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Nom : Jager
Classe :Chasseur (Origine rôdeur)
Race : Humain
(Père Ynorien, Mère Kendrane)Age : 35 ans
Description physique et de la personnalité :Description physique :Jager est un fils de bûcheron et a hérité de son père force et haute stature (1,80m), force qu'il a développé dans les travaux d'abattage. Ses traits son ynoriens, mêlés de kendran. Mais son visage disparaît derrière ses sourcils noirs broussailleux, ses longs cheveux sombres et sa barbe fournie, qu'il taille au couteau lorsque les deux deviennent trop longs. Depuis qu'il a quitté son village, il se soucie peu de l'apparence qui est la sienne. Ses vêtements sont avant tout pratiques, chauds, conçus pour vivre dans les bois, été comme hiver ; il les taille et les coud lui même, dans les peaux des animaux qu'il chasse ou dans des étoffes qu'il achète à Shory, à partir du patron que constituent les vêtements qu'il possédait en quittant l'Ynorie.
Son apparence est celle d'un sauvage, d'un homme des bois, et il n'est pas rare qu'il effraie les enfants ou les voyageurs qu'il croise. Son seul signe distinctif est une longue balafre horizontale qui lui traverse la joue gauche de part en part, du nez à l'oreille. Ses traits sont durs, comme taillés à la serpe dans du bois, et burinés par le soleil et le grand air. Ses yeux sont d'un bleu sombre, très profond.
Description psychologique :
La seule fois où la colère l'a dominé, Jager a tué sa femme et l'amant de celle-ci. La conséquence de cet acte a été deux morts supplémentaires. Ce passé le hante et, depuis, il reste constamment sur ses gardes, guettant le moindre signe d'emportement. Dix ans de solitude dans la forêt l'ont rendu peu loquace, tourné vers la nature. Ses rares visites en ville le rendent toujours mal à l'aise, d'autant plus qu'il attire les regards, se refusant à changer de style lorsqu'il quitte son environnement naturel. Toutefois, ses rapports aux personnes qu'il rencontre sont courtois, emprunt de la bonne éducation inculquée par sa mère.
Biographie (résumé) :Mon enfance se déroula sans heurts, dans un village tranquille équidistant d'Oranan et Bouhen. Mon père, né sur les terres entourant Oranan, gagnait sa vie comme bûcheron quand il rencontra ma mère, une femme de Bouhen qui accompagnait une caravane pour vendre en Ynorie ses productions - elle fabriquait des bijoux en bois sculpté. La caravane s'était arrêtée dans le village de mon père, ce fut l'occasion de quelques festivités ; il rencontra ma mère, chercha à la revoir sur le chemin du retour. Puis il se fit engager à Bouhen pour la courtiser dans les règles. Lorsque le ventre de ma mère commença à s'arrondir, annonçant ma venue, ils partirent s'installer dans un petit village près de la forêt, à une distance égale de leurs cités respectives. Et je naquis.
Mon enfance se déroula sans heurts. Je suivais mon père dans les bois, aidant à ma manière. Au début je portais ses casse-croutes dans un baluchon, trottinant pour me maintenir à sa hauteur. Quand je fus assez fort pour soulever une serpette je commençai à retirer les plus petites branches et l'écorce des arbres abattus, à constituer les fagots, à débroussailler autour des arbres à abattre. Je crûs en taille, en force, dépassant mon père : ainsi me fut acquis le privilège de manier la cognée pour faire choir les colosses des forêts. Les jours de repos, je traquais le gibier pour améliorer l'ordinaire de la famille avec un peu de viande. Je devins un bûcheron respecté, et vint le temps où je gagnais assez bien ma vie pour prétendre bâtir une maison, et trouver une femme.
L'année de mes vingt quatre ans s'installa au village une nouvelle famille, et avec elle une jeune fille de trois ans plus jeune que moi, une demoiselle bien gironde, qui finit par occuper toutes mes pensées. Un an à la courtiser ne fut pas de trop pour qu'elle accepte de m'épouser. Nous nous installâmes alors ensemble dans ma maison, et déjà je songeais à l'agrandir pour y faire tenir un fils ou une fille. Je filais le parfait bonheur. Je croyais qu'elle m'aimait. Puis vint le jour où, surpris par un orage, je rentrais plus tôt du chantier d'abattage, pour la trouver au lit avec le forgeron du village. En l'apercevant nue, dans les bras d'un autre, je n'ai pas pu juguler ma colère : ma hache se couvrit de sang. Les choses ne s'arrêtèrent pas là. Les deux frères du forgeron, des paysans jusque là sans histoire, demandèrent un jugement du sang. Ma hache prit la vie du premier sans peine, il était aveuglé par la rage, trop jeune, trop frêle pour manier l'épée empruntée à un ami. Le second fut beaucoup plus coriace, et le duel de la fin de l'après-midi jusqu'au soir, il maniait une masse d'arme avec l'assurance et la solidité de celui qui battait toute sa récolte au fléau. Lorsque je réussis enfin à lui faire sauter son arme des mains, au mépris de toutes les règles du jugement du sang, il tira un couteau qu'il dissimulait et me balafra la joue gauche, une cicatrice que je conserve toujours depuis, comme un souvenir. Il n'emporta qu'un peu de mon sang avec lui, ma hache lui broya le crâne dans l'instant suivant.
La justice des hommes allait sans doute me rattraper, et quand bien même ne me punirait-elle pas de mort, ou d'un supplice bien pire, je ne pouvais plus vivre au village : trop de morts reposaient maintenant dans son cimetière par ma faute. Abandonnant ma maison, mes possessions et toutes mes économies à la veuve du plus âgé des frères du forgeron, après avoir fait des adieux sommaires à mon père, ma mère et mes deux sœurs, je suis parti avec ma hache, mon arc, quelques possessions indispensables. Jamais je ne pourrai me débarrasser du souvenir du regard des membres de ma famille : partagé entre la peine de me voir partir et l'horreur que leur inspiraient mes actes. La mort dans l'âme, du sang sur les mains, je suis parti vers l'est. Là m'attendaient des forêts giboyeuses, un lieu où me faire oublier.
Le temps a passé depuis. Mes parents ont probablement vieilli, mes soeurs se sont peut-être mariées. Dix ans que je traque du gibier dans les forêts et les contreforts sud des montagnes de Nirtim. Je m'étais rendu quelques fois à Kendra Kâr, pour des fournitures bien précises, pour négocier certaines peaux, mais la plupart de mes transactions se font à Shory. L'argent gagné me permettait de m'acheter les biens de première nécessité, mais il m'en restait encore assez. Je mettais de côté le reste de la somme pour un jour la faire parvenir à ma famille, à celle des hommes que j'avais tué. Jusque là je n'avais jamais osé me mettre en chemin, et j'ignorais à qui confier la somme pour qu'elle arrive à bon port. Je continuais donc ma vie jusqu'au moment où je trouverais le courage de revenir, et d'affronter le regard de ceux dont je fus l'ami, le frère, le fils, le voisin.
Comme chaque fin d'automne, je me suis rendu à Shory pour vendre mes peaux, et faire quelques achats.
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Armes et bouclier :En main principale : Hache de Aaron (for+1,5/niv, personne à part le possesseur ne peut la soulever)En main secondaire : Le bouclier d'Aaron (Endurance+1/niv. +0,5/niv. Esquives+1/niv face aux orques)Armure(s) :Protection pour le torse : Épaulière de cuir (End +8,
constituées chacune de trois plaques de cuir bouilli renforcé de lamelles d’aciers à leurs bords, courbées et superposées, elles ne me semblent pas être trop lourde ni trop gênante pour les mouvements.)
Protection pour la tête : Le casque d'Aaron (End+1/niv, for+0,5/niv, rallie et motive à la cause du porteur tous les humains ayant [lvl du porteur]/2 dans un rayon de 50m)Protection pour les jambes : Jambières de cuir (end + 7)
Protection pour les bras : Brassards d'argent (End +7)
Cape : Cape de fourrure (dissimulation, End +7)
Bijoux Magiques :- Broche au blason de la milice de Lùinwë (Maîtrise AJ + 10)
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Bonus de rassemblement L'utilisation l'ensemble des reliques permettrait de réveiller l'âme d'Aaron qui fusionne avec celle du PJ (maîtrises +1/niv et init +0,5/niv face aux orques)Sac sans fond(Encombrement = 10/40) :-
Arc long à double courbure, bois et corne (For +2)[E=2]
- 2 flèches de bonne qualité (Maîtrise AJ +10, for+5,
usage unique par flèche)[E=1]
-Poignard (For +8) [E=2]
-Runes
à faire identifier:
Rune Xi ,
Rune HI,
RuneTez ,
Rune Ter (supérieure), [E=1]
-2 flèches à pennes noires (Maîtrise AJ +10, for+5,
usage unique par flèche)[E=1]
- Grande Gourde magique [E=3] (Contient [E=8/16] de potions. Le liquide bu est choisi mentalement par le personnage lors de l'absorption dans la gourde. Liquide contenu : 8 petites potions de soin (redonne 5PV)).
Argent :[/color] 5 745 Yus
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Sorts Acquis :Sorts de combat évolutifs :
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Sorts RP :
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Sorts créés par le PJ lui-même :
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Capacités de classeCombat :Embuscade : Permet au chasseur de se dissimuler dans le décor et de pouvoir attaquer des cibles lointaines. Toute personne cherchant activement à le repérer au coût de 2 points d'Initiative part avec un score de base de ([Son Niv] - [Niv du Chasseur])*4 auquel s'ajoute 1d100. Si le chiffre total atteint au moins 50, le Chasseur est détecté.
RP :Survivant : En milieu sauvage et armé correctement, le Chasseur trouve toujours en quelques heures de quoi se sustenter pour la journée, même si c'est bien maigre dans les milieux très durs.
Capacités de combat (CC) :CC Sans Arme acquises (CC SA) :
CC Avec Arme acquises (CC AA) :
- Coup bas : Visant les membres inférieurs en portant un coup violent, le chasseur cherche à réduire la mobilité de la cible pour l'empêcher entièrement de fuir. Ses maitrises en sont également amoindries. Coup à for+1,5/lvl. La cible boite et est donc très ralentie. (maîtrises de la cible -1/lvl, - lvl/4 init. pendant lvl/4 tours)
- Coup de bouclier : Peu distinguée bien que parfois utile contre un ennemi coriace, cette capacité consiste à tenter d'assommer son adversaire d'un coup de bouclier dans le visage. La force éventuelle d'une arme tenue en main n'entre pas dans le calcul, l'attaque se faisant sans cette arme. L'attaque du bouclier fait for+1/lvl. 20+[lvl]% de chance d'assommer son adversaire. S'il est assommé, il a initiative-1/lvl, esquives et maîtrises-2/lvl, minimum 0, durant [lvl/4] tours, minimum 1).
Condition : être équipé d'un bouclier
- Halte forcée : Technique mise au point par les gardes des châteaux lors des assauts, cette résistance accrue découragea quelques assaillants. Les défenseurs réussissent à garder la position et à lutter contre l'adversaire à l'aide de leurs armes (End+2/lvl, for-1/lvl minimum 0, durant [lvl/4] tours).
- Lancer : Faisant circuler votre énergie interne à l’intérieur de votre bras au moment où vous attaquez, votre arme de poing s’élance littéralement de votre main avec une force et précision redoublée, l’inconvénient de cette attaque à distance étant que vous devez ensuite récupérer l’arme utilisée (For+1/lvl)
- Trancheur : Le combattant saisie sa lame à deux mains au lieu d’une et concentre tout son Ki pour essayer de trancher un membre, peu de chose résistant à l'effet du Ki qui agit lui-même comme une lame (For+1,5/lvl, arrondis à l'inférieur, [lvl]% de trancher un membre.)
- 36 chandelles : Utilise un coup de taille à l'aide d'une arme pour heurter la tempe adverse avec précision et puissance, ce qui peut avoir diverses conséquences. (1d100+[lvl]. De 1 à 70 : blessure + étourdi (pas d'attaque au tour suivant) - De 71 à 89 : blessure + assommé pour 3 tours - De 90 à 99 : blessure + assommé pour 3 tours + amnésique au réveil - A 100 : tué sur le coup pour un PNJ, reste 1PV pour un PJ (valable sur ennemi de lvl inférieur ou égal au PJ uniquement)
Condition : Utilisation d'une arme contondante ou le plat d'une lame
CC avec Arme de Jet acquises (CC AJ) :
- Tir précis : Permet de viser avec une grande précision la cible afin d'augmenter les chances de la toucher. Cette attaque a besoin d'un peu de temps pour être menée à bien et s'étale sur deux tours : le premier, il vise avec précision, le deuxième, il attaque (For+1/lvl, maîtrise AJ+1/lvl)
- Tir instinctif : Le tireur est moins affecté par le manque de visibilité (exemple: dans l'obscurité, le brouillard, l'éblouissement), ayant appris à prendre d'autre repère et en faisant confiance à son instinct (Malus de maîtrise AJ réduit de -1/lvl dans de tels environnements)
Aptitudes Physiques
- Vision nocturne : (Permet de voir dans l'obscurité presque comme en plein jour.)
- Tolérance à la douleur : Un PJ se sentira en meilleur état et arrivera à mieux se surpasser, même avec de grosses blessures, dans son quotidien
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Points de vie: 44/44
Point de Ki : 22/22
XP nécessaire jusqu'au prochain niveau : 4.5
Niveau : 11
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