sent la star d'un jour

The Journalist : Qui se cache derrière le personnage d'Oryash ?

Derrière Oryash se cache Corinne une joueuse de 39 ans originaire de la région Lyonnaise, qui a une vie bien remplie. Faudrait que je lève le pied à certains moments^^.
Je suis sociable et on dit de moi que je déborde d'énergie et qu'il faudrait enlever les piles des fois. J'ai un fort tempérament et je ne mâche pas mes mots quand on me cherche. J'aime le dessin, les bonnes bouffes entre amis, les sorties et toutes les bonnes choses de la vie. Je profite un maximum car on est que de passage sur cette terre alors je croque la vie à pleine dent.

The Journalist : Tu as choisi de jouer une guerrière phalange de Fenris, explique-nous ton choix.

Le choix était une évidence pour moi. Après avoir parcouru les différentes races présentes dans le jeux, le côté peu sociable de ce peuple et le fait qu'ils vivent en meute m'a plu. Une hiérarchie toujours remise en question, un mode de vie qui se rapproche plus des animaux que des humains, tout à contribuer à guider mon choix vers les Phalange de Fenris. Et franchement je regrette pas mon choix. J'adore interpréter ce personnage.

The Journalist : Tu es actuellement niveau 5 et en attente de correction. As-tu déjà pensé à ta classe supérieur et pourquoi ?

Pour être honnête, non, pas une seule fois. Je verrais ça le moment venu.

The Journalist : Tu es entré chez les ARS et donc sous l'égide de Cromax, pourquoi avoir intégré sa guilde ?

Déjà le fait que mon perso est plu à un GM c'est plutôt flatteur . Ca signifie que peut-être ma fiche avait un petit quelque chose qui a attiré l'attention.
Après l'idée des missions et la possibilité de faire évolué mon perso au sein d'une meute bien différente de celle qu'elle avait connu m'a tenté. Reste à savoir si la peau blanche résistera à son envie de domination. Sinon Oryash derrière son apparence de glace cache bien son jeu .

The Journalist : Tu sors d'une longue phase de RP en commun avec une autre ARS, Salymïa. Qu'est-ce que cela t'a apporté ?

J'ai adoré rp avec Salymïa pour cette mission. Jouer avec des pj c'est quand même plus fun que d'avoir à faire à un pnj, même si les rp avec les pnj prennent parfois des tournures très intéressantes.
Au cours de cette mission mon perso s'est livré à quelques confidences alors qu'il n'est pas du genre à parler de lui d'ordinaire. On en a appris un peu plus sur le passé de Oryash, sur son ancien mode de vie.

The Journalist : Aurais-tu envie de diversifier ton RP en créant un autre personnage ?

J'aimerai pouvoir le faire mais je crains de ne pas avoir le temps de gérer deux personnages et pourtant cela me plairait beaucoup. Je crains aussi d'abandonner malgré moi le premier personnage au profit du second. Car tout nouveau tout beau.

The Journalist : Tu es inscrite depuis un an sur le forum et tu as peu RP, est-ce du à un manque de temps ?

Hélas oui, le temps me manque. J'essaie dans l'ensemble de répondre le plus rapidement possible quand je suis engagée dans un rp afin que le ou les joueurs en face ne restent pas bloqué. C'est la moindre des choses car moi même je n'aimerais pas attendre une réponse durant des semaines.

The Journalist : Es-tu familière des forums RPGs ou bien est-ce ta première expérience du genre ?

Je suis une habituée des jeux et oui ^^. Feu Cyborn, Edenya, Odyssée et bien avant les jeux sur le net ceux sur papiers.

The Journalist : Pourquoi avoir choisi de t'inscrire sur Yuimen ?

En fait tout est venu d'un de mes amis qui jouait sur Yuimen. Il a piqué m'a curiosité et bammm j'ai méchamment accroché et me voilà. C'est un jeu très actif et réactif aussi.

The Journalist : Que penses-tu de l'ambiance qui règne sur le forum ?

L'ambiance est bonne et j'ai un réel plaisir à rp et à discuter avec les joueurs quand j'en ai l'occasion.

The Journalist : Nous arrivons à la fin de notre interview, aurais-tu un message à faire passer ?

Déjà merci de m'avoir consacrer un peu de temps ce fut un plaisir. Et puis grâce à votre travail de journaliste on découvre un peu de la personnalité des gens qui se cachent derrière leurs persos. Vous êtes une bonne équipe et vous faites un excellent travail. Bon jeu à vous tous et à très vite EJ.

Saviez-vous qu'à Carthage, et donc durant l'Antiquité, le sacrifice d'enfant était une pratique courante ?

Il se trouve que les Carthaginois et toutes les villes qui dépendait de Carthage vénérait un dieu phénicien du nom de Baal. Souvent appelé Ba'al Hamon en référence à la vallée de l'Amanus près de l'antique ville de Tyr, ce dieu présidait à tout ce qui touchait de près ou de loin à la fertilité, que ce soit la fertilité de la terre ou de l'homme. Ainsi pour satisfaire les appétits de la divinité, ces dédicants devaient sacrifier une âme pure, ce qui veut dire textuellement, un enfant premier né. Cette pratique a été dénoncée très tôt par Sophocle dans sa tragédie Andromède. Cette dernière nous est seulement parvenue en fragments et dans celui qui nous intéresse il dit que "des barbares sacrifiaient des âmes purs à Kronos." Il parle de Kronos car Baal a été assimilé au Kronos grec de part leur pouvoir commun.

Ainsi lorsque Carthage fut rasée par les Romains durant la troisième guerre punique, le culte perdura. Lors de la colonisation de ce territoire par les Romains, ils en gardèrent les pratiques religieuses en assimilant Baal à Saturne. On arrive ainsi au schéma suivant : Kronos (grec) = Saturne (romain) = Baal (phénico-punique). Les Romains gardèrent même les pratiques du sacrifice des enfants en sacrifiant leur premier né. Les locaux continuèrent de pratiquer leur culte plus ou moins dans le secret suite à la répercussion des écrits d'un des leurs, Tertullien. Il nous dit ceci : "Des enfants étaient immolés publiquement à Saturne, en Afrique, jusqu'au proconsulat de Tibère, qui fit exposer les prêtres mêmes de ce dieu, attachés vivants aux arbres mêmes de son temple, qui couvraient ces crimes de leur ombre, comme à autant de croix votives : je prends à témoin mon père qui, comme soldat, exécuta cet ordre du proconsul. Mais, aujourd'hui encore, ce criminel sacrifice continue en secret." Nous trouvons des traces archéologiques de cette pratique jusqu'à la fin du IVème siècle de notre ère. Les enfants étaient d'abord immolés et ensuite c'était la crémation. Par la suite, on remplaça de plus en plus les enfants par des animaux à fort pouvoir religieux comme le taureau ou le bélier.

The Journalist : Alors Warren, qu'est-ce que cela te fait d'être à l'honneur cette semaine ?

Cela me fais bien sûr très plaisir !
Ca procure toujours un bon effet de se sentir interviewer

The Journalist : Qui se cache derrière ce mage électrisant ?

Hm ...... Bah pas grand chose on va dire, juste celui qui l'a crée.
Je garde la silence lol

The Journalist : Ou as-tu trouvé l'inspiration pour créer ton personnage ?

Je me suis inspiré de plusieurs personnages, dont moi en tout premier, mais pour forger une personnalité au personnage.

Y'a des personnages qui existent déjà qui m’ont aidé pour la personnalité aussi.

The Journalist : Tu as choisi comme élément l'éclair, élément peu répandu chez les personnages qui ont des pouvoirs magiques, pourquoi ?

Car ça fait beaucoup de bruit, c'est fort, impressionnant, puissant.
Et dans la réalité, je suis assez intrigué car la foudre, et tout ce qui se rapporte à cet élément.

Et pour la suite, il y aura un événement que je compte faire pour mon personnage, et l'élément de la foudre me sera plus que nécessaire.

The Journalist : J'ai vu que tu avais terminé ton intégration dans la guilde d'Isulka. Pourquoi avoir choisi d'y entrer ?

J'ai trouvé que le mieux pour faire progresser durablement mon personnage serai le faire entrer dans une guilde.
J'ai donc posé la question, et on m'a dit que l'Obédience est une guilde spécial mage.

Donc pourquoi s'en priver ?
C'est toujours un bon plus.

The Journalist : Avec ce dirigé d'intégration, tu as effleuré le RP à plusieurs personnages, est-ce qu'à l'avenir tu aimerais RP avec d'autres joueurs ?

Plus que jamais !
J'ai beaucoup aimé faire des RPs avec d'autres joueurs, c'est intéressant, amusant même parfois.

Cela rajoute une bonne dose d'imprévu et de 'réalisme', ce que j'aime bien.
Une bonne chose quoi ...

The Journalist : Actuellement, tu es en attente de ta première correction. Qu'est-ce que tu aimerais que cela t'apporte ?

Bah en fait, pas beaucoup précisément.
Juste un peu de points d'expérience (Peut-être monter un niveau), et un peu de pognon, sans plus ....

Je ne m'attend à rien de particulier

The Journalist : Tu as choisi de t'inscrire sur Yuimen, qu'est-ce qui a motivé ton choix ?

Bah, déjà le fait que ce forum est très actif, très conviviale.
Il y a beaucoup de joueurs inscrits.

Mais la chose qui m'a décidé le plus, et motivé donc, c'est le fait qu'il y ai des VRAI règles de RP.
Ici il n'y a pas de 'Fait ce que tu veux, même n'importe quoi, on ne te dira rien', au contraire, c'est réglementé. Et c'est ça qui m'a vraiment motivé, car moi je cherche surtout un faire de vrai RP, en me cassant la tête lol.

The Journalist : Est-ce que ce forum représente ta première expérience de RPG ?

Non, je suis sur un autre forum, sur un autre univers de jeu.
Je suis on va dire un peu habitué au forum de RPG, donc on peut dire que Yuimen n'est pas me première expérience de RPG.

The Journalist : Inscrit depuis peu, tu as déjà pas mal floodé. Que peux-tu nous dire de l'ambiance qui règne sur Yuimen ?

J'en suis accro !
Il y a vraiment une excellente ambiance qui règne ici.

C'est rare parmi ce type de forum ...

The Journalist : Notre interview arrive à son terme. Je te laisse le mot de la fin.

Bah, à vrai dire, je n'ai rien à signaler d'autre .....
Ah si !

.... Non finalement

Saviez-vous à quelle espèce d'oiseau Bip-bip appartient ?

Bip Bip et Coyote est une célèbre série de cartoons américains, produits par le studio Warner Bros. Les deux personnages principaux, Bip Bip et Vil Coyote, ont été créés en 1949 par Chuck Jones. Il s'est inspiré du livre de Mark Twain : Roughing It (A la dure), où Twain remarqua que les coyotes affamés, chassaient des oiseaux. Le jeu comique se base sur le principe du chat qui court éternellement après la souris, comme dans Tom et Jerry.


Bip Bip, étrange oiseau bleu haut sur pattes avec une houppe, est en réalité inspiré d'un grand Géocoucou (Geococcyx californianus) aussi appelé Géocoucou de Californie.
Les habitudes terrestres du géocoucou lui ont valu le nom de "coureur de route" ; il est de fait plus apte à la course qu'au vol. Il est capable de maintenir une vitesse à la course d'au moins 30 km à l'heure sur de longues distances. Lorsqu'il court rapidement, il place sa tête et sa queue parallèlement au sol, et utilise sa queue comme gouvernail pour l'aider à changer de direction.

La phrase type du personnage est une référence à un des employés du studio qui avait l'habitude de courir dans les couloirs en faisant ce "bip-bip" censé imiter un bruit de klaxon.

Grand Géocoucou

The Journalist : Alors Rosa, depuis le temps que je te le demande, contente d'être dans le journal ?

Ça a d’abord été une grosse surprise. Je restais dans l’ombre mais il faut croire que ça ne suffisait pas ! J’aime beaucoup cette idée d’un journal dans un forum et c’est drôle que le choix se porte sur moi cette semaine ! ( Vous êtes en panne de scoops c'est ça ? )

The Journalist : Qui se cache derrière le sombre personnage de Rosa ?

Ah j’aime le théâtre ( jusqu’à finir dans une compagnie !) et donc considérant que le rideau n’est pas encore tombé, je n’enlèverai pas mon masque ! (Tatata)

The Journalist : Tu as choisi de jouer une shaakt, race très mal vue sur le forum, pourquoi cela ?

Quand je veux écrire un rp, j’aime beaucoup m’inspirer d’auteurs qui ont posé leur marque dans ma petite tête ( chez Rosa il y en a beaucoup !) . Alors lorsque j’ai commencé à créer Rosa, je voulais un personnage déchiré mentalement comme les personnages de Beckett or quel est le meilleur univers pour développer une telle personnalité que celui des Shaakts ? Le monde des hommes est déjà bien triste mais c’est encore pire chez des êtres à la longue vie et à l’alignement mauvais. Après je pourrai simplement dire que c’est leur « us et coutumes » qui m’ont fait tilter une biographie ou avais-je envie de faire une mauvaise elfe, que sais-je ?

The Journalist : En parcourant tes RPs, j'ai vu que tu étais accompagné d'un certain Thalo, surnommé l'armure, peux-tu nous en dire plus ?

Au départ je voulais faire de Thalo et Rosa deux personnages à part entière mais le forum ne le permettant pas j’ai choisi Rosa ( pour garder la mage). Le personnage vit désormais par la vue de Rosa, bien que je garde le point de vue narratif de son compagnon ( généralement celui qui permet aux gms correcteur de comprendre quelque chose ) . Thalo est un guerrier qui se cache derrière son armure et refuse qu’on le voit sans son casque. C’est un homme qui n’a quasiment rien à voir avec elle mais leur rencontre à permis de nouer une relation qui leur échappe. L’un veut racheter l’autre et l’autre veut simplement se servir de lui. C’est la colonne vertébrale de mes posts, au fil de ce qui leur arrive cette relation évolue et moi même je ne sais pas comment elle aboutira !

The Journalist : Il paraîtrait qu'un certain pirate ou plutôt groupe de pirates t'aurait approché pour faire parti de leur groupe, confirmes-tu ?

J’avoue tout. C’est Heartless ! Ça a commencé par une simple demande pour rp avec quelqu’un d’autre et ça a fini par mon enrôlement de force ! En réalité je trouve la perspective intéressante et puis ça donne une source d’inspiration future. Après j’espère qu’il n’y aura pas un uniforme réglementaire ou qu’on ne va pas tomber dans le cliché du perroquet sur l’épaule sans quoi Rosa nouera une corde entre Thalo et elle puis jettera son compagnon à la mer ! Toutefois c’était la meilleure solution pour la shaakt de découvrir le monde !

The Journalist : Qu'est-ce que tu penses que le RP à plusieurs va t'apporter ?

Beaucoup de choses, je n’aime pas rp avec mon esprit seul. C’est toujours intéressant de confronter d’autres joueurs qui n’ont pas toujours les mêmes idées et ça donne parfois des surprises. Puis en y réfléchissant, ça ne m’empêchera pas parfois de développer mes personnages dans leur coin quand l’envie me prend. Donc pour résumer ma pensée un peu bancale , je pense que c’est avant tout de l’inspiration, quelque chose qui nous pique et nous donne de l’enthousiasme, des liens qui se tissent et qui ne sont pas toujours contrôlables en clair du piment à mon histoire !

The Journalist : As-tu des grands projets pour ton personnage ou bien fais-tu au fil de l'inspiration ?

Non ! Aucun grand projet hélas, j’ai jeté Rosa dans Yuimen avec un passé et beaucoup de pensés. Pour l’instant c’est suffisant mais après j’aimerai tenter les quêtes ou peut être qu’au fil de la plume un but apparaitra ! C’est pour ça que je compte sur le rp à plusieurs d’ailleurs.

The Journalist : Tu as choisi de t'inscrire sur Yuimen, pourquoi ?

Je cherchais un forum complet, actif et au Bg accrocheur. Lorsque j’ai trouvé Yuimen ça a fait un choc ! Jamais je n’ai vu un tel contexte aussi complet et qui tend à se remplir encore ! Cela bien sur sans qu’il soit mort par la désertion de masse. Il y a le système de niveau qui permet de nourrir l’activité, une équipe de Gm’s dévoué, des quêtes, une intrigue… Sincèrement j’adore !

The Journalist : Es-tu une habitué de ce genre de forum ou bien est-ce ta première expérience de forum RPG ?

J’ai l’habitude oui. Rosa vient de quelque part mais je tairai le lieu car à ma grande honte, elle est devenue inactive. Les forums rpg ça a toujours été mon troisième hobbies après la lecture et le théâtre.

The Journalist : Inscrite depuis peu, que penses-tu de l'ambiance qui règne sur Yuimen ?

Elle est très bien à ce que je vois. Déjà par cette équipe de GM qui sacrifient leur temps pour les autres, je trouve ça impressionnant ! Le peu de joueurs à qui j’ai parlé pour l’organisation de rp’s ont tous été sympas je n’ai même pas encore eu de prise de tête et je ne pense pas en avoir ici !

The Journalist : Notre interview arrive à son terme. As-tu un message à faire passer ?

Merci aux Gms pour leur travail, merci à l’équipe du journal et si jamais quelqu’un souhaite rencontrer Rosa pour un petit rp , elle refusera mais pas moi ! Sinon je conclurai sur un engagement politique : « Romini Ite Domum ».

Saviez-vous pourquoi les Oscars se nomment ainsi ?



Chaque année, depuis le premier banquet des Oscars qui s’est tenu le 16 mai 1929 dans le Blossom Room de l’hôtel Hollywood Roosevelt, ont été décernées les Academy Awards, plus connus sous le nom d'Oscars et 2 701 statuettes dorées y ont été remises.

Pour être nommé, les films doivent respecter un certain nombre de règles dont être sortis en salle dans le comté de Los Angeles en Californie entre le 1er janvier et le 31 décembre de l'année précédant la cérémonie.

Le trophée a été dessiné par Cedric Gibbons, co-fondateur de l'AMPAS (Academy of Motion Picture Arts and Sciences). Il est constitué de britannium (alliage d'étain, de cuivre, et d'antimoine) plaqué d'or. D'une hauteur de 34,29 centimètres pour un poids de 3,85 kg, il a été sculpté par George Stanley et réalisé par la société R. S. Owens & Company à Chicago.

Il représente un chevalier, debout sur une bobine de film, les mains tenant une épée. La bobine présente 5 ouvertures correspondant aux 5 secteurs originaux de l’Academy : acteurs, réalisateur, producteurs, techniciens et scénaristes. Bien que la statuette ait conservé sa forme au fil des années, la taille de la base a été modifiée en 1945 pour adopter le format qu’on connaît aujourd’hui.

Désigné officiellement sous le terme d'Academy Award, il est surnommé "Oscar" depuis 1934.

Une anecdote rapporte que Margaret Herrick, bibliothécaire et directrice générale de l’AMPAS, trouva qu’il ressemblait à son oncle ayant pour prénom Oscar. Une autre version attribue la paternité de ce surnom à Bette Davis dont le mari, Harmon Oscar Nelson, ressemblait également à la statuette.

Quoi qu’il en soit, c’est lors de la 6e cérémonie des Oscars en 1934, que le chroniqueur Sidney Skolsky utilisa le premier le terme "Oscar" pour parler du prix de la Meilleure actrice remporté par Katharine Hepburn.

Le surnom ne fut officiellement adopté par l'Académie qu'en 1939.

Cette semaine vous avez le droit a une interview non conventionnel car c'est votre serviteur The Journalist qui passe sur le grill par un journaliste intérimaire qui taira son identité !

Journaliste intérimaire : Nous allons changer la règle pour cette fois-ci, c'est donc vous, The Journalist, qui êtes sous les projecteurs. Qu'est-ce que cela vous fait d'être l'interviewer interviewé ?

The Journalist : A vrai dire, je suis déjà passée sur le grill au tout début de mon aventure sur Yuimen, donc au final ça ne me fait pas grand chose d'être à l"honneur" cette semaine. Néanmoins, maintenant que je suis The Journalist, se retrouver de l'autre côté du miroir me donne une sensation bizarre !

Journaliste intérimaire : Avant de passer dans les vraies questions, voudriez-vous bien nous éclaircir un peu sur l'identité de notre journaliste préféré ?

The Journalist : Je vais éviter de faire une redite de ce que j'ai pu dire dans mon interview d'Aenaria. Je vais donc dire que je suis une fille de 21 ans bientôt 22 (le temps passe trop vite, ou est ma jeunesse !) et qui est actuellement en 5ème année d'histoire à la faculté de Bordeaux 3. Sinon pour le reste, je peux dire que je suis une vraie geek qui joue à Magic, aux JdR de plateaux, sur console, sur ordi et sur le téléphone maintenant ! On arrête pas le progrès !

Journaliste intérimaire : Vous êtes connu sur Yuimen pour être LE reporter, celui qui ne rate jamais l'occasion de faire une interview. Comment cela se passe t'il en coulisse, quels sont vos premiers 'objectifs' lorsque vous décidez de donner la parole à quelqu'un ?

The Journalist : Le choix pour un(e) joueur(euse) est de plus en plus difficile car au début j'ai préféré me concentrer sur des profils que l'on peut qualifier d'intéressant comme les GMs ou encore les personnages qui ont un haut level ou chef de guilde ou vieux de la vieille. Maintenant je m'intéresse de plus en plus aux nouveaux joueurs pour savoir ce qui les a poussé vers nous. Yuimen est un forum en perpétuel évolution et c'est indéniablement sa plus grande force sur le "marché" du forum RPG médiéval-fantastique.

Journaliste intérimaire : Chaque semaine le Yuimen info résume les principaux évènements qui ont lieu la semaine, que ce soit nouveau joueur, actualités au niveau RP ou blabla. Alors la question se pose, comment vous y prenez-vous pour rédiger et rassembler toutes ces informations bien qu'il y en ai beaucoup ?

The Journalist : Et bien au début, quand j'ai commencé, en tant que rédactrice-en-chef, j'étalais le travail sur plusieurs jours en prenant quelques minutes pour monter le journal mais maintenant, j'ai pris l'habitude et du coup je peux boucler le journal en 30 minutes le dimanche soir car l'équipe fait en sorte de faire son travail chacun de son côté. Après c'est un simple jeu de Tetris pour avoir le résultat que vous connaissez. Je ne vais tout de même pas livrer tous les secrets du journal ! Et le secret professionnel dans tout cela ?

Journaliste intérimaire : Lorsque vous faites une nouvelle édition du Yuimen Info, dans la semaine qui précédé ce jour comment vous vous organisez pour que ce journal soit toujours rendu, immanquablement en fin de semaine ? Comment l'organisation (Un planning par exemple) est faites chez vous ?

The Journalist : C'est toujours moi qui m'occupe de publier le journal sauf cas exceptionnel car j'aime bien regarder comment il est fait, histoire de vérifier la mise en page, l'orthographe... Il y a peu et je m'en excuse de nouveau je n'ai pas pu poster le journal le dimanche soir et aucun journaliste ne pouvait le faire non plus, du coup il a été posté le lundi matin. Mais il n'y a pas de planning à proprement parler. Il peut être posté vers 20h30 comme vers minuit, tout dépend de mes occupations.

Journaliste intérimaire : Bien qu'il n'y ai jamais eu de rendez-vous manqué avec ce si bon journal, est-ce que parfois cela a déjà failli arriver, que ce soit par manque de temps ou de contenu ou autre ?

The Journalist : J'ai déjà plus ou moins répondu à la question précédente. Pour le manque de contenu, il est déjà arrivé que le journal soit peut remplie mais à ma connaissance il a toujours été publié.

Journaliste intérimaire : Mais après autant de temps à avoir consacrer à ce mythique journal, pensez-vous qu'un jour cela serai possible que l'idée de arrêter les éditions serai envisageable (Je n'espère pas !) ?

The Journalist : Oh que non, il y a aura toujours quelque chose à dire. Le jour ou il n'y aura plus de joueurs qui s'inscrivent sur le forum, je pense qu'il y aura un problème, que le forum périclite mais on n'est pas encore là alors ne parlons pas de malheur.

Journaliste intérimaire : Si on revenait tout au début de la création de ce journal, voir même avant .... Comment l'idée de créer cette gazette vous est t'il parvenu ?

The Journalist : Alors pour cela, je serais incapable de te répondre. Tout ce que je sais c'est qu'il a été fondé par Lilith alias GM1. Le premier numéro a été publié le 28 juillet 2008. Pour le reste, le plus simple serait de demander à la personne concernée.

Journaliste intérimaire : Est-ce votre première expérience de 'journalisme informatique', ou bien avez-vous déjà un peu d'expérience dans ce sujet ?

The Journalist : C'est ma première expérience journalistique que ce soit en informatique ou en vrai. Et pour tout te dire, j'adore ça. Je suis vraiment contente que Joker'z m'ait recruté.

Journaliste intérimaire : Que serait le Yuimen Info sans ses reporters et surtout sans sa ravissante journaliste ... Je veux entendre par là si vous comptez dans le futur agrandir l'équipe en reporter ou en journaliste ? Sinon, selon vous quel est l'avenir de cette édition hebdomadaire ?

The Journalist : Si tu cherches à soudoyer la rédactrice-en-chef ou un poste au sein du journal tu te mets le doigt dans l'oeil jusqu'au coude mon ami ! Pour rester sérieuse, pour le moment, le journal ne recrute personne. Si jamais nous avions besoin de plus de personnel, la décision se ferait au sein du journal par des demandes directes auprès des joueurs dont les profils auront été retenu. Ou bien les candidatures spontanées des joueurs eux-même.
Je prévois un bel avenir à notre journal car nous avons pleins d'idées qui fusent et qui doivent être mises en place à l'avenir. Pour le moment, ce n'est pas vraiment la bonne période car nous sommes tous plus ou moins en période d'examens, il faudra attendre la fin juin-début juillet pour qu'elles voient le jour.

Journaliste intérimaire : Ah, bien sûr avant que j'oublie, je vous rend donc votre précieux micro et d'ailleurs vous allez en profiter cette fois-ci. D'habitude c'est vous qui demandez les mots de la fin, aujourd'hui c'est vous qui allez les écrire ! Que souhaitez-vous donc dire pour ces derniers mots ?

The Journalist : Je souhaiterais remercier tous les joueurs qui prennent le temps toutes les semaines de lire le journal et également remercier tout ceux qui nous ont transmis leurs félicitations pour notre travail. Longue vie à Yuimen.

Journaliste intérimaire : Dernière petite question optionnel, vous n'êtes pas du tout obliger d'y répondre .... .... Comment avez-vous trouvé cette interview ? Je veux bien sur dire par là comment je me débrouille ?

The Journalist : Tu veux prendre mon travail ou quoi ? Sans blague, c'était du bon boulot !

Tous, internautes que nous sommes, usons et abusons du smiley, mais saviez-vous quelle est l'origine du smiley ?



La première apparition du visage rond formé d’un sourire en arc de cercle et de deux points pour les yeux daterait du 10 mars 1953 dans le New York Herald Tribune, page 20, colonnes 4–6.

Le visage smiley colorié, un bouton jaune avec un sourire et deux points représentant les yeux, aurait quant à lui, été inventé par Harvey Ball en 1963 pour une société d’assurance américaine qui voulait une campagne interne pour améliorer le moral de ses employés. Reste que Ball n’a jamais essayé de se servir, de promouvoir ou de protéger l’image et celle-ci est tombée dans le domaine public avant qu’une procédure de protection de l’image ne puisse être entreprise. Ball n’a donc jamais profité financièrement de l’image à l’exception de sa paye initiale de 45$.
David Stern de David Stern Inc., une agence de publicité de Seattle, soutient également avoir inventé le smiley en 1967 dans le cadre de sa campagne pour la Washington Mutual mais n’a pas non plus cherché à la protéger ...

Le dessin est rendu populaire au début des années 1970 par deux frères, Murray et Bernard Spain, qui l’utilisent à des fins commerciales. Ils produisent des macarons, tasses à café, t-shirts et autocollants frappés du symbole et accompagné du slogan "Have a happy day" inventé par Murray. Jusqu’en 1972, on estime que plus de 50 millions de macarons ont été vendus aux États-Unis.

En 1971, Franklin Loufrani crée la société SmileyWorld à Londres. Il imagine alors une gamme complète de produits en utilisant le logo comme marque dans de nombreux secteurs du style de vie à travers des contrats de licence d'utilisation.
En 1997, le fils de Franklin, Nicolas Loufrani, développe des centaines de variations du logo. Elles étaient alors les premières émoticônes "non-texte" disponibles sur Internet.
Aujourd’hui, plus de 1.200 icônes sont utilisées comme faisant partie de la marque appelée Smileyworld.

Tous les enfants que nous sommes, nous avons souhaité aujourd'hui une bonne fête à nos mamans. Mais connaissez-vous l'origine de cette fête ?

La fête des mères a été instauré pour la première fois aux Etats-Unis en 1908 sous le nom de Mother's day. Chez nos voisins de l'autre côté de l'Atlantique, cette fête est célébrée le deuxième dimanche de Mai. Chez nous, c'est sous le régime pétainiste que la fête des mères entrera dans le calendrier (au moins une bonne chose qui reste du Régime de Vichy !). C'est la loi du 24 mai 1950 qui officialise l'hommage que nous faisons chaque année à nos chères mamans.

La tradition veut que chaque enfant offre un cadeau à sa maman pour lui signifier son amour. Etant petit, le cadeau le plus courant que l'on offre est le fameux collier de nouille, ou le cadre fait avec du papier peint. Nos professeurs des écoles rivalisent d'ingéniosité pour faire en sorte de gâter nos mamans.

Beaucoup de personnes dénoncent la mise en place de cette fête comme étant une nouvelle fête commerciale au même titre que la Saint-Valentin, la fête des pères ou la fête des grands-mères. La question qu'y revient également est pourquoi ne pas fêter les grands-pères ? Ils ont tout autant d'importance pour nous. Il semblerait que le gouvernement ne souhaite pas créer cette fête.

En attendant, je souhaite une bonne fête à toutes les mamans de Yuimen !

Dans certains films hollywoodiens, pas toujours très bons, on retrouve parfois le nom d'Alan Smithee dans le générique. Mais saviez-vous qui est Alan Smithee ?

Alan Smithee (on rencontre aussi les formes Allen Smithee, Alan Smythee et Adam Smithee) est né à Hollywood en 1955 : c'est le pseudonyme utilisé aux États-Unis par les réalisateurs dégoûtés ou mécontents de leur film. Alan Smithee est d'ailleurs l'anagramme ironique de The Alias Men (« les hommes au nom d'emprunt » en français).

Dans un pays où l'Oscar du meilleur film est souvent attribué à son producteur (qui a également le dernier mot sur la final cut), la DGA (Directors Guild of America, le syndicat des réalisateurs) s'est battue pendant des années pour imposer le réalisateur comme l'auteur du film. A contrario, elle n'autorise pas un réalisateur à utiliser un pseudonyme ou à demander le retrait de son nom du générique. S'il estime que son travail a été bafoué par son producteur, un réalisateur peut néanmoins saisir la DGA. Si sa requête est acceptée, celle-ci l'autorise à signer son film Alan Smithee.

Le nom apparaît pour la première fois en 1955 dans le film de télévision The Indiscret Mrs. Jarvis. Le premier film de cinéma signé Alan Smithee est Une poignée de plombs (Death of a Gunfighter) réalisé en 1967 par Don Siegel et Robert Totten :
« Quand j'ai refusé d'être crédité pour la réalisation du film Une poignée de plomb, de même que Bob Totten, la DGA inventa un pseudonyme pour Totten et moi, Allen Smithee. Comme le film a été plutôt bien accueilli, j'ai dit à tous mes amis qui voulaient être réalisateurs de changer leur nom pour Smithee et de revendiquer la paternité du film. Je ne sais pas si quelqu'un l'a fait. Je pense encore que dans certaines
circonstances ils auraient pu briser la barrière magique et devenir réalisateurs. »

— Don Siegel, A Siegel Film, Faber and Faber, Londres, 1993, p.320, 321.

Néanmoins, depuis la publicité faite autour du pseudonyme par le film An Alan Smithee Film: Burn Hollywood Burn (1997), la DGA ne considère plus le nom comme un pseudonyme efficace.

Il semblerait toutefois qu'Alan ait un cousin français, ou du moins francophone, dans la traduction littéraire. En effet, le dernier roman de William Gibson, paru en 2008, a été traduit par un certain "Alain Smissi". La consonance fait dresser l'oreille.

Saviez-vous quelle est l'origine de la loterie ?

L’origine de la loterie est ancienne : à Rome, Néron créa des loteries de mille billets par jour.

La première connue tirée en France date de 1539. Elle est l’œuvre d’un Italien et reçoit l'autorisation de François Ier. Après cette première loterie et durant deux siècles, les loteries restent interdites ou simplement tolérées dans le meilleur des cas.
Leur retour date de la fin du XVIIe siècle avec la Loterie de l'Hôtel de Ville, à Paris, qui permet de payer les rentes des emprunts contractés par la ville de Paris, lorsqu'elle n'avait plus assez d'argent.

En 1774, à l'initiative de Madame de Pompadour, nait la Loterie de l'École militaire, première vraie tentative de loterie nationale pour financer l'achat du Champ de Mars et construire l'École Militaire où quelques années plus tard Napoléon Bonaparte fera ses études. La Loterie de l'École militaire est transformée en Loterie Royale de France, l’État s’attribuant le monopole.

La Loterie nationale française, ancêtre de La Française des jeux nait en 1933, dans le prolongement de la Grande crise de 1929.